-Qu'est ce qui ce passe ?

Je me suis rendu compte trop tard que je venais de crier. Donc la voix grave et dominante de mon père me fit sursauter. Je n'aurais jamais du crier.

-Je ne veux pas me répéter Carmen, que ce passe-t-il ?

-Je suis désolé père, je ne voulais pas hausser la voix. Et surtout pas devant nos invités.

-Excuse toi au près de Juan et monte dans ta chambre.

Je me suis lever et a contre cœur, car je ne voulais pas plus aggraver mon cas, je dis:

-Je suis désolé Juan.

Puis je monta.

J'avais peur. Je ne voulais pas que la soirée finissent car je sais ce qui m'attend. Je veux pas qu'il remonte. Mais trop tard. Je n'aurais jamais du crier. Ma mère m'a toujours dit de bien me comporter car si je faisait un faux pas, j'allais énerver mon père. Juste penser que cela pouvais arriver me donnais la chaire de poule. Et voila que en quelque mois, ma plus grande frayeur se produisis. La première fois, je croyais qu'il n'allait pas me faire quelque chose de grave. Mais en voyant de quoi il était capable, je me suis abstenu de faire quoi que se soit. Si cela ne tenait qu'a moi, je lui aurai demander moi même de me tuer tellement je le détestais. Mais j'ai bien vu les conséquences de mes actes. Non seulement j'avais procurer une frayeur épouvantable à ma mère et à Diego, j'avais causer le transfère de mon frère au sud de l'Amérique.

Je me suis toujours demander comment le père que j'ai eu quand j'étais plus jeune est pus se transformer en ça....

J'entend des bruits de pas. Il arrive. Il va venir et me tuer. Mais j'en est plus qu'assez de vivre dans la peur. Je ne dois plus avoir peur de lui. Ca m'ai égal ce qu'il me fera. Mais j'espère juste qu'il ne s'attaquera pas à ma mère ou à Diego. J'espère qu'il se contentera de moi pour se calmer.

La porte s'ouvrit sur mon père et Diego

Diego

-Père, c'est insensé. Elle ne la pas fait exprès.

Nous montions les escaliers de notre demeure. Père était furieux. Je ne sais par quel miracle il a pus tenir le reste de la soirée.

-Diego, c'est la deuxième fois qu'elle m'humilie et humilie la famille. Elle mérite d'être puni

-Mais la dernière fois elle a très bien compris la leçon. Et en plus elle c'est bien comporté toute la soirée. l'ai-je défendu

-Arrête de contester mes décisions. dis mon père sèchement

-J'ai 20 ans père, légalement je suis votre égal. Et j'ai le droit de défendre ma sœur. dis-je en lui bloquant le chemin

-Diego, tais toi. dit-il en me contournant

J'allais lui répondre si mère ne m'avais pas attraper la manche et regarder d'un air qui voulais dire: arrête je t'en supplies. Pas avec ton père

Je l'a comprend tellement. Elle n'avait pas le droit de contredire les décision de mon père. Mon sang commençaient à bouillonner. J'en avais marre qu'il soit aussi colérique.

Lorsqu'il ouvrit la porte, Carmen était allonger dans sont lit. D'est qu'elle nous a vus, elle se redressa et arrangea sa robe et ses cheveux. Elle s'avança vers nous et dit:

-Je suis désolé père. Je n'aurais jamais du hausser la voix devant nos invités.

-Je n'en ai rien a faire de tes excuses. Tu te rends compte de l'humiliation que tu m'a fait vivre. rugit-il en la prenant par le col

Mais elle ne se débâta pas de plus belle. Son calme me surpris énormément. Mais se qui me surpris le plus étais son:

-Et ?

- Comment ça "et" ? Je te dis que tu es la risée de la famille et toi tu me répond par un "et" ? dit-il en resserrent son emprise sur elle

-Et qu'est que ça change ? Je t'ai déjà "ridiculiser devant tous le monde", d'après toi. Le fait que je crie devant tous le monde ne change rien.

-Et tu oses être insolente ? Je vais....

-Me frapper ? Me battre à mort ? Me tuer ? Tu trouve pas que ça sent le déjà vu ?

-Arrête de te croire supérieure à moi jeune fille. Je suis ton père dont tu es sous ma commende. cria-t-il

A quoi jouait-elle ? Elle va se faire massacrer, c'est sur . Il vois rouge là. Et je suis là a la regarder faire le nécessaire pour ce faire tuer.

-Carmen.... ai-je dit doucement

Mais avant que je puisse rajouter quoi que ce soit, elle me fit signe de me taire. Je veux pas voir ça. Puis elle répliqua:

-Vous m'avais déjà frapper à mort. Vous avais essayé de me tuer sans succès. Mais maintenant vous pouvez le faire, ne vous gêner pas. C'est ce que je veux en plus. Que vous aillait du sang dans la main et un mort sur la conscience. Si vous en avait une.

-Qu'insinues-tu ?

-Laisser moi finir. Je disais tuer moi si cela vous calmera. Vous allez me rendre service. Mais si vous me tuez, je veux juste que vous me promettez sur votre parole d'honneur que vous ne toucherais pas à un cheveux de mère et de Diego.

Dans ses yeux brillait la même confiance et la même détermination qu'elle avait dans sa voix. Je suis resté bouche bée. Mes parents étaient dans le même états que moi . Se qui me choqua encore plus c'est que père à lâcher le col de Carmen et dit avec un calme olympien:

-Un de mes associer à Paris m'a demander ta main pour son plus jeune fils. Tu te marieras avec lui dans 3 mois, le temps qu'il vienne de Paris. Puis tu rentreras avec lui à Paris .

Puis il se tourna vers la porte. Mais avant sortir, Carmen lui cria:

-Tu veux savoir pourquoi j'ai crié ? Car il a une rumeur qui circule dans le village qui dit que tu m'as frapper à mort.

-Qu'as-tu dis ? dit-il

-Tu as très bien entendu.

Puis père reparti furieux, suivi de notre mère. D'est que leur bruit de pas ne soit plus audibles, Carmen s'effondra. Alors comme tous grand frère qui ce respecte, je les prise dans mes bras.