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Chapitre 1

17 juillet 1750, les Antilles, Amérique

-Je crois que les manches à moitié longue vont redevenir à la mode. Il faut que je demande à ton père d'en commende deux de France. Tu la voudrais de quelle couleur Carmen ? Carmen ? Carmen je te parler !

A vrai dire je n'entends pas un mot de se qu'elle dit. A quoi bon ? Je ne vois pas la différence entre porter une robe qui à des manches à moitié longue ou à manches longue. A si, je sais: c'est parce que des personnes on décider de rendre ça à la "mode". Les femmes devrait penser à autre chose qu'à être à la "mode" et ouvrir les yeux sur le monde cruel ou nous vivons. Mais bien sur si je dit ça à ma mère, elle me dira que je suis folle et que je devrais oublier Doueida. Ah Doueida.... tu manques tellement.

-Carmen!! Quand je te parle, tu m'écoutes!

-D'accord mère. répondis-je

-Que ce passe-t-il ? me demanda-t-elle

-J'en ai juste marre de rester confinés entre quatre murs.

-Ma chérie, tu sais bien que c'est pour.... commença-t-elle

-Pour ma sécurité, je sais. Mais mère, ne pouvons nous pas aller faire un tour en ville ? Que toute les deux ? S'il te plait !

-Je voudrais bien, mais nous accueillons des invités se soir. Et tu sais comme ton père aime la perfection.

Mon père... Elle veut dire celui qui s'est mis dans une colère noire en apprenant la vérité et qui se refouler sur moi. Je ne sais même pas comment ma mère fait pour le regarder dans les yeux et lui parle normalement alors qu'il à failli tuer sa fille son l'intervention de Diégo. Vraiment je ne comprendrait jamais ma mère.

-Et n'oublie pas te faire belle. Nos invités viennent à 18h00. rajoute-t-elle

-D'accord mère. dis je. Puis je me retirer dans ma chambre ?

-Bien sur.

Alors je partis à la quatrième vitesse.

Enfin dans ma chambre. Mon refuge de ce monde cruel.

Dés que j'ai fermer la porte, je me suis jeté dans mon lit. J'en n'est marre. Marre, marre, marre !!! Pourquoi il a fallu qu'elle me rencontre . Elle est morte à cause de morte à cause de moi. Je porte la poisse à toute les personnes que je connais.

Soudain j'entendis quelqu'un toque à la porte. Avant que je ne dis à la personne derrière la porte de s'en aller, je remarqua qu'il avait toquer trois fois. Alors je me précipita vers la porte.

Il faut savoir que les domestiques ne toque que deux fois et que mes parents ne toque qu'une fois.

J'ouvris la porte et je vis mon frère devant celle ci. Il était enfin là. Alors je le serra de toutes mes forces. Il m'a tant manquer. Après ses belles retrouvailles, je lui dit en l'invitant à rentrer:

-Depuis quand tu es revenu ?

-Je viens tous juste de quitter mère. Père m'a demandé de venir pour un diner. Mais parlons de toi. Tu vas bien ? Tes blessures ne te font plus mal ? me demanda Diégo

-Ça va mieux, ne t'inquiète pas.

- Tu sais j'aimerais tellement t'emmener avec moi le plus loin possible de cette foutu maison, le plus loin possible de lui. dit-il en serrant les poings.

-J'aimerais tellement moi aussi mais tu sais bien qu'il nous fera du mal à tous les deux. Et en plus, j'ajoute avec un sourire triste, qui veillera sur mère si je m'en vais.

-Carmen...Je t'aime petite sœur. dit-il les larmes au yeux

-Arrête, s'il te plait. J'ai quelque chose à te dire. Ça te dit de s'amuser ?

-Qu'est ce que tu as en tête ? dit-il en laissant à la place des larmes un sourire malicieux

-J'en est marre de rester enfermer ici. Alors après le diner, ça te dit de t'échapper pour quelques heures ? Je sais que tu vas dire que...

-C'est d'accord. me coupa-t-il

-Quoi ? Je croyais que je devrais argumenter pendant deux heures pour te convainques. dis je

-Tu es enfermé ici depuis bientôt deux mois. Je peux pas te laisser comme ça. Alors je suis de la partie.

Puis arriva 17h30 sans que l'on s'en rende compte tellement nous étions aspirer par la conversation sur mon évasion temporelle. Alors Diégo se leva et me dit:

-Je dois te laisser. Je vais aller me préparer. Et tu devrais en faire autant si tu ne veux pas que mère sois déçu.

-Je vais m'y mettre tous de suite. dis je

Alors aussi tôt dit, aussi tôt fais. En moins d'une demi heure, j'étais coiffé, habillé et légèrement maquillé. Je portais une robe rose bébé simple et élégante. Marianne, ma femme de chambre, m'a fait une magnifique couronne de tresses et m'a convaincu de mettre une légère touche de maquillage.

J'étais parfaite.

Lorsque j'apparu dans les escaliers, je vis dans les yeux de mon frère et de ma mère de l'émerveillement. Par contre, les yeux de mon père était froid comme toujours. Celui ci me dit d'un ton sec:

-Dépêche toi. Nos invités arrivent.

A contre cœur, je descendis les escaliers et me mis à sa gauche, comme la tradition le veux. A ce moment, la sonnette retentit. La porte s'ouvrit sur trois personnes. Un homme imposant ayant un visage sérieux et impénétrable. Il était vêtue d'un costume noir et de chaussures de la même couleur. Près de lui, une femme richement habiller. Sa robe était d'un bleu aussi profond que la mer et même si elle était d'une simplicité sautant au yeux, la grâce de cette femme la rendait sublime. Elle portait plusieurs bijoux qui lui allait si bien. Elle portait aussi une écharpe en fourrure blanche. La dernière personne était Juan. Mon frère et lui était camarade de classe et même en peu ami. Mais ça c'était avant...

-Bienvenue chez nous. Je vous en pris, entrez. dit ma mère en me sortant de mes songes

-Merci beaucoup Stella. répondit la femme en avançant derrière son mari

Et puis après avoir fini un diné copieux, conversations commencèrent de plus belle. Ma mère papotait avec la femme de tout à l'heure, mon père et mon frère parlaient avec l'homme qui, d'après mon frère, est un grand négrier.

Il ne restait plus que moi et Juan. Moi j'étais assise toute seule sur le fauteuil comme me l'a appris ma mère et observais tous le monde. Puis je sentis quelqu'un derrière moi. Oh non ! Pas le boulé de service.

-Ça fait longtemps, n'est ce pas Carmen ? dit-il

-Laisse moi tranquille Juan. dis je

-La tigresse montre ses griffes. Plutôt le chaton. Pourquoi tu ne sors plus ?

-Ce ne sont pas tes affaires. répondis je d'un ton sec

-A je sais pourquoi. A cause de cette "histoire" avec ton père.

-De quoi tu parle ? dis je avec stupeur

-Je croyais que c'était faux mais d'après ta mine, je crois que c'est plus vrai que je ne croyais.

-Qui t'as dis ça ?

Il se pencha vers moi et dit:

-La rumeur cours que ton père t'as battu à mort. Ton expression, tes gestes et ta tenue donnent raison aux rumeurs.

-Arrête !!!


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