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Chapitre 7 - I'm just a fool [Réécrit]

Appartment's Erin, New York

Erin's point of view

Arrivée devant mon immeuble, les joues en feu à cause de ma course soudaine, je m'appuyai un instant contre le mur, la main posée sur celui-ci. Tentant de reprendre mon souffle petit à petit, je ris malgré tout à ma stupidité. Je vivais mon rêve, le rêve depuis des années, pourtant, je gachais tout à chaque fois.

J'avais marché rapidement jusqu'à un bus, non sans me retourner. J'avais peur, mais peur de quoi ? Je venais de passer l'un des meilleurs moments de ma vie, avec l'homme que j'aimais en silence. Puis, je m'étais enfuie, lâchement, sans raison, juste pour... Parce que j'avais montré mes émotions et que je le connaissais bien.

Pourquoi avais-je réagi comme ça ? Pourquoi ?

Je soupirai, mon cœur s'étant enfin calmer et fouillai dans mon sac pour ouvrir la porte de l'immeuble. Je rejoignis finalement mon appartement et m'affalai directement dans mon canapé. Basculant la tête en arrière, je grognai de mécontentement contre moi-même.

-  Espèce de triple andouille ! Jurai-je, dans le vide, après m'être assise, observant mon reflet dans l'écran noir de la télévision.

J'ai adoré ces derniers jours et particulièrement aujourd'hui, nous étions amis maintenant. J'aimerais tellement que cela soit plus, mais cette  Pepper faisait partie de sa vie. Je n'avais pas le droit d'espérer, je devais passer à autre chose, plutôt que me faire souffrir inutilement.

Je le connaissais beaucoup cet homme. Cela pouvait sembler effrayant, et pourtant pas de son côté. Je soupirai, ne sachant quoi faire. Devais-je le recontacter pour m'excuser ? Mais je ne cesse de m'excuser selon lui. Lui envoyer un message ? Pour lui dire quoi ?

Je soufflai bruyamment, envoyant un coussin au hasard, qui atterrit au milieu du petit salon. Bon, je devais lui envoyer un message.

Soufflant à nouveau, j'attrapai mon portable dans mon sac et ouvris les contacts, sélectionnant son nom.

De : moi
A : Tony 🗽

<<  Je m'excuse pour tout à l'heure... C'était pas cool de ma part. Enfin, je veux dire que... Je ne sais pas...

Enfin, j'ai aimé cette journée, je vous en remercie, d'avoir passé du temps avec moi, simple piazziolo que je suis. Je suis prête à le refaire si cela vous convient.

Je ne vous dérange pas plus longtemps, vous devez être overbooké entre les Avengers et votre femme...

Pardon, c'est pas ce que je voulais dire... Bon... Bonne fin d'après midi.

À bientôt...  >>

Je me tapai la tête mentalement. Que je pouvais être idiote des fois ?! Oups, message envoyé ! Mais qu'avais-je derrière la tête ?

Mon mobile vibra m'annonçant une réponse imminente.

De : Tony 🗽
A : moi

<<  Ne vous en faites pas, ce n'est rien. Il est vrai que je n'ai pas l'habitude des femmes aussi timides.

Et pourtant vous semblez connaître tout de moi. Vous m'intriguez Mademoiselle Miller, c'est pour ça que je souhaite vous inviter au cinéma.

Quel film vous ferait plaisir ? À moins que... Préfériez-vous autre chose ?  >>

Soudain, le téléphone sonna, me faisant sursauter. Voyant le numéro de Tony s'afficher sur mon écran, mon cœur s'accélèra. Puis, je finis par répondre.

-  Allô ? Dis-je timidement.

-  J'ai préféré vous appeler plutôt que d'échanger par message. Se justifia-t-il. Avant de revenir sur ma proposition, je tenais à m'assurer que tout aille bien pour vous.

-  Oui, ça va, je m'excuse d'ailleurs pour mon comportement. Je ne sais pas ce qui m'a pris, la fatigue entre le travail et... Enfin, je ne sais pas, je suis un peu perdue en ce moment. Répondis-je, un peu mélancolique.

-  J'ai encore beaucoup à apprendre de vous, puisque vous savez tout de moi. Alors acceptez-vous d'aller au cinéma avec moi ? Ou peut être autre chose ?

-  Oui... D'accord, je pense que j'ai vraiment besoin de faire un break, entre mes dessins et mon boulot, je crois devenir dingue... Acceptai-je, portant la main à mon crâne, en soufflant.

-  Vous vous mettez trop de pression, voilà tout. Vous devez lâcher prise et tout ira beaucoup mieux. Remarqua-t-il.

-  Oui, vous avez sans doute raison. Eh bien...

-  Mais j'ai toujours raison. Me coupa-t-il. Quand souhaitez-vous pour le cinéma ?

-  Je ne veux pas vous déranger, puis vous voulez peut être rester avec votre compagne... Hesitai-je.

-  Erin, je ne vous aurais pas proposé si je n'étais pas disponible ou même, si je ne le voulais pas. Rétorqua-t-il, gentiment. Demain soir, par exemple ? Le samedi soir, c'est un bon compromis ? Proposa-t-il.

-  D'accord, nous mangeons ensemble ou vous venez me chercher...

Je me stoppai, me rendant compte de ce que je faisais. Être direct et ne pas réfléchir pouvait jouer des tours.

-  Nous pouvons dîner ensemble si vous le souhaitez, puis nous allons au cinéma après. Posa-t-il, sans mesurer ma question inachevée.

-  Super, et quel film...

Super... Non mais tu pouvais pas trouver mieux la haut ? Franchement... Super...

-  Nous verrons sur le moment, d'accord ? Je viens vous chercher à dix-neuf heures, cela vous convient-il ?

-  Très bien, je suis du midi, je termine à dix-sept heures. D'accord, à demain alors. Saluai-je, légèrement rosie.

-  Bonne soirée, Erin Miller. Dit-il avant de raccrocher.

Je posai mon téléphone sur la table, avant de ramener mes bras derrière ma tête, ouvrant de grands yeux. Tony m'invitait au cinéma. La vie passait du noir et blanc aux couleurs de l'arc-en-ciel.

*  *  *

Villa's Tony, Philadelphie

Tony's point of view

Je posai mon téléphone un peu plus loin et reportai mon attention sur le bureau derrière moi. Fourrant ma main dans un paquet de chips bien entamé, je complétai mes notes éparpillées un peu partout sur le bureau virtuel de l'ordinateur.

Pepper ne tarderait pas à rentrer, je devais donc me dépêcher. En aucun cas elle ne doit apprendre que je passe du temps avec quelqu'un, une femme qui plus est.

En effet, quelques minutes plus tard, des talons résonnèrent dans le couloir, de l'autre côté de mon atelier. Ni une ni deux, j'enregistrai et fermai rapidement l'ordinateur avant de faire semblant de travailler sur un prototype. Ce dernier étant véritablement un prototype, simplement abandonné en cours de route.

Quelqu'un tapait frénétiquement derrière moi. Je me tournai et trouvai Pepper en train de tambouriner contre la paroi en verre blindé. Je grimacai car j'avais sans réfléchir activé le protocole de sécurité maximale.

Approchant néanmoins d'elle, tentant d'ignorer un instant son regard fixé sur moi, énervée, j'ouvris le système à l'aide de l'emprunte de ma paume. Puis, elle entra à ma suite, non sans grogner son mécontentement.

-  Tony, je t'ai cherché partout. Tu m'avais dis que tu ne retournerais pas ici. Et pourquoi as-tu fermé à clé ?

-  Excuse moi de vivre. Et quand je...

Quand je vais pas bien ou que quelque chose m'obsède je viens ici, ça m'aide à réfléchir et à me détendre.

Je soupirai, en posant les yeux un instant à terre. Évidemment que je ne pouvais dire ça, elle se douterait de quelque chose.

-  Excuse-moi, je suis fatigué en ce moment. Je dors mal et... En fait, c'est une mauvaise habitude... Tentai-je, en haussant les épaules.

-  Tony, tu ne le fais plus depuis des années, parce que nous vivons ensemble. Depuis Malibu, certes, il t'a fallu du temps pour te sentir en sécurité, mais maintenant...

-  Je ne sais pas... Sans doute, à cause des cauchemars... Ça recommence...

-  Mon cœur, que se passe-t-il ? Tu n'es plus le même ces temps ci. Ça ne se passe pas bien avec les gars ? Demanda-t-elle, s'approchant doucement.

-  Rien, tout va bien chérie. Ça va avec les gars, tu n'as pas à t'inquiéter. La rassurai-je, la laissant me prendre par les épaules.

-  Tony, j'ai l'impression que tu me caches quelque chose. Que tu ne me dis pas tout. D'ailleurs, tu ne me parles jamais de ce que tu fais de tes journées ! Fit-elle remarquer.

-  Pepper, je t'ai déjà répondu. Comme je t'ai promis de ne plus revenir ici, même si je l'avoue, je ne le respecte pas aujourd'hui, je me promenais dans New York et suis allé voir mes amis.

-  En vingt ans de vie, peut être certes, pas toutes communes, passées ensemble, ce sont  les premières fois, depuis quelques jours où je t'entends dire ça. Reprit-elle. Et pour ce qui est de l'équipe, je les ai appelé...

-  Chérie, j'y étais hier. J'étais avec tout le monde. J'avais simplement voulus les revoir un peu.

-  Oui, pour ça je suis d'accord, mais la dernière fois...

-  Pepper, je suis un adulte, je sais ce que j'ai à faire. Si j'ai envie d'aller à l'atelier parce que j'ai besoin de me changer les idées, bah c'est mon droit. Chérie, je t'aime, mais parfois tu m'oppresse. Lachai-je, me dégageant de sa prise pour me diriger vers la sortie.

-  Tony, je t'ai supporté pendant tant d'années, tu ne pensais qu'à toi, il n'y avait que toi et toujours toi. Je n'étais que simple secrétaire et pourtant j'étais femme de ménage, j'ai tout fait. Mais je n'ai rien dit. Et tu as changé, tu es devenu un autre homme. Un héro. Mais la, je ne te reconnais plus, tu n'es plus le même.

Je soupirai et m'assis lourdement dans mon canapé, Pepper à ma suite, elle resta debout.

-  Tony, dis moi, parle moi, je t'en prie, confie-toi ! Un jour tout va bien, le lendemain tu passes ton temps dans ton atelier à soit disant bricoler, toujours améliorer ton armure. Un autre jour, tu pars vagabonder à droite à gauche je ne sais où, alors que tu pourrais me rejoindre au bureau. Qui est-ce qui doit gérer Stark Industries ? Moi. Qui passe son temps à grogner mais n'est même pas capable d'amener des fleurs, ne serait-ce qu'un bouquet de fleurs au bureau de sa compagne ? Toi.

Je levai les yeux vers elle. Elle avait raison, entièrement raison. Je l'aime, ma Pepper. Mais moi-même, je ne comprends ce qu'il m'arrive.

-  Je ne sais pas Tony, je ne sais pas. Je...

-  Comment ça tu ne sais pas ? M'enquis-je en froncant les sourcils.

-  A toi de me l'expliquer alors ! Dit-elle d'un haussement de sourcil.

J'ouvris la bouche sans rien dire cependant. Je ne pouvais décemment rien lui dire.

-  Très bien. Souffla-t-elle, en sortant son téléphone.

-  Que fais-tu ? Questionnai-je, en la voyant faire.

-  Puisque tu ne veux pas parler, je m'en vais.

Sur ce, elle composa un numéro et porta l'appareil à son oreille.

-  Oui, Ely, c'est Pepper, ça va ?... Oui ça va... Oui, non ne t'inquiète pas, c'est juste... (Elle glissa un regard vers moi avant de le détourner) Dis-moi, que fais-tu ce soir ?... Oh, j'ai juste besoin de sortir... Oui, ça pourrait être sympa avec les filles... Oui, très bien, je vous rejoins dans peu de temps... Oui, je suis disponible... Non, il n'est pas là... Oui, pour une fois je suis libre comme l'air... À tout à l'heure, les filles.

Puis elle raccrocha.

-  Tu me laisses tout seul ? Demandai-je, vexé.

-  Tony, tu sais te débrouiller seul, puis tu as réussi à t'occuper durant ces quelques journées ? De toute façon, je pars ce week end pour le travail. Je te laisse gérer tes repas, tes sorties, comme l'adulte que tu dis être. Dit-elle, avant de se diriger vers l'étage.

-  Pepper attends, je... Je suis désolé...

-  Dans ce cas dis moi la vérité, pourquoi es-tu comme ça, ce qu'il se passe ! Exigea-t-elle en se stoppant dans l'escalier.

Évidemment, je n'allais pas lui répondre car je ne pouvais pas. Lui dire que j'avais rencontré quelqu'un, une jeune femme, pas n'importe laquelle certes, mais une femme quand même. Pepper est une personne généreuse, compréhensive et surtout, aime beaucoup passer du temps avec ses amies.

-  Je vois. J'avais raison, tu ne me diras rien, parce que tu n'en es pas capable. Reprit-elle en reprenant le chemin de l'étage pour ensuite rejoindre la chambre.

-  Pepper, j'aimerais tellement te le dire mais je ne peux pas. Tentai-je de m'expliquer.

Elle rassembla ses affaires dans un sac et repris le chemin inverse.

-  Dans ce cas, ce week end te feras peut être du bien, toi qui as besoin de changer d'air. Peut être réfléchiras-tu en même temps, à nous deux ?!

-  Que veux-tu dire ? Et puis même si je te le disais, tu ne comprendrais jamais. Lancai-je.

-  Tony, tu n'es qu'un pauvre idiot ! Tu ne comprends que quand ça t'arrange ! J'ai été présente pour toi durant tant d'années. Je t'ai soutenu, je t'ai pleuré, je t'ai aimé, je t'ai supporté aussi. Je t'aime et grâce à cet amour je suis encore là. Mais la c'en est trop, j'avais besoin de faire un break.

>>  Tu crois que je ne suis pas capable de te comprendre ? Nous avons vécu tellement ensemble, que tu n'as même pas confiance en moi. Je préférais que tu me dises n'importe quoi plutôt de me mentir autant.

Elle s'arrêta près de la porte et se tourna vers moi, sac à la main.

-  Et tu sais quoi ? J'ai le pressentiment que tu me caches bien plus. Et ça, ça me met hors de moi. Mais bon, ça ne sert à rien d'en parler tant de temps, à se prendre la tête. À lundi, Tony, j'espère que tu auras bien réfléchi d'ici là.

Puis, la porte s'ouvrit d'elle-même, laissant apparaître en contrebas une voiture noire, conduite par mon chauffeur personnel, ponctuellement. Happy. Ce dernier ne me salua pas, ouvrant la portière à Pepper, après avoir rangé son sac dans le coffre.

Puis ils s'en furent au loin. Une voix robotique me fit sursauter, toujours sur le seuil.

-  Je crois que vous y êtes allé trop fort, Monsieur. Remarqua cette voix.

-  La ferme ! Grognai-je, les yeux fixés sur le point noir déjà au loin.

-  Vous auriez du lui dire, en temps voulut. Reprit-elle.

-  J'ai dit la ferme, Friday ! Ajoutai-je avant de me tourner vers le salon, maintenant vide.

Je soupirai, énervé contre moi-même, je venais encore de tout foutre en l'air. Jetant un coup d'œil ailleurs, mes yeux tombèrent sur l'heure digitale affichée : 8:30 PM.

Je soufflai, la soirée commençait à peine et je ne savais pas quoi faire. Je m'en voulais pour Pepper, je n'étais qu'un idiot. Peut être avait-elle raison. Mais je ne pouvais m'empêcher d'être ce que je suis. Je ne savais plus où j'en étais.

La soirée prévue avec Erin Miller ne serait que demain, je devais donc m'occuper en cette soirée et cette future journée. Plutôt que de rester enfermé entre quatre murs, à bricoler pour ne pas changer, peut être devrais-je rejoindre mes amis...

Oui, je vais faire ça, on va se faire une soirée pizza.

Décidé à faire de ma soirée un moment plus gaie et non morose comme elle se serait déroulée, je me levai et partis directement vers le sous sol pour rejoindre mes voitures personnelles.

*  *  *

-  Salut les gars ! Lancai-je, entrant dans le salon, après avoir garé ma voiture et être monté directement.

Tous se retournèrent vers moi.

-  Tony ? S'étonna Rogers. Que faites-vous la ?

-  Oh j'avais envie de faire un petit coucou ! Annonçai-je, un demi-sourire sur le visage.

-  Ça s'est pas bien passé avec votre compagne ? Questionna Barton, ayant abandonné sa musique qu'il écoutait, son casque autour du cou.

-  Clint ! Gronda Romanoff dans un coin de la pièce.

-  Oh bah... En fait... Je suis qu'un idiot... Soufflai-je en m'avancant jusqu'à un fauteuil, avant de m'affaler.

-  Ça on le savait déjà, Stark ! Pouffa Barton.

-  CLINT ! S'écria Natasha.

-  Quooooi ? Grogna Clint, d'un ton enfantin.

-  Pèse tes mots, tu veux bien ? Reprit la rousse, d'un regard sévère.

-  Je suis sûr que tu le penses aussi, ne me dis pas le contraire ! Dit-il.

Elle ne répondit pas et leva les yeux au ciel.

-  Laissez tomber ! Ça vous dirait plutôt que l'on se retrouve pour une soirée pizza ? Proposai-je.

-  Nath', Steve, vous nous cacheriez pas quelque chose, par rapport à Stark ? Reprit Clint, d'assaut.

-  Et toi tu aimerais que l'on parle de tes histoires de cœur, alors que tu es dans la même pièce ? Renchérit Natasha.

L'homme à l'arc et aux flèches détourna les yeux en haussant les épaules. Je souris un peu et remerciai d'un hochement de tête mon amie. Celle-ci me répondit d'un même mouvement de tête.

-  Hey Captain, vous n'auriez pas vu... Demanda la voix de Banner en arrivant.

Il s'interrompit en levant les yeux et s'arrêtant dans sa lancée. Bruce fronça les sourcils.

-  Pourquoi ce silence ? Demanda-t-il.

-  Moi je suis pour une soirée pizza. Répondit Thor.

-  Une soirée pizza ? Reprit Banner, étonné.

-  Oui, cette proposition est de moi. Intervins-je.

-  Tony ? Depuis quand êtes-vous la ?

-  Oh, je viens d'arriver. Alors, partant ?

-  D'accord.

*  *  *


Nous étions tous installés sur les canapés et fauteuils du salon, pizzas en carton posées sur la grande table, proche de la grande télévision encrée dans le mur. Nous partageions bières et autres boissons, tout en mangeant de temps à autre une part de pizza.

Cela faisait longtemps que je n'avais partagé une soirée comme celle là. À vrai dire, il y en avait eu peu, depuis Ultron. Toute l'équipe était en colère contre moi, il a leur a donc fallut du temps pour me pardonner.

Maintenant, nous étions de nouveau de vrais amis, des coéquipiers, des Avengers, une équipe soudée. Et nous avions aussi de nouvelles recrues.

Barton couvait beaucoup Wanda, Romanoff était comme la maman du groupe. En y pensant, elle était vraiment la plus mâture du groupe, la deuxième étant Maximoff.

Quand le film fut terminé, aux alentours de vingt-trois heures trente. Tout le monde semblait dormir, avachi à leur place.

Pour ma part, je bayai à m'en décrocher la mâchoire. Tout près, Romanoff m'interpela en se levant, évitant délicatement les dormeurs sur son passage, pour s'asseoir à mes côtés.

-  Je crois que vous devriez aller dormir, Stark ! Suggéra-t-elle, à distance convenable.

-  Pff... De tout façon, je ne dormirai guère... Je ne suis qu'un abruti. Soupirai-je, en me levant.

-  Tony, vous êtes quelqu'un de bien, vraiment. Simplement, parfois, vous ne réfléchissez pas, du moins seulement d'un côté scientifique. Tenta-t-elle de me rassurer. Que s'est-il passé avec Pepper, pour qu'elle soit partie ?

-  Comment savez-vous...

-  Je vous en prie, Tony, je ne suis pas idiote, j'ai l'habitude avec une bande de bras cassés comme vous. Serieusement, dites moi ! Railla-t-elle.

-  En fait... Je ne sais pas. Ce que je sais c'est que, j'ai rencontré une jeune femme et en fait... Il s'agit de la fille que j'ai sauvé à l'âge de six ans, il y a de ça vingt ans, à New York. Expliquai-je.

Elle ouvrit de grands yeux éberlués.

-  Et elle était présente à la soirée il y a plus d'une semaine maintenant et ce que j'ai vu m'a inquiété mais intrigué également. Je voulais en apprendre plus sur elle. Je l'ai rencontré sur son lieu de travail, elle était très timide. Nous sommes amis maintenant.

-  Mais... Tony... Pepper, elle... Elle est au courant ? Demanda-t-elle, doucement, pour ne pas réveiller les autres, non sans garder son expression ahurie.

-  Je... Non, je... Je n'ai pas reussi à lui dire, je peux pas...

-  Tony, tu devrais lui dire, c'est... C'est important, même si ce n'est qu'une amie, même si je trouve que c'est un peu prématuré, même si c'est... Ahurissant comme situation. Tony, tu t'en vas sur une pente glissante.

-  De toute façon, elle est partie retrouver des amies. Elle ne rentrera que lundi, car elle partait pour le week end, une affaire concernant Stark Industries. Expliquai-je, en haussant les sourcils.

>>  D'accord... Bon, je vais essayé de dormir, je suis crevée. Réfléchis bien à ce que tu veux, Tony ! Ne fais pas n'importe quoi ! Annonca-t-elle en s'éloignant. Bonne nuit, Stark !

-  Merci Natasha, de m'avoir écouté, j'en avais besoin. Bonne nuit Romanoff !

Puis je m'installai inconfortablement certes, mais je devais dormir. La nuit allait être longue.

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Bonsoir, bonjour,

Voici un nouveau chapitre Réécrit.
Je le poste alors qu'il y a un flux d'éclairs impressionnant dehors, ça me met des frissons, ça fait peur.

Enfin bon, c'est comme ca, il a fait chaud. Bonne lecture ! J'avance doucement mais sûrement.

Au plaisir ^^

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