New York, 2012

Tony's point of view

Nous arrivâmes en pleine bataille. Que je n'aimais pas cette dernière ! J'en avais fait pendant longtemps des cauchemars. Mais l'heure n'était pas à la réflexion du passé.

Ironie du sort, j'y suis !

Riant intérieurement, je reportai mon attention sur le moment présent, me concentrant sur ma tâche.

- Tout le monde sait ce qu'il a à faire ! Commenca Steve alors que nos combinaisons devenaient nos costumes de super hero.

Pour ma part j'obtai, bah pour moi même !

- Deux pierres au nord, une pierre au sud. Profil bas, surveillez bien l'heure ! Reprit Steve.

Au même moment, nous nous retournâmes alertés par du bruit. Mes yeux se posèrent sur un Hulk énervé balançant une voiture defoncée sur un Chitauri. Puis il l'écrasa de tout son poids avant de s'en aller furax.

Steve se tourna vers Bruce qui se frottait la tête gêné.

- Tu peux te permettre d'écraser des trucs en chemin.

- C'est toujours un peu gênant. Mais ça fait du bien ! Assura-t-il finalement en déchirant son t-shirt presque trop grand pour lui.

Banner s'avança vers un taxi abandonné et le frappa du poing en grognant. C'était amusant à voir ! Puis il fit semblant de nous faire peur avant de s'en aller.

* * *

J'approchai la tour Stark de deux mille douze, volant dans les airs.

- Plus vite Captain, les papiers sont terminés ici ! Informai-je.

- Bien reçu ! Affirma Rogers. J'approche de l'ascenseur.

Je le vis de loin à l'aide de ma vue en 3D et en rayon X. J'entrai dans mon ex salon, laissant l'armure se ranger à son emplacement. Je me cachai et observai la suite.

Les Avengers, dont moi-même... Plutôt le Tony de deux mille douze. Tous face à Loki, ils le toisaient, menaçant, armes pointées sur lui.

- Si la proposition tient toujours, un verre me ferait du bien. Avoua le dieu de la malice, narquoisement.

- OK mettez le sur pied ! Demanda le Tony. On a pas de temps à perdre. Nous serons Avengers plus tard. Et vous, vous avez le droit de faire le ménage ! Reprit-il avant de partir.

- Monsieur Rogers, j'avais oublié que ce costume ne mettait pas votre cul en valeur ! Annonçai-je comme pour moi même, mais au fond je m'adressai à mon ami.

- Personne ne t'oblige à regarder ! Rétorqua le concerné.

- Il est ridicule ! Ajoutai-je.

- Moi je te trouve super Captain ! Assura le minimoy sur mon épaule. Vous voulez que je vous dise ? Ça c'est le cul de l'Amérique ! Ajouta-t-il.

- Qui veut... La baguette magique ? Demanda la Natasha.

- Stark va venir la sécuriser ! Répondit le Steve.

Je gambadai plus loin alors que les agents d'Hydra, en apparence du SHIELD, débarquaient pour venir chercher le trophée tant convoité.

- Je peux vous débarrasser ? Demanda un agent au crâne d'œuf.

- Allez-y vous gênez pas ! Pouffa Natasha en le tendant.

- Faites attention avec cette chose ! Ajouta-t-elle en se tournant vers Barton.

- À moins d'avoir à nous effacer des souvenirs ! Plaisanta cet dernier.

- Mais qui sont ces types ? Me demanda Scott minimoy.

- Des agents du SHIELD. Enfin de Hydra ! Enfin, on ne le savait pas encore.

- Quoi sérieux, vous saviez pas ? Sans blague !? Ils ont une vraie tête de méchant !

- Tu es petit mais tu fais beaucoup de bruit ! Posai-je en soupirant.

- J'arrive tout de suite pour coordonner l'équipe de secours. Informa le Captain, sur un ton qui ne lui ressemblait pas.

- Non mais on rêve ou quoi ? Comment vous faites pour pas vomir ? Demanda Loki sortant de l'apparence de Rogers.

- La ferme ! Lui intima Thor en lui collant un appareil métallique sur la bouche avant de l'emmener hors de cette pièce.

- T'es opérationnel mon p'tit ? Voilà la pierre ! Fis-je en me tournant vers mon épaule.

- Aller, on y va ! Pichenette ?

Je l'envoyai vers la destination à coup de pichenette. Il atterrit sur la main d'un agent et glissa dans la mallette contenant le Tesseract.

Quand ce fut fait, je partai vers l'extérieur, m'elancant dans le vide avant de laisser l'armure prendre place, repulseurs à pleins régimes.

Je m'arrêtai dans les airs afin de suivre la trajectoire des agents d'Hydra.

- OK Captain, le sceptre est dans l'ascenseur et il vient juste de dépasser le quatre-vingtième étage.

- Cinq sur cinq ! M' affirma Steve.

>> Tout le monde en bas !

- On se voit dans le hall, terminai-je.

* * *

J'attendai patiemment, les mains dans le dos, l'uniforme noir du SHIELD sur le dos, un casque avec lunettes tel barricade armée. Puis j'aperçus les Avengers du passé débarquer avec un Loki sur les nerfs.

- Minimoy, est ce que tu me reçois ? J'ai le trophée en visuel. Appelai-je Lang dans mon micro miniature. C'est le moment d'y aller !

- C'est parti ! Fit-il.

Je l'imaginai sur ce Tony, me faisant rire.

- Euh ça sent bon, t'as mis du déo ou quoi ?

- Oui j'en ai toujours sur moi en cas d'urgence, calme toi. Tu vas te concentrer un peu !? Grommelai-je.

- Je m'introduis en toi !

Le Tony et le reste s'arrêtèrent face à un groupe d'hommes et de femmes d'affaire.

- Pourrai-je savoir où vous avez l'intention d'aller ? Demanda un homme en costar cravate.

- Au restaurant et ensuite à Asgard. Répondit Thor. Excusez moi, vous êtes ?

- Alexander... Qui est l'homme qui est au dessus des gens qui sont derrière Nick Fury. Assura Tony.

- Mes amis m'appellent Monsieur le secrétaire et je vous serai reconnaissant de me remettre ce prisonnier. Exigea ce dernier.

- Loki devra se présenter devant Odin en personne. Rétorqua Thor embarrassé.

- Non ! Il se présentera devant nous. Odin se contentera des restes. Et je veux cette mallette ! Elle appartient depuis plus de soixante-dix ans au SHIELD. Donnez la moi !

- Très bien, plus vite, Stuart ! Dépêche toi, ça commence à craindre ici ! Grognai-je à Scott.

- Très bien, je sais qui détient l'autorité ici mais si on peut discuter... Reprit Tony.

- Tu me promets de ne pas mourir ? Me demanda Scott.

- Je ne vais subir qu'une insignifiante arythmie cardiaque. J'y survivrai !

- Ça a pas l'air insignifiant !

- Je veux cette mallette ! Ordonna encore le secrétaire.

- Je sais que vous avez le bras long mais je vous parle dans ce cas... Tenta Tony.

- Alors donnez la moi tout de suite !

- A toi Lang ! Aller dépêche toi !

- Lâchez ça tout de suite ! Cria Tony.

- Oui ça vient ! Grommela Scott.

Au même moment, le Tony s'effondra a genoux en tentant de reprendre sa respiration.

- Stark !?

- Il a des convulsions, il lui faut de l'air ! Cria le secrétaire.

- Un médecin ? Faut aider cet homme ! Appelai-je sans bouger.

- Tony, allez revenez parmi nous ! Faut rallumer cette machine sur son torse ! Assura Thor.

A cet instant, la mallette fut envoyée au loin, par Stuart qui était l'instant d'avant dans mon torse, enfin pas le mien. Je la trouvai et la pris en main avant que quelqu'un s'en rende compte.

- Bien joué ! On se retrouve dehors ! Je vais me faire une pizza. Dis-je a l'oreillette avant d'être envoyé valser par une porte s'ouvrant brusquement.

La mallette s'ouvrit faisant voler le Tesseract alors que je m'étalai à terre. Hulk bien furax tapa dans un mur, effrayant tout le bâtiment, pendant que je reprenai mes esprits.

- Je vais essayer un truc mais je sais pas si ça va marcher. Tenta Thor en empoignant son marteau.

- La mallette ! Cria Tony alors qu'il revenait à lui.

- La mallette ? Demanda Thor en levant les yeux. Où est Loki ?

- C'était pas censé se passer comme ça ! Fit Scott dans l'oreillette.

- Oh non, on a vraiment merdé ! Grimacai-je a mon tour.

- Tony, qu'est ce qui se passe ? Dis moi que vous avez trouvé ce cube ! Entendis-je Steve.

>> C'est pas vrai ! Manquait plus que moi ! Reprit-il.

Scott et moi sortions de cet endroit, pendant que le Captain se battait avec lui même. Nous le retrouverions après.

* * *

J'étais assis dans une voiture abandonnée, Scott a l'arrière. Entendant Captain America arriver, je l'appelai, complètement désemparé par notre manque de savoir faire, tentant de m'expliquer.

- Captain !? On a un problème.

- Tu m'étonne ! Ajouta la fourmi.

Je lui expliquai tout et nous tentâmes ensuite de trouver une solution.

- Alors qu'est ce qu'on fait ? Demanda Rogers.

- Lâche moi une minute Steve ! Je viens de me prendre un Hulk sur la tête !

- Tu as dit qu'on avait qu'une chance et ça, c'était notre seule chance. Sauf qu'on est des chats noirs ! Six pierres ou rien, c'était six ou rien ! S'énerva Scott après moi.

- Tu te répétes constamment Scott ! Remarquai-je.

- Tu te répétes constamment, tu te répètes constamment ! Grogna le brun très énervé.

- Arrête !

- Toi aussi !

- Scott Arrête ! Insistai-je.

- Tu voulais pas de cases temporelles, tu voulais même pas en entendre parler !

- J'ai raté un but ! Avouai-je en levant les bras.

- T'as gâché le case temporel !

- J'ai vraiment fait ça ? Fis-je en grimaçant.

- Oui. Finit par dire Steve. Est ce qu'on a encore des options pour le Tesseract ?

- Non non non ! Ya aucune autre option ! On ira nul part ! On a qu'une particule en réserve chacun. D'accord ? Si on s'en sert bye bye, on rentrera jamais !

Pendant que la fourmi parlait, une idée me vint. Il fallait que je la partage avec Rogers.

- Oui mais si on baisse les bras, les autres non plus ne rentreront pas. Remarqua Steve sérieusement et gravement.

- Je sais ! Commençai-je en sortant de la voiture hâtivement. Il y a un autre moyen, de récupérer le Tesseract et d'avoir d'autres particules.

>> Une petite balade memoriel, une base militaire secrète, au New Jersey.

- À quel moment ils y étaient ? Demanda Steve.

- Ils y étaient... On s'en tape ! Je te le promets, j'en ai une vague idée.

- A quel poing ? Insista-t-il hésitant.

- De quoi vous parler la ? Demanda Scott que j'entendis à peine, concentré à convaincre mon ami.

>> Je sais très bien qu'ils y étaient...

- Qui ça ils ? Continua Scott.

- ... Et je sais comment je le sais. Terminai-je.

Steve était dubitatif.

- Eh les mecs on fait quoi ?

- Eh bah on dirait qu'on va improviser ! Reprit Steve.

- Super ! Fis-je satisfait.

- On va improviser quoi ?

- Scott, tu vas rapporter ça au camp de base ! Demanda Rogers au concerné en lui tendant le spectre de Loki.

- On s'équipe ! Lancai-je en me postant bien droit.

- Y'a quoi au New Jersey ?

- 04 ! Donnai-je en tapotant sur mon GPS temporel.

- 04 ! Répéta Steve en faisant de même.

- Excusez moi ?!

- 07 ! 1-9-7-0 !

- T'en es sûr ? Insista Steve.

- Eh les gars ?

Je hochai la tête.

- Captain !? Captain ? Steve ?

Je me tournai en même temps que mon ami vers Scott.

- Pardon ! America Rogers. Écoutez, si vous faites ça et que ça marche pas, vous ne revenez pas !

- Bah merci, ça nous remonte le moral l'insecte ! Lui dis-je décontenancé.

Je me tournai à nouveau vers Steve.

- Tu me fais confiance ?

- Toujours. Répondit simplement le blond.

- À ton signal. Repris-je.

- En avant. Finit-il par dire.

J'appuyai sur mon GPS spatio-temporel, ma combinaison tout comme mon ami, m'entoura.

* * *

New Jersey, 1970

- Ne me dis pas que tu es réellement venu au monde ici ? Lui Demandai-je.

Je portai une longue veste noire et des lunettes de soleil qui faisait fureur à l'époque. J'aimais beaucoup les années soixante-dix, aimant par la même occasion le style de Steve.

- Le concept de moi, si !

- Bon. Imagine qu'on soit du SHIELD, à la tête d'un bureau de renseignement quasi fasciste. Où on le cacherait ?

- En pleine lumière ! Répondit Rogers en montrant d'un signe de tête l'entrée d'une base souterraine.

J'appuyai sur ma paire de lunettes, dont la technologie traça ce qui se trouvait derrière ces murs de pierres : un ascenseur.

Après être entrés dans ce dernier, nous attendîmes patiemment. Puis les portes sonnèrent tout en s'ouvrant.

- Bonne chance pour cette mission Captain ! L'encourageai-je avant de sortir.

- Bonne chance pour ce projet, Docteur ! Répondit ce dernier.

Descendant dans les bureaux au sous sol et à l'aide de mes lunettes en ultra haute technologie, je cherchai le Tesseract. Quand je l'eut trouvé, je trouvai par hasard une valisette noire qui ferait un bon moyen de transport.

Jouant de mes mains, je séparai en deux, à l'aide de lasers, le métal avant de prendre en main le trophée.

- La partie reprend ! Murmurai-je en l'empoignant.

Je le cachai dans la valisette mais je fus arrêté par un bruit.

- C'est vous Hardy ?

Je me dépêchai de fermer le socle avant de croiser le regard de... Mon père ? Grand Dieu ! Je me retournai, tentant de l'ignorer.

- Eh ! La porte est la bas mon gars !

- Oh ! Bien sur ! Assurai-je en me tournant.

- Je cherchai le Docteur Zola, vous l'avez vu ?

- Le Docteur Zola... , non je ne l'ai pas vu. Je n'ai vu personne. Répondis-je avant de me prendre une chaise.

>> Pardonnez-moi ! Repris-je en remettant la chaise roulante en place, cachant la valise derrière moi.

- Est ce que l'on se connaît ?

- Non monsieur, je suis un simple visiteur du MIT. Répondis-je nerveux, en montrant ma carte fictive.

- Ah ! MIT... Et vous êtes ?

- Ward.

- Ça je m'en souviendrai facilement ! Railla Howard.

- Ward... Miller.

- Eh bien, moi je m'appelle Howard Stark. Déclara-il en tendant sa main vers moi.

- Bonsoir ! M'exclamai-je en lui serrant l'index.

- On sert la main pas le doigt ! Fit-il quelque peu étonné.

- Oui ! Repris-je avec un léger sourire gêné.

- Vous n'avez pas l'air dans votre assiette, mon cher Miller !

- Non, je suis très... Fatigué.

- Vous voulez prendre l'air ? Me proposa-t-il.

Je le regardai sans savoir quoi dire.

- Allô Miller !?

- Oui ! Oui, je veux bien.

- Par ici ! M'invita-t-il à le suivre.

- Oui... Fis-je en partant devant lui.

- Votre porte-document ! L'entendis-je brusquement.

Il me le tendit et je souriai maladroitement une demi-seconde, avant de me tourner, affichant un visage neutre, énervé contre moi-même.

- J'espère que vous n'êtes pas un de ces pic-nic ?!

Nous nous retrouvâmes ensuite quelques étages plus haut.

- Un bouquet de fleurs et de la choucroute... Vous avez un rencard ce soir ? Remarquai-je.

- Oh ma femme attend un enfant, et je passe trop de temps au bureau alors...

- Félicitations ! Avouai-je perdu dans mes pensées.

- Merci. Fit-il alors que l'ascenseur bougeait.

- Tenez ça s'il vous plaît ! Me demanda-t-il me tendant le bouquet et la boîte de conserve avant de remettre sa cravate.

- Bien sur !

>> À combien de mois elle en est ? Repris-je.

- Oh j'en sais rien ! Elle en est au poing de ne plus supporter de m'entendre machouiller. Je suppose que je vais devoir dîner seul encore à l'office probablement.

- Oui ! Approuvai-je simplement en le regardant sans cesse.

>> J'ai une petite fille.

- J'aimerais une fille. Elle courrait moins de risque de devenir comme moi.

- Et pourquoi ça vous embêterai ? Lui Demandai-je curieux.

- Contentons-nous de dire que l'intérêt général passe rarement avant... Mes intérêts personnels.

Puis il me tapa presque amicalement le bras, avant de se tourner vers les portes de l'ascenseur.

Une fois dehors, nous étions toujours sur la conversation de l'enfant qu'il aurait bientôt.

- Et vous en êtes où question prénom ?

- Et bien si c'est un garçon, ma femme pencherait pour Almonzo.

- Oh ! Laissez ça mijoter, vous avez tout le temps !

- J'aimerais savoir une chose. Quand votre fille est venu au monde, vous étiez nerveux ?

- Atrocement ! Assurai-je sans le lâcher des yeux.

- Ah. Vous vous sentiez qualifier ? Je veux dire, vous aviez des notions sur la façon de piloter ça ?

- Oh euh... Je dirai que j'ai un peu improviser au fur et à mesure. Je me suis un peu inspiré de mon père.

Je trouvai Steve au loin pendant que je parlai avec mon paternel. Je lui montrai la valise d'un coup de main discret et lui les particules.

- Mon père réglait tous les problèmes à coup de pieds aux fesses. Reprit Howard.

- Je trouvai le mien trop sévère avec moi. Et en y repensant je ne me souviens que des bons moments. Il répandait la bonne parole. Avouai-je.

- Ah oui ? Comme quoi ?

- Aucun billet de banque n'a jamais acheté du temps. Répondis-je en soupirant avec nostalgie.

- Un homme lucide !

- Il a fait de son mieux.

- Cet enfant n'est pas encore là et je serai déjà prêt à tout pour lui.

Quand il eut finit sa phrase, il s'en alla me laissant, un petit sourire sur le visage. Puis je levai les yeux vers Steve et lui montrai à nouveau la valise, toujours le bouquet dans les mains.

- Heureux de vous connaître Miller ! Reprit Howard en tendant sa main vers moi.

- Oui ! Déclarai-je en serrant sa main alors qu'il récupérait son bouquet. Howard, tout va bien se passer vous verrez ! Repris-je en le regardant sincèrement dans les yeux.

>> Merci ! Ajoutai-je en le prenant dans mes bras doucement. Pour tout ce que vous avez... Fait pour... Ce pays.

Je me détachai de lui gêné et m'en éloigna.

Il se détourna et tendit le bouquet à un certain... Jarvis. Je le regardai un léger sourire sur les lèvres.

Puis je partai retrouver mon ami. Nous pouvions rentrer à la maison dorénavant.

* * *

Avengers Facility New York, 2023

Nous étions revenus au présent. J'espérais avoir réussi, tous comme mes collègues, à toutes les obtenir.

- On a réussi ? On a toutes les pierres ? Demandai-je.

- Tu veux dire que ça a vraiment marché ? S'exclama Rhodes.

Au même instant, Clint tomba à genoux sans un mot, le visage grave.

- Clint, où est Natasha ? Demanda Bruce.

Le concerné tourna son regard vers le géant vert sans omettre de commentaire puis reporta son regard dans le vide.

Bruce tapa du poing sur la plate-forme, en colère. Tout le monde était sans voix.

* * *

Nous étions maintenant, au bord d'un lac, non loin du QG, en mémoire de cette femme courageuse et qui avait tellement d'honneur.

- Elle avait de la famille ? Demandai-je à Steve.

- Ouais. Nous. Répondit-il.

- Quoi ? Mais qu'est ce que tu fais ? Cria Thor en s'approchant de moi.

- Je voulais seulement poser la question. Répondis-je tentant de m'expliquer.

- Tu te comportes comme si elle était morte ! Pourquoi on se comporte comme ça ? Après tout on a les pierres. Et tant qu'on a les pierres, on peut la ramener. Pas vrai Captain ? On peut la recussiter. Alors arrêtez vos conneries, on est les Avengers ! Récussitons la !

- On pourra pas. Annonça gravement Clint.

- Qu'est ce que... Quoi ? Je comprends pas.

- C'est impossible. Je regrette. Reprit l'archer.

- Ne le prends pas mal, je suis désolé ! Mais tu es terre à terre et limité OK ? Et moi je parle de magie spatiale. Et ça, ça ne me semble pas définitif pas vrai ?

- Oui je sais que tout ça dépasse mes capacités. Mais elle n'est plus là OK ?

- Justement ramenons la ! Insista Thor.

- Il est trop tard, pour changer ça. En tout cas c'est c'que nous a dit le type rouge qui flottait dans les airs. Mais p't'être que tu devrais aller lui parler ! Prends donc ton marteau et envole toi et vas voir ce type !

>> Ça aurait dû être moi ! Elle est allée jusqu'à ce que sacrifier pour cette foutue pierre et elle l'a payé de sa vie.

Je vis Bruce empoigner un banc et le balancer dans le lac.

- Elle ne reviendra pas. Il faut qu'on se batte pour prouver qu'elle n'est pas morte pour rien. Assura Bruce.

- On le fera. Termina Steve.

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Bonjour, bonsoir,

Vous l'avez trouvé comment ? Bon au moins je vous évite la scène où notre Natasha... Enfin vous savez...

Et les retrouvailles entre papa et fils Stark ? Scott un peu énervant hein ? Mais c'est Scott !

L'histoire avance petit à petit. La suite bientôt. Merci de me lire et de donner vos avis ou même juste lire, c'est déjà bien. Mais connaître vos avis c'est encore mieux, enrichissant même.

PS: pas besoin d'être modifier, comme il l'a été avant d'être publier. Voilà, à bientôt.

Voilà, à bientôt, Dreamlifeix.