Tony, Erin and Lee-June's house

Tony's point of view

Nous avions finit de manger, je me trouvai maintenant dans la cuisine. Je lavai distraitement des assiettes, jusqu'au jet d'eau qui m'arrosa. M'énervant tout seul, je balançai les assiettes sur le côté, avant de les rattraper, soupirant longuement.

Jetant un coup d'œil vers le salon, je finis par reporter mon attention sur le lavabo. Je posai la vaisselle sur le séchoir, puis passai le torchon sur un étagère en bois, avant que mon regard tombe sur un cadre photo.

Je le pris en main et le porta tout en passant un coup de chiffon dessus. La photo représentait celui que je considérai comme mon propre fils, et moi, tenant un cadre comportant son diplôme d'entrer dans Stark Industries. Cela me paraissait tellement loin. Nous étions devant une porte noire, en son centre mon nom et, Peter et moi nous amusions à se faire des oreilles de lapin.

Une vague de tristesse et de désespoir me submergea. Je soupirai en refoulant la boule qui se formait dans ma gorge. Puis le passage de mes amis me revint en mémoire. Leurs mots résonnaient dans ma tête, comme si c'était la pire erreur que j'avais commis.

J'avais tourné la page. Pourtant, toutes les nuits, j'en faisais des cauchemars. Je revivais en boucle sa disparition. Elle me hantait, jusqu'au fond de mon cœur, meurtri. Ce gamin m'était plus indispensable que je le croyais. Il me manquait terriblement. Le retrouver, le serrer dans mes bras, le taquiner, cela me manquait.

Alors ce fut comme le declic.

Je laissai en plan ce que j'avais commencé et m'en allai vers le salon. J'étais tout seul, alors j'en profitai pour me mettre face à la table où un espace représentait un gros ordinateur. Je tapai des mains et un écran plat bleu translucide apparut sur la table. J'agitai les mains dans le vide, guidé par Friday.

- J'ai une légère inspiration. Je voulais juste voir si ça tient la route. Informai-je mon intelligence articifielle tout en parlant à moi-même.

Continuant de jouer des mains, je formai ce que j'avais en tête.

- Juste une dernière simulation, avant de fermer boutique pour la nuit. Et cette fois sous la forme d'un ruban inversé. Dès que possible ! Merci ! Repris-je.

- Calcul en cours ! Répondit Friday alors que l'image virtuelle bougeait en tout sens.

J'observai la forme bouger alors que mon I.A travaillait.

- Bon donne moi la valeur propre de cette particule, en tenant compte de la décomposition spectrale ! Lui Demandai-je. Ça devrait être vite fait ! Notai-je en plus.

Je sirotai rapidement mon verre à l'aide d'une paille.

- Un moment. Exigea-t-elle.

- Et ne m'en veux pas si c'est nul ! Ajoutai-je en prenant un fruit sec pour le mâcher. Aberrant ! C'est juste...

- Maquette modélisée. Termina Friday alors que mon idée prenait forme et tout son sens.

J'en tombai des nus dans mon fauteuil. Tout en regardant l'image face à moi, je passai une main sur mon visage, effaré.

- Merde ! Criai-je, ébahi les bras en l'air.

- Merde ! Entendis-je répéter derrière moi.

Je me retournai doucement et découvris ma petite chérie en pyjama, assise au bas de l'escalier. Je portai un doigt à mes lèvres, l'intimant de ne faire aucun bruit.

- Que faites-vous encore debout, mademoiselle ?

- Merde ! Reprit-elle avec un sourire taquin et malicieux sur le visage.

- Non, on ne dit pas ça ! Y'a que maman qui prononce ce mot. Elle l'a inventé alors il lui appartient. Expliquai-je.

- Et toi, pourquoi t'es debout ? Me demanda-t-elle.

- Parce que j'avais cette merde à étudier ! Répondis-je en désignant l'image bleutée derrière moi.

Elle me fit les sourcils froncés et les gros yeux sans comprendre.

- Non, y'avait un truc qui me préoccupait... Un truc qui me préoccupait. Repris-je en murmurant à la fin de ma phrase.

- T'avais plus de glace papa ? Demanda-t-elle en enfoncant ses petites mains entre ses jambes.

- Si j'en ai plein ! Répondis-je malicieusement. C'est une extorsion ça ! M'offusquai-je en me levant. Quel parfum tu veux ? Repris-je en lui tendant ma main, qu'elle prit aussitôt en se levant. Les grands esprits se rencontrent ! Les glaces c'est exactement ce que j'avais...

Je tournai mon visage vers la table une énième fois avant de reporter mon attention devant moi.

- ... En tête.

* * *

- T'as finis ? Demandai-je.

Elle opina du chef. Nous étions dans sa chambre, elle venait de finir plus ou moins sa glace. Je pris cette dernière de ma main doucement.

- Bien, comme ça s'est fait. Finis-je en mangeant le reste du bâtonnet.

Elle passa sa main sur ses lèvres.

- Attends je t'essuie ! Fis-je en passant le revers de ma manche sur sa bouche.

>> Voilà ! Terminai-je en caressant ses cheveux. Cette bouille se range la ! Ajoutai-je en posant la main sur son visage, pour la laisser se coucher.

- Raconte moi une histoire !

- Une histoire ?... Il était une fois, Leel s'est couché, fin.

- Oh, elle est horrible ton histoire ! Assura-t-elle en faisant la moue.

- Oh mais, c'est ton histoire préférée !

>> Allez, il est temps de dormir. Repris-je en l'embrassant sur le haut du crâne.

- J't'aime plus que trois fois mille ! Me dit-elle avec un grand sourire.

Je la regardai admiratif avec un sourire sur les lèvres.

- Waaaw !

Je me levai fourrant le bâtonnet de glace dans ma bouche et éteignis la lumière de la lampe de chevet. Puis ouvris la porte.

- Trois fois mille... J'compte même pas jusque là. Murmurai-je en sortant doucement.

>> Endors-toi ou je revends tous tes jouets ! Ajoutai-je en l'entendant légèrement pouffer. Fais de beau rêve !

Je rejoignis le salon et trouvai Erin en train de dessiner sur sa tablette numérique que je lui avais offerte.

- C'est pas contre nous, mais moi elle m'aime plus que trois fois mille. Commençai-je content de ma trouvaille, ou plutôt de ma fille.

- Tu m'en diras tant ! S'exprima-t-elle ma petite femme en levant les yeux, amusée.

- Toi tu dois être autour de six à neuf pour cent à tout casser. Repris-je en jouant avec le bâtonnet des mains.

Elle éclata de rire alors que je portai mon attention sur la table toujours ouverte sur ma recherche de tout à l'heure.

- Tu dessines quoi ?

- Oh trois fois rien, juste un paysage.

- Quel genre de paysage ? Continuai-je toujours en fixant la table.

- Je ne suis pas sûre de...

- J'ai trouvé. Coupai-je. C'est... Repris-je en retirant le bâton de mes lèvres.

- Et en gros, en étant sûre de parler de la même chose ? Prononça-t-elle.

- Le voyage dans le temps.

- Quoi ? Fit-elle interloquée.

Elle me regardait alors que je fixai tour à tour la table et Erin.

- Waw ! C'est...

Je soupirai avec un petit sourire m'attendant à cette réponse.

- C'est magnifique et... Terrifiant.

- Exact ! Assurai-je.

Je m'asseyai lentement sur le canapé face à elle avant de regarder ailleurs.

- On a vraiment eu de la chance.

- Ouais. Je sais. Fis-je, précipitamment.

- Tout le monde n'est pas comme nous.

- Non, j'peux pas sauver tout le monde. Repris-je avec la même réaction.

- Alors que j'ai l'impression que si !? Rebondit-elle avec un sourire qui voulait tout dire.

- Pas si j'abandonne. Débitai-je alors qu'elle baissait les yeux avec un léger sourire. J'peux me mettre en mode abandon et c'est finit.

- Tony... Essayer de te faire raccrocher est sûrement l'un des rares échecs de mon existence. Annonça-t-elle.

Je la gratifiai d'un regard tendre et de compassion avant de prendre sa main et la caresser.

- Quelques fois j'ai envie de tout mettre dans un coffre et... De tout jeter au fond du lac. Et d'aller me coucher. Avouai-je en jouant avec sa main.

- Et est ce que tu pourrais trouver le sommeil ?

Je la regardai tristement et admiratif à la fois. Elle avait raison. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert.

* * *

Ce matin je m'étais réveillé, en résolution pour la journée, d'être un vrai super hero. J'étais donc sur la route, dans ma voiture de luxe à plein régime.

J'arrivai maintenant sur la voie qui menait au QG des Avengers. Puis je me garai sur le côté, ayant cru voir quelqu'un de familier. Je mis la voiture sur la marche arrière et tombai nez à nez avec Rogers.

- C'est quoi cette tête ? Demandai-je alors qu'il me gratifiait d'un regard surprit. J'parie qu'il s'est changé en bébé ? Ajoutai-je alors qu'il levait les yeux au ciel.

- Et bien entre autre chose, oui. Répondit-il. Que fais-tu la ?

- C'est le paradoxe nucléaire ! Répondis-je a mon tour en sortant de ma voiture. Au lieu de propulser Lang dans le temps, vous avez finit par propulser le temps dans Lang. C'est pointu, dangereux, un ami aurait dû vous en dissuader.

- Tu l'as fait. Assura-t-il.

Je reportai mon attention sur lui.

- Ah je l'ai fait ? Bah alors je suis heureux ! Dis-je pour moi même. Qu'importe, c'est réglé ! Repris-je en levant la main, portant un bracelet métallique. J'ai mis au point le premier GPS spatio-temporel.

Steve me sourit amusé mais quelque peu fier.

- Je viens en paix. Ajoutai-je d'une voix venant d'un film, levant deux doigts en mode oreilles de lapin.

>> Il se trouve que le ressentiment est corrosif et que j'en ai horreur.

- Moi aussi.

- On a une chance de retrouver ces gemmes. Mais je voudrais faire part de mes priorités. Si on parvient à faire revenir tous ceux qu'on a perdu et je l'espère, garder ma famille il le faut, quoi qu'il en coûte. Et ne pas mourir en cours de route serait apprécié. Déballai-je.

- Marche conclut ! Finit par dire Steve en tendant sa main que je serrai aussitôt.

Je lachai sa main en faisant la moue, content de moi, avant de me diriger vers le coffre de ma voiture. J'en sortis un objet enveloppé, que j'offris à mon ami. Son bouclier en vibranium aux couleurs de l'Amérique.

- Tony, je suis pas sûr...

- Pourquoi ? Il l'a fait pour toi ! Commençai-je. En plus fallait bien que je le sorte du garage avant que Leel s'en serve comme luge...

Il le prit dans sa main, le regardant un petit moment.

- Merci Tony !

- Tâche de garder le secret ! J'en ai pas pour toute l'équipe. Lui Demandai-je.

Je sortai ma valise rouge du coffre et le referma.

- On va bien réunir l'équipe au complet ?

- On est en train d'y travailler.

* * *

Ils avaient ramenés Thor mais il était quelque peu amoché. Il aimait la bière en gros. Nous étions dans une grande partie du QG, à faire les préparatifs pour notre saut dans le temps. Je transportai sur mon épaule un tuyau qui me servait à faire.

Il me sers à quoi déjà ? Je sais même plus ! Quelle importance ? Ça servira c'est tout.

Sur mon chemin, je trouvai le gros plein de soupe blond qui ingurgitait une nouvelle bière.

- Eh tiens ta droite ! Sens unique ! Lui Demandai-je sans m'arrêter.

La musique rock battait son plein dans la salle et cela résonnait mais j'aimais ça. Cette ambiance de travail ça me faisait du bien et ça m'avait manqué. J'espèrais que ça marcherait.

- Eh le Rockey ça donne quoi ?

- C'est Rocket ! Et arrête de te la péter, t'es un génie que sur Terre, mon pote ! Répondit le raton laveur.

J'entendis roter derrière moi alors que je haussai les sourcils ébahi et amusé en même temps. Je me retournai et trouvai sans m'étonner le grand galet qui nous servait d'attraction ambulante.

Blague à part !

Barton s'était porté volontaire à la place de Lang, qui n'était pas très à l'aise, de faire le saut d'essai dans le temps. Il partit donc pour quelques secondes de voyage, avant de revenir à genoux. Il avait l'air déboussolé et triste à la fois. Il avait du revoir sa famille disparue.

Natasha accourait déjà à lui, suivit par tout le monde.

- Eh ! Regarde moi ! L'appela-t-elle en le prenant par les épaules. Tu vas bien ?

- Ouais. Ca a marché. Ca a marché. Annonça-t-il en lançant ce qu'il avait trouvé.

* * *

- Bon, on sait que le comment marche. Il ne nous manque plus que le où et le quand. Commença Steve alors que nous étions dans le labo face aux écrans comportant toutes les pierres D'infinités.

>> Et presque chaque personne ici présente, a au moins rencontré une des six pierres D'infinités.

- On peut remplacer à rencontrer par à bien failli se faire tuer par une des six pierres D'infinités ! Protestai-je à mon tour en sirotant mon verre de jus de fruit.

- Bah pas moi. Intervint Lang. Et je sais même pas de quoi on est en train de parler !

- En tout cas, nous avons des particules seulement pour un aller retour par personne. Annonça Banner. Et en plus les pierres ont traîné un peu partout à travers l'histoire.

- Notre histoire. Repris-je. Car on ne peut pas débarquer n'importe où dans le passé.

- Autrement dit, il faut bien choisir nos cibles. Dit Clint les bras croisés.

- Exact ! Fis-je simplement.

- Bon. Commençons par l'Ether. Thor des infos ? Demanda Steve au concerné.

Tout le monde se tourna vers le coin où il était. Assit sur une chaise, une paire de lunettes de soleil sur le nez, il ressemblait à un clochard.

- Quoi, il dort ? Demanda Natasha.

- Non... Non je crois qu'il est mort. Asura Rhodes.

* * *

Thor était face aux écrans géants. Il enleva ses lunettes de soleil et commenca à parler. Je sentais que ça allait être très long.

- Bon. Par quoi commencer ? Avant tout l'Ether n'est pas une pierre. Quelqu'un a appelé ça comme ça autrefois. Mais c'est plutôt un plasma agressif, enfin ce genre de truc. Faudrait que les personnes arrêtent de dire ça !

Pendant qu'il parlait il n'arrêtait pas de gesticuler, jouant un coup avec ses lunettes puis à brasser l'air avec ses bras.

- Voilà l'histoire intéressante à propos de l'Ether. Mon grand père, il y a très longtemps a pu cacher des pierres aux elfes noirs. Woouuuh ! Fit-il avant de faire peur comme à Halloween.

>> Des êtres effreyants, qui se cachaient. Et ma copine... Attendez... Ah la voilà !

Une femme apparut sur l'écran.

- En fait, Jane était une de mes conquêtes, autrefois. Et donc, figurez vous qu'elle a enfoncé sa main dans la pierre et la... L'Ether est entré en elle d'un seul coup. Elle est tombée très malade. Il a fallut que je l'emmène sur Asgard, qui était mon royaume. Et on a essayé de la guérir. À l'époque on sortait ensemble, alors je l'ai présenté à ma mère qui est... Qui est... Morte. Oh cela dit c'est de l'histoire ancienne ! Jane et moi on se voit même plus alors...

- Ouais enfin ça arrive tous les jours... Pensa Banner a haut voix.

- Enfin, la seule chose qui m'a permis de... Reprit Thor avant que je ne l'interrompt et qu'il m'envoie balader. Non j'ai pas encore finit ! La seule chose qui est permanente dans la vie c'est l'impermanence.

- Bravo ! Fis-je en l'applaudissant. Omelette ? P'tit dej'? Demandai-je.

- Non. Répondit-il.

>> Je voudrais un Bloody Mary. Reprit-il avec un petit sourire idiot.

* * *

- Quill a dit qu'il avait volé la pierre du pouvoir à Morag. Expliqua Rocket.

Le raton laveur se baladait face aux écrans où étaient affichés les pierres et d'où elles pouvaient provenir, ou qui les détenir.

- C'est qui Morag ? Demanda Bruce.

- Morag c'est une planète. Reprit celui qui venait de l'espace. Quill c'était une personne.

- Genre... Une planète dans l'espace ? Demanda Scott tout en buvant.

- Qu'il est chou ! On dirait un p'tit bébé, il est mignon comme tout ! T'as envie d'aller dans l'espace ? Il va aller dans l'espace le bébé ? Bah je t'emmènerai dans l'espace !

Après cette parenthèse quelque peu gênante, nous passâmes à la pierre de l'âme. Nebula nous expliqua que Thanos l'avait trouvé sur Vormir. Cette planète était un monde de mort, au centre même de l'équilibre céleste. J'ai appris à ce moment la comment avait été tué cette fameuse Gamora, à laquelle tenait tant ce Quill.

Quand nous arrivâmes à la pierre du Temps, nous étions allongés sur une table, un peu n'importe comment. À côté de moi, il y avait Natasha.

- Le type à la pierre du Temps ? Commenca Natasha.

- Le Docteur Strange. Répondit Banner.

- Ouais... C'était quel genre de Docteur ?

- Autorino plus lapin dans le chapeau. Annonçai-je.

- Il avait un super appart avec tout le luxe qui va avec. Reprit Banner après moi.

- Il habitait New York ? S'etonna-t-elle.

- Nat' t'écoute ce qu'on te dit ? M'exclamai-je en tournant la tête vers elle.

- Les gars... Si vous choisissez la bonne année, y'aura trois pierres à New York.

- J'arrive pas à le croire. S'epoumona Banner en s'asseyant au bout de plusieurs secondes.

* * *

- Parfait ! Nous avons un plan. Six gemmes, trois équipes, une seule chance. Commenca Steve en avançant vers les pierres virtuelles.

L'instant suivant, nous étions tous en tenues créées spécialement pour l'événement. Des combinaisons souples blanches et noires avec des petits motifs rouges. Au niveau du cœur, le célèbre icône des Avengers.

- Il y a cinq ans on a tout perdu. On a tous perdus. Des amis, de la famille et une part de nous mêmes. Nous avons une chance de tout récupérer. Vous connaissez vos équipiers et votre mission. Retrouvez les pierres ! Un aller retour par équipe. Et pas d'erreurs ! Pas de jokers ! La plupart d'entre nous savent déjà où ils vont. Ça ne veut pas dire qu'ils savent à quoi s'attendre. Soyez prudent ! Veillez les uns sur les autres. C'est le combat de notre existence. Et on va gagner. Quoi qu'il nous en coûte.

Je croisai son regard au même moment. J'étais fier d'être la et j'avais bien fait de ne pas jeter mon armure dans le fond du lac.

- Bonne chance ! Reprit le Captain.

- Y cause bien ce type là ! Remarqua Rocket.

- Grave ! Approuva Scott.

- Aller, t'as entendu le boss ? Mets le contact Géant vert ! Demandai-je a Banner.

- Balise opérationnelle ! Annonça ce dernier.

- Tu promets de ramener ce machin en un seul morceau ? Demanda le raton laveur à Clint, parlant d'un objet qu'il tenait en main.

- Ouais ouais ouais. Je ferais de mon mieux, t'inquiète !

- Bah maintenant c'est sûr j'm'inquiete. Fit-il en haussant les sourcils.

Tout le monde se rassembla au centre du cercle. J'avais l'impression d'être dans une secte. Mais j'ignorai cette pensée absurde et me concentrai sur ma mission et mes collègues.

- À dans une minute ! Dit Natasha malicieusement.

Au même instant, la plateforme sous nos pieds se mit à trembler et la machine se mit en route. Mon casque adapté à la combinaison prit place sur mon visage tout comme mes amis Avengers. Puis l'aspirateur à voyager dans le temps nous appela à lui et nous étions partis pour un voyage à travers les portails spatio-temporels.

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Bonsoir, bonjour, alors ?

Qu'en avez vous pensé ? Je tire du film mais j'apporte ma petite touche personnelle.

Cette scène avec la petite et Tony hein ? Enfin plutôt ces scènes ? Et sa décision. Enfin c'est le film. Mais j'aime tellement tout ça.

Je rajoute, que ce chapitre ne sera pas ' [Modifié !] ' comme je viens de le refaire. Il était prêt donc plus qu'à le re re re relire et le re re modifier.
Même si j'ai galéré avec les gifs.

Enfin, merci à vous de me lire et me suivre. Merci encore.
Dreamlifeix.