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Chapitre 1 - An ordinary day ? [Réécrit]

Present day

New York City
Erin's apartment

* * *

Erin's point of view

Une nouvelle journée commençait. Il était sept heures et demi du matin. Je pris tranquillement mon café, assise au bord de ma table bar.

Mon appartement ressemblait à tout autre appartement, pourtant je trouvai le mien unique. Les murs étaient décorés de mes dessins. Dessins de mes rêves, de mes pensées, de mon enfance et surtout de ma passion. Les super héros ornaient une bonne moitié des murs. Surtout ma chambre, dont en particulier, celui qui m'avait sauvé la vie.

Je pensai au jour où, héroïquement, il me sauvait la vie. Quand, mon téléphone sonna, m'annonçant que j'étais une nouvelle fois en retard. Je finissai rapidement mon café, posai le mug dans le lavabo et partis en vitesse pour me laver les dents. Très rapide tour de toilette et j'enfilai à la hâte chaussures, veste, sac à main sur épaule et clés, pour fermer mon logement.

Descendant les marches qui menaient vers le monde réel, j'ouvris la porte principale de l'immeuble. L'air urbain me fouetta le visage, animé par une brise matinale. Décidée à ne pas me faire disputer par mon patron, j'accélérai le pas jusqu'à l'arrêt de bus qui se trouvait à cinq minutes de mon immeuble.

* * *

Wilson's pizza

J'entrai dans mon lieu de travail, priant que mon chef ne me crie pas dessus. Et il ne le fit pas. La veille j'avais fait l'une des meilleures performances de tout le restaurant. J'étais d'ailleurs fière de moi. Moi qui souvent, finissais par faire n'importe quoi, trop prise par mon surplus d'émotions.

Je me dirigerai vers les vestiaires afin de me changer. Une fois prête, j'allai à la rencontre de mes collègues afin de les saluer. Dès que l'on passait les portes de ce restaurant, on se sentait directement dans une ambiance italienne.

Eh oui, le chef était italien et l'équipe américaine ! Il fallait s'adapter aux habitudes du chef !

Je m'installai à mon poste habituel.

Pizzaiolo j'étais !

Maître Yoda sort de ce corps !

On est avec les Avengers, pas les Jedis !

Je devai me ressaisir si je ne voulais pas faire d'erreurs. Je me concentrai et reprenai mon train-train habituel.

Les recettes que je connaissais par cœur, filaient du bout de mes doigts pour créer des pizzas, qui partaient au four.

* * *

Alors que je mettai en forme la pâte, un collègue m'appela. Je tournai la tête vers lui. Erreur fatale !

La pâte se retrouva contre la vitre, déclenchant l'hilarité dans tout l'arrière du restaurant.

Aussitôt, un cri retentit et je rentrai ma tête dans mes épaules en murmurant un "oups !".

Le collègue qui m'avait interpellé me demanda de venir devant. Je le suivis avant que le chef ne m'appelle pour m'incendier une nouvelle fois.

Je me stoppai net quand il s'arrêta. Il me montra du doigt la salle publique où déjeunaient les touristes et New Yorkais. Mais son doigt s'attarda devant lui, alors qu'il affichait un grand sourire.

- Ce ne serait pas ton amoureux ? M'interrogea-t-il pour me taquiner.

- Quoi ? M'écriai-je avant de porter ma main à ma bouche.

Je levai les yeux tout en me cachant derrière la porte. En effet, un homme brun était assit seul, à manger une pizza. Il portait une casquette noire avec NYC écrit dessus. Il portait des lunettes de soleil noires. Ses mimiques m'étaient familières et son style vestimentaire...

Soudain, mon estomac fit un bond de ma poitrine jusqu'à redescendre à mes pieds. Tony Stark était dans mon restaurant. Je sentis mon collègue me pousser en avant.

- Tu fais quoi là ? Chuchotai-je en me retournant vers lui.

- Arrête t'en meurs d'envie, me dis pas le contraire !

Il avait raison, mais... Je n'étais pas serveuse, puis je ne pouvais pas aller le voir.

- Regarde, il n'a pas de boisson. Saisis ta chance !

Je ripostai, mais je n'en eus pas le temps. Je me retrouvai au milieu de la salle, un calepin et un crayon entre les mains. Mon coeur commença à tambouriner dans ma poitrine, respirant difficilement.

Pourquoi étais-je si nerveuse ? Le fait d'être pour la première fois auprès des clients ou était-ce lui qui me rendait comme ça ? Comment devais-je le qualifier ?

Sans m'en rendre compte, alors que mes pensées étaient en ébullition, j'étais déjà face à lui.

- Hm... B... Bonj... Bonjour... Que... s... souhaitez... Voulez... Une boisson peu... peut être ? Bégayai-je les mains moites, ce qui me fit lâcher le crayon.

Il leva les yeux vers moi et enleva lunettes et casquette. Mais que faisait-il ? On allait le reconnaître ! Mais il s'en moquait.

- Hey ! Ma jolie, vous êtes toute stressée. C'est moi qui vous intrigue ? Déclara-t-il avec arrogance.

>> Je sais je suis beau gosse mais quand même, merci de cette gratitude ! ... Ah vous avez fait tombé ça aussi, ajouta-t-il en se penchant pour ramasser le crayon.

- Ah... Oui... Merci.... Balbutiai-je le visage rouge pivoine.

- Désolé si je suis intimident ! Et oui, volontiers ! Annonça-t-il en me tendant le crayon.

- Que quoi ? Comment ? De... de quoi ? Balbutiai-je à nouveau, faisant trembler mon calepin.

- Une boisson. Je veux bien boire du coca. Répondit-il sur un ton soudainement agacé.

Je le regardai quelques secondes surprise par son ton.

- Ca va je plaisantais ! Reprit-il sur un ton taquin. Mais je reste sur le coca.

>> Vous avez vraiment besoin d'un crayon pour écrire ça ? Un coca c'est facile à retenir, non ? Moi je sais que je ne le noterai pas.

- D'a...ccord...! Je vous amène ça de suite ! Finis-je par dire en lui faisant un sourire. Et... Merci pour le... Le crayon, c'était très... Aimable à vous...

- J'attends patiemment, merci ma belle, termina Tony. Mais attendez, c'est tout à fait normal ! Entre nous, le crayon ce n'était rien ! Vous êtes très jolie en tout cas... Mademoiselle ?

- Oui... Je... Merci... Je vous apporte votre boisson tout de suite monsieur... Sta... Bafouillai-je en me rattrapant à temps.


Je repartai vers la cuisine. Un vrai fiasco ! Ce que je pouvais être nulle avec les garçons... Mais ce n'était pas n'importe qui ! Je l'aimais comme ça, prétentieux. Que pouvais-je espérer d'un homme comme lui ? Un homme milliardaire, un Avenger, qui pouvait avoir toutes les femmes d'une ville entière à ses pieds.

* * *

Je lui apportai sa boisson et lui souhaitai bon appétit. Il m'adressa son sourire légendaire. Il savait charmer les femmes et les amadouer.

Je le laissai tranquillement manger. Je sentis néanmoins son regard sur moi. J'étais comme mise à nue.

Je m'apprêtai à retourner en cuisine, quand j'entendis un mot qui me fit faire demi tour.

Je tendis l'oreille et écoutai attentivement.

- Rogers ?... Oui c'est Tony ! Je vous appelle pour le gala de charité, vous viendrez ? ... Oui bien sûr que je viendrai avec Pepper.

Pepper, il s'agissait de sa directrice, enfin la femme qui s'occupait maintenant de Stark Industries. Je suis jalouse, je crois qu'il est amoureux d'elle. Il a le droit en même temps. Je ne suis que le moustique sur le parebrise de l'une de ses magnifiques décapotables flamboyantes.

- ... Toute l'équipe vient ?... Thor vient aussi ? Mais c'est génial ! Je vais peut être réussir à lui voler son marteau... Oui j'arrête bien sûr ! ... oui je sais c'est le sien... Oui je sais très bien qu'il l'aime,... oui si on le lui prend, on grille sur place. Bon, je finis ma pizza et... Bah oui je mange une pizza et alors ? Tout le monde a droit... A tout à l'heure Steve ! Termina-t-il en posant son appareil.

Il marmonna quelque chose que je n'entendis pas. Je n'eus pas le temps d'en savoir plus, une main me tirait en arrière. Devant moi se trouvait mon chef. J'allais passer un mauvais quart d'heure.

A l'instant je ne pensais qu'à une seule chose : je l'avais rencontré. JE L'AVAIS RENCONTRÉ !!! ENFIN !!! Mon intervention était à se mettre à six pieds sous terre.

Je me pris un savon dans le bureau du chef, pendant que je ressassai ce moment. Je pouvais remercier mon collègue pour m'y avoir poussé. Jamais je ne l'aurais fait toute seule. J'étais bien trop timide pour ça.

* * *


Je buvai mon café, dans un des nombreux Starbucks New Yorkais tout en surfant sur internet. Je cherchai des informations sur ce fameux gala de charité où mes Avengers se présenteraient.

Puis mes recherches aboutirent. Je décidai de rentrer chez moi pour m'apprêter à cette soirée.

En arrivant chez moi, je me dis finalement que je ne pourrais pas entrer. Seules les célébrités et personnalités connues allaient pouvoir entrer. Il restait la partie extérieure, celle que je redoutais le plus à chaque fois.

Etant fan des Avengers, je manquais cependant chaque évènement. Je n'allai pas plus loin car je ne voulais même pas penser à ce qui pourrait arriver. Tout ce que j'espérais, était que ça n'arrive pas.

* * *

Quand le soir fut enfin arrivé, je partai de mon appartement toute excitée. J'avais oublié mes peurs. Je m'avançai vers les lieux connus des festivités où se déroulaient concerts, galas et autres évènements. Je cherchai la foule et finis par la trouver. J'étais au bon endroit. Je me postai là et attendis.

Une heure plus tard, les portes s'ouvrirent et les personnalités tant attendues descendirent les escaliers. Des cris hystériques me vrillèrent les tympans et je me frayai un chemin. Je fis mon possible pour ne pas toucher la peau de qui que ce soit.

Arrivée près des barrières qui séparaient les fans des super héros, je posai mes mains sur celles ci. Je trouvai enfin l'homme de fer. Je voulus l'interpeller mais je fus bousculer et bientôt rejetée en arrière. Je parvins à me rattraper auprès de quelqu'un. Et ce que je redoutais arriva.

Un flot d'émotions traversa mon corps et entra dans mon esprit. Paniquée et en même temps euphorique, j'ouvris en grand les yeux, mon cœur martelant ma poitrine. Je ne savais plus quoi faire, j'étais tétanisée par ce trop plein d'émotions.

Un empathique ne devait pas ressentir ça. Mais mon pouvoir était puissant et je n'arrivais pas à le contrôler. Et selon les personnes que je pouvais toucher, les émotions pouvaient varier. Dans ce cas là, la personne était dans un état d'euphorie extrême, combiné à mon hypersensibilité et ma timidité, s'en était incontrôlable.


Sans pouvoir me contrôler, mes mains tremblèrent et je criai pour que cela cesse. Je sentis que l'on me poussait. Je portai mes mains à ma tête. Un grand espace autour de moi se forma. Ouvrant des yeux larmoyants, je vis que tout le monde s'écarter.

Mon corps tremblait et je serrai fort mon crâne. Je pensais être loin des barrières, mais je n'en étais qu'à une dizaines de mètres. C'est pour cela que mes yeux croisèrent ceux du brun que j'aimais. Une vague de panique m'envahit une nouvelle fois, alors que mon esprit était en ébullition. Je le vis passer par dessus les barrières avec aisance, ignorant les fans qui se bousculaient déjà pour le toucher. Mais les vigiles ne leur laissèrent pas la chance. Tony s'avança vers moi mais les gorilles l'empêchèrent de passer. Il me lança un regard empli de questions, sûrement intrigué. Je détournai les yeux et m'enfuyai en courant loin d'ici.

* * *

Je claquai la porte de mon appartement et glissai le long de celle ci.

Merde ! Ça n'aurait pas dû arriver...

C'était arrivé ! J'avais honte. De moi. De mon pouvoir. Pourquoi avais-je hérité de ça ? Pourquoi n'arrivai-je pas à le contrôler ? Il m'a vu, mais pas comme je le voulais.

Je me demandai si il s'en souvenait, du jour où il m'a sauvé la vie. Non, il en a sauvé des personnes ! Comment pourrait-il s'en rappeler ? Puis j'étais très jeune, cela faisait vingt ans maintenant. Après tant de temps, il a très bien pu m'oublier. Ou du moins ne pas me reconnaître.

Il m'avait regardé... Peut être sûrement reconnu ? La fille de la pizzeria qui bégayait. Qui faisait trembler son crayon. Son regard m'avait chamboulé. Mais la pression, les émotions, c'était trop pour moi.

Je pensai à aller dormir car j'étais épuisé. Une bonne nuit de sommeil et tout irait mieux le lendemain.

* * *

Tony's point of view

Je clignai des yeux, estomaqué par ce qu'il venait de se passer. Cette fille, il me semblait la connaître.

Mais oui ! C'est la serveuse de la pizzeria.

Que venait-il de se passer ?
Quelques minutes plus tôt, elle était tout près de moi et elle tremblait. Sur le point de pleurer, elle semblait dans un état euphorique. Tout le monde s'était tassé loin d'elle.

J'étais maintenant le centre d'attention. Je me trouvai de l'autre côté des barrières, protégé par les vigiles. Seuls ses yeux larmoyants hantaient mes pensées.

Puis je me souvins de son sourire, de sa voix tremblante par l'émotion. Il était rare d'avoir en face de moi une femme timide et hésitante. Cette fille m'intriguait. Je devais en savoir plus sur elle. Je retournerai plus souvent dans cette pizzeria, car c'était la seule chose que je connaissais d'elle.

Peut être pas en fait ! Son visage m'était familier. Ou plutôt les traits de son visage. Soudain, un souvenir, un sourire me frappèrent. Oui, je me souvenais du sourire d'une petite fille, blonde. A New York. Je lui avais sauvé la vie.

Je devai percer ce mystère. Seul de mon côté. Mes amis n'étaient pas obligés de le savoir. Je décidai de tenir éloigner Pepper de tout ceci, pour ne pas l'inquiéter.

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Bonjour, bonsoir, selon l'heure que vous le lisez. Vous en avez pensé quoi ? Bon c'est venu au feeling. Je fais pas comme les autres, la j'écris en direct. Bon j'écrivais a l'avance ne voulant pas publier tout de suite.

Laissez moi un commentaire si vous voulez enrichir votre avis par l'éventuel vote que vous aurez peut être mis. J'espère qu'il vous aura plus. Merci bonne soirée / journée.

Dreamlifeix.

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