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Partie 1

Première partie d'une nouvelle histoire de qq chap 😉

- Il a reçu un sacré choque à la tête, dit un homme aux cheveux noirs portant un blouse. Et de nombreux coups un peu partout sur le corps.

L'homme alluma une cigarette même si il était à l'intérieur d'une chambre dans la maison de la femme qui l'avait appelé.

- C'était pas de la tarte pour s'occuper de toutes ses fractures et plaies internes, surtout avec la pénurie de médicament du moment.

- Je vous remercie, docteur, dit une jeune femme aux cheveux brins en souriant.

- C'est bien parce que c'est vous, madame Roza.

Il s'apprêta à sortir.

- J'ai posé sur la table de chevet le médicament qu'il devra prendre avant d'aller se coucher pendant une semaine voir plus si il ressent encore des douleurs.

- Encore merci, docteur.

- Cessez de me remercier, vous avez déjà assez fait pour moi. C'est plutôt moi qui vous remercie. J'aurais préféré soigner quelqu'un de plus respectable, mais bon.

- Qu'entendez-vous par là?

- Je vous connais assez pour savoir que si je vous dis qui il est vous ne le laisserez pas partir. Mais je vous demande aussi d'être extrêmement prudente, madame Roza. Vous lui direz que je ne lui facture pas mes soins et les médicaments et qu'en vertu du sarment d'Hippocrate que j'ai prêté et de sa qualité de «médecin», je ne dirais rien à personne.

- Comme vous voulez, docteur.

- Passez une bonne journée, madame Roza. Et, s'il vous plaît, faites attention à vous.

Elle hocha la tête et allait se lever pour le raccompagner.

- Ne vous donne pas cette peine je connais le chemin.

Elle sourit et se rassit à coté du lit de l'homme blessé.

- Pourquoi faut-il toujours que ce genre de chose tombe sur elle, pesta le docteur une fois la porte fermé.

*

Quelques heurs plus tôt, la femme aux cheveux bruns se promenait sur la plage de son île en s'aidant d'une canne. Elle connaissait ce chemin par cœur à le faire une fois tout les matins alors que le soleil n'éclairait pas encore le paysage de ses doux rayons.

Elle savait qu'il n'y avait pas d'obstacle avant encore une centaine de mètre. Amas de rochers qui lui indiqueraient qu'il était temps de bifurquer sur la gauche pour rejoindre un sol plus dur mais encore mou de la nuit humide qui se terminait. De là elle aurait continué en suivant le contour de la plage dans le sens inverse de l'allée pour rentrer chez elle.

Or, sa canne buta contre quelque chose beaucoup plus tôt que prévu. En plus de ça, ce quelque chose était bien trop mou pour être de gros et solides rochers coupant la plage. Alors que le bruit des vagues résonnait dans ses oreilles, elle s'agenouilla pour toucher ce qu'elle n'avait qu'à peine deviner avec sa canne.

Ses mains reconnurent d'abord du tissu mouillé mais qui se devinait assez doux. En appuyant un peu sur la masse, elle sentit de la résistance, prouvant que ce qu'elle avait devant elle était un solide assez compacte mais quand même assez mou. Elle commença à passez ses mains sur l'objet pour lui donner une forme dans son esprit.

Elle sentit de nombreuses déchirures plus ou moins large dans le tissu. À chaque fois, qu'elle y passa ses doigts pour tenter d'identifier ce que contenait ce tissu, elle entendit de petits bruits, réduis de moitié par celui des vagues. La matière quand à elle était assez étrange: molle mais quand même assez résistante pour ne pas être percé ou déchiré et surtout humide. Elle avait l'impression de passes ses mains dans un morceau de viande d'une bête tuée il y a peu et que venait de découper un bouché.

Continuant à parcourir le tissus, elle senti un changement de matière. Le tissu doux s'était changé en quelque chose de plus rugueux. Il était couvert de couture, comportait des poches et était au moins aussi déchiré que le premier. Elle sentit que ce tissus entourait deux formes cylindrique relier à une plus quadrangulaire. À la fin du tissus qui devenait de plus en plus fin, elle sentit quelque chose d'autre.

Cette matière était plus reconnaissable pour elle et elle compris enfin ce qu'elle touchait depuis quelques minutes déjà. Elle avait senti de la peau et avait reconnu la forme caractéristique d'un pied. Elle compris qu'elle était donc face à un corps couché sur le ventre et couvert de blessure.

Elle décida donc de le ramener chez elle comme elle le pouvait et d'appeler le médecin. Ce dernier se dépêcha de la rejoindre lorsqu'elle lui dit que la personne qu'elle avait trouvé était gravement blessé et qu'elle ne l'avait pas reconnu. Craignait que son état était tel que la veuve ne reconnaisse pas un des habitants du village dans lequel elle avait grandi, l'inquiétait énormément.

Son inquiétude s'était changé en un mélange de peur et d'incompréhension en reconnaissant aisément le pirate sur le lit de madame Roza. Il l'avait quand même dévêtu et soigné pour ne pas inquiéter la femme qui l'avait déjà aidé par le passé.

*

Le jeune homme qu'elle avait sauvé passa une horrible nuit après la venu du médecin. Il suait à grosse goutte, respirait fortement, avait de la fièvre, se mouvait parfois assez violemment et délirait. Malgré tout, madame Roza était restée avec lui. Elle lui avait parlé pour le rassurer, pour qu'il ne se sente pas tout seul. Elle épongeait son front bouillant avec un linge qu'elle trempait régulièrement dans de l'eau froide.

Quand elle l'entendait se découvrir, elle lui remettait sa couverture après avoir passé ses mains froides sur sa nuque et ses épaules pour le rafraîchir un peu.

Quand il délirait, elle mémorisait les noms qu'il murmurait, haletait ou hurlait avec plus ou moins d'inquiétude. Elle espérait ainsi suivre mieux la conversation qu'ils auraient immanquablement à son réveil.

Ce n'est qu'une journée plus tard et au beau milieux de la nuit qu'il se réveilla. Il se redressa vivement tel un catapulte qu'on actionnait. Madame Roza c'était un peu effrayée de ce mouvement imprévisible mais c'était rapidement calmée comparé à son invité complètement désorienté.

*

En se réveillant suite à un cauchemar ou à la suite d'un souvenir datant d'un passé proche, le jeune homme ne vit que les ténèbres. Avant même qu'il n'ai le temps de s'inquiéter de l'obscurité, une douleur lancinante traversa son crâne de part en part, le faisant gémir de douleur.

Il paniqua un peu en sentant des mains se poser sur ses épaules.

- Je ne te ferais pas de mal, assura une voie douce et calme de femme. Je vais juste te recoucher.

Il se laissa tirer en arrière sans rien dire et sans résister.

- Pourquoi sommes-nous dans les ténèbres? Demanda-t-il une fois qu'elle l'eut couvert.

Il craignait qu'elle lui dise qu'il était devenu aveugle. La réponse de la femme le rassura un peu.

- Je suis désolée, je vais allumer une chandelle.

Sachant exactement où était chacun des objets de la pièces, elle prit sans hésiter un bougeoir sur lequel trônait encore une bougie déjà en partie consumée. Elle prit aussi des allumettes et, d'un geste mécanique, en craqua une et approcha la flamme de la ficelle de la bougie. Aussitôt, la faible lumière, qui certifiait à son invité qu'il n'avait pas perdu la vue, se fit plus forte.

- Est-ce que c'est mieux comme ça? Demanda-t-elle en posant la source de lumière sur la table de chevet.

- Oui, merci.

- Je t'en pris, lui sourit-elle.

- Qu'est-ce qu'il m'est arrivé?

- Je m'appelle Élisabeth Roza, se présenta-t-elle en premier lieu. Je t'ai trouvé inconscient et blessé au bord de la mer en me promenant il y a environ deux jours. Là, tu es dans une des pièces de ma maison.

- Merci de m'avoir aidé.

- C'est normal. Mais dis-moi, comment est-ce que tu t'appelles?

Il allait parler mais les mots restèrent comme coincé dans sa gorge. S'ensuivit une quette de quelques minutes pour tenter de trouver un nom.

- Je ne m'en souviens plus, avoua-t-il en détournant le regard et en serrant ses draps.

- De quoi est-ce que tu te souviens?

- De rien, dit-il en posant sa main sur sa tête avant de la retirer dans une grimace de douleur.

- D'après ce qu'a dit le docteur, tu t'es fortement cogné la tête. C'est sûrement ça qui est la cause de ton amnésie.

Alors qu'elle parlait du traumatisme crânien dont il était victime, des bribes de souvenir revinrent. Il y avait des combats autour de lui, du sang, des hommes en blanc avec un symbole qui lui disait fortement quelque chose et puis vint le noir et les cris.

- «Capitaine», murmura-t-il comme pour faire écho aux voies dont il se souvenait.

- Des souvenirs qui reviennent? Demanda calmement la femme à son chevet, le sortant de ses pensés.

- Des gens qui m'appelaient capitaine, expliqua-t-il à sa sauveuse.

- J'en déduis donc que tu es marin.

Il resta silencieux.

- Écoute, reprit-elle, ne te tracasse pas maintenant. On est au beau milieux de la nuit. Tu te rappelleras mieux en dormant encore quelques heurs.

Il ne répondit rien. Elle prit son silence pour une approbation et s'approcha de la bougie pour la souffler.

- Non!

Elle se stoppa dans son mouvement.

- Je préfère avoir la lumière.

- Comme tu veux, lui sourit-elle.

Elle se leva et marcha vers la porte.

- Où allez-vous?

- Tu peux me tutoyer et je reviens tout de suite, je vais juste chercher un autre linge pour remplacer celui qui doit être quelque part dans la pièce.

Il se calma et se frappent mentalement pour craindre autant de rester seul et de paniquer pour une rien, bien qu'il ne sache pas pourquoi.

*

Quand il se réveilla le lendemain, Élisabeth dormait la tête posé sur le lit. La chandelle était éteinte depuis longtemps et la lumière traversait les carreaux de la fenêtre. Il se rappelait vaguement de son réveil quelques heurs plus tôt et la gentillesse de cette femme.

En essayant de ne pas la réveiller, il se redressa dans le lit.Méthodiquement, il analysa chaque blessures d'où émanaient une douleur plus ou moins forte.

- Tu es déjà réveillé, dit une voie fatiguée.

- Je suis désolé, je vous ai réveillée.

- Ne t'en fait pas pour ça, sourit-elle. Le principal c'est que tu te sentes bien. D'ailleurs est-ce que la mémoire t'es revenue pendant la nuit?

- Non.

- Ce n'est pas grave, ça reviendra bien à un moment ou à un autre.

Elle se leva et marcha vers la porte.

- Si tu arrives à te lever, tu peux venir manger avec moi.

- Merci.

- Je ne sais pas où le docteur à mis tes vêtements. Si tu les reconnais et si ils sont encore en assez bon état, ils doivent être dans la chambre.

Elle sortit, le laissant tester son propre corps.

Au final, il avait réussi à deviner qu'elles étaient ses vêtements, à leur trous et au symbole qu'il avait déjà vue dans son flache de souvenir. Son pull avait été coupé par le médecin pour qu'il accède facilement à ses blessure mais son jeans avait eu plus de chance. En regardant son corps, il remarqua qu'il avait été salement amoché, au vue du grand nombre de bandage qui le couvrait, de ses mains à son torse et sur ses jambes.

Il finit par rejoindre Élisabeth, avec son jeans troué, dans la large cuisine qui donnait sur le reste des portes de la maison. Celle qui lui avait sauvé la vie était occupé à préparer le déjeuné et lui tournait le dos.

- Tu peux déjà t'asseoir, je ramène le déjeuné tout de suite. Je suis désolée mais je n'ai pas eut l'occasion de chercher du pain.

- C'est pas grave, je n'aime pas ça.

- D'accord, je retiens, sourit-elle toujours dos à lui.

Il avait dit ça par réflexe, sûrement la force de l'habitude.

Elle plaça une assiette garnie d'œufs et de bacon devant lui et alla s'asseoir en face de lui en se servant la même chose.

- Je me demandai, entama-t-il la conversation en commençant à manger.

- Oui.

- Est-ce que vous êtes aveugle?

- Ça se voie tant que ça, plaisanta-t-elle.

- Et bien...

- Qu'est-ce qui t'as mis la pusse à l'oreille?

- Vous cherchez les choses à tâtons et vos yeux sont blancs. Il y a aussi la canne blanche dans l'entré.

- Tu as un bon sens de l'observation, le félicita-t-elle sans cesser de sourire.

- Peut-être, mais je ne suis pas fichu de me souvenir de qui je suis et ça m'énerve.

- Il n'y a pas quelque chose sur tes vêtements qui pourrait t'aider?

Un autre flache lui revint en pensant au logo sur son pull déchiré. Il se rappela d'un homme étrange qui souriait étrangement. Il avait du rouge à lèvre et du maquillage sous l'œil droit, des cheveux blonds en bataille et le visage tuméfié.

- Il faut que je les regarde plus attentivement, répondit-il.

Elle hocha la tête et termina de manger.

*

En examinant attentivement ses vêtements, il tomba sur un poile blanc qui avait miraculeusement échappé au courant. Là encore l'image d'une personne lui revint. Enfin, une personne était un bien grand mot, un ourse plutôt. Un énorme ours blanc pourvu d'une combinaison orange. Il lui souriait en l'appelant «capitaine» puis «capitaine Law». «Law», cela devait être son nom ou son prénom.

En continuant de chercher, il en vint à fouiller ses poches. Il y trouva une feuille entièrement blanche ou presque.

- Bepo, lut-il. Qui est-ce? Et pourquoi est-ce que ce morceau de papier bouge tout seul?

- Un papier blanc qui bouge tout seul est une carte de vie, dit son hôte derrière lui.

Il sursauta.

- Pardon, je t'ai fait peur?

- Non. Qu'est-ce qu'un carte de vie?

- C'est une mélange très résistant fait à partir d'ongles, expliqua-t-elle. Elle serre à savoir la position et l'état d'une personne.

- Comment est-ce possible?

- Je ne sais pas bien pourquoi. Tout ce que je peux dire c'est qu'elle se dirige vers la personne à qui appartiennent les ongles qui la compose et qu'elle rétréci en fonction de la situation de cette dite personne. Si elle est entière tu n'as rien à craindre pour son propriétaire.

- Mais je ne sais pas à qui elle appartient et il n'y a pas de numéro d'escargophone dessus, juste ce qui semble être un nom.

- On y inscrit souvent un nom pour savoir à qui elle appartient. Qu'est-ce qui est écrit sur celle que tu as?

- Bepo.

- D'accord. Est-ce que ce nom te dis quelque chose?

- Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'image d'un ours polaire qui me vient avec ce nom.

- Ce n'est pas banale, rit-elle.

- J'en conviens.

- En tout cas, quand tu voudras partir tu sauras où commencer à chercher des informations.

Il hocha la tête.

- Au faite.

- Oui.

- Je crois que je me souviens de mon prénom.

- C'est un bon début. Puis-je savoir ce qu'il en est?

- Law. Je m'appelle Law.







J'espère que ce début vous a plus et que la suite vous satisfera aussi 😘

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