Voilà la suite ^^

Petite info : Ce chapitre contient une grande partie de torture (fouettage, un peu comme en haut) Sorry ? Je vous informerez de quand sa commence réellement la torture assez glauque et sadique je l'avoue. Bref, du hard. Vous verrez comme je suis chelou :')

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PDV STILES

L'homme à l'apparence de mon père à accepté de répondre à chacune de mes questions. Ce fut vingt minutes plus tard que l'histoire se termina.

Il m'expliqua que c'est un démon à la recherche d'un corps afin de pouvoir se nourrir et vivre éternellement. Il est née il y a 200 ans. Humain il tuait les nouveaux-nés, les enfants mineur et les femmes. Il fut recherché pendant des années. Quand il eu cinquante ans, un homme l'a trouvé et l'a abattus en le torturant à cause du fait que sa femme et ses deux fils sont mort par le démon. Son nom d'autrefois était Sébastian Vallet** mais c'est le nom qu'il avait quand il était humain.

Une fois mort il s'est retrouvé à errer dans les rues sombres à la recherche d'un corps apte à le gardé et le nourrir amplement. Il à du utiliser des centaines de corps mais ils se mouraient trop vite. Ils ne tenaient pas plus de seize ans donc il devait continuellement changé, toujours à la recherche de "l'élus " mais sans succès.

Au fil des années sans le fameux corps, il a finalement pris l'apparence d'une vapeur noir, inodore. Lorsqu'il se matérialise il ressemble à un homme de la cinquantaine, chauve, la peau crasseuse, des champignons et d'autres moisissures sur le corps, plus de nez et des yeux vide de vie. Il ressemblait fortement au zombies dans certains films et s'en était effrayant.

Bien sûr, le corps dans lequel il se trouve doit être détruit de l'intérieur. C'est comme sa qu'il à trouvé mon père, un homme anéantis par la mort de sa femme et submergé par son travail. Alors pour un parfait contrôle de son corps, il a fait en sorte que mon père boivent comme un ivrogne. Ainsi il pouvait le contrôler et se nourrir. Tout ce qu'il voulait c'était goûté à la joie de la torture sur des innocents et le tué si il n'es pas assez fort pour survivre.

C'est comme sa que je me suis retrouvé ici, il choisit d'abord les proches du corps posséder afin de détruire totalement l'âme de l'humain.

Il connais l'existence des autres créatures surnaturelles ainsi que les poisons et autres spécialités contre eux afin de se protéger. C'est comme sa qu'il à protéger le sous-sol avec du sorbier. Il a également planqué des armes dans les murs, les meubles, etc

- Voilà, petit humain, tu connais toute l'histoire. Me dit le démon.

- Je dois vous appelez comment ? Vous ne voulez plus de Sébastian.

- Choisit moi un nom. Tu es le premier auquel j'accorde le droit d'avoir des réponses, tu es bien chanceux dit donc.

- Vous m'aimez trop c'est pour ça. Donc, je peux vous appelez ... Azrael ou ... Bael ?

- Ce ne sont pas des noms que je porterais ou donnerais à quelqu'un mais ... Cela signifie quelque chose ?

- Ce sont des noms de démons. Mes deux préférés. Azrael c'est un ange de la mort et incarne le destin. Et Bael commande 66 légions, 'fin je sais pas si vous comprenez e-

- J'opte pour Azrael. Nom quelque peu étrange et original mais j'aime beaucoup qui il es.

- Okay et au-

- C'est bon, sa suffit ! Je sais que tu essaye de gagné du temps. Je t'ai accordé quelques minutes de repos avant de commencé le travail. De plus, tes amis vont sûrement réussir à entré. Ils ont besoin de quelqu'un mais ils savent ce qui les attendent ici. Un jolie comité d'accueil grâce au peu de pouvoir que j'ai réussi à récupérer en seulement 200 ans.

- Vous allez leurs faire quoi ?

- Sache juste qu'ils seront mort avant de posé le pieds au bout de l'escalier. Bon ! Commençons, ton corps m'appelle. Ricana-t-il.

Je compris soudainement que j'allais à nouveaux endurer ce qu'il m'a fait il y a deux ans et j'ai peur. Aussi, qui n'aurait pas peur dans ces cas là ?!

- Afin de pouvoir te préparer, j'aimerais t'informer du fait que ce sera différent de la dernière fois que j'ai pu te toucher. Ce sera plus intensif ! Il faut absolument que tu meurt dans l'heure qui suit et pour cela on va y allé cache. Pendant cinq ans j'y ai été doucement car je croyais avoir le temps de tuer petit à petit l'âme de cet humain mais voilà que le temps presse. C'est parti ! Cria-t-il avec un sourire sadique sur le visage.

/!\Scène de torture /!\

Un flash apparu ainsi qu'un couteau se plantant directement dans mon ventre, me coupant le souffle sous le choc. Une vapeur noir se dégagea de ma plaie. Un long gémissement sortit d'entre mes lèvres. Pas plus de cinq secondes plus tard, la scène se reproduit. Un second couteau s'immisça dans mon corps mais un peu plus à droite m'arrachant un cris de douleur.

- C'est bien, cris. Donne moi du pouvoir !

Troisième couteau, dans la jambe. Pour ne pas lui donné ce qu'il veut, je retins mon cris dans la gorge.
Ce démon à le don de télékinésie ! Ces couteaux ne font que ce planter dans ma chair, les uns après les autres sans qu'il ne les touchent une seule fois.

Azrael vint se poster derrière moi alors que le cinquième couteau se planta dans l'un de mes membres.

- Tu es très résistant. Encore plus que la dernière fois. Et en plus je vois que mon sort à marché, tes cicatrices sont toujours là. Elles sont vraiment magnifiques. Dit-il en caressant mon dos du bout des doigts.

Ses ongles se plantèrent entre mes omoplates et me griffa tout le long de ma colonne vertébrale. Je sentais le sang couler dans mon dos.

- Prenons la ceinture cette fois. Annonça-t-il d'une voix rauque.

Je sentis le tissu cuivrer dans le creux de mes reins en même temps que le huitième couteau s'enfonça en moi. Le coup retentis. Au début je ne sentais que les bout de métal dans ma peau, me brûlant par la même occasion mais maintenant une douleur lancinante s'élança dans mon dos. Les coups continuèrent mais le dernier et dixième couteaux rentra en moi. Azrael se positionna devant moi en regardant dans quel état j'étais.

Le sang coulais à flot, gouttant sur le sol. Mon dos prenait feu ainsi que l'entièreté de mon ventre et mon torse. Les couteaux formais un cœur sur le devant de mon corps. Deux autres étaient plantés dans mes jambes et les deux derniers dans mes bras. Plus aucun couteaux ne bougeais mais les coups de ceintures s'amplifièrent.

- J'adore mes nouveaux pouvoirs ! C'est tellement jouissif. Mais vus que tu ne cris pas on va directement passé à l'étape supérieur ! Quelques clous suffiront.

"Des clous ?!"

En un flash une poignée de clous apparurent à côtés de son visage. Mais ces clous sont différents. Ce ne sont pas de petits clous tout beau, non. C'est des clous énormes de la taille de ma main voir plus grand encore et de la largeur d'un œil !

- Commençons mon cher. Et là, je peux t'assurer que tu ne va pas que crier !

Il se baissa et se mit à genoux. Il pris une de mes jambes afin de la stabiliser. Le clous se positionna sur mon tibia et d'un coup il se planta dans mon os, me le fissurant violemment et je hurla de douleur. Les larmes commençant à tomber. La douleur était tellement énorme que je n'arrêtais pas de hurler et crier à l'aide. De crier le nom de chacun de mes nouveaux amis et de ma mère morte.

Un second clou se planta dans mon deuxième tibia, juste en dessous du premier couteau. Mes hurlement redoublèrent.
Il positionna un autre clous sur ma cuisse droite en cherchant mon os et le planta. Mes joues étaient inondés de larmes qui coulaient sur mon torse, se mélangeant avec le sang qui s'échappais de mes plaies.

Azrael se releva et se mis à ma hauteur. Il retira un à un les couteau de mon torse violemment et mes cris ne cessèrent à aucun moment. Il rigola et caressa mes côtes doucement. Ayant perdu la force de hurlé et de crié à l'aide, plus que des gémissements de douleur sortaient de ma bouche.

- Tu es très fort. D'habitude, on tombe au moins une fois dans les pommes et je dois envoyer de l'adrénaline pour gardé ma victime réveillé. Tu te souviens la première fois que je t'ai marqué ? Tu as sombré et j'ai du utilise cette méthode.

Il me regarde avec un sourire pervers et avec l'aide d'un couteau ,étant il n'y a pas si longtemps arraché, il commença à me taillader la peau sur mes épaules. Après quelques secondes qui me parurent des heures il arrêta son geste et revint me caresser les côtes.

- Je sais que les côtes sont des os très sensibles, j'adore les entendre se fendre lorsqu'un clous s'enfonce sans douceur. Tu vas voir, ou plutôt sentir, qu'après sa tu vas à nouveau retrouver le besoin de hurlé à pleins poumons. Jusqu'à t'en arraché les cordes vocales. En fait, je suis assez étonné que sa ne soit pas encore le cas. Tu m'épate, petit.

Comme il l'eu dit, il enfonça sans douceur un des autres clous dans mes côtes et j'hurla. Mes yeux étaient grands ouverts, écarquillés, tellement la douleur étaient intense. Mon souffle se coupa et j'essaya de retrouver ma respiration mais ce fut un échec.

- C'est bien, tu commence à t'étouffer avec ton propre sang dans la gorge. Ta fin est proche petit humain faible.

Alors que je m'étranglais, tout s'arrêta. La ceinture, les rires du démon et les coupures à mes épaules. Je crus être mort un instant mais la douleur dans mon corps ,autant extérieur qu'intérieur sous le manque d'oxygène, me ramena à la réalité. Quelqu'un était entré suivis par d'autres personnes. Des grognement et des cris se firent. Moi, je ne pouvait même plus crier, toujours entrain d'essayer de cracher le liquide poisseux dans ma gorge. Mes yeux était fortement fermé. Les gens qui sont entrés, qui sont-ils ? Mes amis ? Des gens venus me sauvé ? Des gens se rajoutant à la partie pour me torturer ? J'en avait que faire. J'était déjà mort. Mes poumons me brûlaient tout comme l'entièreté de mon corps. C'était tellement horrible. Que quelqu'un me tue directement !

Je n'attends que sa. La mort. Ne plus voir mon père souffrir de me voir si fermé et méchant avec lui alors que je me devait de l'aidé à surmonter tout ça. Ne plus faire de cauchemars les nuits en ressassant mes vieux souvenirs. Ne plus voir les gens me dévisagé. Ne plus entendre les murmures dans mon dos dans la rue. Ne plus souffrir. Plus rien. Se serait le bonheur. Voilà pourquoi je n'ai jamais été heureux. Tout simplement parce que les vivants non pas le droit au bonheur. Seul les morts ont cette bénédiction.

C'est fou comme le fait de souffrir, nous fait dire des conneries parfois, mais ça, qu'est-ce que j'en savais que je racontais n'importe quoi ? Qu'est-ce que j'en savais que mes amis avait trouvé comment me sauver ? Qu'est-ce que j'en savais qu'on m'avait détaché et que l'ont me portait d'urgence dans une voiture ? Qu'est-ce que j'en savais que j'étais entrain de lutter pour ne pas mourir pour revoir tout mes amis et mon père ? Qu'est-ce que j'en savais que les personnes m'ayant sauvé hurlais de rage et de tristesse en me sentant partir ? Qu'est-ce que j'en savais que mes amis m'aimaient déjà ? Tout ça, je n'en savais absolument rien. Mais je savais une chose, c'est que malgré la douleur me tiraillant chaque muscles, chaque vertèbres, chaque veines, je me sentais atrocement bien. Entouré d'amis et de mon père. En pas plus d'une semaine, cette meute, ma meute, avaient littéralement changé ma vie et en bien. Ô oui, en bien mieux.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------** (Sébastian Vallet) SPOILER saison 5 !! C'est le nom de la bête du Gévaudan. Le frère de Marie-Jeanne (la première chasseuse des Argent) qui l'a tué.

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J'avais pas d'idée de nom, désolé :p Au pire, on s'en fou ?
Désolé d'avoir blessé comme cela Stiles mais je sais pas pourquoi j'adore quand il souffre et qu'on le sauve et tout le tralala. Sadique que je suis. Et oui, John était possédé MDR dans ma tête c'était : "WTF, c'est quoi c'te grosse connerie que tu nous invente là ?! Toi, arrête de fumé, tu pars trop dans des délire chelou !"

Sinon, j'espère que ce chapitre vous as plus ? Salut, J'vous aimes !

*KISS*
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PS : Désolé encore du retard mais je n'ai droit au PC que au soir et au chap' dernier j'avais perdu le morale, le temps et les idées mais ça gaze maintenant ! J'ai réussit à écrire ce chapitre en deux heures ! Troooop long pour moi ! Allez, je parle, je parle, pour ne rien dire moi ! :'( A sûrement deux ou trois jours <3