Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 42 : A


Réprimant difficilement un bâillement, je quitte mollement mon poste de sentinelle pour me diriger, comme maintenant depuis que j'ai commencé à m'occuper d'elle, vers mon humaine.

Si seulement mon frangin n'était pas autant sur mon dos pour que je bouge un peu, j'aurais pu me reposer...

Je soupire sans conviction. Ce genre de choses n'arrivera pas, je le sais, et je peux toujours courir pour jouir d'un peu de sommeil entre chacune de mes visites.

Je me frotte les yeux afin de me réveiller. Réflexe totalement inutile, étant donné que ce qui me sert de paupières, et d'yeux en général, ne fonctionne clairement pas comme pour toutes les autres créatures de chair.

Je traîne les pieds dans la neige, en soulevant un peu sur mon passage et traçant un petit chemin derrière moi.

Il faudrait que je fasse attention à ce que personne ne puisse me suivre, mais bon...

Vraiment, qui, dans tout Snowdin, aurait envie de savoir où je vais ?

À part Papyrus, je veux dire.

J'avance ainsi, à mon aise, dans ce paysage givré souterrain.

Le regard dans le vague, je m'étonne de la capacité de la végétation à aussi bien s'adapter pour grandir ainsi sans lumière extérieure, sans air extérieur, sans... sans extérieur. Sans surface.

Tout occupé que j'étais avec ma protégée, je ne réalise que maintenant que l'autre petite humaine, Frisk, n'est cette fois pas sortie des Ruines. Je ne l'ai pas croisée une seule fois, et personne d'autre ici non plus.

Étrange... Peut-être s'est-elle décidée à s'installer définitivement chez Toriel ? Voilà qui m'arrangerait bien, tiens.

Il faudrait que je sacrifie encore quelques-unes de mes précieuses heures de sommeil pour aller lui poser d'une manière ou d'une autre la question. Et prendre de ses nouvelles, aussi... Un bon moment est passé depuis que nous avons parlé pour la dernière fois que nous avons pu discuter. La pauvre, elle doit être inquiète.

Je commence à lever un peu plus les pieds, afin que s'estompent les traces de pas laissées derrière moi.

J'arrive bientôt dans ma cachette.

Un pas après l'autre, je me rapproche.

Un pied devant l'autre, j'avance.

Puis, je rentre dans ma petite caverne, et me mets directement à m'occuper de ma patiente, la nourrir, etc.

Une fois ceci fini, je m'occupe de nettoyer la tache de peinture de la dernière fois... qui semble s'être légèrement étalée sur le sol, comme si quelqu'un avait marché dedans.

"Bah, c'est sans doute moi... " je pense distraitement.

Puis je m'installe à côté du feu, et commence à lire un vieux livre traitant des humains, trouvé chez Alphys l'autre jour.

De temps à autre, je jette un coup d'oeil à la jeune fille, qui semble de plus en plus agitée dans son sommeil, avant de me replonger dans ma lecture.

Puis, sans prévenir, et alors que je ne la regardais pas, elle ouvre les yeux, avant de tenter de se relever sur ses coudes.

Je suis pris au dépourvu, n'ayant pas vraiment pensé qu'elle tenterait directement de bouger avant même de parler. Je me compose en une demi-seconde un masque, mon visage souriant de tous les jours, par réflexe.

-Si j'étais toi, je ne ferais pas ça... Ce n'est pas encore complètement cicatrisé.

Je regarde son épaule blessée en disant cela.

Mais ce n'était même pas la peine de l'avertir, car déjà elle se laisse tomber sur le dos en gémissant. Son épaule doit sûrement la tirer...

Je me lève pour me rapprocher d'elle, et m'accroupis à son niveau, puis, essayant d'avoir l'air le plus calme possible, malgré mon cœur qui commence à battre la chamade, je me présente.

-Hey, bien dormi ? Mon nom est Sans, et toi ?


-------------------------


Où étais-je ? Je n'en avais strictement aucune idée... Je ne sentais plus ni mes jambes ni mes bras... Ma tête était lourde, et j'avais l'impression que mes os étaient disloqués, mais sans faire mal, me donnant juste la sensation d'être dans du coton, oui du coton, j'étais une petite poupée désarticulée, incapable de bouger.

Ce n'était pas désagréable... Je voyais des images bouger, je les voyais floues, changeantes, incertaines, voguant au fil de mes pensées. Je voyais ma mère, je vis ma famille. Je voyais mon père, je vis mon frère. Je voyais mon frère, je me vis moi. Je me voyais moi... Je vis un gros gouffre noir de vide.

Je vis ce vide, et moi, soudain debout au bord de celui-ci, j'avais peur de tomber dedans.

J'avais peur de perdre l'équilibre, mais on me poussa et j'y tombai, et tout devint noir autour de moi.

Un noir qui faisait peur, comme celui duquel toutes les terreurs se réalisent, puis qui devint un noir agréable, doux et chaud, comme le câlin d'une couette le matin au réveil.

Puis revinrent des points lumineux, oranges, rouges et jaunes tout d'abord. Puis certains devinrent roses, verts, mauves, bleus.

Bleu comme le ciel ouvert et dégagé,

Bleu comme l'oiseau qui le parcourt,

Bleu comme les rêves délicieux,

Bleu comme l'eau qui coule,

Bleu comme la pluie qui tombe,

Bleu comme les larmes, qui roulent.

Roulent roulent roulent, sur mes joues,

Roulent roulent roulent, comme des roues,

Roulent roulent roulent, tout partout,

Roulent roulent roulent, je suis à bout.

À bout, au bout, au bout de ma vie, au bout de mon énergie.

Y en avait plus chez moi, y avait plus de lumière pour moi.

Il faisait de nouveau sombre, et je tombai de nouveau.

Sentiment de chute pareil qu'avant, les larmes en plus. Les larmes en plus, les larmes en plus, les larmes en plus.

Torrent de larmes, d'eau qui coula de mes yeux, et remplit le fond du gouffre, dans lequel je plongeai, et commençai à me noyer. Je n'avais plus d'air, j'avais froid, j'étais seule.

Seule seule seule et désespérée.

Seule seule seule et abandonnée.

Abandonnée, je n'étais plus rien, rien du tout, un gros trou.

Puis ce trou n'était pas moi, mais devant, dans la terre, et je m'y faufilai, il faisait chaud, et clair. Il faisait brun, orange, jaune, doré, il faisait doux, mousse et sable fin. J'étais au soleil sur une étendue déserte et sablonneuse, et je m'y sentais bien.

Je me mis à marcher, à avancer, avant d'accélérer et de courir. Je voulais bouger aussi vite que possible, courir tant que je pouvais, pour le plaisir de fuir, pour le besoin de foncer. Mais j'avais beau me démener, à mesure que j'avançais, à mesure que je ralentissais. J'avais l'impression que quelqu'un me retenait, que j'étais engluée, que je ne savais plus comment faire. Mes jambes étaient entravées, et je ne savais plus progresser.

J'étais figée, et je fixai le sable, mais mes pieds étaient fixes dessus, je n'avais jamais bougé.

Ma tête se faisait lourde, lourde, lourde...

Je tapai de rage dans une dune de sable, les yeux maintenant rivés sur les grains volant au vent, le mouvement se répétant encore et encore, à mesure que je le souhaitais, les grains grossissant, changeant, se modifiant. C'étaient des feuilles mortes maintenant, et elles revinrent se percher sur leurs arbres. De grands arbres, aux branches tordues et penchées, tombant par terre comme des saules, et vivant dans un grand jardin.

Un grand jardin qu'était le mien, mon ancien. Je ressentis l'urgence de rentrer dans ma maison, quelqu'un m'y attendait.

J'avançai, et ce quelqu'un c'était ma mère.

Je veux rentrer et l'embrasser, la câliner, lui parler de ma journée.

J'avançai vers elle, mais la maison se fit plus loin. Je me dépêchai, et voilà qu'elle se mit à reculer.

Non, en fait c'est moi qui courais à l'envers, et au plus je voulais avancer, au plus je reculais.

J'essayais d'accélérer, mais rien ne changeait j'étais toujours tirée en arrière.

Tirée par quelque chose, par quelqu'un, quelqu'un me tenait, ses grandes mains sur mes épaules.

Je me débattis, me dégageai, mais n'arrivai à me libérer que mon épaule gauche, lui restant un bout de peau dans sa main. Picotement léger. Je me retournai, afin de regarder mon assaillant. Mais mon agresseur, peu importe qui il était, dans l'ombre se cachait.

Ma tête continuait de s'appesantir, de peser, peser...

Je fis volte face et me rappelai pourquoi je courais, mais la maison continuait de s'éloigner.

La panique s'empara de moi, et je criai, tombai, et pleurai :

-Je veux rentrer à la maison, je veux retourner à la maison comme si rien ne s'était passé, je veux rentrer chez moi... Je veux mon frère, je veux ma mère !

Il faisait de nouveau noir, sauf une lumière vague.

Une ombre penchée au dessus de moi, j'étais couchée, l'esprit brumeux, puis disparue, partie, la silhouette.

Je fermai les yeux, perdant en légèreté, m'enfonçant de plus en plus. Drôle de sensation que celle-ci. Désagréable.

Une lumière faible, rouge, filtrait au travers de la peau de mes paupières. J'entrouvris les yeux, mais il faisait trop clair. Je les refermai, puis les rouvris un peu. Tout était flou.

Je les refermai, et les rouvris encore. Mieux, c'était plus clair.

Je me rendis compte de la présence d'un petit crépitement, et de ma bouche pâteuse.

J'ouvris grand mes yeux, et tentai de me relever.

Ouch, mauvaise idée.

Une voix se fit entendre en même temps.

-Si j'étais toi, je ne ferais pas ça... Ce n'est pas encore complètement cicatrisé.

Voix familière que celle-ci...

Je me laissai retomber avant même de comprendre ce qu'elle me disait, laissant au passage sortir un faible gémissement de ma gorge, m'étant laissée retomber un peu trop brutalement sur le dos.

Tout mon corps me donnait l'impression d'être groggy.

Un bruit. La personne qui était avec moi s'est levée, et se rapprocha de moi, avant de s'abaisser pour me parler, à la hauteur de ma tête.

-Hey, bien dormi ? Mon nom est Sans, et toi ?

Je tournai la tête dans sa direction, le regardant sans le voir pendant un moment.

Puis je réalisai à quoi il ressemblait, et ce qu'il venait de me déclarer, et je lui souris, moi aussi.


---------------------


Je me pinçai l'arrête du nez d'une main, avant de masser mes paupières, puis repoussai le tas de papiers devant moi.

" À quoi je lui sers ? "

Pensée récurrente, déjà ressassée des milliers de fois dans ma tête.

J'entendis le taré ouvrir la porte du bureau, pour se diriger vers moi, comme toujours, pile au moment où je m'arrêtais.

Je ne pris même pas la peine de tourner la tête dans sa direction.

-À quoi servira tout ce merdier que vous me faites faire ? Ces mélanges, ces machines,... Tout ça. Vous aviez dit que je comprendrais bien assez tôt, mais je n'ai toujours pas eu l'ombre de la moindre explication, ou du moindre espoir de retrouver ma sœur, peu importe le nombre de fois que je demandais. J'en ai marre de travailler sans savoir. lui lançai-je, acerbe.

Loin d'être surpris, c'est sur son horrible et habituel ton calme, qu'il me répondit.

-Pourtant, si tu n'as pas encore compris, c'est que tu-

-N'a pas encore posé les bonnes questions, je sais. Mais même quand je les pose, vous ne répondez pas, alors quoi ? Je fais quoi ? Je continue bêtement d'obéir comme je l'ai fait jusqu'à maintenant, dans l'espoir de trouver un truc pour ramener ma sœur ?

Je relevai la tête pour le regarder, et il prit une chaise à côté de moi, afin de me parler un peu plus à l'aise.

-Sais-tu au moins où nous sommes ?

-Dans le laboratoire d'un vieux taré, avec un nombre beaucoup trop grand de couloirs, auxquels je peux et ne peux pas accéder.

Il esquissa un sourire quant à ma réponse.

-Plus précisément, nous nous trouvons dans un lieu apparemment situé hors du temps, un"chrono-locus". Seul moi peux accéder à celui-ci, ou y amener des choses ou des personnes extérieures.

-Et ... ?

-Et chaque personne, pour peu qu'elle en ait les moyens, peut rejoindre son propre chrono-locus. Celui-ci, par exemple, m'est propre, et s'est modelé selon mes désirs. Mais je n'ai pu y accéder que grâce à un concours de circonstances bien particulier, et très peu, voire quasiment pas, de personnes ont réussi l'exploit que de ne serait-ce que visiter le leur. Y rester est très difficile dans un premier temps, l'endroit changeant souvent en fonction des pensées et envies de leur "propriétaire", si je puis le dire ainsi, et le déposant donc là où le mènent ses pensées présentes, mais également futures... Mais maintenant... maintenant imaginons qu'une personne perdue, apeurée et désespérée, avec sûrement gros sur le cœur, tombe sur le sien. Que se passerait-il à ton avis ?

Perplexe, je lui répondis :

-Cette personne... Je suppose qu'elle serait très vite déposée n'importe où, et... S'il y a moyen de ré-accéder par la suite à cet endroit, elle y reviendrait pour être ensuite trimbalée partout, et surtout dans des endroits connus et ayant marqué d'une manière ou d'une autre cette personne ?

-Exact. Et ce moyen existe, puisque j'arrive à ressortir d'ici pour un court laps de temps avant d'y revenir.

Je pris un temps de réflexion pour être sûr de bien intégrer ces nouvelles informations, ma main allant tripoter par réflexe mon opinel dans ma poche.

Ma sœur avait pris l'habitude de l'appeler un canif, et vu que les deux objets sont assez proches, je ne l'avais jamais réellement corrigée dessus...

Ma sœur.

En une fraction de secondes, je fis le lien entre les infos et elle.

Je fixai Gaster droit dans les yeux.

-Et elle, elle a quoi à foutre avec tout ça ? Me dites pas qu'elle a réussi à se perdre dans un chrono-locus...

Il ne prit pas la peine de me répondre, haussant légèrement le menton afin de me regarder de biais.

Je me retins de justesse de le frapper, me contentant de serrer le poing sur le manche de l'opinel dans ma poche.

-Et pourquoi ? Pourquoi l'avoir envoyée se paumer dans un truc qu'elle ne comprend sûrement même pas ??

Ma voix, sèche, exprimait bien ce que je ressentais en ce moment...

Il se leva, prit un plan qui traînait dans une armoire et le regarda, puis me répondit.

-Que sais-tu de mes projets, jeune homme ? De ma vie, des mes ambitions, ou même simplement de mon espèce ?

Je m'apprêtai à rétorquer quelque chose, mais il me coupa pour continuer sa tirade.

-Rien. Rien du tout. Tu préfères te baser sur ce que tu sais pour me juger, en tirer une conclusion. Et chaque chose que je fais, chaque action, chaque mot que je prononce te conforte encore plus dans cette fausse affirmation. Tu me vois comme une chose, un monstre, qui joue avec ta vie et celle de ta sœur comme des pions, afin d'accomplir je-ne-sais-quel plan machiavélique, et qui s'amuse, voire se délecte, de vous voir tous deux en situation de difficulté et potentiellement en danger de mort, du moins pour elle ? Tu crois à tout ça, me voyant comme le méchant, ou du moins une menace, mais en même temps ne comprends pas mon réel but, car nous n'avons jamais été vraiment présentés correctement.

Il prit une pause, reposa le plan, et alla en chercher un autre, qu'il regarda à nouveau, avant de s'avancer vers moi, le papier en main.

-Je n'en ai cure d'être vu comme le supposé méchant de l'histoire. Tout ce que je veux, c'est mener à bien mes objectifs, et peu importe à quel prix.

Sur ces mots, il déposa le plan qu'il avait en main sur la table, devant moi, afin que je puisse l'observer.

Étaient représentés dessus une grande surface ovale blanchie au crayon, bien plus longue que large, et les schémas de construction de ce qu'il semblait être différentes machines. Le tout étant annoté, barré, corrigé et entouré de partout, ce qui finissait par donner un ensemble au premier abord incompréhensible.

Un symbole était également inscrit dans un coin.

Il sortit également de sa poche un petit calepin, dont il tourna les pages jusqu'à arriver à un certain endroit, au beau milieu de celui-ci, et le déposa à côté dudit coin, qui comportait le signe étrange.

La page qu'il m'avait ouverte était noircie de calculs, et quand je la tournai, la suivante était encore pire...

-Ok, très bien, alors à quoi rime tout ceci ? À quoi sert toute cette tirade que vous venez de me faire ? C'est quoi votre objectif ? lui lançai-je.

-...Nous libérer. répondit-il.

-Hein ?

-Détruire la barrière de l'Underground, libérer les monstres et leur permettre d'enfin sortir de cette prison souterraine qui nous a été imposée.

-Mais... attendez deux secondes... vous voulez simplement sortir de là, alors pourquoi forcément briser la barrière pour partir, alors que vous avec un chrono-locus dans lequel vous pourriez les faire passer ?

Il entreprit de ranger de nouveau ses plans et calculs qu'il m'avait présentés.

-Si seulement c'était aussi facile... Ne crois-tu pas que j'y aie déjà pensé en arrivant ici pour la première fois ? Cela aurait été le plan parfait, mais un problème s'est vite posé. Cet endroit, ici, est sensible à la magie, et un surplus pourrait causer de graves dégâts, tels que la disparition de la réalité la plus proche, soit, détruire complètement le monde vers lequel un portail allait s'ouvrir. Et les monstres, au contraire des humains, sont entièrement composés de magie à l'état pur. Et l'inconvénient dans un endroit comme celui-ci, c'est qu'ils... comment dire cela... laissent une marque magique, une trace, de leur passage. Moi-même, j'en laisse, mais comme je suis le seul monstre ici, il n'y a aucun danger. Le vrai risque arrive à partir de 8 monstres différents ayant une fois passé l'endroit.

-Donc... si je comprends bien, hein... il y a comme un compteur de monstres qui passent dans le coin, et quand le maximum est atteint, ça risque de péter, c'est bien cela ?

Toute mon attention lui revenait, maintenant que j'avais enfin droit au fin mot de l'histoire.

-C'est très grossièrement dit, mais oui. C'est donc pour cette raison que j'ai besoin de toutes ces machines et ces mélanges. J'essaie de créer une force assez puissante pour détruire la barrière qui retient mes semblables enfermés.

Quelque chose clochait, dans ce qu'il venait de m'expliquer, mais je ne savais quoi. Il semblait parfaitement honnête quant à ses objectifs, et pourtant j'avais l'impression de ne pas connaître toute la vérité.

Je lui demandai, sceptique :

-Et... Qu'est-ce que je viens faire, dans tout ça ?

-J'ai besoin de quelqu'un pour me seconder, et me proposer un autre angle de vue par rapport à ma recherche. Comme tu l'as compris, il est mieux qu'il s'agisse d'un humain... et il est encore plus préférable que ledit humain soit proche du sujet A.

-Le sujet A ? C'est quoi ?

-C'est qui, plutôt, devrais-tu te demander. Le sujet A, est justement la force que je cherche à avoir afin de briser la barrière. C'est la raison pour laquelle je te fais mélanger sans cesse ces échantillons, et travailler sur ces machines. Car tu la connais mieux que moi, et que j'ai besoin d'elle pour arriver à mes fins.

Je me sentis pâlir d'un coup.

Le sujet A...

Oh non non non non ça ne peut pas être possible non non enfoiré non !

Merde !


*****************************************

Hello les gens !

Vous avez passé de bonnes vacances ?

J'ai mis pas mal de temps à écrire ce chapitre, car j'ai vraiment voulu (pour la partie du point de vue de mon héroïne, surtout) faire quelque chose de compréhensible, mais en même temps où j'allais un peu plus dans les détails de ce que je voulais faire. Aussi, j'ai trouvé enfin vers quelle fin (précisément, je veux dire), j'allais me tourner, et donc tout ce qui sera en jeu à ce moment-là.

Enfin brefuu ! Je ne le dis pas assez, mais n'hésitez pas à voter si ça vous a plu, commenter si vous avez vraiment surkiffé et/ou que vous avez un truc à me dire (critique, encouragement, remarque, question de compréhension), etc :3

Voilà voilou,

Je souhaite une bonne rentrée à ceux pour qui c'est bientôt le cas,

Et à la prochaine !

Saluuut ! :3


Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro