[Je vais classer cette partie en tant que remarque, puisque c'est une réflexion que je me faisais plutôt qu'un véritable événement qui m'est arrivé.]

Aujourd'hui comme demain, je suis une otaku. Ce qui signifie, globalement, que je m'empiffre de mangas a longueur de journée. En ce moment je suis plutôt manga papier, mais regarder les animés n'est pas mal non plus, hein ?

Bref, le fait est que quand on a plus un bon shonen a se mettre sous la dent {aka Nanatsu no Taizai et One Piece qui sont en pause cette semaine T-T}, on finit bien vite par se rabattre sur les shojos. Et... Ah, les shojos, quelle histoire.

Pour ceux qui ne sauraient pas, les shojos sont une catégorie de manga réservée aux jeunes filles. Vous imaginez bien que dedans on ne va généralement pas tomber sur une bonne baston entre bros, mais plutôt sur Terrence, le beau gosse dragueur, qui se met subitement a surkiffer la reclue de la classe pour une raison obscure.

On t'a à l'oeil Terrence.

Quoi qu'il en soit, on finit toujours par tomber sur ce genre de scènes, je veux bien sûr parler du fameux « je te plaque au mur (ou au sol au point ou on en est) pour te faire respirer mes arômes virils ». Un classique.

Et c'est la que survient ma réflexion : qui garderait les bras contre le corps dans ce genre de situation ?

La logique voudrait quand même que la fille essaie au moins de lever les bras, histoire de tenter de le repousser à défaut de lui coller un pain.

Perso, l'honneur m'aurait déjà fait empoigner la chemise de mon agresseur pour lui faire passer l'envie d'instaurer un contact physique avec moi.

Mais non, bien sur, les hormones du mâle sont bien trop puissantes alors elle ne bouge pas et rougit. Profite du moment, ma chère, on ne se fait pas agresser tous les jours !

Terrence pourrait bien enlacer un tronc d'arbre pour ce que ça change.

Ne vous y trompez pas, j'adore les shojos au même titre que les autres mangas. Mais ils nous poussent souvent a nous poser cette question :

Dans quelles circonstances une même action peut elle être considérée comme répressible ou au comble du romantique ?