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Prologue


Je courrai sans m'arrêter pour la sauver, je ne pouvais pas la laisser se faire prendre à cause de lui. Ce n'était pas mon problème s'il ne l'aimait pas, s'il n'avait pas confiance en elle. Même si c'était mon meilleur ami, elle nous était vitale à tous les deux mais aussi à tous les autres comme nous.

J'arrivai enfin à l'endroit indiqué par mon téléphone mais elle n'était pas là, elle ne devait pas avoir son portable sur elle.

Je repartis en courant, je n'avais pas de temps à perdre.

Sans que je ne sache d'où il sorte, mon meilleur ami arriva. Il me dit :

_Bouge-toi, elle est là-bas.

Nous courions maintenant tous les deux en essayant de ne pas se faire voir par les autres à cause de notre vitesse. On arrivait devant une ruelle où je pouvais l'entendre crier :

_Laissez-moi ! Vous ne m'aurez pas !

Je fis signe à mon meilleur ami de monter sur le toit d'à côté. Arrivant sur celui-ci, nous sortions nos armes et nous tirèrent sur les hommes.

Nous sautèrent en bas et nous nous battirent avec eux, et elle, elle fit de même. Nous étions très organisés, je mis deux hommes à terre puis nous partions.

On courrait maintenant pour essayer de leur échapper mais lorsque l'on arrivèrent au bout de l'autre rue, nous étions encerclés.

Je crus voir mon meilleur ami réussir à partir mais je n'étais pas sûr.

Ils nous emmenèrent.

***

Nous marchions depuis un moment dans un long couloir blanc qui paraissait interminable. Nous arrivions enfin à sa fin et les hommes qui me retenaient, ouvrirent la porte.

Nous rentrions dans une pièce et je croisai le regard d'une femme qui elle détourna de suite les yeux. Je ne pouvais donc rien faire avec elle.

Elle dit :

_Cachez-lui ses yeux avec quelque chose.

Alors qu'elle prononçait ces paroles, je fixai l'un des gardes qui pointait son arme vers moi puis il la dirigeait vers lui et se tira dans le crâne. Tout cela causa un brouhaha énorme et tout le monde se mit à s'agiter ; j'en profitais donc pour courir.

Je courrai, encore et encore pour la retrouver. Je n'avais aucune idée d'où elle était mais je devais la retrouver.

Je m'arrêtais devant une porte qui était fermée, je donnai un coup de pied dans celle-ci et elle s'ouvrit sous ma force. J'entrai dedans mais je n'y trouvai que des bureaux vides. Je pris un uniforme de garde que je mis pour ne pas me faire reconnaître.

Je marchai maintenant lentement et je croisai une jeune femme qui me fixait du regard. Je fis de même et elle me dit :

_Salut toi, tu es nouveau ?

_Bonjour demoiselle, oui.

_D'accord et, que je cherche-tu ?

_Une très grande amie, lui répondis-je en la fixant du regard.

_Euh... Très bien, suivez-moi.

Je la suivais donc. J'avais plutôt confiance en moi.

Elle m'amena dans une salle mais elle n'y était pas.

_Je, je ne comprend pas elle devrait être là !

Ils avaient dû deviner que j'allais user de mon don pour la retrouver.

Je me retournai et quelqu'un m'attrapa.

***

Je me retrouvai enfermé dans une pièce, la même que celle que la femme m'avait emmené.

Une personne entra :

_Mettez-lui les électrodes sur la tête et commencez tout de suite, il est trop dangereux.

Un garde me mit donc des électrodes sur la tête et mit en marche une machine. Je pensais que ça allait me faire souffrir mais pas du tout. Je ne ressentais rien.

Je ne savais pas ce qu'ils voulaient me faire avec ça mais c'était très étrange.

Au bout de vingt minutes, ils arrêtèrent et sortirent de la pièce.

Je m'approchai de la porte et tentai de l'ouvrir mais elle était blindée. Je tapai encore et encore jusqu'à ce qu'elle se mette à bouger un peu mais quelque chose derrière la bloquait.

Je me rassis donc et j'attendis sagement, très sagement oui.

Un homme rentra dans la pièce environ dix minutes plus tard, je réussis à courir et lui prendre son arme mais un autre rentra et me retourna par terre.

_Amène Sonia et dis-lui que ça n'a pas marcher sur lui.

Cette Sonia était la première femme que j'avais vu. Elle me regarda en arrivant et dit :

_Accrochez-le et torturez-le. Nous allons voir s'il ne veut pas coopérer après ça.

***

J'étais maintenant décoré d'ecchymoses, de plaies, de brûlures et de mutilations. J'arrivai à peine à garder mes yeux ouverts, la douleur, la fatigue et la sous-alimentation me rendait extrêmement faible.

Il voulait que je coopère mais je ne voulais pas et, de toute façon, je ne pouvais pas ; ce qu'ils essayaient de me faire ne marcherait jamais sur moi.

L'un des hommes revint puis me dit :

_Prépare-toi à coopérer cette fois-ci ou tu subira quelque chose de pire encore que ce que nous venons de te faire.

Il m'amena encore une fois à cette fichue machine, me remit les électrodes et me re-balançait dans ma cellule. Sonia re-rentra, je la regardai et elle s'exclamait :

_Bordel ! Ca ne marche pas ! Emmenez-le dans l'Enfer, nous verrons plus tard ce qu'en pense la Nation.

***

Ils m'accompagnaient jusqu'à une salle et m'accrochaient au sol avec des chaînes pour que je ne puisse pas m'échapper.

Je ne savais pas où est-ce qu'ils allaient nous emmener cette fois-ci.

Il y avait en face de moi une porte blanche, les murs étaient faites de verre, je pouvais voir à travers ce qu'il se passait dans l'autre pièce. Il y avait une autre personne, une femme.

Je criai :

_Est-ce que ça va ?

Ses yeux gris se tournèrent vers moi et j'en fus encore une fois transpercé, elle était là à côté de moi et je ne pouvais rien faire.

Elle me regardait avec tellement d'incompréhension que cela me faisait mal au coeur, j'essayai de la rassurer en lui faisant des signes mais rien n'y faisait, elle restait paniquée ; ce n'était pourtant pas à son habitude.

Une voix se mit à dire dans des hauts-parleurs :

_La Nation vous voulait, elle voulait que vous vous battiez pour elle, pour reprendre possession de ce monde. Vous en avez décidé autrement, nous aussi. Battez-vous pour quelque chose, battez-vous pour survivre dans l'Enfer, c'est votre seule chance de ne pas mourrir.

Mon « amie » me regarda, leva la main et me fit le signe du chiffre deux puis je m'évanouis.

***

Je me réveillai lentement sans ne savoir où j'étais ni qui j'étais. J'arrivai à peine à ouvrir les yeux mais quand je réussis, je vis que je me trouvai dans une forêt, dans l'Enfer.

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