chapitre 11
Nous venons de finir de manger. J'en ai profité pour prendre un mouchoir à Sakusa pour essuyer mon couteau, j'ai également repéré un petit ruisseau non loin de l'endroit ou nous nous sommes fait attaquer, j'y suis allé pour me retirer le sang de l'autre qui voulais bouffer les jumeaux. Je disais donc que l'on reprit notre route en direction du nord. Le temps commence légèrement à se gâter de gros nuage sombre débarquent au-dessus de nos tête, l'air devient plus lourd, cela sens l'orage. Je ne suis pas le seul à l'avoir remarqué Kita ainsi que Iwaizumi commencent à froncer les sourcils
Iwaizumi : Je crois qu'il va falloir que l'on se dépêche de trouver un endroit à l'abris, car l'orage va pas tarder à éclater.
Et pour confirmer ses dires un bruit sourd résonne dans l'air. Une, deux, trois gouttes tombes sur ma tête puis le déluge. Super manquait plus que ça.
on se met à courir pour trouver un arbre assez imposant capable de nous protéger ou trouver la sortie de cette forêt.
On va plutôt opter pour la deuxième option, car la forêt est constitué en grand partie de boulot et il est difficile de s'abriter en dessous surtout que les arbres sont réputé pour attirer les éclaires donc il vaut mieux sortir le plus vite possible.
Nous voyons le bout qui laisse place sur un minuscule hameau. Ce sera toujours mieux que rien. Nous venons enfin quitter la forêt et courront le plus vite possible vers une petite bâtisse abandonnée. Nous nous engouffrons à l'intérieur.
On reprend tous notre souffle dû à notre sprint.
Kita : Restons ici le temps que le temps se calme.
On hoche tous la tête.
On se pose pour discuter un peu tous ensemble et aussi se sécher. Je vais vers la fenêtre pour voir un peu l'endroit ou nous trouvons. Je dirais à vue de nez, il y a une vingtaine de maison. La plus pars sont en bon état, mais il y a de grosse trainer de sang sur les murs, les fenêtres sont cassées à certaines maisons et il y a de longue trainer de pas dans la boue qui a commencé à se former du à la pluie comme s'il y a eu du passage de plusieurs personnes il n'y a pas longtemps. Ça m'inquiète mon pressentiments reviens comme la dernière fois avec les jumeaux et je n'aime pas ça du tout. Je regarde méticuleusement la forêt qui se trouve en fond. Je la fixais toujours quand je voie un fringaleux passer à une trentaine de pas de la fenêtre.
Moi : FERMEZ LA!! Dis-je en chuchotant, mais relativement fort pour qu'ils m'entendent.
Ils arrêtent tous leur discutions et me regarde étrangement. Je les regarde légèrement paniquer tout en leur intimant le silence et pointe la fenêtre, ils s'approchent prudemment de celle-ci et vois le fringaleux. Ils prennent tous un regard horrifier. Je trouve leur réaction légèrement surréagi donc je décide de regarder à nouveau à la fenêtre, mais ce que je vois n'est pas un fringaleux mais un quinzaine d'entre eux. On est dans une merde profonde.
Le leur fait un signe de cacher la vitre pour éviter qu'ils nous repèrent. Ils vont dans la chambre et reviennent avec les draps, je les prends délicatement et avec l'aide d'Aran, on essaie tant bien que mal de les accrocher. On les entend longer la bâtisse, je sens le stresse monter en moi. Les autres sont dans un peu près le même état que moi, j'essaie de contrôler ma respiration. Ils sont combien ce n'ait plus un quinzaine de fringaleux mais sûrement un cinquantaine à ce stade-là.
Personne ne bouge dans la pièce, on est tous coller au murs de la baraque. On a tous pris notre arme en cas de problème. Pour le moments le plan est de laisser passer la vague, mais au moindre soucis on va devoir sortir et tous les butter ce qui est extrêmement risqué.
Oikawa essaye de se coller le plus possible à Iwaizumi, presque à l'étouffer, lui ne dit rien trop occuper à organiser ses pensées je suppose. Les jumeaux son très calme Sakusa est au milieu d'eux, Atsumu a pris discrètement la main de ce dernier. Aran et Kita se trouvent à ma droite, ils gardent leur sang froids cela ne m'étonne pas d'eux. J'essaye de regarder légèrement pour voir comment cela se déroule dehors, et j'avais bien raison, ils sont extrêmement nombreux. Je continue d'observer quand un passe pile devant moi, je me baisse aussi vite priant pour qu'il ne m'ait pas vue, je peine à retrouver un respiration régulière, je tremble les autres me fixe, j'avale ma salive, toujours paniquer et leur fait un signe négatif de la tête pour leur dire qu'il y en aDe encore.
Je sens une ombre dans mon dos ne me dite pas que le fringaleux m'a surpris, on le devine aisément à travers le draps. Il attend devant comme si il attendait le moindre signe qui pourrait trahir nôtre présence, on retient tous notre respiration. Il reste planter là une poignée de seconde puis fini par disparaitre.
Ils cognent toujours contre la maison. Au bout d'une dizaine de minutes on entend les bruits s'atténuer on attend encore un peu avant de jeter un œil dehors, au bout d'un moments je relève la tête et constate qu'ils sont partie et qu'il ne reste juste plus que la trace de leur le passage. Je me retourne.
Moi : ils sont partis.
Toute la pression accumuler retomba.
Atsumu : c'était quoi ce bordel !?!??
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Bonsoir bonsoir
chap du soir comme promis hehe
Alors on avance j'essaye de faire assez réaliste de se qui pourrait éventuellement se passer en période apocalyptique mais j'ai un peu de mal.
Je vous avoue pas trop aimé se chap, je pense qu'il est très long pour pas grand choses mais bon il va pas mal m'aider pour la suite donc bon.....
Votre avis ?
Sûr-ce je retourne écrire un peu.
Emma 🌚(noya pour les intimes)🌝
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