- Aide moi Andrea je suis en retard déjà.

- Tu n'es pas en retard Alia, c'est dans deux heures ton rendez vous !

- Justement, je sais déjà que je serai en retard.

- C'est pour ta robe que tu as besoin d'aide ?

- Oui, je dois prendre ma douche, nos robes sont au pressing, ma coiffure est loin d'être prête, sans parler du maquill...

- Comment ça nos robes sont au pressing ?

- Ben j'en ai vu une bordeaux et la même en rouge vif et je me suis dit que la deuxième t'irais à merveille donc j'ai prit les deux.

- Ça n'a rien à voir avec mon père qui me dit de bien m'amuser ce soir sachant que Antoine est en Europe le soir de la st Valentin par hasard ?

- Non. je ne vois pas du tout de quoi tu parles, je mens. Même si je t'ai acheté la robe c'est juste pour que tu pense à la soirée de malade que me réserve Tim pendant que tu seras accrochée à ton téléphone dans ta chambre.

Andrea saisi mon téléphone, s'arme d'un coussin, et malgré mes vaines tentatives pour le récupérer, elle tape le code qui déverrouille mon téléphone. J'abandonne l'idée de cacher ce que j'ai à cacher et elle trouve rapidement les messages que j'ai échanger avec son père. Ce dernier pense que je lui fais la surprise d'une pyjama partie car je serais absente pour son anniversaire. Andrea n'est pas stupide et sait pertinemment que je passe la soirée avec Tim. Elle n'a donc pas besoin de faire défiler les messages d'Antoine pour comprendre qu'il n'est pas à Paris mais qu'il est toujours en ville. Quand elle comprends qu'elle va passer la st valentin avec celui qu'elle aime, son état est euphorique. Quand je parviens à la calmer, c'est à dire trente minutes après qu'elle ai saccagé ma chambre, elle me regarde d'un air sérieux.

- Mais alors, tu as raison, on est en retard, s'écrit elle.

- D'une demi-heure supplémentaire maintenant, oui.

- Il faut, je dois, les robes... Comment on va faire ?

- Je vais envoyer quelqu'un chercher nos robes. Pendant ce temps toi tu file sous la douche et moi je prendrais celle de mon père.

- D'accord, dit elle en se précipitant sous la douche.

Pendant ce temps j'ai demandé à Fred d'aller nous chercher les robes. Je me suis lavée dans la douche rattachée à sa chambre. Quand je suis sortis, j'ai admiré la photo de ma mère , toujours posé sur la commode. Son trait d'eye-liner étire ses yeux comme ceux des chats. Une légère touche de gloss rosé affine ses traits, Je sais désormais comment je veux me maquiller ce soir deux emballage blanc était posés sur le lit. Andrea a déjà ouvert la fermeture éclair du sien et admire sa robe. Je l'aide à l'enfiler et ferme les attaches du dos. La robe rouge met en valeur son teint bronzé et le vif de la robe fait ressortir ses pupilles marrons alors qu'elle n'est même pas encore maquillé. Elle est magnifique.

Je déballe la mienne et tente de l'enfiler quand la porte d'entrée sonne. J'entends Fred laisser entrer les garçons. Ils nous attendent en bas. Le connaissant, je sais qu'il ne va pas les laisser seuls mais qu'au contraire il va essayer de les analyser en posant des questions. Andrea attache ma robe et je fais le trait d'eye-liner rapide. Sauf que "vite et bien" n'allant pas ensemble, je dois me démaquiller et tout remettre en ordre. Andrea attrape un de mes rouge à lèvre et se l'applique aussitôt. Il convient parfaitement à la couleur de sa robe. Je termine mon maquillage et nous hésitons sur la coiffure. Cela doit déjà faire un quart d'heure que les garçons nous attendent alors on doit se dépêcher.

J'opte pour laisser mes cheveux détaché sur mes épaules et Andrea se les attache en que de cheval. Ça nous donne à toute les deux un air provocateur et séduisant. Parfait pour la st valentin donc. Nous enfilons chacune des escarpins noir et rouge et descendons les marches des escaliers sous les regards approbateurs des garçons et le regard désapprobateur de Fred à mon égard.

- Je croyais que la st valentin c'était pour célébrer l'amour pas pour afficher votre dépendance au sexe devant tout le monde. Et vous les garçons refermez vos bouches on dirait que vous allez perdre votre mâchoire.

- Papa ! on va juste au restau !

- Oui au restau puis tu ne rentrera pas ce soir, je connais déjà la suite de ta soirée chérie. Bon amusez vous bien les jeunes et surtout, Pas trop de bêtises...

- Je t'aime à ce soir !

- Moi aussi Alia.

Fred tire alors Tim par la manche tandis qu'on s'avance dans l'entrée.

- Si tu fais du mal à ma fille je te tue c'est compris ?

- Ça n'arrivera pas monsieur, réponds Tim fébrilement.

- Tu n'as pas intérêt.

- Papa ! tu lui fais peur, arrête enfin.

J'ai peut-être un peu exagéré sur le nombre de fois ou j'ai dit le mot "papa" mais c'était d'une part pour leur faire comprendre que c'était vrai et d'autre part, pour essayer d'y croire moi même.

Tim, Antoine et moi, avons décidé de passer le début de la soirée ensemble puis de finir chacun de son coté. Nous allons donc au restaurant, puis les garçons nous réserve une surprise. C'est eux qui ont tout organisé, il n'ont rien voulu me dire. Tim me tient la portière arrière gauche avant d'aller s'installer devant moi. Antoine est au volant ce qui fait que je me retrouve assise aux cotés d'Andrea.

La musique retentit dans la voiture et nous dansons sur le trajet qui mène au restaurant. L'ambiance festive annonçait déjà que la soirée serait bonne.

Le restaurant gastronomique était tel qu'à mon premier rendez vous avec Tim : magnifique. Nos robes ne faisaient pas trop vulgaire et le repas était super bon.

Ils ont commandé une bouteille de vin rouge qui se mariait très bien avec le plat de truffes que j'ai commandé. Après avoir bien bue, bien mangé et bien rigolé, nous sommes remonté en voiture. Cette fois Tim s'est assis à coté de moi pour me bander les yeux quand nous arriverons à la destination surprise.

- Alia, me susurre t'il, Je sais que ce n'est pas comme ça que nous avions prévu la soirée mais...

- C'est parfait quand même. On est entre nous avec mes deux meilleurs amis, je ne peux pas rêver mieux, le rassurais-je.

- D'accord, si tu es contente alors moi aussi. Allez viens la, on arrive.

Je me penche près de lui, il dégage mes cheveux de mes épaules et passe le bandeau sur mes yeux. Ayant peur de me faire mal, il resserre le nœud délicatement. Quand il est sur que je ne vois plus rien, il passe un autre bandeau sur les yeux d'Andrea. Enfin, la voiture se gare. Les garçons nous portent jusqu'à un sol bétonné et nous demande d'attendre là, en gardant les yeux bandés. Nous nous exécutons et attendons une dizaine de minutes. Quand ce temps est écoulé, nous entendons une sonnerie retentir suivie de la voix de Tim puis de celle d'Antoine.

- Vous pouvez à présent retirer votre bandeau.

- Comme vous pouvez le constater nous ne sommes pas avec vous.

- C'est pourquoi il va falloir nous trouver.

- Les instructions sont dans l'enveloppe qui se trouve sur le bureau face à vous.

- Bon courage !

Après avoir retiré nos masques, constater que c'est un microphone qui parlait, nous nous sommes rendu compte que nous étions dans un bureau. Il ressemblait beaucoup à un bureau de proviseur mais les lieux semblaient abandonnés depuis longtemps. Malgré la fenêtre qui était resté ouverte, nous étions plongé dans une pénombre la plus totale. Andrea m'attrapa la main et nous lûmes la lettre qui nous était adressé.

A & A,

Si vous êtes ici c'est que vous pensiez avoir une surprise de rêve. Mais il n'en est pas question.

Comme vous avez pue le remarquer, nous sommes dans un lieu abandonné, un lycée plus précisément.

Votre mission consiste à nous retrouver mais nous ne serons pas ensemble. Nous voulions apporter un peu de piquant à la soirée j'espère que ça vous plaira.

Et surtout n'oubliez pas, pour trouver l'As, il faut d'abord trouver la tache.

Bisous, Tim et Antoine ♥

Nous regardons un instant puis décidons de passer par la porte qui mène à l'extérieur. Un début d'excitation nous enivre quand nous débouchons sur un long couloir mal éclairée.

- Par ou on commence ? Je demande.

- Je sais pas, mais je t'avertis, il est hors de question qu'on se sépare.

- Je suis à 100% avec toi.

- Remontre moi la lettre, ça veut dire quoi la dernière phrase ?

- Je ne sais pas, c'est un indice mais alors, je ne comprends rien.

- Je pense qu'on devrait chercher s'il y a une tache sur les murs et ça devrait nous mener vers l'As.

- L'as est une carte, c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin Andrea.

- Commençons par la tache alors.

- C'est ce qu'ils nous conseillent de faire alors allons-y.

Sur ces quelques mots, nous suivîmes le couloir lugubre en nous tenant la main. Pour se sentir moins seules, nous avons rapidement mis de la musique ainsi qu'allumé les lampes torches de nos téléphones. Nous avons ouvert toutes les salles du rez de chaussé sans rien trouver. Un plan du bâtiment nous indique qu'il y a en tout 2 étages supérieurs.

Toujours collé l'une à l'autre nous sommes donc monté au premier étage. Seul le bruit de nos pas résonnaient en écho avec la musique émise. La lumière de nos téléphone n'étant pas d'une grande aide, nous l'avons retiré.

La porte 101 à attiré notre attention à cause d'une tache rouge semblable à du sang. ils ont vraiment une grande imagination et se sont donné à fond pour le concept intriguant et effrayent de cette partie de cache-cache. Nous avons ouvert la porte pour trouver une salle de classe avec une issue de secours de l'autre coté de la salle. Sur un bureau au milieu nous attends ce qui ressemble de loin à un paquet de carte. Andrea avait raison. Leur indice était nul au final. Nous ouvrons donc le paquet et nous mettons activement à la recherche des as. Les as de pique et de trèfle n'ont rien donné. Le jeu étant désordonné, nous mettons plus de temps à trouver. Quand je trouve l'as de carreau ne comporte rien, je comprends que l'as de cœur doit contenir une information. Nous sommes à la st valentin après tout.

Quand nous avons enfin trouvé la carte, nous nous sommes empressées de la retourner. Au dos un symbole que je ne connais que trop bien orne la carte. Une encre de marine. mon cœur se serre. Qu'est ce que ça signifie ? Andrea me regarde l'air aussi perdue que moi. Qui d'Antoine ou de Tim est au courant ? Et surtout, qui des deux me harcèle ? Une énorme masse d'ombre se dirige vers la porte d'entrée. Nous reculons vers la porte de sortie quand nous entendons du bruit derrière celle ci. Tout à coup, de dizaines de personnes vêtus de noir et portant une cagoule nous encerclent. Andrea m'attrape le bras pour se protéger mais je ne suis pas capable de la protéger face à autant de personne. Je ne suis même pas capable de me protéger moi-même. Les personnes cagoulés montrent alors leurs poignets, tous, tatoués d'une encre de marine. Ils s'avancent de plus en plus sur nous. Nous n'avons nul part ou aller si bien que nous nous recroquevillons sur nous même. A genou, nous en venons aux larmes puis une des personnes m'attrape par les cheveux tandis qu'une autre saisie Andrea de la même manière. Je me débat mais rien n'y fait. Je réussis avec ma jambe à immobiliser partiellement mon agresseur, mais un autre me prends dans ses bras pour m'empêcher de bouger. Les personnes se décalent afin de laisser passer quelqu'un, lui aussi cagoulé, portant une batte de base ball. Andrea ne cesse de hurler à mes cotés mais quand elle voit la nouvelle personne, plus aucun son ne sort. Elle se demande sûrement ce qu'il se passe. Elle regarde la batte avec dégout comme si elle se demandait s'ils oseraient. Son agresseur relâche alors sa prise et à ma grande surprise, elle lui envoi un coup de coude dans l'estomac avant de se tourner pour lui envoyer un coup de pied dans la mâchoire. J'en étais sure, elle est le deuxième agent. Avant même qu'elle n'ai le temps de se retourner, elle est neutralisé par trois agresseurs. Le dernier agresseur se place derrière elle et lui envoie la batte dans l'arrière de sa tête. Elle tombe raide par terre. L'agresseur se tourne alors vers moi, me réservant le même sort. Je ne me débat même pas quand il se place dans mon dos et maintient la batte en l'air. Le coup est violent, assourdissant. Mes yeux se ferment et mes pensées s'en vont.

Le sang qui coule de sa tête est aussi vif que son rouge à lèvre. Je me relève paisiblement dans la salle de cour. Rien n'a changé, excepté que les agresseurs sont partis, emportant avec eux le jeu de carte. La seule preuve que j'avais. Andrea ouvre à moitié les paupières avant de les refermer. Je me laisse tomber à ses cotés et essaie de la relever tant bien que mal. Elle rouvre les paupière et me demande ?

- Vaut mieux partir avant qu'ils ne reviennent c'est ça ?

Je confirme d'un hochement de tête. Dans la salle nous trouvons des chiffons qui devaient servir à effacer le tableau. Nous les roulons en boules et les tenons fermement sur notre crâne. Après de longues minutes à essayer de se relever, nous parvenons enfin à quitter cette salle.
Le spectacle que nous offre le couloir est effrayant. Il y a du sang de partout qui mène au deuxième étage. Pensant à Tim et Antoine, nous décidons de monter. Nos téléphones sont à présent éteint, par manque de batterie. C'est Tim que l'on trouve en premier, allongé en haut du couloir. Il a visiblement subi le même traitement de faveur que nous. Je le réveille et il semble d'abord étonné de me voir, puis soulagé de me savoir en bon état. Il n'a visiblement pas vu le sang qui coule de l'arrière de ma tête.

- Qu'est ce qui s'est passé ? Demande t'il en poussant un gémissement ?

- On s'est fait attaqué, piégé... je réponds. C'est qui qui a écrit cette lettre ? Je demande en tenant fermement la lettre qui nous a mené au désastre.

- Moi, pourquoi ? Vous pensez que ça à un lien avec l'attaque ?

- C'est cette lettre qui nous a mené à nos agresseurs donc oui, réponds Andrea. Où est Antoine ?

- Comment ça ? La lettre vous indiqué de trouvé la Tache, moi, pour ensuite trouver l'As Antoine. c'est par rapport à la première lettre de mon prénom, vous ça commence tous par un A alors que moi non, je fais Tache. Comment ça a pue vous mener à vos agresseurs ?

- Alia, explique lui, moi je pars chercher Antoine.

- Non tu ne vas pas seule la.....

Sans m'écouter, elle s'est déjà élancer dans l'ouverture des salles. J'explique brièvement à Tim ce qu'il s'est passé et Andrea revient avec Antoine, aussi mal en point que nous autres. Nous sortons de ce bâtiment cauchemardesque et regagnons la voiture. Andrea, qui s'est manifestement remise plus vite que nous, prends le volant. Ne voulant pas qu'elle ai d'accident due au traumatisme, Tim l'a convaincu de rester dormir chez lui, tous ensemble. Il a due insister pour lui faire entendre raison, mais quand elle a vu qu'Antoine et moi le soutenions elle a abdiquer.

J'ai préparer un thé chaud et avec une vieille recette, nous avons fait des brownies pour nous changer les idées. Enfin on a mit un vieux dessin animé, scoubidoo, mangeant nos pâtisseries sous la couette. Andrea a fait semblant de n'avoir aucune idée d'où provenait l'attaque. J'ai simulé aussi ne pas savoir, et les garçons en on déduit que c'était des inconnus voulant nous faire peur. Si Andrea n'en parle pas ça m'arrange. Je n'ai pas le droit de parler à qui que ce soit de mon emploi et visiblement, elle semble aussi à cheval que moi sur le protocole.

Quand je m'éclipse sous la douche, mon téléphone à chargé. je le rallume et découvre, sans grand étonnement, un message de mon harceleur. Il s'agit en réalité de plusieurs photos suivi d'un texte. La première photo me représente sous la douche. La deuxième se situe au restaurant, il y a quelque heures. On me voit en train de me remettre du gloss dans les toilettes. La photo à d'ailleurs été prise depuis les toilettes. On voit l'entrebâillement de la porte à peine close. La dernière photo nous représente, moi et And, dans le couloirs ensanglantée.

Le texte qui accompagne ces photo est le suivant :

Tu comprendras que tu es à moi, totalement, et à personne d'autre. Depuis quelques semaines je t'ai laissée tranquille mais je n'apprécie guère que tu sois aussi proche avec des gens. De plus il ne savent rien sur toi. Qu'est ce qu'ils diraient si ils savaient ? Si tu ne veux pas avoir à le découvrir il faudra que tu joue selon mes règles. Tout à l'heure n'était qu'un bref aperçu de mes compétences.

Je repose le téléphone et m'en vais sous la douche. Cette personne est vraiment dangereuse et pas seulement envers moi. Le pire c'est que plus le temps passe, plus mes incertitudes sont grande quant à son identité.

Je regarde le sang couler sous mes pieds. Ce mélange de sang et d'eau qui n'en finit plus me fais frissonner. J'attrape une serviette et me sèche rapidement. J'enfile ensuite un tee shirt que m'a prêter Tim. Ce dernier m'attends derrière la porte l'air inquiet.

- J'ai sacrément eu peur cette nuit, m'avouât il.

- Oui moi aussi. Mais maintenant ça va mieux.

- Oui... Dans toute cette pagaille j'ai oublié de te dire, tu étais magnifique ce soir.

-Merci Tim. Toi aussi, tu étais parfait, comme d'habitude.

- Oh allé ne sois pas aussi romantique. Il doit bien y avoir un moment où tu ne m'as pas trouvé parfait !

- Maintenant que t'en parle, quand t'étais allongé dans le couloir t'étais pas top top. Normalement c'est au gars de venir en aide à la fille et pas l'inverse.

- Oui c'est vrai, je vous fait mes plus plates excuses très chère.

- Excuse acceptées. Ils font quoi Andrea et Antoine ?

- Ils sont partis dormir dans la chambre de mes parents.

- On y va ? Je commence à fatiguer.

- Avec plaisir mais avant, j'ai une question.

- Je t'écoute.

- Bon voila, il me reste deux places en direction du Mexique dans une semaine. Ça te tente un Spring Break ?

J'espère que ce chapitre vous a plus même s'il est un peu long, je voulais vous le poster hier soir mais mon ordi à planté donc j'ai du tout réécrire.. Bref j'espère surtout que cette histoire vous plait (d'ailleurs n'hésitez pas à voter pour ça me ferait plaisir ♥) Sinon j'ai quelques petites questions, quels sont les personnages que vous aimez bien ? Avez vous une idée sur l'identité du harceleur ? Est ce que des choses vous dérange, que vous n'aimez pas, des personnages... ? Dites moi tout j'ai hâte de lire vos commentaires !!

Bisous d'amour ! ♥ ♥