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Chapitre 2 : Deviens pire que le monstre

Cameron 

Les jeunes effectuent un mouvement de recul devant mon regard devenu froid et cruel. Leur panique aurait pu m'attendrir. S'ils n'avaient pas essayé de me tuer juste avant. Ma lame la plus particulière vient prendre place dans ma paume de main. Composée de fer fondu avec de l'azalée, un coup bref retire les dons d'un Alementa. Un contact prolongé peut les tuer. Pour ma part, je la manipule avec une précaution infinie. La dague tourne un instant dans ma main. Puis je passe à l'action. Je disparais en un clin d'œil, une douce chaleur enrobant mon corps. Le petit matin me procure un champ d'action large si bien qu'en quelques pas, je me retrouve derrière un des gars. Il a le temps de se retourner mais certainement pas de dévier ou d'éviter le poignard qui se plante dans son bras. Son regard surpris se teinte de douleur alors que je retire mon arme d'un coup sec avant de disparaitre à nouveau. Le sang s'étale sur son tee-shirt et il s'effondre avec un cri de douleur. 

Ma deuxième victime tremble de peur, visant un peu partout avec son arc bandé. Je réapparais et lui arrache aussitôt son arme qui vient s'exploser à terre. Il essaie d'esquiver mon coup de poing qui le projette au sol. Echec cuisant. La lame vient alors se figer dans sa jambe. Son hurlement résonne dans le calme de la forêt quand je l'ôte dans une gerbe de sang. Apparemment, j'ai touché l'artère fémorale. 

Une nouvelle fois, mon corps se fond dans les ombres pour ne faire plus qu'un avec elles. Du coin de l'œil, je vois Lana se battre avec deux autres gosses dont leur super leader. Enfin se battre... Jouer avec eux serait un terme plus exact vu comment elle les mène en bateau. Le mec aux yeux chlorophylliens tente de lui refaire le coup de l'azalée, mais chaque tige qui ose pointer le bout de son nez est brûlée sur le coup. De toute manière, c'est pas comme si ça changeait grand chose... L'azalée ne fonctionne pas bien sur elle. 

Je recentre mon attention sur mes autres adversaires. Il ne me reste plus qu'une fille aux cheveux d'un bleu étrange. Son révolver pend négligemment le long de sa jambe. Si son attitude est nonchalante, son regard ne me trompe pas. Elle est en alerte. C'est elle, la plus dangereuse. Ma dague tourne dans ma main alors que je me déplace pour la prendre sur le revers. Je réapparais sur son côté droit et m'apprête à lui planter ma lame dans l'épaule quand mes poumons rétrécissent d'un coup. La fille tourne la tête vers moi et je croise son regard violine narquois. L'air ne rentre plus dans mes bronches qui se contorsionnent comme pour s'introduire dans la plus petite boite possible. Elle est en train d'essayer de m'étouffer ! Ne surtout pas paniquer ou je m'épuiserai. Je ne me laisse pas impressionner et avant que mon corps ne m'abandonne, je lance mon poignard qui achève sa course au niveau de son bassin. Surprise, son sourire flanche et ses yeux perdent de leur éclat surnaturel. Aussitôt, ma bouche s'ouvre pour reprendre une goulée d'air inespérée. Je lui rends son arrogance par un haussement de sourcil. Son flingue se lève mais je lui arrache et disparais. 

Je tente de m'approcher de Lana pour en finir avec les deux autres, mais je n'ai pas fait quelques pas que l'étau de l'azalée se referme sur moi. Mon don se dissipe peu à peu et des parties de mon corps apparaissent par intermittence. Mes pieds s'arrêtent d'eux-mêmes avant que je ne sois complètement à découvert. Je me déplace et quitte les ombres à distance raisonnable de leur combat. 

— Lana ! l'interpellé-je. La dague !

Alors que les deux se retournent pour me regarder, la rouquine en fauche un qui finit le cul au sol. Je lui envoie ma lame dans la cuisse. Son cri qui mélange stupeur, douleur et colère m'arrache un sourire. Quel doux son... Lana extirpe l'arme en évitant une nouvelle ronce qui rejoint les autres à l'état de cendre. D'une feinte, elle fait semblant de lui poignarder le ventre et lorsqu'il se baisse pour se protéger, le dague remonte et se plante dans son épaule. Son énergie s'éteint et la compression exercée par l'azalée sur moi se dissipe petit à petit. Je rejoins Lana à grandes enjambées et attrape le leader par le col pour le redresser. L'empoignant par le tee-shirt, je le projette contre l'arbre avec suffisamment de force pour le faire grimacer. Il n'aime plus le contact de la nature d'un coup ? Je saisis le manche de l'arme. Souris au gamin. Avant de la retourner d'un geste sec dans sa chair. 

— Comment t'appelles-tu ? 

Je le vois rassembler sa salive dans sa bouche alors que ses yeux me mitraillent du regard. Je soupire et esquive sans mal son crachat. Quel gamin... Il veut s'attaquer à moi ? Il pense être un ennemi de taille ? Parfait, je vais le traiter comme tel. Je tire d'un coup sur la dague pour la retirer. Son corps se détend imperceptiblement. Il fait bien car son calvaire ne fait que commencer. Plaçant ma paume contre sa blessure, j'appuie dessus, l'élargissant et l'approfondissant... La souffrance apparait dans son regard bien que le reste de son visage conserve son expression de haine pure. C'est qu'il est têtu en plus, ce gosse...

— Répond à ma question. 

— Pourquoi ? siffle-t-il. Tu as besoin de connaitre le nom de tes victimes avant de les massacrer ? 

Mes lèvres se déforment dans un rictus mauvais. Puis mon pouce vient enfoncer le tissu de mon vêtement dans sa plaie. Je sens son corps se tendre et ses yeux se ferment d'un coup. Ses lèvres se pincent. Visiblement, il se retient de hurler. Je cesse d'appuyer et secoue mes doigts pour me débarrasser du sang qui coule dessus. 

— Tu apprendras que dans la vie, la belle vengeance ne rime jamais avec victoire. Si tu veux battre un monstre, tu dois devenir pire que le monstre. Ou ferme les yeux. 

— Je refuse de devenir un monstre, crache-t-il. Je refuse de tomber aussi bas que toi. Tu es une abomination, Cameron, une contre-nature sans foi ni loi. Mais jamais, je ne courberai pas l'échine face à toi. Plutôt crever. 

Un rire froid m'échappe. S'il y tient tant après tout... Je décroche un poignard de ma ceinture et d'un mouvement ample, lui tranche la gorge. Ses yeux s'écarquillent de surprise et d'effroi alors que je lâche sa veste. Il glisse le long du tronc, les deux mains collées à la plaie qui pisse la rage. La balafre lui court de chaque côté de son cou et le sang s'en déverse en cascade interrompue. Un hurlement résonne dans la forêt. La jeune fille s'est redressée, des larmes de rage et de chagrin dévalant ses joues. 

— Peter ! crie-t-elle en accourant près de son compagnon. 

Maintenant, je sais comme il s'appelle. Ses mains se plaquent sur les berges pour tenter d'endiguer l'hémorragie. Le jeune homme a perdu toutes couleurs et atteint une pâleur presque cadavérique. C'est mauvais augure.

— Allez chercher de l'aide, bordel ! s'égosille-t-elle. 

Je me recule et tourne les talons pour me tirer. Un des garçons encore hébété se lève et détale dans la direction du camp provisoire. Alex arrivera peut-être à temps s'il ne traîne pas en chemin. Ou peut-être pas... Je lui ai donné une leçon, qu'elle lui soit fatale ou non après, ce n'est pas mon problème... 

— Accroche-toi, Peter... entendé-je sangloter. Accroche-toi, je t'en prie... 

Pff... Je m'éloigne rapidement, plus que désireux de retrouver mon calme et mon silence. Je prends néanmoins la direction du camp provisoire, maugréant intérieurement. L'odeur de fumée que j'avais jusque-là réussi à ignorer me reprend à la gorge. Mon nez se fronce par reflexe bien que ça ne me dérange pas tant que ça. 

— T'était obligé de lui trancher la gorge ? me somme Lana en me suivant. Tu ne crois pas qu'on a eu assez de cadavres depuis quelques jours là ?

J'esquisse presque un sourire alors que nous arrivons aux abords de notre campement provisoire. Des feux de camps à moitié éteints fument encore un peu partout. Ça et là, trainent le peu d'affaires et les quelques personnes qui ont échappé aux flammes des bombes incendiaires. Enfin échapper est un bien grand mot quand on voit l'état de certains. Brûlés au troisième degré sur de nombreuses parties du corps, traumatisés, estropiés pour certains. Alex fait ce qu'il peut mais les miracles ne sont pas dans ses capacités. Une main arrachée, une jambe amputée, ça ne repousse pas, peu importe le pouvoir qu'on a. La plupart des Alementas nous ayant rejoints ne sont à présent plus à l'article de la mort et se reposent pour récupérer des forces. Les quelques blessés que Alex n'a pas encore eu le temps ou l'énergie de s'occuper doivent gire dans un coin contre un arbre en attendant que mort s'en suive. 

J'entends Lana soupirer de dépit à côté de moi. Faut dire que le camp donne plus envie de se pendre que de venir ici pour les vacances. Je siffle un coup sec. Une tête marron et noire émerge alors du sac qu'elle était en train de fouiller quelques secondes auparavant. La queue frétillante de joie, Rant' accourt jusqu'à nous pour nous accueillir.  Je m'accroupis et passe la main dans son épaisse fourrure. 

— Qu'est-ce que tu as encore fait, Cameron ? m'apostrophe une voix féminine trop familière.

Dire que j'espérais avoir un peu de répit avant que la tornade moralisatrice ne me tombe dessus. 

— Moi ? 

Je me relève et me redresse pour faire face à Lyanna, me composant l'expression la plus innocente et hypocrite possible sur le visage. Elle a beau être plus petite que moi, ça ne l'empêche pas de me fusiller du regard pour manifester son mécontentement. Son doigt accusateur s'agite devant mon torse ce qui a pour effet de faire grogner mon chien assis à mes côtés. J'arque un sourcil moqueur devant le mouvement de recul surpris de la blonde. 

— Dégage toi, c'est entre ton maître et moi, argue-t-elle, l'œil mauvais avant de se tourner vers moi. Et toi, faut qu'on parle. 

Je plisse les yeux. Je fais trois, quatre pas pour récupérer mon sac contenant tout ce que j'ai volé dans le bâtiment des Doubles. 

— Effectivement, il faut que nous parlions....

Je lui fais signe de me suivre à l'extérieur du camp. Une lueur d'hésitation apparait dans les prunelles de Lyanna. Ses yeux furètent rapidement le camp du regard avant de soupirer et de capituler, m'indiquant d'un mouvement de main qu'elle me suit. J'attrape le poignet de Lana avant que celle-ci ne puisse reculer et fuir la discussion. Ses iris rouge délavé lancent des éclairs dont je n'ai que faire. Il faut absolument faire le point sur la situation. Alors que je la défie de s'opposer à moi, la rouquine se dégage de ma poigne et retourne vers la forêt. Je la suis, talonné de près par Rant' qui tolère difficilement la présence de Lyanna à moins de deux mètres. Lana s'appuie contre un arbre à proximité du camp et croise les bras contre sa poitrine, plus pour se donner une contenance que par froid. Elle est l'Alementa du Feu, elle ne peut pas avoir froid.

— Tu as tranché la gorge d'un gamin de quinze ans, Cameron ! m'engueule Lyanna repartant comme une musique à laquelle j'aurais retiré le bouton pause.

— Gamin de quinze ans qui a essayé de me tuer. Œil pour œil, dent pour dent, comme on dit.

— Et tu ne pouvais pas simplement lui faire comprendre qu'il n'avait aucune chance ?

Je soupire, déjà blasé. Lyanna est un vrai disque rayé, toujours à reprocher les mêmes choses.

— Non, je ne pouvais pas. Incident clos. Point à la ligne, je conclus, les yeux tempétueux pour la dissuader d'insister.

Autant essayer d'arrêter un poignard en le fusillant du regard....

— Si tu pouvais ! Tu ne voulais pas nuance, me contredit Lyanna visiblement furax.

— Ton gamin comme tu dis est largement en âge de comprendre que chaque acte a des conséquences qu'il faut assumer. Ce n'est pas parce qu'il a quinze ans qu'il ne peut pas tenir un poignard ou un révolver pour tuer. Ce n'est pas parce qu'il a quinze ans qu'il ne peut pas être tué.

L'intervention calme de Lana ne suffit pas à apaiser la colère de Lyanna qui nous fusille tous les deux du regard comme victime de la pire coalition qu'il soit.

— Quelqu'un qui n'a jamais vu la mort en face ne peut la craindre, poursuit-elle avant que l'Alementa du Vent ne puisse se déchainer. Ces six-là rentrent dans l'adolescence, un âge où les émotions sont décuplées et gouvernent chaque action. Sauf que leur monde ne leur fera pas de cadeau, ils n'ont pas le droit à l'erreur. Aujourd'hui, ils ont compris que la mort n'est jamais loin, toujours prête à les rattraper en cas de chute. Maintenant, est-ce qu'on peut parler d'autre chose que de la crise d'adolescence de Cameron, s'il te plait ? On a un peu d'autres chats à fouetter vous ne croyez pas ?

Je plisse les yeux à l'intention de Lana, sans rien dire. Ma crise d'adolescence, et puis quoi encore ? Néanmoins, Lyanna n'ajoute rien, se contentant de soupirer. Elle se laisse alors tomber avec toute la grâce et l'élégance donc elle est capable dans l'herbe couverte de rosée et de cendre. Pour la première fois depuis qu'elle a été blessé, l'harassement apparait sur son visage. Je doute qu'elle ait fini de récupérer de sa quasi-mort et ces nuits presque blanches dans le froid ne doivent pas aller dans ce sens.

— Qu'avez-vous trouvé dans le bâtiment des Doubles ? nous questionne-t-elle. Alex m'a dit que vous y étiez allé avec Caleb mais je ne fais pas confiance à ce dernier alors je préférai votre version.

Satisfait de voir qu'elle partage mon opinion vis-à-vis de l'Alementa de l'Apparence, j'interroge Lana du regard. Elle secoue la tête, me faisant signe de lui raconter.

— On a trouvé une pièce dissimulée par une illusion. Dans cette salle, il y avait une chaise avec des tonnes de dossiers. Chaque année, le Conseil tient un liste mise à jour régulièrement des Alementas avec leur porteur.

— C'est tout ? lâche Lyanna, déçue.

Je secoue la tête.

— La Chaise empestait l'énergie de la téléportation. D'après Caleb, cela pourrait être un Arpazos, pas de Dante, m'expliqué-je en voyant la bouche de Lyanna s'ouvrir pour me contredire. Mais de sa mère. Si elle était puissante, c'est possible selon lui que l'arpazo lui ait survécu. Par contre, nous ne savons pas où elle mène.

— Tu lui fais confiance ? me demande Lyanna après un instant de silence.

— Clairement pas. Mais il ne mentait pas, ça se voyait. Il ne connaissait pas cet endroit.

— Alex lui fait confiance... murmure la blonde.

— Et moi, je ne fais confiance à aucun des deux, tranché-je d'une voix sèche.

— Tu te méfie de tout le monde.

J'hausse les épaules. Le monde ne mérite pas ma confiance, nuance. Je ne perds néanmoins pas le temps à lui expliquer ceci et sort de mon sac, le dossier de l'année que Lana a laissé échapper après y avoir lu la mort de Dante. Je le tends à Lyanna qui l'ouvre pour le feuilleter.

— Si on ne peut pas savoir où va la chaise, je suppose qu'ils ont consigné le transfert près de leur nom. Seulement, je ne le connais pas et encore moins leurs Alementas alors tu seras plus efficace.

Lyanna lève les yeux vers moi et articule un nom en silence après s'être assuré que Lana était occupée à caresser Rant'. Je vois à son regard qu'elle sait, qu'elle a juste un espoir fou, une folle envie de rejeter en bloc l'évènement. Je hoche la tête, le visage fermé. Un voile de chagrin et de colère tombe sur ses yeux. Les larmes pointent le bout de leur nez mais elle les repousse tant bien que mal.

— Vous savez ce n'est pas parce que vous ne parlez pas que je ne vous entends pas, nous interrompt sèchement Lana.

Son expression est dure et ses prunelles passent de moi à Lyanna. Celle-ci ouvre la bouche certainement pour lui présenter ses condoléances, mais Lana lui coupe l'herbe sur le pied.

— Garde ta compassion. Ça ne le fera pas revenir.

Les larmes coulent pour de bon sur les joues de Lyanna qui secoue la tête avant de me faire signe de dire quelque chose. Je hausse les épaules. Que veut-elle que je fasse ? Que j'écrive une carte de condoléances ? Que je prononce un discours funéraire ? Rien n'atténuera sa peine à part le temps. Alors autant être efficace et changer de sujet.

— J'ai également ramené ça, dis-je en sortant de mon sac l'étrange machine d'où est arrivé le message. Tu sais que ce que c'est ?

Lyanna se penche pour observer avant de secouer la tête autant pour chasser ses larmes que pour manifester son ignorance.

— C'est une machine d'Egnima, nous explique Lana, s'ébrouant comme pour se débarrasser de noires pensées encombrantes. C'est le système de cryptage et de décryptage qu'a utilisé l'Allemagne Nazie pendant la Seconde Guerre Mondiale. Les Britanniques ont réussi à le craquer à un moment donné sans que les nazis ne s'en rendent compte et ont pu déjouer certaines attaques en interceptant les messages.

— Certaines ? répète Lyanna. Ils ne captaient pas tous les messages ?

— Si, mais s'ils avaient déjoué chaque plan allemand, ces derniers s'en seraient rendus compte et auraient compris que leur système avait été percé. Les Anglais auraient perdu leur avantage.

— D'accord, c'est bien joli, mais à quoi cette machine peut bien servir aux Anciens ?

— Hum... Au hasard, je dirais à communiquer sans que personne ne puisse intercepter les messages ? ironisé-je.

Lyanna lève les yeux au ciel.

— Sans blague ? Mais pourquoi utiliser ça ? Il y a des moyens vachement plus modernes et simples.

— Moderne et simple, peut-être mais plus sûr, pas certain, réfléchis-je. Peu de personne doivent encore savoir se servir de cette machine à moins d'avoir du matériel car je suppose que maintenant on peut le craquer facilement avec un algorithme. Et encore, je suis sûr en dopant un peu le tout à la magie...

Lana vient s'assoir à côté de Lyanna et hoche la tête.

— Cette machine pue l'énergie à plein nez. Mais je pense que ça colle surtout avec le décor, je me trompe ? argue-t-elle en s'adressant à la blonde. 

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