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2) Faire avec

Mon cœur bat la chamade. Je ne veux plus sortir. Je ne veux plus voir personne. Je ne veux plus ouvrir un réseau. Je veux juste disparaître. Ne plus exister. Je veux que le monde m'oublie. Oublie que j'ai fais parti de ce groupe incroyable. Oublie les critiques. Oublie les insultes. Alors à ce moment là je pourrais moi-même les oublier. Faire comme si ça ne m'atteignait pas. Revivre.

« Connard »

En attendant, je me terre. Me cache. M'oublie.

« Tu es un harceleur sexuel »

Tout. Tout ressort. Toutes les insultes pleuvent. Sur internet. A la télévision. Au journal. Des critiques. Des accusations. Des preuves. Des menaces. Des injures. Partout. Tout le temps. C'est arriver si vite. Je m'y attendais. Mais pas si fort. Mais pas si violent. On me reproche tout.

« Nous sommes déçu par tout ce que tu as fais »

Pourtant, ce n'est peut-être pas cela le plus dur. Ce qui me faisait pleurer le soir. Ce qui hantait mes journées. Ce n'est pas cela qui m'aidait à composer. Qui était les émotions de mes musiques. Non. C'était autre chose. Quelque chose que je n'avais pas ressentie depuis près d'un an. Quelque chose bien plus compliquer à supporter. A porter. La solitude. L'abandon. Le départ.

« Tu ne te rend pas compte de ce que tu leur as fais»

J'étais seul depuis que je les avais quitter. Je n'avais plus personne à qui parler. Je n'avait plus personne à qui me confier. J'étais simplement seul. Parce que j'étais un monstre. Parce que j'étais un menteur. Parce que je ne les méritais pas.

« Imposteur »

J'arrivais à garder la tête hors de l'eau seulement grâce à la musique. Je produis. Repris. Composai. J'exposais mes sentiments. Déversais ces flots de paroles. Chantais comme jamais je ne l'avais fais. Je passais mes journées la guitare à la main. Mes doigts n'étaient plus que cornes. Je ne souffrais plus des débuts difficiles. Je grattais jour et nuit. M'entraîner jusqu'à avoir la voix casser. Chantais jusqu'à ce que les larmes viennent.

« Tu ne les mérites pas »

Ils me manquaient tellement. Eux. Mais surtout lui. Je le sentais. Dans chaque mélodie que je créais. Il manquait sa touche. Son rap. Sa voix. Juste il manquait Chan.

«Va mourir »

Cependant, je ne pouvais le recontacter. Cela avait été l'une des principales modalités de mon expulsion. Je ne devais en aucun cas les voir. Les appeler. Leur parler. Je ne devais plus exister dans leur vie. Je devais les laisser continuer. Et je savais que si je bafouais le contrat qu'ils m'avaient fait signer, ce serait pire encore. Plus rien ne s'arrêterait. Ils ne me laisseraient plus de répits. Ils seraient sans pitié avec une quelconque carrière. Alors je restais silencieux. Espérant que eux me cherchaient. Que je n'avais pas simplement disparue de leur vie.

« Harceleur »

Mais peut-être aussi qu'ils avaient crus aux polémiques. Qu'ils s'étaient senti touché par cela aussi. Peut-être qu'ils ne démentaient rien. Bien que je n'avais jamais rien voulu leur faire. Bien que je ne voulais pas que ce soit mal pris. Ne pas savoir ce qu'ils pensaient me rendait fou. Je voulais croire en eux. Je voulais me dire que ils savent que je suis innocent.

« Va en taule »

Rien ne faisait. Je ne pouvais être sûr de rien. Je ne pouvais me fier à personne. Tout s'enflammait encore. De nouvelles preuves. De nouvelles accusations. De nouvelles insultes. Personne n'écoutait personne. Il n'y avait que des messages. Des messages. Et encore de messages. Ils se rependaient partout. Sur toutes les plateformes. Sur tous les sites. Une nouvelle personne avait parler.

« Violeur »

Je ne pouvais rien faire pour les arrêter. Parce qu'ils ne m'écouteraient pas. Réduiraient mes arguments en blagues. Me rabaisseraient. Je m'épuiserais pour rien. Je me laisse me faire insulter de tous les noms. Me faire accuser de tout. Ce que je redoutais c'était que ça touche directement le groupe. Cela les avait préserver un moment. Mais à présent, ils étaient au centre de mes maux. J'avais attouché Jeongin. Frappé Felix. Violé Chan. Sans que aucun d'eux ne disent rien. Parce qu'ils avaient peur. De ma réaction. De ma violence. C'était absurde.

« Tu leur a volé leur vie»

Une mélodie me vient. Douce. Mélancolique. Elle se mélangea aux autres. S'éprit des meilleures notes. S'envloppa des différents flows. Elle parcouru mon esprit. Se perdit dans ma mémoire. S'évanouit dans les tréfonds de mon âme. Pour ressortir. Nouvelle. Belle. Naturelle. Elle s'enpara de mes doigts. Glissa sur les cordes. S'imprégna dans l'air. Il n'y avait que moi et cette mélodie. Elle m'emporta avec elle. Je laissais tout derrière moi. Les injures. Les menaces. La solitude.

«Tu les as agresser »

Je les retrouvais. Dans ce monde rien qu'à nous. Je le retrouvais. Lui. Son visage. Sa voix. Son caractère. Ils étaient là. Ils m'attendaient. Il était là. Il m'accueillais. La mélodie nous suivait. Nous accompagnait. Nous avait réuni. Pourtant. Je les voyais. Mais je ne pouvais les entendre. Je les voyais. Mais je ne pouvais les toucher. Ils étaient là. Mais n'étaient qu'un rêve. Alors j'ouvris la bouche. Voulant crier mes souffrances. Voulant montrer ma peur. Cependant, je ne pus que chanter. Continuer cette mélodie. Accorder les paroles et les notes. Laisser flotter les mots. Ils venaient seuls. Simplement. Je ne faisais que les retranscrire. Ils n'étaient que le miroir de mes sentiments.

« Menteur »

Alors j'écrivais. Couvrait ma page de lettres. De phrases. Des couplets naissaient. Noirsissais le blanc de la feuille. L'encre se répandait. Intentionnelle. Ou accidentellement. Elle traçait des sillons. Gravait le papier. Laissais une trace indélébile dans mon cœur. Ces mélodies, je les connaissais. Elles restaient longtemps dans mon esprit. Me hantaient. M'obsédais pendant plusieurs jours. Pendant plusieurs semaines. Elles tournaient en boucle. Se modifiant un peu a chaque fois. S'étoffant de plus en plus. Mais jamais elles ne n'étaient parfaites. Parce qu'il manquait sa touche. Sa note. Donc je les abandonnais. Pour continuer à chercher la symphonie qui me plairait.

« Ils auront leur vengeance »

C'était dur. C'était compliqué de composer comme ça. Sans avoir un projet. Sans avoir une vue sur l'avenir. Mais ça me permettait de vivre. D'être encore un peu sur terre. Un jour peut-être ces musiques pourront être utiles. Mais aujourd'hui elles n'étaient que des fragments de mon âme.

« Tu devrais avoir honte d'être encore en vie »

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