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I. Chapitre1 Part1. Akhtar & ONE




-J'avais demandé un endroit VIVANT où j'pourrais dégoter quèque chose D'EXCEPTIONNEL !

Le jeune garçon errait depuis quelques minutes dans une ville morte, en état de ruine, et vue sa tête il s'était réveillé il n'y a pas si longtemps. Il avait scruté cette ville de fond t'en comble mais à part des immeubles effondraient ou à moitié effondraient c'était le vide sidéral. Et comme il avait le ventre vide, en voyant le centre commercial il avait sauté de joie, mais quand il fut ressorti en aurait dit un homme cadavérique, évidemment dans ce centre commercial à part les murs qui le tienne debout il n'y avait rien, et d'ailleurs c'était le cas partout ici.

- Pourtant il m'a bien signalé qu'il y a signe de vie ici ... J'aurais pas dû croire cet abruti !

Il s'adossa au mur du côté droit d'un bâtiment au niveau de l'angle de façon à pouvoir voir l'entrée du bâtiment. Il jeta un coup d'œil discret vers la porte de l'entrée à quelques pas de lui, que l'on pouvait voir sans mal en penchant juste la tête.

- Rien à signaler. Il ramena sa grosse tête vers lui.

- Eh bien ... comme dit le sage "moins de travail il y aura, plus de repos tu auras.

pendant qu'il divaguait dans son délire, la porte de l'entrée s'ouvrit doucement, un homme sortie en vérifiant bien autour de lui qu'il n'y avait personne comme un brigand. Aussitôt, il ouvrit sa braguette, baissa son pantalon puis commença à uriner contre la façade. Il ferma les yeux et expira intensément, telle une personne libérait d'un grand poids qu'il retenait depuis longtemps.

- Un p'tit tour dans ce dernier puis je me casse, l'heure de la sieste de quize heures est arrivé ... je vais prendre un p'tit truc en chemin pour faire plaisir aux examinateurs, sinon ils vont me recale.

Croyant qu'il n'y avait personne, le jeune jailli de l'angle derrière lequel il était tapis. Il fit deux pas avant de s'arrêter brusquement, quelqu'un urinait à coté de la porte, le regard tourné vers sa direction. Affichant des faces stupéfaites d'ahuris, tous les deux c'était figé pendant une seconde. Aussitôt revenu à lui, il revint sur ses pas, et au même moment celui qui urinait stoppa sa fontaine, il remonta son pantalon déboussolé.

- La situation devient mauvaise ! Si je me bats, je peu dire adieu à ma sieste de quinze heures ! chuchota le jeune à lui-même.

Le pisseur fonça sur lui, après un rude combat pour fermer sa braguette.

- TOI LÀ ! ENFLURE JE T'AI VUE, C'EST PAS LA PEINE DE'T CACHER ! Aboya-t-il en pleine course.

Arrivé au niveau de l'angle, il piqua une crise voyant qu'il était seule, le gamin s'était volatilisé. Il eut bien regardé à trois cent soixante degrés mais aucune trace du petit.  

- Mais... Mais t'es parti où ? BORDEL ! 

- Au'dssus de ta sale tronche couillon ! Dit-il d'une voix très basse avec un air farceur.

L'incroyable gamin était grimpé sur un balcon au sixième étage de l'immeuble, d'une manière qui nous est inconnue. Assis sur ces genoux il tenait les barreaux de la rampe de protection qui délimitait le balcon, juste au-dessus de celui qui le recherchait et qui n'avait pas encore pensait à lever son regard vers le haut.

En relevant ces yeux, le garçon remarqua qu'à cette hauteur il avait une très bonne vue de cette ville ravageait, qui n'avait aucune végétation apparente ce qui était vraiment étrange, ainsi que la couleur grise dominant le paysage. Tous les immeubles étaient effondrés ou en piteux état, le seul intact était celui-ci, sur lequel il était.

- Ça manque de couleur ici. La nature aurait dû prendre ses droits voyons ! Ou c'est la pisse du type qui l'en empêche ? C'est du poison à mon avis.

Soudain, une main se posa sur le rideau fermé de la porte vitrée coulissante ouverte, donnant sur le balcon. Le garçon tourna sa tête vers la main qui violemment, tira et ouvrit le rideau. C'était une fillette tout juste réveillée, les cheveux en pagailles dans tous les sens, avec le revers de la main droite cachant sa bouche grande ouverte. Méchamment elle était en train de bailler , les yeux fermés.

- Ah une gamine ! Un peu choquer sur le coup.

La petite observa un instant, avant d'écarquillaient ces yeux ont les ouvrants. Un type suspect se tenait devant elle. Un type avec un teint de peau ni blanc ni foncé mais seulement hâlé. Des cheveux longs tous ondulaient, coiffés en arrière avec un minimum de soin lui arrivaient un poil plus bas que les lobes de ses oreilles, leurs couleurs rappelant un ciel sombre sans étoile. Il la dévisageait avec ses grands yeux marrons foncés, par-dessus lesquels il avait des sourcils bien touffus en forme de Nike à l'envers, avec quelques cicatrices par-ci parla sur son visage.

- BAAAAAH ! UN MONSTRE ! Hurla-t-elle comme une dingue, faisant un pas en arrière.

- Ravi de te rencontrer aussi ! Lâcha-t-il ironiquement le visage irritait, en se relevant.

Aussitôt alertait par la voix de la petite, l'homme qui avait pissé dévia sa tête vers le haut et retrouva le jeune garçon.

- OH trouvais! L'enflure, comment tu es monté là-haut ? Aboya-t-il encore en le pointant du doigt.

- Je t'le, dirait paas ! dit-il en détournant sa tête vers le bas.

Il revint vers la fillette, « Un monstre un monstre ! » continuait-elle de hurler en boucle, les bras étiraient vers le gars en agitant ses mains de gauche à droite. En bas l'homme reprit de plus belle ses aboiements.

- Descend que je t'en colle une, PETITE ENFLUURE !

- VOS GUEULES ! Finit par détoner le garçon d'une voix imposante, exaspéré par la situation.

Á peine avait-Il terminé de parler que "TAC", la porte de la chambre s'ouvrit brusquement, faisant un son de claquement. Trois personnes firent leur apparition avec des têtes pour le moins qu'on puisse dire, pas beaux. Tous les regards se tournèrent vers eux.

Celui du milieu s'avança de quelques pas, il avait l'air d'être leur chef et grinçait des dents, il était doté d'une grande taille d'environ un mètre quatre-vingt-dix. Des cheveux rouges bien foncés, lisses et mal coiffaient, avec un front plein les mèches qui lui cachaient presque ces yeux. Son dos, courbé vers l'avant, il se tenait comme un bossu. Ces joues étaient chacune marquée d'un trait aussi large qu'un doigt, partant du bas de chaque œil au niveau des pommettes et arrivant au niveau des joues diagonalement appart que celui de la droite était bleu et celui du gauche rouge. Les deux derrière le suivirent.

- VOS GUEUUULES ! Hurla-t-il d'un coup sec avec une voix aussi forte que l'autre mec.

- T'as des  soucis ! EH! des sourcils bleus ... C'est une nouvelle maladie ?

Les trois arrivants furent choqués à ces mots pleins d'insultes, l'homme grinça encore plus fort en serrant ces poings.

- Qui ... Es ... Tu, avortooon ? Put-il-dire avec une voix menaçante.

La petite fille devant le garçon était en train de bouillir rouge de colère les bras collés à ces côtes les poings serrés comme jamais, elle pris les devants laissant même pas le temps au gars de dire un mot.

- Petit voyou bossu avec une sale tête et un visage laid ! Tu te permets de hausser cette horrible voix qu'est la tienne sur ma haute et noble personne ! Se déchaîna-t-elle.

Fatiguait, le garçon alla s'adosser tranquillement au rebord du balcon, il aperçut par la même occasion que l'homme en bas grimpé à l'aide d'un grappin, retenu par les barreaux du balcon juste sous ces pieds. Le regard des deux se croisa et une petite frayeur parcourue en celui qui grimpé quand il fut témoin de la face machiavélique que fit le garçon. 

- Insolente ! Et dire que le chef t'a donné à bouffer de la bouffe !

Avait Affirma le gros lard corpulent tête raser et couleur de peau blanche à la gauche du chef.

- Et un lit pour dormir et une chambre ! ingrate ! reprit celui à droite ressemblant à celui du gauche sauf sa couleur qui est très foncée.

- Que vous êtes nié ! Rétorqua la fillette d'un ton agacé

Á ce moment, résonna le bruit de quelque chose qui tome au sol, suivi d'un « Bobooo », et pour terminer un bruit de métal se heurtant sur terre. Surpris tout le monde dirigea son regard vers le mec accoudait au balcon, qui détourna sa tête en essayant de faire l'innocent.

La conversation entre les quatre qui n'avaient guère compris ce qui s'était passé, recommença, par le dénommait chef.

- Petite chipie petite peste, je t'ai faite prisonnier ici, alors comporte toi comme une prisonnier ! Je déteste les petites rebeeelles !

La fillette ce tordit de rage. Elle aussi détestait être traitée ainsi et si elle avait eu quelque chose sous la main à ce moment, elle l'aurait ouvertement jeté sur celui qui osait lui manquer de respect.

- Vous êtes LÁ chef, vous êtes LÁ ! Firent les deux monstres derrières fièrement, la tête haute.

- Bon, passons ! Cette rabat-joie a ruiné mon entrance. Marmonna l'homme. Dit moi gamin qui es-tu et que fais-tu paaar ici ? lui demanda-t-il une seconde fois avec un ton plus calme.

Sans bouger de ça place, il répondit :

- Akhtar, j'ai eu onze plus sept ans aujourd'hui et c'est ma toute première mission hors de mon royaume, la mission ONE. Après ça écoutait bien, je serai officiellement un fiwed, un guerrier des cinq sangs.

- Oh ho hooo ! Ricana-t-il comme le père Noël. Première mission, dommaage pour toi. C'est aussi ta dernièeere ! Le menaça l'homme en prenant un grand sourire.

- Alors c'était, onze plus ... un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, chef, j'ai réussi, il a dix-huit ans ! s'exclama le gros lard comptant avec ces doigts, à gauche du chef.

- Bravo TotoBlack. Le félicita joyeusement son autre acolyte.

- Merci TotoWhite.

La fillette visualisait ces deux grosses bêtes de presque deux mètres de haut, s'encouragent mutuellement.

- Apprend donc à tes bébés à allumer leur cerveau, visage laid !

Il lui jette un regard noir plein de rages.

- Petite malheureuse, je vais bientôt m'occuper de toi, c'est certaiiin ! Grogna visage laid.

Akhtar se releva de sa place en sursaut et se retourna, il avait complètement oublié sa mission, tous ces chamaillades l'avaient détourés de son but principal.

- EH ! Par la sieste de quinze heures ... je me sauve salut ! Balança le mec en mettant un pied sur la barre du balcon.

- Heyy! attend-moiii ! s'écria la petite.

Elle s'élança en direction du garçon, surpris, et s'agrippa sur lui, enroulant ces deux bras à son cou. La force de la fillette déséquilibra Akhtar, les faisant tombaient tous les deux par-dessus le balcon. « C'EST PARTIIIIIE » ! lance-t-elle avec une voix amusait.

- Pas si vite vous deux ! J'dois vous butter encooore ? Les menaces du présumé chef assez lointaines.

- SACRÉ SIÉEESTE, TU VEUX NOUS TUÉEE !

- FAIT QUELQUE CHOOOSE, GROS ABRUTIII !

- LA FEEERME !

Au cours de leur gueulade Akhtar avait sorti des gants blancs très fins de ses poches, qu'il enfila sans perdre un instant. Les mains ouvertes, il allongea ses bras en direction du sol. Puis quelques instants avant que ses mains ne heurtent le sol, ces gants s'illuminèrent d'un rouge-orangé. Dès l'instant d'après, le bruit du choc retentit, c'était avec fracas que l'atterrissage eut lieu. Bien quel ne dura qu'une petite seconde, une onde de choc presque insignifiante, sortie de cette collision entres les gants rouge flamboyant du garçon sur le sol métallique. Semblable à une météorite qui s'écrase sur la terre, la seule étant la puissance. Maintenant ils étaient sur la terre ferme, Il déposa ses deux pieds au sol et souffla un grand coup, pendant que la gamine fascinée, se détachait de lui .

- Un instant j'ai eu peur, bravos mon gars. Tu es LÁ !

- Oué. Tu es LÁ !

Commentaires TotoBlack et white sur le balcon.

- Eh toi nabot tu voulais me tué ! La gronda-t-il.

- Géniaaal ! Elle pointes les gants. C'est quoi ton truque, la magie ? Elle prend un air interrogateur. Humm et comment on va s'échapper ? Fit la petite tout existé.

- Quoi ! Tu veux partir avec moi ?

« BOUUM »

Un bruit abasourdissant retenti, Akhtar et la fille ne se firent pas prier, ils dirigèrent leurs regards vers la source. C'étaient sans aucun doute les trois hommes de l'étage qui avaient sauté, de la fumée les entouraient, une très claire et une autre plus sombre. Mais se qui frappa le garçon, c'était les étranges formes qu'il distinguait à peine, à l'intérieure de cette masse gazeuse. Des formes qu'il ne put identifier.

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La première partie du premier chapitre, c'est un peu long.

N'hésitez pas à laisser des commentaires et tout critiques et la bienvenue.

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