Chapitre 3
Eleanore
J'ai mal, terriblement mal et ça me tue de l'intérieure. Dans les brumes de mon inconscience, les pas de mon agresseur me font réagir. Même si j'ai l'impression que mon corps pèse une tonne, je ne peux me permettre de me laisser faire. Je peux le sentir hésiter. Il semble avoir trouvé quelque chose. J'ai beau repasser dans ma tête se qu'il a pu voire sur mon corps, je ne trouve pas. A par les brûlures qu'il m'a infligé et les hématomes du a l'impacte. Il est a coté de moi, je peux sentir son souffle s'écraser sur ma gorge. Sa main s'approche dangereusement de ma nuque. Non ! Je viens de comprendre.
- Je t'en supplie, ne le touche pas. Déclare-je d'une voix si faible qu'elle me fait honte.
J'ai mal, si mal. Une nouvelle fois il hésite, sa main est suspendue au-dessus de mon cou. Mais elle fut de courte durée car la douce chaleur de ses doigts vient caresser la chaîne de mon collier. Il laisse ses doigts glissé tout le long jusqu'à trouver le pendentif.
- Je..... T'en....supplie. Dis-je une nouvelle fois.
J'ai mal, horriblement mal, mais plus dans mon corps, non, lorsque qu'il prend le pendentif entre ses doigts c'est mon cœur qui a souffert. Ce simple geste vient me briser en moins de deux secondes. Une larme, une seule coule jusqu'à s'écraser sur la main de mon agresseur. Je suis si faible. Je me fais tellement honte.
- Sache que ce n'ai pas des larmes qui va m'attendrir. Dit-il sèchement
Mais pour qui me prend-il. Je ne lui ai pourtant rien fais. J'ai juste dis Bonjour et ils m'ont attaqué comme des enrager.
C'est à cet instant qu'à décider d'apparaître l'autre garçon. A vrai dire je n'avais même pas remarqué qu'il avait disparu. Cependant, il est accompagné d'une... une fille, oui je n'ai pas rêvé.
- Ok tu ne m'avais pas menti en me disant qu'elle était bien amoche. Jonathan qu'est-ce que tu lui as fais pour qu'elle pleur comme ça ?
Je suis si lamentable que ça pour que tout le monde remarque que je souffre. Une chose est sur, cette fille a l'air nettement plus gentille que ces deux garçons.
Elle fait un pas puis deux, elle vient vers moi d'une démarche qui se veut si rassurante, mais je ne tomberai pas dans le piège. Le mec nommé Al, je crois a du lui dire que je suis une « menace ».
- Pas de pitié pour nos ennemis. Déclare sèchement celui qui se nomme Jonathan. Regarder plutôt ce qu'elle porte au cou.
Une nouvelle fois il dirige sa main vers mon collier. Mais cette fois j'allais être plus vive. J'ai eu le temps de sortir des brumes de l'inconscience. Mes réflexes reprirent le dessus. Au dernier moment, je lui balance mon poing dans sa gueule. Mon coup le surprit sûrement car il gémit de douleur et recule vivement.
- Espèce de salope, tu vas le regretter amèrement.
Je me relève, non sans difficulté, et me mets en position de combat les coudes légèrement relever en une garde parfaite. Je suis prête à en découdre. Leurs surprise fut de courte durée. Dans un geste commun mes trois adversaires sortent un style de bâtonnet. Et là, comme tout à l'heure des armes apparurent dans leurs mains en ne synchronisation or norme.
D'accord je comprends mieux, ils ne veulent pas un combat égale. Trois contre une fille déjà bien épuisé. Ils me prennent vraiment pour une ennemie, mais qu'est-ce que j'ai bien pu faire. C'est décidé, même s'ils me tuent, je ne me laisserai pas faire. Le dénommé Jonathan donne le premier assaut. Sans hésite, je me jette sur mon sac ou se trouve mes armes. Je fais une petite roulade pour me réceptionner le plus délicatement possible. Maintenant je sais que le feu sur le fouet n'est pas une illusion et que l'épée du second peut me propulser vite contre le mur. Par contre, je ne sais vraiment pas se que peux me faire la dague de la jeune fille. Elle est court et d'une couleur étrange pour une armes. Au lieu du gris familier le métal elle est violette et comme entourer d'une aura particulière ou plutôt comme un halo meurtrié.
Bon et moi dans tout ça je n'ai qu'une simple épée et une rapière main gauche, plus petite et plus légère qu'une lame classique. Finement aiguiser je compte bien en blesser un avant qu'il ne m'attrape pour me tuer certainement.
Chacun dans un coin de la salle, les trois m'observent. Je suis devenu une menace et là je me considère enfin comme une adversaire. A force d'attendre, les blessures superficielles ont déjà commencé à cicatriser. Mes côtes brisées sont déjà réparer et mon corps ne me fait plus mal. Que le combat commence. Cependant, la brûlure causée par le fouet ne voulait apparemment pas disparaître comme les autres, même si la douleur n'est plus présente, je peux sentir une petite faiblesse à cet endroit.
Un second coup de fouet vient s'écraser juste a côté de mon bras. Je l'ai évité de justesse. Le mec jure et se prépare à lancer un nouvel assaut. Mais les mouvements de ses muscles trahissent le départ du coup. Les yeux du garçon s'assombrissent. Leur teinte mordorée devient des plus sombres et à cet instant il me fait peur. Son regard se braque sur la zone qu'il souhait touche, à l'évidence mon cou. Lorsque ses muscle se détendent, je me baisse et attaque les jambes du second garçon qui avait tenté de se rapprocher quand son ami m'occupait l'esprit. Il ne me voit pas arriver, alors je lui entaille la jambe. Du sang j'aillais de la plais. Je me tourne alors vers Jonathan, il me regarde avec animosité. Il veut ma mort plus que tout.
- Je t'assure que je vais te buter, mais avant je vais te faire tellement souffrir que tu me supplieras de t'épargner. Chaque larme que tu m'offriras serra comme une victoire sur ta misérable vie.
Sans hésiter je retire une de mes piques à chignon. Avant la mort de mes parents, mon père m'en avait offert à mon anniversaire. En tout j'en ai cinq, si fine et si aiguiser que plantée au bon endroit peuvent tuer ne personne. Elles sont toutes serties d'un grenat ou d'une ambre, les deux pierres que je porte tous les jours. Lorsque je les porte dans une coiffure, elles l'ornent comme de magnifiques barrettes, mais quand elles se retrouvent entre mes mains elles deviennent des lames de lancer meurtrières.
Avant que le mec me porte un nouveau coup, je lui lance deux de mes lames. Une sur sa main pour qu'il lâche son fouet et l'autre dans sa cuisse. Sans surprise il fait tomber son arme au sol et se rétame par terre. Pour pas qu'il se relève avant un petit moment je me rapproche de lui et lui donne un coup avec la garde de mon épée. Il s'effondre dans un bruit sourd.
Cependant, pendant que je m'occupais des deux mecs, je n'avais pas entendu les pas feutré de la fille. Elle est beaucoup trop proche de moi. Elle ne perd pas plus de temps que ça et m'attaque directement avec sa dague. Une chose est sur il ne faut surtout pas que la lame me touche car avec la couleur qu'elle a, elle ne me rassure pas du tout. Heureusement que je suis un minimum entraîner car autrement je ne sais pas se que je serai devenu.
Elle lance plusieurs assauts que je tente de parer autant que me le permet mes muscles meurtris. Elle est très doué mais pas assez pour moi lorsque je suis dans le meilleure de ma forme. Alors dans des situations comme celle-ci il ne me reste plus qu'à appliquer les conseils de mon coach.
Observe : Sa garde est stable mais je peux facilement voir quelque faille tel son bras qui est un peu trop haute et l'épaule de son bras armé un peu trop crisper.
Analyser : Je peux donc la toucher au niveau des jambes et au niveau du ventre, et si je suis assez rapide elle ne me verra pas venir.
Agir : Je pare une dernière attaque, puis j'effectue un dégagement qui propulse son arme loin derrière. Suite à cela je me fends et la touche au niveau de la cheville. Mais dans mon empressement je n'avais pas vu le poignard qu'elle avait dégainé à la dernière minute. Je prends la lame de plein fouet, elle se plante dans mon abdomen. Elle retire la lame et c'est à ce moment que je découvre le même halo violet que sur son autre arme. Je m'effondre en sang. Chaque vassaux sanguins autour de la plais prennent petit à petit une teinte noirâtre. Ça fait tellement mal qu'une larme de douleur passe le rempart de ma volonté.
- Que je t'explique si le poison atteint ton cœur tu vas t'éteindre à jamais même si ça ne plaît pas a Jonathan qui souhaite te torturer. Déclare-t-elle d'une voix dépourvu de sentiment.
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