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Chapitre 2

Jonathan

Je ferme la porte de notre chambre à l'aide des clés reçus à notre arrivée. Ils se sont pour une fois occupés de tous, et ça fais plaisir pour une fois. J'ai bien fais de gueuler un peu, car dormir dehors ce n'ai pas forcement super bien. Je me dirige suite à mon action vers la porte surmontée du panneau sortie. Cet hôtel est vraiment immense. Un escalier s'ouvre à moi. Je l'empreinte et me dirige a pas de loup vers notre voiture de location. Je monte dans la petite C3, et m'installe du côté conducteur. Mes deux coéquipiers sont déjà dedans et m'attendaient. Sans dire un mot je démarre le moteur, puis m'engage sur la route afin de rejoindre la salle d'arme que nous avons choisie. J'espère que se sera la bonne pour une fois.

- Tu fais toujours la tête Li ? Me demanda Astrale d'une toute petite voix qui montre qu'elle appréhende ma réponse. Nous nous étions disputé une nouvelle fois et elle sait que dans cette histoire elle est fautive.

- J'espère juste que tu as une solution pour te rattraper. Répondis-je d'une voix lasse.

- Pour ma défense la dernière fois vous m'avez presque abandonné.

Je ferme ma bouche. Il est vrai que nous avons été un peu lâches avec Al mais elle se débrouilla tellement bien avec ce mec que l'on a voulu bien faire. Le pauvre il a fini aux urgences, encore une fois.

Au bout de vingt minutes de trajet, nous descendons enfin de la voiture pour se retrouver devant cette salle qui peut paraître simple en apparence, mais qui pourrait abriter l'âme que nous cherchons désespérément. Je suis le premier à m'engager dans l'allée qui mène à la porte. Cependant Astrale en a décider autrement. Elle attrape mon avant-bras et le tire vers elle. Son regarde frappe le mien et dans ma tête je peux simplement entendre ces quelques mots:

"Prenez et buvez la fiole et ne poser pas de question. Juste faites moi confiance, pour une fois."

Je sais pertinemment qu'Alan a entendu la même chose que moi. Alors nous attrapons en même temps les petites fioles que nous tend notre coéquipière. Je peux voir l'appréhension dans le regard de mon ami. Il n'aime pas quand nous avons à faire aux potions de notre petite mage, même si la plupart du temps elles marchent, les quelques ratés ont beaucoup affecté mon compagnon.

Après un hochement de tête de la part d'Astrale, qui nous encourage à boire le liquide sombre. Je débouche la petite bouteille et bois son contenu d'une traite. Un goût âpre se déverse dans ma bouche. Qu'est ce qu'elle a bien pu mettre dedans pour que ça me brûle autant la gorge et me fasse tourner la tête. Je me sens planer un peu. Je peux voire que Alan n'a pas l'air d'apprécier la boisson. Ce qu'il peut-être douillet quand il le veut !

"Allez-y vite, j'ai un bon pressentiment, ça va marcher."

Suivant ce bon conseil, nous nous dépêchons de partir en direction de l'entrée. Bien entendu nous sommes en avance sur le cors que l'on avait prévu de suivre, il fallait le prévoir...

Toutefois, nous entrons et saluons les brèves personnes présentes dans la salle d'un petit mouvement de tête. Nous ne connaissons personne, cependant les petits ne sont pas surprit de voir deux inconnu arriver dans leur salle d'armes. Heureusement pour nous cette salle est ouverte à tous et pour pouvoir suivre un court il suffisait de s'inscrire sur internet et de payé la séance une fois celle-ci accomplie. Ceci nous a bien simplifié la tâche. Je ne compte même plus les fois où nous avons dû user des potions d'Astrale pour ne pas se faire repérer.

Puis suivant les pancartes nous trouvons la salle qui semble servir de vestiaire. Alan ouvre la lourde porte, passe dans l'autre pièce et laisse la porte me retomber dessus. J'exprime mon mécontentement à ce dernier qui ne semble pas vraiment s'en soucier. J'entre et fais, sans faire exprès claquer la porte derrière nous. Cependant ce que je vie me surpris énormément. Il y avait une fille dans les vestiaires. Cela veut-il dire qu'ils sont mixe. Je désespère de plus en plus. Cette mission commence si mal. On est tomber bien bas ! Et cela ne va pas en s'arrangeant. Lorsque je fixe les yeux d'Alan je remarque qu'ils sont...

- Putain Al tu fais chier ! Contrôle tes yeux.

Dans la pénombre je peux distinguer deux billes d'un argent polis. Preuve irréfutable de notre nature non humaine. Nos yeux ont la faculté de changer de couleur. Les pupilles prennent la couleur de l'iris. Celle d'Alan étant grise elle prennent une teinte argentée des plus belles.

- Contrôle déjà les tiens avant de gueule sur les autres.

Il a raison, il est impossible pour moi de me contrôler. Ça ne m'était plus arrivé depuis un moment. C'est pourtant un automatisme pour moi, voir même un instinct de survie. Même si dans la hiérarchie du monde nous sommes ceux qui contrôle tout, personne ne doit connaître notre condition, ni notre existence. Alors la peur arriverai et comme les humains sont incapable de tenir leur langue, il est plus simple pour nous de nous cacher. Seulement, nous avons un tout petit problème, car il s'avère que dans la salle se trouve, une autre personne.

- Je suis sûr c'est à cause de la fameuse potion de Astrale. Déclara Al avec dédain.

Je n'y ai pas pensé, mais c'est vrai que depuis que j'ai bu la boisson de notre coéquipière, je me sens bizarre.

- euh ... Bonjour.

Nous nous retournons comme une même personne vers la fille qui venait d'ouvrir sa bouche. C'est bon on est dans une belle merde. La dernière fois déjà nous avions du tuer les deux mecs qui nous avais vu dans notre nature primitive. Seulement là, lorsque que je la regarde dans les yeux je ne vois pas la peur que j'aurais dû apercevoir normalement dans les yeux d'humain. Mon sang ne fit qu'un tour. D'un geste fluide je sors la pierre poli de ma poche. Elle se transforme sous ma volonté, en un fouet de feu, mon are de prédilection.

Dans ma vision périphérique, je peux voir que Alan a compris ce que je m'apprête à faire. Il est prêt à me suivre, même si il est contre la violence généralement, si c'est pour l'équipe alors il est prêt nous protéger. Il prend sans hésitation sa pige qui se transforme automatiquement en une épée d'air et de poussière, sa petite préférée.

La fille en face de nous est une fascinante comédienne. Elle feint la surprise à merveille. Cependant, on en a vu d'autre, et ce n'est pas une des leurs qui va nous corrompre. J'attaque le premier. J'arme mon bras, le lance, et de la pointe de mon fouet l'entaille...

Merde j'ai du à peine l'égratigner l'épaule. J'ai pensé, comme un con, que vu sa carrure, elle ne devait pas être entraîné par ces pauvres soldats. Elle est agile et rapide mais nous avons l'avantage. Dans cette pièce si petite elle est prise au piège. J'ai presque pitié pour elle. Elle va découvrir se que cela fait de tomber entre mes mains. Les gens comme elle ne mérite pas ma pitié ni ma culpabilité.

Ni une ni deux, je lance un deuxième assaut. Cette fois la fille n'eut pas le temps de l'éviter. Elle est bloquée par mon fouet qui devait sûrement la brûler. Notre adversaire maintenant dans l'incapacité de bouger, Al s'avance vers le centre de la pièce où se trouve la fille et lui donne un coup assez violent qui la propulse contre le mur. Elle s'effondre lourdement au sol. Elle est inconsciente. Cette gamine a perdu et nous, on a une nouvelle fois accomplis notre mission, tuer ces merdes. Je m'approche d'elle pour la fouiller et voir si elle peut nous être utile dans notre devoir.

- Va chercher Astrale, s'il te plaît. Négocie bien, elle doit venir, même si elle est énervée. Demande-je à mon coéquipier.

Il s'exécute, et moi pendant ce temps je me rapproche encore plus d'elle. Elle est très amochée. Elle a les vêtements du haut du corps déchirés, ou plutôt cramés, par mes attaques. Elle est brûlée de par et d'autre. Les côtes sûrement cassées, je peux voir que chaque respiration la fait souffrir. Bien fait pour elle ! Mais en l'observant de plus prêt, et en faisant abstraction de ses blessures elle est plutôt ... Belle.

Elle a le teint pâle presque blanc, les cheveux frisés attachés en une queue de cheval. Plus je l'observe plus je me dis qu'elle a de moins en moins l'étoffe de nos ennemis. Mais il ne faut que je m'attendrisse devant son doux visage, ceci pourrai être pris comme de la faiblesse dans ce monde de plus en plus violent. Alors sans une once de culpabilité, je la fouille.

Entre les bords brûler des pans de son-t-shirt, je peux apercevoir un pendentif. Sans réfléchir, j'entreprends de le prendre dans ma main. Plus j'approche ma main de son cou plus la respiration de la fille s'accélère. Je vais pour le toucher quand...

- Je t'en supplie, ne le touche pas. Me dit-elle d'une vois presque éteinte, empreinte de tristesse.

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