Chapter 7. ✔
[...]
La semaine a passée rapidement, mes cours étaient super. Jesy et moi avons passés nos soirées ensemble et comme chaque soirs, Sarah sortait pour ne pas se présenter le lendemain à ses cours. D'après-moi, elle ne passera pas la première session. J'ai revue Styles, mais ce n'était que lorsqu'il arrivait en retard aux cours que nous avons en commun. Il ne m'a adressé la parole, pas une fois et ça
fait mon affaire. Vendredi soir, après les cours, je prépare mes
vêtements pour le lendemain, je dois me lever de bonheur, je veux pas prendre de chance. Le Samedi matin, mon cadran sonne à exactement 5h30. Pendant la première demi-heure, je suis à la douche. Puis j'enfile un simple jean et un t-shirt à l'effigie des Rollings Stones.
Je coiffe mes cheveux d'une queue de cheval et à 6h30, je suis à l'arrêt de bus. Quelques minutes après, il me pose trois rues plus loin du restaurant, et le temps que je m'y rende, il est 7h. Je frappe à la porte sur lequel la pancarte indique "FERMÉ" Perrie vient m'ouvrir et me souris.
—J'imagine que tu sais mon nom, mais je me présente. Perrie Edwards... Toi c'est Lydia, pas vrai?
—Oui.
—Enchantée.
—C'est de même pour moi.
—Alors bienvenue ici! Voici ton horaire, le patron a essayé de faire un horaire qui convient à celui de tes jours d'école. Elle me tend une feuille que je saisie. Sur mon horaire scolaire, le jour quatre, je n'ai aucun
cours, donc je travaille toute la journée. Lors de mes après-midi où je n'ai pas de cours, je travaille.
—Tu travailleras environ trois jours par semaine. La semaine, nous ouvrons à 8h et nous fermons à 21h. Le weekend, nous ouvrons à 7h et nous fermons à 23h, puisqu'il y a le bar.
Elle m'indiqua toutes les lois qu'il faut respecter si nous devons
travailler au bar. Ne pas vendre d'alcool aux mineurs. Elle m'indiqua les tables auquel j'allais m'occuper et me passait une copie du menu afin que je l'apprenne par coeur. Tout me semble correcte. Elle me
passait un sac banane que je passe autour de ma taille. À celui-ci est une pochette pour l'argent en monnaie, les cents. J'ai une tablette pour les billets et une poche pour mon crayon ainsi que mon callepin. Après avoir passé l'heure à en apprendre un peu plus, nous ouvrons et je l'observe avec les premiers clients, afin de me donner un support
visuel. Après cela, je peux m'y mettre. Le patron vient parfois pour observer comment je suis. Les clients semblent heureux de mon service et me laissent de très bon pourboire. Vers 17h, Perrie m'indique que sa journée est finie et elle quitte après m'avoir salué. Je travaille
jusqu'à la fermeture. Je m'assieds sur l'un des tabouret, prête à
accueillir les clients. Le restaurant est vide et je commence sérieusement à m'ennuyer. Je vais dans la cuisine afin de jeter un coup d'oeil à mon portable. C'est ce qui est bien. Lorsqu'il n'y a aucun client, nous pouvons aller sur notre portable, mais devons rapidement revenir lorsque la clochette sonne. Aucun message, ni d'appels. La clochette retentit et j'accours rapidement, mais lorsque je vois qui sont mes premiers clients de la soirée, je perds le sourire. Zayn, Louis, Sarah et Harry se tiennent dans l'entrée.
—C'est pas vrai! C'est ici que tu travailles, mais c'est super!
Sarah s'exclame et se jete dans mes bras. Je souris.
—Oui...C'est génial.
Ils prennent place sur les tabourets et je vais derrière le comptoir.
—Que puis-je vous servir?
Ils commandent tous un verre de Vodka, sauf un. Je crois que vous vous en doutez. Harry me demande un Cherry Vodka Sour.
—Euh... D'accord.
—Je parie que tu sais pas comment le faire, et que tu sais pas c'est quoi! il pose ses coudes sur le bar et me sourit narquoisement.
—Je n'ai pas encore eu ma technique pour le bar, mais ça devrait aller.
Je verse de la Vodka dans trois verres de shooter et leur serre. Je me retourne, et me fige en cherchant comment faire la demande d'Harry.
—Jus de cerises.
Je me retourne, confuse et Harry semble sérieux.
—Il te faut verser du jus de cerises dans le fond d'un verre, puis tu mets la Vodka, tu mélanges et tu mets une cerise sur le dessus.
J'hoche la tête comme remerciement et fait ce qu'Harry m'a indiqué. Je lui sers son verre et il lève le regard vers moi en souriant. Il en prend une gorgée.
—Pas mal pour une débutante. Mais avec un peu plus de pratique, tu vas devenir experte, j'en suis sûre.
—Merci.
—N'empêche, y'a trop de jus de cerise, je ne goutte presque pas la Vodka.
Je roule des yeux et ils me paient. Ils parlent d'un certain Niall qui
arriverait d'Irlande. Je ne prête pas d'attention à leur conversation, après tout, je travaille. Je leur resserre un verre et je m'apperçois
que j'ai oublier un détail.
—Au juste, vous avez quel âge?
—J'ai 18 ans, Zayn 19 ans, Harry 19 et Louis 18 ans.
—Okay.
—Toi?
—18 ans.
Harry parle à ma place, et tous tournent la tête vers lui, ébahi. Il
garde le regard sur son verre.
—Comment tu sais ça, l'bouffon? demande Louis.
—Bah, on s'est parlé l'autre jour.
—Awww, vous avez parlés de quoi? demande Sarah en sautant sur le bar.
—Putain, vous êtes chiants. Il se lève et quitte le bar, laissant
l'argent sur le comptoir. Ils éclatèrent de rire tandis que je le
regardais s'éloigner.
—Pourquoi riez-vous? C'est pas drôle.
—Harry est une âme perdue, il rode toujours seul, laisse-le faire. Il n'aime pas vraiment avoir de la compagnie, du coup il a un sal
caractère.
—J'ai bien vue ça.
Quelques heures plus tard, ils quittent et je compte tout l'argent que nous avons amassez aujourd'hui. Je quitte le restaurant et verrouille
la porte. Je me retourne et tombe face à face avec Harry.
—Styles? Que fais-tu ici?
—Je me suis dit que je pourrais bien te passer un coup de main sur ta formation.
—Nan, ça va.
J'avance, mais il me retient avec son bras.
—Pour une fois que je suis sympa, tu pourrais pas accepter avant que je ne change d'idée?
—D'accord.
Je soupire et nous retournons à l'intérieur. Il m'enseignait comment faire pleins de verre, cocktails, etc.
—Comment tu sais tout ça?
—J'ai passé une partie de mon adolescence dans les bars.
—Oh...Bah merci.
Il ne dit rien et s'éloigne tandis que je verrouille la porte. Je
marche jusqu'à l'arrêt de bus, mais une voiture s'immobilise à mes côtés. Je tourne la tête. Un Range Rover noir. La vitre s'abaisse et les boucles d'Harry apparaissent.
—Montes, je te conduis à la résidence.
—Nan, ça va.
—C'était pas une question.
—Je vais marcher.
J'accélère le pas et il avance lentement derrière moi.
—Hey! Fait gaffe! Tu vas me rouler sur les pieds si tu continues.
—Je vais le faire si tu continues à marcher.
—Qu'est-ce que ça peut bien te faire si je marche ou pas?
Je crie par dessus mon épaule, toujours en avançant. Je n'ai pas de réponse. Je me retourne juste à temps pour voir Harry me poser sur son épaule comme si j'étais un sac à patates.
—Nan mais ça va pas la tête! Lâche-moi j'te dit!! je hurle en frappant contre son dos, mais abandonne lorsqu'il me pose sur côté passager.
—Tu boucles ta ceinture, t'es assez grande pour ça j'crois. il claque la porte et monte derrière le volant. Je croise les bras et il me regarde.
—Putain, t'es pas possible.
Il se penche par dessus moi et m'attache. Il sent bon, et ses boucles me chatouillent le visage.
—Pourquoi tiens-tu autant à me faire monter?
—Parce que la nuit, c'est dangereux pour une fille comme toi.
—Pour une fille comme moi?
Il tourne la tête vers moi.
—Bah on sait jamais si un pédophile est dans le coin. Il te prendrait probablement, ils prennent les belles filles.
—Donc tu es entrain de dire que je suis belle? J'étais pas stupide?
Il grogne.
—Je dis pas ça, juste qu'une femme, c'est beau et que parfois les pédophiles ont des goûts bizarre.
Je secoue la tête et regarde par la fenêtre.
—Pourquoi t'as une tête de cochon aussi dure? il demande en gardant le regard sur la route. Je tourne la tête vers lui, et l'observe quelques
secondes.
—Tu vas me répondes ou tu vas continuer à me regarder?
—C'est juste qu'on se chamaille toujours, alors je me disais que
c'était une mauvaise idée que je monte.
Il ne me jette aucun regard et je soupire.
—En même temps, t'a un caractère.
—Hey! Je suis pas le seul, j'te signal!
Il me lance un regard haineux, il semble en furi.
—OK, ça va! Calmos le chien enragé.
Il freine brusquement et ouvre ma portière.
—Sors.
—Parfait. Merci! je sors en rouspettant, il est bipolaire ou quoi? Je claque la porte et il part rapidement, faisant crisser ses pneus.
—Dégage, débile! je crie et il fait demi-tour, arrive à toute allure
et roule dans une flaque, juste assez proche pour m'éclabousser. Il s'éloigne et je sens des larmes qui se forment au coin de mes yeux.
Pourquoi doit-il être aussi insupportable? Je me laisse aller, et les larmes dévalent mes joues. Comme si c'était pas assez, la gance de mon sac à main brise et tout son contenu se renverse sur le sol trempé par la pluie et dans une flaque. Une voiture avance lentement derrière
moi, mais je ne m'en soucis pas, je mets mon bonnet et me penche pour
ramassez le tout, mais il fait trop sombre pour que je puisse voir
quoi que ce soit. Une portière claque, des bottes sur le sol résonnent et Harry apparait à mes côtés.
—Qu'est-ce que tu fais ici? Tu perds ton temps, tu as gagné, tu me fais chier, alors vas-y, marres-toi!
Il s'agenouille et m'aide à ramasser mes trucs. Il me les tend et je les fourre dans mon sac à main brisé. Il lève le regard vers moi tandis que je replace une mèche derrière mon oreille. Je renifle et évite son regard.
—Tu pleures?
—Bah non, je ris! Bien-sûr que je pleure, imbécile.
Il me regarde sans rien dire, je me redresse et m'éloigne de lui, mais il m'interpèle et arrive en courant.
—Pourquoi pleures-tu?
—Tu me fais chier, à cause de toi, je suis toute mouillé et mon sac
est brisé. Mes choses trempés et mon portable ruiné! Pourquoi ne
peux-tu pas t'entendre avec moi?
Il glousse et je hurle.
—Qu'est-ce qui te fait rire?!
—La manière dont tu as dit ta phrase, le contexte est drôle... enfin...
Je secoue la tête et je reprends ma marche, et je l'entends
s'éloigner. Tant mieux, qu'il dégage. Je soupire et sa voiture
s'arrête à ma hauteur.
—Monte.
Je ne dis rien et continue de marcher.
—Aller, vient te réchauffer.
—Non.
—Ne m'oblige pas à venir te prendre.
—Ferme-la.
—Lydia...
C'est la première fois qu'il m'appelle par mon prénom. Je m'arrête, et
lui aussi. Il sort et ouvre son coffre. Il me tend un t-shirt noir.
—Merci.
Il monte dans la voiture et j'enfile son t-shirt derrière la
voiture. Je ferme la valise et monte.
—Tu vois? Un t-shirt sec, ça fait du bien.
—Ouais...
Il est beaucoup trop grand pour moi, il m'arrive à mi-cuisse et je
flotte dedans. Il démarre et je commence à grelotter.
—T'as froid?
—Ouais.
—C'est ton jean trempé qui te donne froid, retire-le.
—Non.
—Je ne regarderais pas et puis, le chandail est assez long pour te cacher.
Je pousse un soupir et retire mon pantalon mouillé.
—Je suis désolé.
Je garde le silence et il soupire.
-Écoute, je sais que nous avons de la difficulté à nous entendre, mais quand j'essai d'être gentil, tu ne m'aides pas vraiment. Alors, s'il te plaît.
J'hoche la tête et je garde le silence pour le reste du trajet. Il
s'arrête devant sa résidence, là où les étudiants font la fête.
—Que faisons-nous ici?
—Dors chez moi.
—Quoi? Mais pourquoi je ferais ça?
—Parce que, tu risques d'attraper froid et ce serait mieux que tu
restes avec moi afin que je m'occupe de toi. J'ai pas envie que tu restes seule dans ta chambre universitaire.
Je ne dis rien, j'avoue que c'est étrange de sa part, mais bon.
Lorsque nous entrons dans la résidence, tous me regarde, normal, je ne porte qu'un t-shirt qui dévoile mes jambes. Harry crie:
—Regardez ailleurs, gang de pervers!!
Tout le monde retourne à leurs occupations et il monte les marches.
Dans sa chambre, il dit.
—Ouais, j'avoue qu'il y a la musique qu'on entend et qu'il y a 90% de chance qu'il y ait un couple qui vienne baiser, mais bon. Il tourne la
tête vers moi et je pince les lèvres. Il prend entre ses dents son piercing de sa lèvre et hoche la tête.
—D'accord, on dort dans ta résidence. Harry se penche et ramasse quelques trucs avant de sortir de la chambre. Une fois à ma résidence, je me laisse tomber lourdement sur le lit.
—Je comprends toujours pas pourquoi tu tiens tant à rester avec moi.
—Tes lèvres sont mauves, j'ai pas envie que tu tombes malade d'une pneumonie par ma faute, je vais veiller sur toi. Tu devrais manger quelque chose de chaud afin de te réchauffer.
—Je crois qu'une simple douche devrait faire l'affaire. J'ai travaillé toute la journée, alors c'est pas de refus.
Il hoche simplement la tête et je prends mes trucs avant de quitter la chambre. Je trouve ça gentil de sa part qu'il tienne à prendre soin de moi. Après m'être lavé le corps et les cheveux, je retourne à ma
chambre. Harry est toujours là, mais il fouille dans mon carnet.
—Harry!
—Pardon...
Il rougit, je l'ai surpris et il a sursauté lorsque j'ai crié.
J'avance et lui arrache mon carnet des mains.
—Tu écris bien.
—Merci, mais y'a pas vraiment de talent là-dedans, je ne fais que me défouler en écrivant.
—Tu parles de moi.
Je me fige, dans mon dos, je le sens sourire. J'ai honte et me
retourne lentement.
—Oui... Faut bien que je parle de toi, de tout ce qui est nouveau dans ma vie.
Il ricane et ferme les yeux en levant une main dans les air.
-Tu as écrit, et je cite: Harry, alias Styles, un jeune homme borné,
grossier et impoli, un punk aux boucles brunes vient d'apporter un changement dans ma vie. Il me fait souvent sortir de mes gonds, nottament lorsqu'il utilise cet air arrogant. J'aimerais bien être amie avec lui, mais je vois que nous ne pourrons jamais. Avec son sal caractère et ses tendances à faire chier, ça ne marchera jamais. Il n'a pas de coeur et son air dur fait peur.
Surprise qu'il le sache par coeur, j'échappe le carnet qu'il
s'empresse de prendre pour poursuivre la lecture à voix haute.
—Malgré cela, il est un bel homme. Si nous oublions tout ses défauts et qu'on lui trouve des qualités, il serait très beau. Bien-sûr, les tattoos et les piercings ne sont pas mon genre, mais si Dieu créait un homme semblable à lui, mais sans tout ça, il serait charmant.
Il lève le regard vers moi, et je sens mes joues chauffées. Les
secondes passent tandis qu'il m'observe. Il entre-ouvre la bouche et demande doucement:
-Tu m'aimes?
Ma réponse sort tout bizarrement:
-Euh, non.....Cedrick, je veux dire, tu n'es pas mon genre. Je disais
ça dans le contexte que je ne peux pas nier que tu es...euh...beau,
mais euh....voilà.
Il secoue la tête en rigolant et ferme le carnet. Il s'approche et je recule.
—De toute façon, je suis en couple.
Il me regarde de haut et je me sens rassuré.
—Ça tombe bien, moi aussi.
—Avec qui? Nelly?
—Nan, Cedrick.
—Oh, les mocassins, ouais. Trop con et stupide pour toi, en fait, je
suis persuadé qu'il t'influence.
Il me contourne et se couche sur le lit de Sarah. À ce que je vois, il
ne veut plus parler. Je mets ma honte de côté et vide mon sac. Je me demande bien avec qui il sort, enfait non, je m'en fiche. J'imagine que la fille est aussi impolie que lui, punk et tatouée qu'il l'est.
J'essuie mon coffre à lunettes, mon miroir de poche et mes tampons de secours. Mon porte-monnaie et le reste est sauf, mis à part mon portable et mon callepin.
—Super, j'ai dépensé de l'argent pour un rien. Mon portable neuf en plus....
Je me laisse tomber sur le lit et place ma tête entre mes mains.
Comment vais-je rejoindre ma mère et Cédrick? En face de moi, Harry tourne la tête vers moi, les mains derrière la tête. J'éteins les
lumières et me glisse sous les couvertures. Silencieusement, je
pleure. Je ne suis plus capable de lui, j'ai l'impression qu'il va me
gâcher mon passage à cette université. Dans le noir, je l'entends bouger dans son lit et mon lit s'affaise quelques secondes après. Je ne bouge pas, enrouler dans ma couverture.
—Lydia...Regarde-moi.
Je sors la tête de sous la couverte et je perçois sa silouhette dans
la noirceur.
—J'ignore pourquoi tu pleures, mais tu devrais arrêter. Une fille
comme toi ne devrait pas pleurer, elle devrait être heureuse.
—Je ne pleure même pas.
—Non? Pourtant je t'entends renifler depuis tout à l'heure et je
voyais ton corps être secoué de sanglots.
Il parle doucement et je perçois de la tendresse dans sa voix. Où est passé le Harry au sal caractère? Puisque je ne lui dis rien, il continue.
—Je suis désolé pour aujourd'hui. Je sais que je ne suis pas facile et
que tu aimerais que je sois plus fréquentable, mais je ne fais pas
exprès. Je suis désolé.
—Ça va.
Je me redresse et je sens son regard qui me brûle.
—Euh....tu veux...euh..un câlin?
Il demande cela maladroitement et il frotte sa nuque. Je secoue la
tête, mais il m'attire contre lui et me serre dans une étreinte
maladroite. Il me repousse rapidement, je sais qu'il fait des efforts.
—Merci Harry, mais tu n'as pas à me présenter tes excuses ni à faire des efforts. Tu es comme ça, tu ne peux pas te changer, alors c'est correct. Je n'ai pas besoin de ton amitié, de toute façon, nous
n'avons rien en commun, alors c'est gentil d'essayer.
Il ne dit rien, et je répète:
—Harry?
—Ouais, t'a raison. Je n'ai rien à faire dans ta vie, ni ici même.
Il se lève et ouvre la porte. Avant de sortir, il se tourne et je peux
voir l'air renfrogné figé sur son visage.
—Ça été cool de te connaître, Grondin. Change pas, reste aussi bornée que tu l'es.
Il sort et je fronce les sourcils. Ça voulait dire quoi, ça? Perplexe,
je m'endors.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Voici comme promis le chapitre 7! J'espère qu'il vous plaira! Votez, commentez et partagez!!
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro