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24. NOT AGAIN









Pas besoin de les ligoter, on les avait jetés dans une sorte de gros fourgon noir. Tout s'était passé très vite : ils les avaient obligés à les suivre. Et au vue de leurs armes lourdes, il valait mieux ne pas protester. Maintenant, ils étaient assis en ligne, les uns en faces des autres. Abella était sur la même rangée que Newt et Minho, et les trois autres garçons étaient assis en face.

La jeune fille ne comprenait plus rien. Que se passait-il encore ? Pourquoi on les menaçait ? Pourquoi on les capturait ? Et si c'était WICKED ? Impossible, tout a été détruit. Et s'ils avaient d'autres bâtiments ? Non, non, non.

Elle commençait à angoisser. Son souffle était court, ses yeux grands ouverts. Elle avait l'impression de ne plus être maître de son corps. Des tas de petits points blancs encombrés sa vision. C'est alors qu'elle sentit une main sur sa cuisse, et la jeune fille fut tout à coup ramenée sur terre.

Newt, assit à côté d'elle, la regardait d'un air concerné. Alors la jeune fille posa ses deux mains sur celle du garçon pour se rassurer. Elle n'était pas seule, ils étaient là, avec elle. Et les sourcils froncés du blond lui indiquaient qu'il devait probablement se poser les mêmes questions qu'elle.

-          J'ai peur, souffla la fille en serra sa main avec force.

-          Moi aussi, mais on est là, chuchota le blond en se rapprochant d'elle.

Il avait besoin de sa présence autant qu'elle. Il n'était même pas convaincu par ses propres paroles. Qu'est-ce qui allait encore leur arriver ? A croire que cette forêt était maudite. En fait, vu les longues minutes qu'ils avaient passés dans ce fourgon, ils devaient être très loin du campement à l'heure qu'il est.

-          Les autres vont bien voir qu'on a disparu, lança Minho en fixant un de leur assaillant du regard. Ils vont partir à notre recherche.

La personne, au visage caché sous un bandeau noir, ne tiqua même pas à la réflexion du garçon.

-          Je prie juste le seigneur pour que ce ne soit pas WICKED, bredouilla Darwin alors qu'il fixait le sol d'un air terrorisé.

Cette fois, leur assaillant pouffa de rire. Qu'est-ce que ça voulait dire ça ? Ça n'avait rien de rassurant. De plus, il ne savait même pas où ils allaient. Aucune fenêtre dans ce véhicule ne pouvait leur donner le moindre indice de l'endroit où on les conduisait.

Et après de longues minutes - voir peut-être même une heure - qui leurs semblaient interminables, le fourgon s'arrêta enfin. Le cœur d'Abella battait la chamade. C'est alors que les portes arrières s'ouvrirent et un énorme nuage de poussière s'infiltra à l'intérieur, les obligeants à fermer les yeux. La seconde d'après, on les força à sortir et Abella découvrit que ce n'était pas de la poussière sous leur pieds, mais du sable.

La terre brulée ? Impossible, c'était sur l'autre continent. Du moins, ça ne pouvait pas être le même endroit. De toute façon, les éruptions solaires s'étaient étendues sur toute la planète, n'est-ce pas ? Aucune raison de s'affoler. Enfin si. Ils ne savaient pas ce qu'il se passait. Puis, quand la jeune fille leva les yeux, elle se retrouva nez à nez avec une sorte de grande ville. A part la dernière ville, elle n'en avait jamais vu d'autre. Mais où avaient-ils bien pu atterrir ?

-          C'est quoi cet endroit ? marmonna Thomas d'un air perdu.

-          Ça ressemble à la dernière ville. En plus... miteux ? constata Gally en plissant les yeux.

C'était exactement ça.

-          Bon, commença l'une des personnes habillées en noires en se tournant vers eux, on va vous emmener voir le chef.

-          D'abord on veut savoir où on est ! s'exclama Thomas en s'avançant d'un coup.

L'homme tendit son arme vers lui afin de le faire reculer, et celui-ci se calma automatiquement.

-          Tu bouges pas toi. Le chef vous expliquera tout une fois sur place, gronda-t-il d'un air menaçant.

C'est alors que trois types armés se positionnèrent derrière eux, les forçants alors à avancer. Abella lança un regard inquiétant à Thomas, qui était tout aussi décontenancé qu'elle. Si jamais ils venaient tous les six à mourir ici, ce serait la plus grosse injustice qu'elle aurait jamais vécu. Et aussi la dernière.

Ils traversèrent donc se qui semblait être un genre de grande rue déserte. Il y avait des maisons de chaque côté, certaines en plus mauvaises états que d'autres, mais elles tenaient toutes debout. C'est alors qu'Abella croisa le regard d'un enfant à travers une fenêtre, et celui-ci se cacha immédiatement. Il y avait donc des gens qui vivaient ici ?

Leurs pas étaient lents, ils n'étaient vraiment pas pressés d'arriver devant ce « chef ». A force de marcher, ils se retrouvèrent sur une grande place au sol de pierre, avec un énorme bâtiment en bêton gris sur leur droite. Des statuts à figures humaines ornés l'habitation. Elle semblait plus prestigieuse que toutes les maisons qu'ils avaient pu croiser jusque là. Surement le refuge du chef.

On les fit entrer, toujours surveillés par une bande de types armées. Ils étaient tous habillés en noir, de la tête aux pieds. Abella ne put s'empêcher de penser qu'ils devaient vraiment avoir chaud là-dessous. L'endroit n'était pas si délabré que ça, mais des tas d'objets jonchés chaque recoins des couloirs. Des petits monts de sables s'étaient accumulés par ci par là. Le plafond était haut, très haut même. Les murs étaient décorés de tapisseries anciennes aux couleurs bleu et jaune, effacés par le temps. Sous leur pieds, une sorte de moquette bleu foncé étouffée leurs pas.

-          Personne ne parle quand le chef parle, s'exclama l'un des gardes en direction de tout le groupe. Pas de gestes brusques. A la moindre alerte, on vous tire dessus, menaça-t-il alors qu'il venait de poser la main sur la poignée rouillée d'une grande porte en bois tout aussi usée.

C'était une porte double, et avec l'aide d'une autre personne, il les ouvrit. Ils se retrouvèrent dans une grande pièce ronde, dans le même style que l'intérieur des couloirs. Ils avaient comme l'impression d'entrer dans une bulle, agencée de bibelots rustiques. C'était très éclairait grâce à de grandes fenêtres qui ornaient chaque murs.

Et le premier réflexe d'Abella fut de se rapprocher de Newt. Elle avait beau ne montrer aucune expression sur son visage, la jeune fille était terrorisée.

-          Enfin ! Dites-moi que ce sont mes chers invités qui sont enfin là ! s'écria une voix d'homme provenant d'une autre pièce.

-          Ce sont bien eux, chef, répondit un des gardes en se tenant droit, l'arme baissée.

Un homme entra alors par la gauche de la pièce pour atterrir devant eux, un grand sourire aux lèvres. Il était aussi habillé de noir, et ses grands yeux sombres n'avait rien de menaçant. Ils étaient plutôt fatigués, c'était un regard étrange, peu naturel aux yeux d'Abella. Il avait une peau matte, un petit nez rond, des dents très blanches et un peu de barbe. Mais surtout, il avait des cheveux crépus qui lui remontés au dessus de la tête. Clairement, Abella n'avait jamais vue une coupe aussi bizarre.



-          Bienvenue les gosses, accueillit l'homme en souriant malicieusement.














*


Hm. Oui. C'est The Weeknd.
Hin hin. Je ne voyais personne d'autres pour jouer ce rôle.
* tousse *
ME JUGEZ PAS VOUS ALLEZ VOIR IL EST VRAIMENT STYLÉ ET TOUT DANS L'HISTOIRE.

Enfin, voilà.
Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ? J'espère que vous vous posez pleins de questions sur ce qui leur arrive. 😎
Je poste la suite cet aprem. ✌️

( regardez ses cheveux mdr j'ai ri )

❣️ L.O.V.E. ❣️

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