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Chapitre 20

Je ne peux absolument pas bouger. Trois hommes me tiennent, et je n'ai pas un seul centimètre de tous leurs muscles.

Aedan est également retenu. Même s'il a plus de chances de pouvoir s'extirper que moi, il n'a pas l'air de pouvoir beaucoup.

La seule chose que l'on peut regarder, c'est Éric qui s'en prend violemment à Hadès, qui riposte plutôt bien.

— Qu'est-ce que tu veux Éric bordel ? s'exprime Hadès, en le faisant basculer en arrière.

— Je veux tout ! Ta sœur, le cartel, je veux tout récupérer !

— Mais qu'est-ce que tu as avec ma sœur espèce d'enculé ? Tu désires te la taper ? Dommage pour toi, elle va bientôt se fiancer avec son mec, et ils sont très heureux ensemble !

Éric s'arrête de bouger et regarde Hadès, incrédule. Je ne comprends définitivement pas cette scène. Éric est en train de faire ça par envie de vouloir Monica ? C'est pas un peu trop gros pour une raison aussi simple ?

— Ça t'en bouche un coin hein ! continue Hadès en s'approchant de lui. Tu n'auras jamais rien Éric. Tu as créé ce minable cartel que peu de personnes connaissent en quittant le plus grand. C'est toi qui nous as causé du tort tout ce temps, tu ne peux pas rejeter la faute sur tout.

— Il a raison, coupe Aedan. Tu nous as tous trahis, et tu oses encore te demander pourquoi tu n'es plus parmi nous ? Tu le sais très bien au fond de toi. Tu ne nous as attiré que des problèmes, et j'ai bien cru que mon cartel allait sombrer avec tes conneries.

En terminant sa phrase, les hommes d'Éric foutent des coups de poings dans son ventre pour qu'il se taise.

Je ne peux pas rester ici sans rien faire. Aedan est à la merci de ces fous, Hadès ne va peut-être pas tarder à confronter trop violemment Éric.

Mais qu'est-ce que je pourrai faire ? Je suis complètement bloquée, et même si j'essayais d'en tuer un, les deux autres me tomberaient dessus aussi rapidement que la vitesse lumière.

Il faudrait que je réfléchisse à une stratégie. Ils ont l'air assez concentrés sur le combat entre Hadès et Éric, et ne font pas forcément attention à moi. Je pourrai probablement faire quelque chose. Mais quoi ?

Je relève la tête et croise le regard de Aedan. Il a compris ce que je voulais faire. Je ne sais pas s'il essaye de m'en dissuader avec son regard, mais c'est peine perdue. Je dois faire quelque chose.

Et puis merde, pourquoi personne ne se bouge dans ce cartel ? J'ai quand même hurlé, Hadès et Éric se provoquent des coups violents qui se font entendre jusqu'à La Paz, mais tout le monde continue à pioncer ?

Je tente de remuer un peu doucement, car les hommes sont toujours maintenus sur Éric et Hadès. J'extirpe mon bras pour tenter d'attraper les cheveux de l'un, pour tenter de le faire basculer sur l'autre.

Tout en sachant que le troisième est reparti pour aider les autres à maintenir Aedan. Parce qu'il y va très fort, et ils ne tiendront pas longtemps.

Je porte ma main à ses cheveux, et tire d'un coup, ce qui lui arrache un cri de douleur. Je ne leur laisse pas le temps de comprendre ce qu'il se passe que je rassemble toute ma force dans ma main droite pour ramener la tête du mec vers l'autre tête.

Les deux s'entrechoquent, et ils restent quelques instants sonnés. Aedan en profite pour se dégager de la prise des autres hommes pour venir me chercher.

Il me prend le bras d'une force que je ne sens même pas mon corps décoller. Il me ramène près de lui, et Hadès a profité de l'instant pour mettre k.o quelques instants Éric.

Hadès se ramène également vers nous, et se place devant Aedan, qui est lui-même devant moi. Il ne veut pas qu'une seule personne me touche.

— Cassez-vous, crache Éric en direction de ses hommes. C'est entre eux et moi maintenant. Je vais tous les fumer jusqu'au dernier.

Je regarde Aedan incrédule. Je ne comprends rien de ce qu'il se passe. Il veut nous affronter tout seul ? Mais il est tombé sur la tête.

— Éric, vous ne pouvez pas faire ça. Ils vont vous ratatiner, s'exclame un de ses hommes en s'approchant de lui.

Éric ne le laisse pas parler davantage en lui foutant une claque monumentale. L'homme a l'air de très bien comprendre, puisqu'il jette une sorte d'enseigne par terre avant de descendre les escaliers.

Cette scène est lunaire. Ils partent comme si rien ne s'était passé, et regagnent la forêt par laquelle ils sont arrivés.

Éric nous refait face, et sort lentement son flingue. Il le sait qu'il va mourir. Sinon il ne serait pas en train de faire ce qu'il fait actuellement. Mais vu le flingue qu'il vient de sortir, il ne veut pas partir seul.

— Éric, cette situation a assez duré, entame Aedan d'une voix grave. Tu te permets de revenir chez moi, en train de menacer mes hommes, et tu penses pouvoir faire ce que tu veux ? Tu en demandes vraiment beaucoup. Je t'aurais peut-être écouté si tu avais eu un putain de cartel avec de l'argent. Mais tu n'as rien Éric, tu comprends cela ? Tu n'as strictement rien. Ton vieux cartel est déjà en ruine. Alors pourquoi es-tu encore là ?

— Tu commences à réellement trop parler Aedan. Ça fait un moment que j'aurai dû en finir avec vous ! J'aurais dû tous vous tuer dans vos sommeils avant de quitter le cartel ! Oui, je l'ai quitté, vous me traitiez comme de la merde, et je me suis dit qu'en créant un autre, j'arriverai à vous concurrencer et à vous voler la vedette. Sauf que tu es toujours dans les parages Aedan. Tu es toujours là pour faire foirer mes plans et récupérer ce que je désire !

Il s'avance dangereusement, tout en chargeant l'arme. Je resserre le bras d'Aedan, qui ne manque pas de le savoir. J'ai peur de ce qu'il peut faire. Une balle peut partir très vite, et si ça se finit comme ça, ça va foutre la merde.

— Alors, je suis ici maintenant. Même si je sais que je vais certainement crever sous vos mains, je vais au moins en emporter un de vous. Et ça sera toi Aedan. Si je meurs, tu meurs !

Il termine sa phrase en hurlant et en levant le bras pour le pointer sur Aedan. Je ferme les yeux, refusant d'admettre la scène qui se passe sous mes yeux.

Mais aucun son ne me parvient. Je n'entends pas le coup de feu qu'Éric aurait dû lancer envers Aedan. Je ne sens pas Aedan s'écrouler. C'est comme si le temps s'était arrêté.

Je décide de rouvrir les yeux, ne comprenant pas vraiment ce qu'il se passe, et la réalité me fait face.

Des hommes maintiennent Éric. Il ne peut absolument pas bouger, car tous ses membres sont aggripés, et l'arme qu'il tenait a sauté.

— Bordel, ce n'est pas trop tôt, gronde Aedan. Qu'est-ce que vous faisiez sérieusement ? Si notre cartel se fait attaquer et que vous dormez, qui va réussir à le protéger ?

Aedan soupire tout en se passant une main dans les cheveux. Je reste en retrait. C'est beaucoup trop d'émotions pour moi ce soir, et je ne demandais pas à en voir autant.

Aedan s'approche et ordonne à ses hommes de lâcher Éric, qui s'affale contre le sol brutalement. Il peine à se relever, mais Aedan l'aide, en le tenant par les épaules.

— Je te laisse une chance Éric. Juste parce que tu étais un ancien membre de mon cartel. Soit je te laisse la vie sauve et tu dégages de ma vue pour toujours. Soit je serai dans l'obligation de te descendre devant le palier du plus grand cartel de Bolivie. À toi de voir.

Éric ne répond rien, et laisse son esprit divaguer tout en maintenant le regard vers le sol. Je ne sais pas si je dois avoir de la compassion envers lui, ou juste de la haine.

Il m'a quand même attaqué avec un couteau lorsque nous étions là-bas. À cet instant, mon côté empathique remonte, et j'ai presque envie de dire à Aedan de le relâcher et de ne plus jamais en reparler.

— Aedan, laisse-le partir.

Je ne sais pas pourquoi j'ai ouvert ma bouche. Il me fait bien trop de peine. Finalement, il voulait juste concurrencer son ancien cartel. Cela n'excuse pas tous les actes qu'il a pu faire, mais on peut le laisser tranquille en espérant qu'il ne nous rapporte plus de problèmes.

— T'es bien mignonne Nayeli, mais je pense que cela est une mauvaise idée, rétorque Hadès.

Aedan semble approuver la remarque d'Hadès, puisqu'il se reconcentre gravement sur lui. Ils n'ont réellement aucune pitié. Ils ne le laisseront même pas partir, et peut-être qu'ils le laisseront encore en vie quelques jours, mais n'hésiteront pas à le tuer.

— C'est terminé maintenant Éric. Je ne te remercie pas pour toutes les merdes que tu as pu nous faire vivre, ni pour toutes les vies que tu as emportées quand tu nous as trahis.

Éric ne répond pas, mais son regard est braqué sur moi. Ce n'est pas un regard désolé, ni quoi que ce soit. Juste un regard vide, comme s'il tentait de me convaincre une dernière fois de les arrêter.

Je baisse peu de temps après le regard. Je ne peux pas maintenir le sien. Il est beaucoup trop chargé, et je serai capable de taper scandale pour qu'ils le relâchent. Sauf que je n'ai pas spécialement envie de me les mettre à dos.

Hadès récupère le flingue qu'Éric avait balancé par terre, et vient le donner à Aedan, qui le prend sans broncher.

Il lève le bras, vise la tête, et tire sans aucun regret. Éric tombe alors à la renverse, et les autres hommes s'occupent de prendre son corps pour aller le foutre, je ne sais pas où.

Quant à moi, je ne me suis pas rendu compte que j'étais tombée par terre. Ma respiration est difficile, et je peine à la retrouver, même en faisant mes exercices.

Je vois débouler Monica, en furie. Elle interroge immédiatement son frère sur la raison du coup de feu, et d'autres arrivent rapidement.

Son regard s'arrête sur le mien, et Monica prend un air horrifié. Aedan et Hadès suivent son regard, et me constatent par terre, en pleine crise d'angoisse.

Monica court dans ma direction, et tente de me calmer en m'aidant à caler ma respiration sur la sienne. Elle m'aide à me relever, assassine du regard son frère et Aedan, puis rentre de nouveau dans le cartel.

Elle se dirige doucement vers ma chambre, pour me permettre de suivre le rythme. Je sais que Cristina n'y est pas, puisqu'elle faisait partie des gens qui ont déboulé un peu trop tard dehors.

Une fois arrivée, elle m'aide à m'asseoir sur le lit. J'ai à peu près retrouvé ma respiration, et j'arrive à relativiser sur la situation qui vient de se passer.

— Tu as besoin de boire un peu d'eau ?

Je regarde Monica et fais un signe de tête que oui, j'en ai grandement besoin. Elle se lève à la hâte pour partir dans la salle de bain en chopant au passage un gobelet qui sert à mettre, normalement, le café.

Je rabats ma couette sur moi, et tente de me masser le crâne. Un mal de tête conséquent arrive, et je préfère l'éviter.

Monica revient avec mon verre, que je bois en une traite. Même si cela me fait du bien, mon mal de tête continue à s'accentuer. Mais je pense qu'en dormant un peu, ça ira beaucoup mieux.

Mais comment dormir ? Comment dormir en sachant que ce taré était encore là, qu'il est revenu à son ancien cartel, et qu'il a failli tuer l'un des plus puissants barons de drogue ?

Comment dormir alors qu'il est mort lâchement, avec une balle dans la tête, lorsqu'il désirait juste dépasser ses concurrents ?

Il avait certainement une famille. Et c'est peut-être dégueulasse de penser comme ça, car il leur a causé énormément de problèmes, mais il n'aurait peut-être pas dû mourir.

Ou alors, c'est juste mon côté empathique qui ressort. Car je n'aime pas savoir que de nombreux hommes meurent sous les mains des cartels, alors qu'ils avaient une vie derrière.

Monica m'aide à me coucher, et reste le temps que je m'endorme. C'est-à-dire longtemps. Car j'ai dû mettre bien deux bonnes heures avant que Morphée décide de me prendre sous son aile.

Mon esprit n'a fait que de se torturer sur Éric. Il est mort, et même si je ne le connaissais pas, deux hommes avec qui j'ai appris à vivre, l'ont tué sans un seul mot. Pas même une once d'opportunité, car même si Aedan lui a proposé de partir, je savais qu'il ne le ferait pas.

Il voulait absolument voir Éric mort, pour qu'enfin, il arrête de leur apporter des problèmes. Peut-être aurait-il continué, même si Aedan lui aurait demandé de se tenir éloigné du cartel ? Je n'en sais rien, car après je ne le connaissais pas. Je ne sais même pas vraiment ce qu'il a fait au cartel pour qu'ils le détestent à ce point.

***

Je me réveille lentement avec un énorme mal de crâne. Il ne s'est décidément pas arrangé depuis la veille, et je ne pense pas avoir de médicaments à me procurer.

Je me lève doucement, et remarque Cristina, qui dort encore n'importe quoi. Elle est en étoile de mer avec sa tête au milieu de son lit. Mais qui dort comme ça ?

Cela me procure un petit rire, et j'avance dans la salle de bain, afin de me rafraîchir le visage et de boire un peu. On m'a toujours dit qu'un mal de tête était signe de déshydratation.

La fraîcheur de l'eau me fait frissonner, et j'apprécie le moment, jusqu'à ce que mon ventre me ramène à la raison. J'ai bien trop fait pour oublier ce petit détail, alors je m'apprête un minimum pour pouvoir sortir.

Vêtue d'un vieux jean troué, qui m'a été donné par Victoria, et de mon t-shirt simple blanc, je tourne la poignée de la porte pour pouvoir sortir.

L'agitation qui reste dans les couloirs me perturbe quelques instants, et je reste là à ne pas bouger. Qu'est-ce que c'est que tout ce vacarme ? Je n'entendais rien à l'intérieur de la chambre, c'est si insonorisé que ça ?

J'aperçois Victoria un petit peu plus loin, et tente de la rejoindre rapidement avant qu'elle ne se mette à courir comme tous les autres. Heureusement, elle ne se déplace pas d'un pouce, et j'arrive facilement à sa hauteur.

— Coucou Victoria, aurais-tu l'amabilité de me dire pourquoi il y a un tel boucan dans le cartel ? Cristina dort toujours, et je ne sais pas quoi faire là tout de suite.

— Salut Nayeli, commence-t-elle en rigolant. Ta petite tête me fait beaucoup rire, on dirait que tu es la seule à ne pas être au courant de ce qu'il se trame ici !

— Non, Cristina aussi n'a pas l'air au courant, vu comment elle dort. Non mais sérieux, qu'est-ce que c'est que toutes ses positions ?

Victoria rigole de bon cœur, et je me sens soulagée lorsqu'elle est ainsi. Elle m'aide beaucoup à relativiser les choses, et je me sens toujours bien à côté d'elle.

— Bon sinon, tu m'expliques ?

— Aedan prépare un discours dans le grand jardin du cartel. Suite à ce qu'il s'est passé hier soir, il veut sensibiliser toutes les personnes du cartel à rester vigilants et à signaler le moindre comportement suspect.

— Il a bien raison ! Hier, j'ai cru que nous allions mourir avec tous ces hommes. Et aucun de vous n'a bougé son cul avant un petit moment. J'aurais été furax à la place d'Aedan.

— C'est ça, roule des yeux Victoria en esquissant un sourire. À mon humble avis, tu n'aurais rien dit et fais avec !

Je grommelle des mots incompréhensibles, ce qui fait rire de nouveau Victoria, et je lui emboîte le pas pour aller dehors.

Il fait bon aujourd'hui. Nous sommes en plein mois d'avril, et les feuilles des arbres poussent, les jardins fleurissent, et l'air est très agréable. Qu'est-ce que j'aime cette partie de l'année.

Nous retrouvons alors un grand nombre d'hommes dans ce fameux jardin, que je n'ai jamais eu l'occasion de voir. C'est vrai qu'il est assez grand, et plutôt bien entretenu.

Victoria me fait contourner tous les hommes et femmes pour pouvoir aller devant afin de mieux voir. Même si je suis plutôt grande, je ne suis rien à côté de ces monstres !

Je m'assois alors par terre, sur l'herbe fraîche, pour permettre aux gens derrière moi de pouvoir suivre. Victoria se place à mes côtés, mais reste debout.

— Bonjour à tous, je vous remercie tout d'abord de votre présence dans notre jardin, commence Aedan en s'avançant de l'estrade. J'ai décidé de prendre le temps aujourd'hui de vous expliquer le danger qui peut menacer notre cartel.

Je regarde discrètement Victoria, l'air soucieux. Ce qu'il se passe est réellement plus grave que ce que je pensais ? On me cache des choses, c'est sûr.

— Comme vous le savez, hier soir, ou plutôt ce matin très tôt, nous avons été victimes d'une agression. De la part de notre ancien membre, Éric, et des hommes de son nouveau cartel. Nous étions juste dehors, en train de prendre l'air, et n'avions aucune arme.

Aedan me cherche alors du regard et quand il me trouve, son regard s'adoucit légèrement. Je cligne des yeux plusieurs fois pour bien me rendre compte de la situation, mais il reprend son air grave juste après.

— Hadès, moi-même, et Nayeli, l'une des nouvelles secrètes, avons été attaqués par ses hommes. Hadès a dû se battre avec Éric, tandis que Nayeli et moi étions retenus. Personne ne nous a entendus, et nous avons dû attendre un bon paquet de temps avant que certains de mes hommes débarquent.

Le silence se fait dans le jardin. Le discours qu'énumère Aedan fait froid dans le dos.

— C'est pourquoi, je vous demanderai d'être prudent à l'avenir. Si vous entendez un bruit suspect, n'y allez pas seul, car c'est peut-être des camarades qui se font attaquer, ou juste des ennemis qui essayent d'entrer. Nous sommes la cible numéro une de la plupart des cartels, et ils veulent tous voir ma tête en haut d'un piquet.

Sa phrase me fait ressentir énormément de frissons. Il est conscient du danger qui plane au-dessus de sa tête mais malgré ça, il continue à rester ici, en assurant son poste.

— Faites attention à vous, anéantissez n'importe quel ennemi qui voudra rentrer dans le cartel, prenez soin de vos amis, réglez vos comptes. Nous sommes avant tout une équipe, et nous devons rester soudés dans les épreuves.

Tout le monde applaudit pour accepter les paroles d'Aedan. Pour ma part, je ne le fais pas, et me contente de regarder le sol, en triturant mes mains.

En relevant la tête, je croise le regard dur de Aedan, qui est tout bonnement indéchiffrable. Je ne sais pas ce qu'il veut me dire à cet instant, mais une chose est sûre.

Je dois me protéger.

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