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Chapitre 17

Je ne comprends plus réellement ce qu'il se passe. Tout se bouscule dans ma tête, et je laisse les évènements se passer. Je n'y prête même plus attention.

Éric est au sol. Toujours en vie. Il y a des chances qu'avec le coup qu'Éric lui a porté à la tête, Victoria ait mal visé. Mais nous n'avons pas le temps de le terminer. Des dizaines d'hommes arrivent si l'on en croit le chaos, et si nous restons quelques minutes de plus ici, je ne sais pas si nous pourrons nous échapper.

Si nous devons nous battre, nous sommes cuits. Ils sont des dizaines, et nous avons des tas de blessés. Nous ne nous en sortirons pas.

— Il faut que l'on dégage, annonce Aedan à tous les autres.

Encore accoudé contre moi, et ne décide pas de s'en lasser, il commence à marcher vers là où nous sommes venus, en m'entraînant avec lui. J'ai beau essayer de marcher vite, son poids lourd sur moi me fait dire le contraire.

Au début, il n'était qu'un peu accoudé sur moi, dû au fait qu'il arrivait à poser les jambes par terre. Il s'est rendu compte qu'en marchant, cela serait impossible. Il titube dès qu'il marche, parce que les coups portés l'ont complètement sonné.

Si je ne le tenais pas, il saurait marcher, mais il marcherait de travers, et manquerait de tomber à chaque occasion. Ce n'est pas la peine de perdre plus de temps.

Je me retourne pour apercevoir les trois hommes porter Hadès, qui ne peut pas du tout marcher avec sa jambe. Heureusement, Éric n'a pas visé le milieu de la jambe, mais seulement le côté droit.

Même avec cette blessure, il réussira à se rétablir plus vite que si on lui avait tiré une balle au milieu. D'ici deux-trois semaines, il sera de nouveau sur pied. En tout cas, j'espère.

Il y a quelque chose qui me fait craindre. Qui me fait dire que nous ne sommes pas en sécurité. Cristina et Hadès sont hors d'usage, ils resteront quelque temps à l'infirmerie, ce qu'il veut dire qu'il nous manque deux éléments essentiels au cartel en cas d'attaque.

Si jamais un cartel décide de se venger pour x raison que je ne connais pas, arriverons-nous à nous défendre ? Est-ce que seulement Adriel et Aedan comme instructeurs nous suffiront ?

Sans le savoir, tout en continuant à marcher vers la sortie et avec les hurlements de certains hommes derrière, une larme dévale ma joue, et je ne peux même pas l'essuyer.

Mon corps décide d'évacuer au pire moment. Ce n'est vraiment pas à cet instant qu'il faut faire ça, merde ! Nous devons nous dépêcher de sortir d'ici avant que ces enfoirés nous retrouvent, et me voilà à chialer comme une gamine.

Mais est-ce réellement ma faute si je pleure comme ça ? Je suis juste complètement crevée, j'ai tué pour la première fois quelqu'un ici, j'ai vu des gens que j'apprécie se faire tabasser, et je « porte » le chef à mes épaules. Est-ce que c'est même normal ce genre de situation ?

Ils s'en remettent tous à peu près bien. Hadès, même s'il souffre douloureusement de sa blessure à la jambe, arrive à parler un peu avec les gars qui le portent.

Je tourne la tête de l'autre côté pour apercevoir Adriel et Cristina qui discute calmement à voix basse, tout en avançant rapidement. Tout est normal pour eux, c'est leur monde, ils y sont habitués.

Mais moi ce n'est pas mon monde. Ça ne le sera jamais. J'ai fui ce monde comme la peste, après ce qu'il s'est passé. Je n'aurais jamais voulu me confronter à eux. Me voilà maintenant à me battre pour sauver la vie de ces gens de cartels.

Au fond, je me demande s'ils ne tuent pas les « méchants ». Ces gens ne sont clairement pas là pour leur bien, et ils ne tuent que ceux qui les dérangent, ils ne se sont jamais attaqués à des civils, sauf pour faire peur. Je trouve ça raisonnable comparé à ce qu'ils ont fait aux ennemis juste avant.

Ma vue commence à se brouiller petit à petit. Ce n'est pas juste une simple larme qui dévale sur ma joue, mais un torrent de larmes que je ne peux pas empêcher. Même si j'essaye de me contenir de toute mon âme.

Malgré moi, un hoquet sort, montrant mon désarroi et ma souffrance. Personne ne semble m'avoir entendu, excepté mon chef qui me regarde étrangement. Il a l'air immense quand je le regarde comme ça, alors qu'il n'a que vingt centimètres d'écart avec moi.

— Tu pleures ?

En accentuant cette phrase pleine de sarcasme, il forme un sourire que je déteste voir. Celui de la moquerie, du danger. Il va se foutre de ma gueule. Alors que je n'ai vraiment pas besoin de ça actuellement, puisque je me considère déjà au fond du trou.

En voyant ma mine déconfite, et mon regard penaud, il commence à s'interroger sur la véritable nature de mes larmes. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans son cerveau. Cependant, il me fait relever la tête pour que mes yeux, remplis de larmes, croisent les yeux, qui ont l'air réconfortants.

Cette scène n'a décidément aucun sens. Je suis en train de pleurer à moitié puisque j'ai vécu des choses atroces, des hommes s'approchent de plus en plus, et si nous ne nous dépêchons pas, ça sera bientôt fini pour nous, et mon chef maintient le regard qui me fait frissonner.

Je dois perdre la tête. Sincèrement, je ne sais pas ce que je fais là. Pourquoi je ne suis pas avec mes amis tranquillement en train de faire les cours de théories que je déteste ? Ils commencent même à me manquer, c'est pour dire.

Il ne semble pas vouloir baisser le regard, et je peux entendre le cri de nos compagnons nous appeler pour nous dépêcher. Mais je ne peux défaire mon regard du sien. C'est impossible.

Je ne saurais pas du tout comment l'expliquer, et l'on dirait vraiment une scène clichée de film, mais c'est comme si un fil nous reliait, et que l'on ne pouvait pas briser.

Je sens alors Victoria qui me tire en avant, me faisant perdre la connexion avec cet homme si étrange, dont je ne connais rien. Je suis perturbée, et Victoria doit me secouer plusieurs fois pour que je sorte de cette torpeur.

— Oh, vous foutez quoi tous les deux ? gueule Victoria en nous désignant tous les deux du doigt.

Je baisse instinctivement le regard, m'essuyant discrètement les yeux. Je déteste me faire gronder par les autres. Quand j'étais petite, ma mère me grondait souvent étant donné que je faisais pas mal de bêtises, certes nulles, mais des bêtises quand même.

J'ai donc maintenant horreur que l'on me gronde, car je ne sais pas comment contrôler mes émotions. Je suis incapable de retenir mes larmes, alors que ce n'est que ma coéquipière. Elle ne me punit pas réellement.

— Vous pensez vraiment que l'on a le temps de se regarder dans le blanc des yeux et de souder l'âme de l'autre ? Vous nous avez cachés quoi encore, que vous êtes en couple ? Si ce n'est pas le cas, c'est très bizarre, on aurait juré que si juste avant !

Suite à la remarque de Victoria, je capte Hadès qui se retient de mourir de rire. Aedan essaye de lui en dissuader, mais rien n'y fait, il explose de rire. Comment est-ce qu'il fait pour rigoler, alors qu'il a une balle dans sa jambe ?

— Tu trouves ça drôle, tête de pioche ? balance Aedan.

— Oh oui beaucoup mec, articule-t-il tout en continuant à mourir de rire. Tu n'as jamais fait attention à une fille, et tu t'amuses à te les enchaîner. Ça y est, tu es piqué mon coco.

— Mais il ne va pas bien celui-là ! rugit Aedan.

Il commence alors à vouloir poursuivre les hommes qui portent Hadès, qui se mettent également à courir. Celui-ci gueule alors, car ils le secouent dans tous les sens, ce qui lui fait mal. Bien fait.

— Qu'est-ce qu'il raconte Nayeli ? m'interroge Victoria, soucieuse.

— Oh laisse tomber, tu connais Hadès. Toujours à créer des problèmes là où il n'y en a pas. Il n'y a rien avec Aedan, et jamais rien, je ne veux absolument pas d'un mec comme lui.

— Bah pourquoi ? demande Victoria tout en rattrapant les garçons.

Je la suis pour pouvoir les rattraper. Les garçons ont arrêté de faire les fous, et nous arrivons finalement devant l'endroit pour sortir. Adriel sort son flingue au cas où des mecs ont décidé de nous attendre.

Mais personne. Cela me paraît un peu trop beau pour que nous arrivions à sortir si facilement d'un cartel ennemi. Mais nous en profitons pour pouvoir partir plus simplement.

— Aedan est très beau, et super intelligent ! Il gère quand même le cartel le plus gros du pays, il a un sacré mental, et il continue à ne pas se laisser faire. Et si tu savais le nombre de filles qu'il fait craquer.

Je le regarde s'appuyer à Adriel. Il ne m'adresse plus un seul regard depuis qu'il s'est détaché de moi pour courir après Hadès. D'ailleurs, comment il a réussi à courir ce débile ? Il n'était pas censé avoir mal ?

Punaise, ça se trouve, il a fait semblant pour que je le porte ! Et dire que j'en ai chié pour rien, ça se trouve. Mais ça n'explique pas le fait qu'il soit accoudé maintenant à Adriel. Il est incompréhensible ce type.

— Je ne sais pas, c'est vrai qu'il est beau, et je ne doute pas sur le fait qu'il soit intelligent. Je n'ai juste pas spécialement envie d'un mec qui fait partie d'un cartel, et qui arrive à tuer d'innombrables mecs avec sang-froid.

— Tu sais, Aedan en a bavé. Peu de personnes connaissent son histoire, parce qu'il n'arrive pas à en parler. Et c'est pour cela qu'il demande toujours à ce qu'Adriel et Hadès soit auprès de lui. Ils savent tout depuis le début, car Hadès était près de lui quand le cauchemar a commencé, et Adriel est arrivé par la suite, l'aidant beaucoup moralement.

— Et tu sais ce qu'il lui est arrivé ?

— Comme je te l'ai dit, très peu connaissent son histoire, et je n'en fais pas partie. Il n'a pas jugé que cela soit nécessaire et ça se comprend. Seulement Hadès, Adriel et une fille qui fait partie des Mules.

Je la regarde, les sourcils froncés. Pourquoi cette fille sait aussi ? Elle était là également quand le monde a arrêté de tourner pour lui ?

Victoria rigole quand elle voit ma tête soucieuse. Je ne sais pas du tout ce qu'elle pense, mais ce n'est pas ce qu'elle croit. Je ne suis pas jalouse. Ou alors qu'un peu.

— Vu ta tête, tu dois te demander qui est cette fille et pourquoi elle sait toute son histoire, rigole-t-elle. C'est une fille qui passait beaucoup de temps dans la chambre d'Aedan si tu vois ce que je veux dire. Il avait réellement confiance en quelqu'un d'autre qu'Hadès et Adriel, alors il lui a tout raconté. Elle l'a trompé avec un des producteurs du cartel, qui a été renvoyé dans l'heure.

— Et elle, elle n'a pas été renvoyée ?

— Oh non, nous n'avons pas assez de Mules, et elle doit être là pour instruire les nouvelles qui viennent d'arriver. Mais si ce n'était que lui, ça ferait bien longtemps qu'il l'aurait dégagé.

Je réfléchis doucement, tandis que je commence à apercevoir les deux voitures qui sont censées nous ramener. Je regarde un coup en arrière pour bien vérifier que personne ne nous suit, et souffle un bon coup. Nous sommes vivants.

— Mais du coup, il l'évite ?

— Comme la peste. Elle essaye de revenir vers lui, en lui faisant des avances et en la jouant sexy, mais Aedan n'a plus confiance du tout.

— Moi ce que je trouve étrange, c'est qu'il dit avoir confiance en vous, mais ce n'est pas réellement ?

— Effectivement. Il a confiance en nous quand nous sommes sur les terrains, car il sait que nous ne ferons rien de dangereux et que nous accomplirons la mission qu'il nous a donnée. Au cartel, c'est une autre affaire. Il se méfie de ce qu'il peut se passer, entre les rumeurs, les diffamations, etc. Donc non, au cartel, il ne compte que sur Hadès et Adriel.

— Je vois, conclué-je. Ce sont des gars bien, j'espère qu'ils ne lui feront pas un coup à l'envers. Imagine, ils décident de renverser le cartel !

— Mais tu vas arrêter de nous porter la poisse ! me pousse gentiment Victoria. Non vraiment ne t'inquiète pas, ce sont des frères tous les trois, si quelque chose arrive à l'un d'entre eux, les autres seront meurtris pour le reste de leur vie. Ils ne peuvent pas vivre séparément. Et c'est un fait. Ils ne peuvent pas trahir le cartel, donc tu peux être rassurée !

J'approuve tandis que je remarque que les garçons discutent doucement et rigolent un peu. Je pense que ça ne peut que leur faire du bien de se détendre après une aventure compliquée.

Je trouve ça adorable la relation qu'ils ont tous les trois. Même si Aedan a un cœur de pierre, qu'il peut tuer un homme sans regret, et qu'il est froid comme la glace, il a un cœur tendre au fond, et il a besoin de ces deux garnements. Ce n'est pas pour rien que je les appelle les trois mousquetaires.

Même si je pense que s'ils savaient que je les appelle comme ça, je serais déjà dans le cachot depuis quelque temps ! Donc, on va garder ce surnom dans les pensées, et éviter de me faire cramer. D'autant plus qu'Aedan est à cran en ce moment, après tout ce qu'il s'est passé.

Je tourne la tête et remarque Monica, qui est à côté des trois hommes portant Hadès. Elle a l'air de surveiller sa blessure, faisant très attention à la balle qui a pu atterrir dans la jambe de son frère. Je trouve ça vraiment mignon.

— Et Aedan a déjà refait confiance à une fille après cela ?

— Oh non. L'histoire date d'il y a deux ans, mais il n'a plus jamais voulu avoir de relation sérieuse avec une fille. En tout cas, pas du cartel. Mais une fille normale ne veut pas d'un chef de cartel dangereux, qui peut lui apporter des problèmes. Car n'oublions pas que si le chef a une petite amie, les ennemis feront tout pour lui faire du mal, afin de faire du chantage.

— Un peu comme moi avec ma sœur, grommelé-je.

Victoria éclate de rire, et cela me fait sourire un peu. J'adore son rire. Cette fille peut paraître froide au premier abord, mais c'est réellement quelqu'un d'incroyable et de talentueuse. Même si je ne la connais pas encore totalement.

Aedan se retourne pour nous regarder et il me fixe de ses gros yeux durs. Je ne peux pas m'empêcher de rigoler avec Victoria, car la tête de celui-ci est hilarante.

— Pourquoi elles jacassent comme des débiles ? sourit Hadès.

— Oh, mais occupe-toi de tes moutons, toi là-bas !

Nous rigolons tous un coup, et je crois rêver. Je suis en train de rigoler avec des membres du cartel, alors qu'ils ont tous failli y passer, il n'y a même pas une heure ! Ce sont donc des gens normaux ?!

Soudain, je me sens nauséeuse. Je ne sais pas trop ce que j'ai, mais une douleur au ventre m'assaille. Et Victoria n'a pas l'air de l'avoir remarqué, puisqu'elle est partie se chamailler avec Hadès.

Je suis obligée de m'arrêter et de poser mes mains sur mes genoux, pour tenter de respirer doucement. Normalement, mes règles étaient la semaine dernière, donc ça ne peut pas être ça.

Je m'écroule par terre, perdant tout à coup la force de rester debout, et des larmes commencent à s'échapper de mes yeux. Je me mets à respirer difficilement et à trembler. Je ne ferai pas une crise d'angoisse quand même ?

— Nayeli ! hurle Victoria.

Je vois que tout le monde se retourne suite à son exclamation, et je sens tout un raffut qui arrive près de moi. Mais je n'écoute pas tout. Ils prennent trop d'espace, je ne peux plus respirer.

— Laissez-lui de l'espace, elle fait une crise d'angoisse. Il faut qu'elle respire, insinue Adriel.

Je lui en suis tellement reconnaissante. À peine sa phrase prononcée, tout le monde s'écarte pour me laisser de l'air. J'ai beau essayer de respirer, rien n'y fait, et mon corps tremble de plus en plus.

— Tout le monde, allez dans les voitures et direction le cartel. Adriel, tu t'occupes des papiers que je t'ai parlés quand vous serez rentrés.

— Mais, et vous ? demande Monica, inquiète.

— Je nous commanderai un taxi. Je dois lui parler. On se retrouve tout à l'heure, termine Aedan.

Tout le monde semble indécis sur ce qu'ils doivent faire, mais la remarque d'Aedan leur fait comprendre qu'il faut qu'ils partent. Alors, ils se retournent et rentrent dans les voitures.

Je ne comprends pas ce qu'Aedan explique aux chauffeurs, j'entends juste le ronronnement de celles-ci qui partent rapidement.

— Nayeli, allez, respire, ça va le faire.

Il m'aide doucement à me relever, et je manque de tituber, l'entraînant avec moi. Nous sommes tous les deux mal au point, comment nous allons faire pour rentrer au cartel ?

— Nayeli, regarde-moi. Pourquoi fais-tu une crise d'angoisse ?

Mes yeux rencontrent de nouveau les siens, et je ne peux m'empêcher de commencer à ressentir les larmes qui arrivent. Je ne peux même pas les refouler. Je perds momentanément le contrôle.

— C'est la journée d'aujourd'hui qui te fait faire ça ? C'est normal, c'était une des premières que tu as effectuées, et tu as tué un homme pour la première fois.

Il voit qu'à la suite de sa prononciation, je respire de nouveau plus fort, plus vite, et que mes mains tremblent beaucoup. Il s'approche pour mettre les siennes sur mes épaules.

— Arrête de paniquer comme cela, tu ne crains rien. Si tu as peur que ces enfoirés reviennent se venger, ne t'en fais pas, tu ne seras pas au premier plan, et je demanderai à un de mes hommes de te protéger si quelque chose t'arrive. Et tant que je suis là, il ne t'arrivera rien, tu comprends ?

Je ne réponds même pas, incapable, mais j'écoute attentivement tout ce qu'il me dit. Tant qu'il sera là, je n'aurai rien ?

— Je sais que tu es là contre ton gré, que tu aurais aimé vivre ta vie tranquillement sans avoir à passer par la case cartel. Mais je ne peux pas te relâcher. Pas tant que ta sœur m'aura certifié qu'elle ne balancera rien.

Je soupire un coup, respirant un peu plus facilement. Je ne sortirai donc jamais de ce cartel, et je vais devoir faire des missions en plus ? Je n'en ai décidément aucune envie.

— Et rappelle-toi Nayeli, tant que je suis là, il ne t'arrivera rien, et je te le promets.

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