froid
Quelques matins je me réveille à l'aube.
Toujours l'espoir que ce n'était qu'un cauchemar,mais la dur réalité me frappe en plein visage.
Les draps autre fois blanc,
sont tachées de sang.
L'impardonnable est fait,tu l'a fait,me détruire.
La fenêtre était ouverte.
Les oiseaux chantaient.
La brise froide me chatouillait,
Comme se vide.
Se manque de toi,Adina.
Tu me manques,tellement.
Est ce que je te reverais un jour?
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro