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ADELAR Part 2: l'enfant de la prophétie

     La falaise éden en 1979 après la destruction de l'Olympe, la déesse Hestia et Adelar se reposent. C'était une falaise créée par Zeus le suprême. Zeus avait créé la falaise pour apaiser sa tristesse ou lorsqu'il avait besoin de réfléchir sur un projet et d'ailleurs c'était dans cette falaise qu'il avait trouvé l'idée de créer l'humanité. Des falaises plus sauvages qui suivent plongeant vers l'océan, des flots rageurs, des baies paisibles, de superbes plages de sable blanc et ses énormes rouleaux, et des forêts luxuriantes égayent les routes qui séparent la forêt pluviale. La route se met à grimper et, longeant toujours les flots, s'élève de plus en plus pour arriver en haut de falaises abruptes. De nombreux belvédères offrent une vue irrésistible à des centaines de kilomètres à la ronde. La déesse Hestia est couchée sur le sable. Alors qu'elle se retourne sur son dos pour admirer le ciel, soudain elle se voit projeter dans le futur par les rayons du soleil. Elle se réveille en sursaut en se rappelant de son devoir en vers l'humanité. Elle décide d'envoyer Adelar sur terre pour être le sauveur de l'humanité. Elle lui efface la mémoire avec la feuille de la vie et de l'eau mélangée, afin que personne ni même les dieux ne soupçonnent son existence sur terre. Grâce à la feuille de la vie, la déesse redonne une nouvelle apparence celui d'un nouveau-né à Adelar pour qu'il apprenne et à s'adapter aux humains. Hestia l'enveloppe d'un linge ancestral, puis la dépose au milieu dans la forêt sacrée appelée Parcinta, au pied d'un arbre magique.

Au printemps 1980, dans la forêt de Parcinta au milieu de la journée, une jeune femme ménagère Annabelle PEGUIS (22 ans), les cheveux blonds, les yeux marron, extravertie et lucide chargée des linges sur la tête traverse la forêt.

- Il faudra des siècles bien après que le sauveur de l'humanité n'apparaisse sous la forme d'un petit garçon !

Sous un gigantesque arbre, Annabelle retrouve un enfant qui pleure. Elle prend l'enfant dans ses bras, l'enfant lui sourire. L'arbre magique laisse tomber des feuillages d'étincelles à fort parfum ancestral. La jeune femme ramasse quelques feuillages pour embellir ses linges et celui du bébé avant de s'en aller. L'enfant porte sur son poignet, un bracelet sur lequel est écrit Adelar.

Dans le village appelé Belgs, situé dans la prairie des montagnes où le soleil se couche tôt, et dont les principales activités de revenue de ses villageois furent l'agriculture et l'élevage, habite la jeune ménagère Annabelle. Elle est reconnue dans le village par sa simplicité et sa bonne foi. Tout le village regrette la disparition de son époux Joseph : Joseph qui fut un temps l'un des plus célèbres combattants du village. D'ailleurs, Joseph avait de l'affection pour son village, il ne ménageait aucun fort pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables du village. Tout le village l'adorait. A chaque moisson, il partageait ses revenues avec son entourage. La terre lui est restée fidèle, ses élevages agrandissaient, il était bien béni par les dieux. D'autres en prédisaient qu'un jour, il succédera le chef Albert.

Mais tout espoir s'est écroulé après le passage d'une terrible tempête. L'un de ces voisins l'avait retrouvé mort; bien avant la tempête, il était en pâturage et quand il avait constaté l'approche de la tempête, Il n'a pas eu le temps de s'enfuir avec ses bétails. Il avait essayé de regrouper ses bétails dispersés et malgré sa volonté et sa force, il s'était pris au milieu de la tempête. Il a été retrouvé mort ayant le crâne fracassé contre un rocher deux jours plus tard. C'était un malheureux accident et une véritable coïncidence, car sa mort faire apparaître de l'espoir pour le village lorsqu'Annabelle avait retrouvé le bébé nommé Adelar dans la forêt, le même jour où le corps de Joseph a été retrouvé. Tout le village lui avait rendu hommage et implore les dieux de l'accueillir auprès d'eux. Un soir, le ciel devient menaçant comme-si les dieux étaient en colère. La brume déchirait par des éclairs, la pluie finie par tomber légèrement. Les fermiers se précipitent pour couvrir leurs cargaisons de blé. En haut d'une ferme, la lumière traverse une petite fenêtre mal fermée. Une femme s'approche de la fenêtre et la referme. A l'intérieur, le son des gouttes de la pluie atteignant un pic. Adelar âgé de 5 ans est couché sur son lit. Sa mère Annabelle assise près de lui sur le lit. Elle le tient par la main et lui sourire.

- Adelar : Maman ! J'ai peur !

- Annabelle : De quoi mon chéri ! Dis-moi ? Ou ce sont encore ces rêves qui t'empêchent de dormir !

- Adelar : Oui ! Maman !

Annabelle lui caresse la joue avec sa main gauche.

- Annabelle : Ce n'est qu'un rêve mon chéri ! Tout va bien !

Adelar serre la main de sa mère très forte contre sa poitrine.

- Annabelle : Tout le monde fait des rêves ! Si tu fais un rêve qui ne te plaît pas souviens-toi de ceci '' Il n'y a aucune ténèbres qui peuvent résister à la lumière des dieux célestes, le jour finira par triompher de la nuit et la lumière régnera sur l'obscurité.

Adelar fronce ces pupitres, Annabelle garde toujours son sourire.

- Adelar : Et qu'est-ce qui se passerait si je dis ça ?

Annabelle retire sa main sur sa joue, avec ses deux mains, elle essaie de le recouvrir de son drap.

- Annabelle : Tu verras que rien ne va t'arriver ! Et en plus, ce n'est qu'un rêve ! Et dans les rêves rien ne peut arriver ?

- Adelar : Tu penses que je suis en train de perdre la tête c'est ça !

Annabelle lui caresse la joue avec sa main gauche.

- Annabelle : Non mon poussin! Peut être un tout peu ! Mais laisse-moi te dit ceci ! Les rêves appartiennent aux braves hommes !

- Adelar : Je vais devenir un grand homme un jour ?

Annabelle lui sourit.

- Annabelle : Oui plus grand et plus fort !

- Adelar : Fort comme Merlin !

- Annabelle : Fort comme Arthur ! Tu rêves d'être comme Merlin ?

- Adelar : Oui je veux être comme Merlin ! Pour faire de la magie enfin que tu ne travailles plus, que tu te reposes pour me raconter des histoires !

Annabelle lui sourit, elle lui fait bisou sur le front.

- Annabelle : Que c'est mignon mon ange gardien ! Il ne commence pas faire tard ! Essaye de dormir maintenant ! D'accord mon chéri !

- Adelar : Je t'aime maman !

Annabelle se lève.

- Annabelle : Moi aussi je t'aime mon chéri ! Il fait tard ! Dort maintenant !

Annabelle s'en va près de la porte d'entrer.

- Annabelle : Fait de beau rêve mon poussin !

- Adelar : Bonne nuit maman !

Annabelle le regard une dernière fois et se retire en laissant la lumière éteint derrière elle.

- Annabelle : Bonne nuit mon chéri !

Annabelle ferme doucement la porte, Adelar la regarde puis ferme petit à petit ses paupières. Avant de se mettre au lit, Annabelle s'en va arranger les linges qu'elle avait laissés au salon. Arriver au salon, elle regarde à travers la fenêtre le ciel. Le ciel est menaçant. Elle s'agrippe contre la fenêtre en pensant à Joseph. Elle a un linge dans la main qu'elle sert fortement contre sa poitrine. Quelques larmes traversent ses joues ; son visage est marqué par la tristesse car l'absence de Joseph lui pesait. Malgré la présence d'Adelar, se vide n'était pas toujours comblé, elle ressentait l'envie de se reposer sur l'épaule de Joseph, de lui raconter les rêves de son fils. Parfois, elle a du mal à fermer les yeux la nuit, les cauchemars répétés d'Adelar lui faire peur et cependant elle essaie de garder le sourire. D'ailleurs, tout comme toutes les mères, elle ne se plein jamais de ce qui s'est passé ce jour-là ni de ses obligations. Elle reprend son souffle, puis elle pousse le rideau pour fermer la fenêtre. Elle se retourne dans sa chambre.

Quelques heures plus tard, Adelar sur son lit tourne et se tire. Les éclairs de tonnerre éclairent sa chambre de spectre. C'était comme-si la chambre d'Adelar s'est soudainement transformé en un lieu de spectacle où les feux d'artifice faisaient la joie des spectateurs. Mais au plus profond de son sommeil mouvementé, Adelar se réveille au milieu des flammes où les habitats sont en tares de poussière. Des cadavres sont étalés devant une longue route bitumée et bien arrosée par le sang des victimes. Des âmes survolaient les corps et des visages réclamaient la vengeance, d'autres visages poursuivaient Adelar, mais il courut parmi les débris fumés pour se cacher derrière une colonie de béton. Soudain, une main sortir de nulle part vienne se poser sur son épaule droite.

- Adelar: Non ! Non ! Laissez-moi tranquille ? Non !

Il se réveille aussitôt recouvert de sueur.

- Adelar : Maman ?

Adelar a peur, les scènes que font les éclaires de tonnerre dans sa chambre apparaîtraient sur le mur des spectres inconnus. Il se lève sur son lit et se dirige vers la porte de sortie, il ouvre et referme derrière lui. Il passe par le couloir, mais l'absence de la lumière lui faire ressortir les battements de son cœur, comme si son cœur allait exploser sur sa poitrine. Avec courage, il traverse le couloir pour s'arrêter devant la chambre de sa mère. Il ouvre et entre. Adelar s'approche du lit de sa mère. Annabelle dort, Adelar prend sa main.

- Adelar : Maman ! Maman !

Annabelle s'est réveillée, elle est étonnée de voir son fils dans sa chambre à cette heure si tardive.

- Annabelle : Tu fais quoi ici mon poussin ! Tu devrais être au lit !

Adelar tremble de peur.

- Adelar : Je n'arrive pas à dormir ! J'ai peur maman !

- Annabelle : Oh ! Oh ! Mon poussin ! Viens ! Approche ! Viens te coucher auprès de moi !

Adelar s'approche, elle le prend dans ses bras.

- Annabelle : Oh ! Oh ! Mon poussin ! N'est pas peur je suis là ! Rien ne t'arrivera ! C'est fini ! Il m'arrive de temps en temps aussi ! En dors-toi maintenant ! En dors-toi !

Tôt le matin, Annabelle s'est levée comme coutumier pour préparer le petit déjeuner de son fils ; de la nouille avec boulette, du lait et du pain fromager, le plat préféré d'Adelar. Après avoir fini de préparer le déjeuner de son fils, elle s'occupe de la vaisselle. Au-dehors, un crissement de sabot se faire entendre, tandis qu'un chariot passe. Les chariots sont à moitié plains, la récolte était moins bonne que la semaine précédente, mais cela n'empêche pas ces villageois de festoyer tous les soirs au tour d'un grand feu.

Au temps jadis, le chef organise sur la place publique des cirques pour les petits enfants en hommage des héros disparus ; les hommes et les femmes quant à eux se laissaient emporter par la croisade des valses et viennent à l'intérieur d'un entrepôt entre temps destiné à entasser les récoltes. Cet entrepôt a été abandonné après la construction d'un autre de quatre longs tunnels à quatre battants d'une largeur de 3metres et 12mètres de hauteur. L'ancien entrepôt est devenu une salle de répétition pour les artistes du village. La construction de ce tunnel de réservoir était l'œuvre de Joseph. Il a été à l'origine de la première pierre ainsi que le plan de l'ouvrage. Il avait insisté à ce que les tunnels soient dotés d'un entré de 1 mètre carré ; ce qui laissera une vue imprenable pour la surveillance des récoltes, afin que tous le village en bénéficie équitablement. Au départ, les villageois croyaient que cela était irréalisable, mais ils ont fini par y voir clair lorsque ledit projet avait commencé par voir le jour. Le plan était bien exécuté par les maçons bien formés et bien aidés par la population prête à finir avec l'attente. Finalement, devant les yeux émerveillés des villageois se dresse un géant bâtiment à quatre bouches circonscrit par des différents dessins comme pour indiquer la place de chaque moisson. Cette gigantesque montagne de tunnel rend visible le toit du village. Les villageois se retrouvent à l'abri du vent et des attaques des voleurs. Vue de loin, l'architecture est fascinante et les quelques oiseaux étonnés vient se reposer au sommet du toit. Aujourd'hui, l'endroit porte le nom de Joseph le bâtisseur. Adelar descend des escaliers, il regarde à travers la fenêtre. Il remarque ses copains qui poursuivent les coqs et poules du village. Le jeu semble l'intéresser, il rejoint sa mère dans la cuisine. Adelar s'approche de sa mère.

- Adelar : Bonjour maman ?

Annabelle se retourne.

- Annabelle : Bonjour mon poussin ? Dire donc, tu as l'air en forme ce matin ?

Adelar s'assoit à table.

- Adelar : Je ne saurais le dit mère ? Reste a bouffé et à rejoindre mes amis !

Annabelle lui serre le déjeuner, devant Adelar, un plat de nouilles, son plat préféré, une fourchette et un verre de lait posé à côté, Annabelle continue sa vaisselle.

- Annabelle : Et la nuit comment ça été ?

- Adelar : La même toujours les mêmes rêves !

Annabelle est restée inerte un moment regard dans le vide, elle continue son travail, Adelar à la fourchette en main.

- Annabelle : Je vois ?

- Adelar : Maman en général on fait des différents rêves n'est-ce pas !

- Annabelle : Oui! La plupart du temps ?

Adelar s'est retourné pour la regarder.

- Adelar : Mais moi je ne fais que les mêmes rêvent tout le temps ?

Annabelle laisse la vaisselle et se retourne.

- Annabelle : Les rêves parfois nous montrent ce que demain nous sera ? Parfois ça se réalise parfois non ! Je ne suis pas capable de l'expliquer ! Mais je crois que si ça persiste ainsi ! Forcement , il y aura une explication à tout cela !

- Adelar : Et les montres ? Existent-ils vraiment ?

Un moment de silence, Annabelle tente de le convaincre.

- Annabelle : Les monstres que tu dis provient de ton imagination ! Et si cela existe, sache que depuis que je vis, je n'ai jamais rencontré une chose du genre !

La voix des enfants au-dehors attire l'attention d'Annabelle.

- Annabelle : Tient ! Voilà tes copains ! Finis ton déjeuner et va jouer avec eux ? Un jour à l'autre on en reparlera d'accord ?

Adelar apprécie son repas comme coutumier.

- Adelar : D'accord ? Que c'est délicieux ?

Annabelle sourit malgré elle.

- Annabelle : Je vois que tu ne t'en lasses jamais ?

- Adelar : J'adore les nouilles ! Merci maman !

Adelar se dépêche pour finir son assiette.

- Annabelle : De rien mon poussin ! Dépêches-toi, tes amis t'attendent !

Annabelle s'est retournée pour faire sa vaisselle, Adelar essaie de vite finir son assiette et son lait. Il essuie sa bouche avec un mouchoir puis quitte la table précipitamment. Pendant ce temps, Annabelle essaie d'arranger la cuisine.

- Adelar : J'ai fini maman !

- Annabelle : D'accord ! Alors, sois prudent au-dehors !

Adelar court vers la porte de sortie.

- Adelar : Je te promets maman ? Je t'aime maman ?

- Annabelle : Moi aussi je t'aime ! Sois prudent mon poussin?

- Adelar: Oui maman!

Adelar sort en courant et rejoint ses amis. Annabelle nettoie la table à manger, elle regarde à travers la fenêtre son fils qui faisait des ronds avec ses copains tout joyeux. Elle sourie, puis elle continue ses travaux.


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