Au-dessus d'un paysage composé des gigantesques falaises et d'imposantes collines recouvertes des verdures dispersées dans la forêt tropicale, des grands lambeaux de nuages tourbillonnent autour des sommets des collines. C'était un paysage originel, vaste et austère. Les arbres sont extraterrestres et leurs couleurs sont éphémères car au fur et à mesure qu'on s'approche, elles varient et changent. On y aperçoit des chutes d'eau, des rivières, et de lointains troupeaux ainsi que des créatures ailées. Au milieu de cette immense forêt se dessine un grandiose temple nommé le temple d'olympe, avec une longueur de 108 m et 41 m en façade. Il compte en toutes 48 entrées à l'est et à l'ouest sur trois rangées, 56 s'étendent latéralement en une double rangée, construit avec le calcaire coquillier local et recouvert de stuc blanc. Seul le toit et quelques décors sont en marbre. La statue de Zeus est représentée comme l'objet de culte.

- En dépit des temps très anciens, le temple d'Olympe était un endroit de paix où ses dieux se réunissaient presque tous les ans. Ce temple a été créé par le plus puissant d'entre les dieux, Zeus. Avec le temps, la haine et la jalousie s'emparaient les cœurs de ces dieux et les obligeaient à partager l'humanité créée par Zeus. Zeus gouverne le ciel, Poséidon les océans, Hadès les enfers. Mais assoiffés du sang, ces trois grands dieux se livrent des combats sans fin...

     A travers l'immense forêt, le bruit des tambours de guerre atteint un pic. Les troupes des sentinelles maléfiques étant au service du seigneur des enfers défilent à l'intérieur de la forêt en vague obligeant les fidèles soldats de Zeus, mi-hommes mi-animaux à se regrouper pour contre-attaquer. C'était une bataille sanglante au cours duquel les dieux prenaient part. Les victimes s'enregistraient, le chaos et la désolation se dessinaient. Les paysans d'à côté se voyaient engloutir par des flammes. Le monde tel qu'ils connaissaient s'engouffraient dans la peur. La paix d'autre fois peine à exister dans cet interminable bataille. Le faible se voit déposséder de son existence comme-ci les dieux en avaient assez. Dans cette lutte de suprématie, Zeus tient à protéger l'humanité contre les agissements de son frère Hadès. Alors, Zeus utilise trois reliques conçues par le seigneur des esprits, Angélus, afin de protéger l'humanité des flammes de l'enfer. Mais avant de disparaître dans l'infini froid des étoiles, Zeus ordonne au seigneur des esprits de confier les reliques aux humains afin qu'ils soient les protecteurs de leur humanité.

- La rivalité entre ses frères, va entraîner la destruction du paradis, l'Olympe ! Pour rétablir l'ordre et l'équilibre du monde faut il fait confiance à l'amour ? Ou à la violence ? Ces deux visions du monde vont conduire la déesse Hestia la grande sœur des dieux à mettre au monde un enfant capable de maîtriser la colère de ces dieux et de mettre fin aux guerres incessantes qui pourraient déchirer le monde. Elle le nomme Adelar, l'enfant de la prophétie. Tout a commercé 18 ans plus tôt bien avant la destruction de l'olympe...

      Un beau matin pendant que l'air était léger comme une haleine de bébé, la déesse Hestia la sœur des dieux s'était rendu dans son jardin appelé Mont D'Olivier. Le Mont D'Olivier se différencie des autres jardins grâce à son extraordinaire odeur, son parfum unique et rare, même la déesse Athéna avait un penchant pour ces fleurs. Les côtes d'entrées du jardin sont ornées de deux statues d'anges portants chacune d'elles une fleur rose. La silhouette d'une sublime femme traversait le jardin. La robe blanche qu'elle portait, flottait le sol couvert d'herbe verte. Elle marchait au milieu du jardin les pieds nus. Ses cheveux sont gris cendrés longs et d'une beauté inégalée. Son visage jovial et ses yeux marron font d'elle une parfaite déesse au foyer.

       Dans le jardin, des coquillages de mer en forme de pot de fleur sculpté en forme d'art sont postés un peu par tout. Chacun de ces pots contient des différents modèles de fleurs d'un parfum unique et rare. Au centre du jardin, on découvre un gigantesque arbre en forme de champion. Il couvre la moitié du jardin par ses feuillages vivants (arbre de la vie). A gauche, un cours d'eau de petit escalier draine l'eau vers une source en forme cylindrique composée de quatre statues. Chaque statue tient une trompette d'où jaillit l'eau. Les animaux de tous genres prennent part aux festivals du cours d'eau. La déesse Hestia s'approche d'une bassine en forme de coquillage contenant une source appelée source d'oracle. Une source dont elle consulte à chaque printemps. Pour cette saison, la déesse Hestia là déjà consultée. Elle était venue voir son animal préféré, un âne. L'âne est un animal avec qui elle aime passer sa journée au pied de l'arbre de la vie loin des discours politiques de ces frères. Après avoir passé une journée entière à s'amuser avec des différents animaux du jardin principalement avec son âne, la déesse Hestia s'est finalement en dormir aux pieds de l'arbre. Lorsque la nuit est tombée, l'âne est venu lécher le visage de la déesse. La déesse se réveille en se tirant.

- Hestia : Hum ! Je me suis laissé encore une fois endormir sans me rend compte ! Merci mon ange !

Elle caresse la tête de la bête en laissant apparaître sur ses lèvres un léger sourire. Elle se lève et se dirige vers la sortie soudain, elle sent une malaise, elle tient sa tête entre ses deux mains.

- Hestia : Ma tête ! Qu'est-ce qui m'arrive ?

Elle se voit propulser dans une sorte de trou noir, puis elle se retrouve au milieu des débris des briques et des bois fumés entourés des cadavres humains.

- Hestia : Mon Dieu ? Qu'est-ce qui s'est passé ici? Où suis-je ?

La déesse Hestia se voit ensuite propulser vers des décombres de champs engloutis par des flammes. 

- Hestia : Oh Hadès ! C'est horrible ? Qu'est-ce que tu as fait ?

Auprès d'une charrette à moitié détruite, la déesse Hestia retrouve deux corps sans vie brêlés jusqu'au dernier degré. C'était le corps d'une mère et de son bébé.

- Hestia : N'as-tu pas de cœur ? Pourquoi faut-il que ça soit toujours toi qui te comporte ainsi ? Que gagnes-tu ?

La déesse Hestia reprit connaissance, elle a pleur. Son âne s'approche d'elle et la regarde droit dans les yeux.

- Hestia : Pourquoi faut-il que ça soit Hadès à tous les coups ! Que gagne-t-il en versant le sang de ses victimes innocentes ?

L'âne remue sa tête un coup instant avant de se retourner vers la source.

- Hestia : Toute une civilisation en cendres ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Une feuille verte s'est décrochée sur sa tige et tombe sur l'épaule droite d'Hestia, celle-ci pleur sans cesse.

- Hestia : Pourquoi ? Pourquoi faut-il que ça soit toujours lui ? Pourquoi ?

Elle soulève la tête et remarque la feuille. Elle la fixe pendant quelques longs silences. Elle vient de se rend compte que cela provient du futur.

- Hestia : Mais oui tout s'explique ! Si je ne peux pas changer mon frère, je peux néanmoins faire quelque chose pour l'empêcher ! Il est hors de question qu'il plonge le monde dans le chaos.

      La déesse s'est retournée vers le cours d'eau. Elle asperge le sol de l'eau, le mélange avec le sable pour en faire de l'agile puis elle cueille quelques feuilles de l'arbre de la vie et le mélange avec l'agile pour fabriquer une petite statuette, elle souffle à l'intérieur de ses narines pour lui donner vie. Le nouveau-né retrouve la vie et pleur. La déesse Hestia coupe légèrement une partie de sa paume de main et le faire boire à son nouveau-né au bébé. En buvant, le sang se transforme en une eau douce. Le bébé par finit s'endorme dans ses bras. Si heureuse, elle le nomme Adelar.

       8 ans plus tard, la déesse Hestia apparaît sous la grotte de l'île de Límnos où se trouve l'atelier du dieu des forgerons, Héphaïstos. Héphaïstos est un dieu qui fabrique les puissantes armes du combat : il est à l' origine des tridents qu'utilisent les dieux pour exprimer leurs puissances face à leur adversaire pendant leurs combats. Il donne vie à tout art qu'il crée et en donne une infinité de pouvoirs à celui ou celle qui le détient. La déesse Hestia apparaît à l'entrée de l'atelier. Elle entre, elle retrouve à sa gauche un âtre avec un feu allumé le tout alimenté en air au moyen d'un grand soufflet de cuir et de bois, actionné manuellement par Héphaïstos. Ses cheveux sont gris long, les yeux marron. Des dizaines de pinces, de râpes, de marteaux, de limes, sont soigneusement rangées autour du foyer. Plusieurs enclumes 50 et 200 kg attachées à un billot de bois et un baquet d'eau et d'huile pour refroidir rapidement le fer chaud, et donc durcir la pièce forgée.

- Héphaïstos : Que me vaut l'honneur de ta visite ?

La déesse s'approche de lui.

- Hestia : J'ai besoin de ton aide !

Héphaïstos arrête d'actionner le manuel, il ferme les yeux et pousse un léger sourire.

- Héphaïstos : Que je t'aide ? C'est du nouveau ça !

La déesse prend une épée rangée dans un coin. Héphaïstos ouvre les yeux et continue pas à actionner le manuel. 

- Hestia : Oui ! Je voudrais que tu me fabriques une arme ?

- Héphaïstos : Pour quelle raison dois-je te fabriquer une arme ? En ce que je sache, tu ne sais toujours pas te battre ?

- Hestia : Justement c'est pour cette raison que je voudrais que tu m'en fabriques une !

- Héphaïstos : Tu veux te battre ?

- Hestia : Non ! Mais celui-ci oui ?

Hestia fait un signe de main à Adelar de s'approcher

- Héphaïstos : Il n'est qu'un gamin ?

- Hestia : Je le sais ! Et c'est pour cette raison que je voudrais qu'il apprenne à s'en servir avant son âge adulte.

- Héphaïstos : Tu veux que je fabrique une arme de guerre à ce gamin ? Pour qu'elle raison dois-je faire cela ?

- Hestia : Pour l'avenir de l'humanité !

- Héphaïstos : Attends de quoi tu parles ? Et d'ailleurs, j'ai suffisamment eu de problème comme ça !

- Hestia : Je sais la haine qui te lie avec ton beau-père Zeus et ta mère Héra !

Héphaïstos s'est retourné pour se remettre au travail.

- Héphaïstos : Non ! Tu ne sais rien !

- Hestia : Oh si ! Je sais ! Et sait pour cette raison que je voudrais que tu m'aides s'il te plaît !

- Héphaïstos : Donne-moi juste une raison ?

- Hestia : Il y a huit ans de cela, j'ai eu une vision sur l'avenir de l'humanité et...

- Héphaïstos : Et...!

- Hestia : Et c'est horrible ! Mon frère, Hadès a détruit le monde des humains et...

- Héphaïstos : Et tu ne veux pas que cela se réalise ?

- Hestia : Exactement, il y a eu trop de morts...

-Héphaïstos : Tu sais ton humanisme me touche beaucoup ?

- Hestia : Voir cette femme et son bébé brûler, pour le simple plaisir de mon frère, cela me donne un sentiment d'impuissance, et si je ne suis pas capable de convaincre mon frère quelqu'un d'autre s'en chargera !

- Héphaïstos : Et tu penses envoyer un gosse à la rescousse ?

- Hestia : Je voudrais juste qu'il y ait de limite, même-si nous sommes des dieux nous devrons respecter le sentiment que procure la vie ! Ce sentiment qui, jour après jour me faisait comprendre ce qui manque entre mes frères, qui non seulement sont des dieux, mais qui sont incapables de comprendre, de ressentir ce sentiment de si grandes valeurs.

- Héphaïstos : On peut être Dieu et être aveugle, l'humanité créée par ton frère en est la preuve !

- Hestia : La puissance rend aveugle et mes frères en sont les preuves !

- Héphaïstos : Tu sais, le sens n'est rien sans la vie, et la vie quant à elle représente pour les humains un honneur !

- Hestia : Quand j'y pense à ces gens qui vont mourir, leurs morts nous honorent-ils ? Nous sommes ceux qui les ont donnés la vie, ils comptent sur nous pour veiller sur eux et nous sommes sensés de les détruire ? Cela n'a pas de sens lorsque je repense sans cesse à la réaction de mon frère !

- Héphaïstos : La suprématie est comme une ombre maléfique qui embrasse le cœur ?

- Hestia : Être un dieu implique un certain respect aux principes et aux mœurs ! A mon avis Hadès devrait s'occuper de ce qui se passe sous terre que de vouloir détruire ce qui se passe sur terre !

- Héphaïstos : Ce qui est sous terre à peu de valeur pour lui ! A croire que la vengeance reste la seule option pour lui de se montrer ! Être le suprême de l'enfer n'est rien de facile pour lui !

- Hestia : Alors les innocents seront le fruit de ses bêtises ? Certes, il faut prouver sa suprématie, mais pas à s'en prendre aux pauvres gens sans défense ?

- Héphaïstos : C'est ce que tu penses ! Celui qui a créé l'humanité en est le responsable de sa rage, que pourrons-nous faire face à leur détermination ? Je veux dire si Hadès décide de montrer toute sa fureur, Zeus ton frère, devra assumer la responsabilité ?

- Hestia : N'oublie pas que je suis l'ainé et c'est de ma responsabilité de les arrêter !

-Héphaïstos : Je vois, mais comment pourras-tu les arrêter si tu n'es pas capable de te battre ?

- Hestia : Il y a toujours une autre façon de se battre !

- Héphaïstos : Qui ? Le garçon ?

- Hestia : Il est le fruit de ma vision et si je ne suis pas en mesure de me battre, lui si !

Héphaïstos respire profondément.

- Héphaïstos : Finalement on n'est pas si différent toi et moi ! Je comprends à présent tes intentions et je vais t'aider !

Hestia lui remet un parchemin sur lequel sont écrites les formules des quatre éléments, Héphaïstos commence à élaborer les ingrédients. Des heures après, avec le palladium, de l'argent, du phosphore, du silicium et du germanium, Héphaïstos arrive à confectionner l'arme la plus résistante au monde. Au retour dans le temple d'Olympe, la déesse Hestia s'est dirigée vers son jardin Mont D' Olivier. La déesse Hestia et Adelar se retrouve devant le cours d'eau pour procédé à un rituel de baptême. A l'intérieur du cours d'eau, la déesse baptisa Adelar avec l'épée sous l'influence des quatre éléments. La déesse Hestia surnomme l'épée " L'épée de la liberté".

18 ans plus tard, dans le temple d'Olympe au cours d'une cérémonie et pendant la nuit, devant les Olympiens, Zeus proclame Adelar son allié. Celui-ci avait instauré la paix entre les quatre nations grâce à son intelligence et sa volonté guidée par son épée et un livre magique surnommé David. Un livre qui lui a été donné par un pauvre vieil homme à qui il a rendu un grand service en sauvant la famille de ce dernier dans la main des tirants. Cet événement a immédiatement déclenché une ferveur aux yeux du grand nombre. Sa simplicité et son esprit de partage lui ont valu une place au milieu des siens.

- Zeus : Désormais, tu fais partie des olympiens et tu mérites de boire dans la même coupe que la mienne ! Soulevons nos coupes pour notre nouvel allié "Zile" l'aigle légendaire !

Tous soulèvent leurs coupes pour accueillir Adelar.

- Adelar : Je promets sur le sceptre de Zeus mon oncle, mon entière loyauté, celui de défendre et de protéger tous les biens précieux de notre seigneur Zeus. 

- Les invités : Ou ah ! Ou ah ! Ou ah !

Les Olympiens l'applaudissent. Hestia est restée cacher derrière un pilier voilé par un long voile rouge observe Adelar avec un léger sourire de satisfaction. Mais la nuit qui suit cette cérémonie, une tempête de feu envahir la cité, détruisant tout sur son passage. Les sentinelles maléfiques émergent du sable pour envahir la cité.

Pendant ce temps, Adelar se retrouve dans le magasin des armes. Il s'est penché pour attacher les lacets de ses chaussures, soudain une fumée noire apparaît dans son dos. Hadès se dirige vers le placard, les cheveux foncés longs, des yeux sombres et le visage endurcir par la colère, tenant dans ses mains deux larmes empoisonnées qui jaillissent des flammes de l'enfer.

- Hadès : Je suis venue te mettre en garde...

Adelar se relève et se tourne vers Hadès, les deux se fixent un court instant.

- Adelar : Me mettre en garde contre quoi ?

- Hadès : Je sais que ta réputation au combat t'a accordé un certain privilège mais...

- Adelar : Mais quoi ?

Hadès avance d'un part.

- Hadès : Mais tu n'es pas sans savoir que tu ne peux pas te mêler dans ce qui ne te concerne pas !

Adelar resserre les attaches de son armure, il sourire.

- Adelar : Tu sais ! Tes problèmes avec ton frère ne me regardent pas ! Que tu veux ou non, je suis son allié maintenant et je ferai tout pour honorer cela !

-Hadès : Connais-tu ce que l'on appelle honneur ?

Adelar le dépasse pour récupérer son bouclier et son épée.

- Adelar : L'honneur c'est pour ceux qui se battent pour défendre une cause, comme défendre la cause de ton frère ! Si tu es venu jusqu'ici pour m'interdire de ne pas prendre part au combat, laisse-moi te dire ceci mon oncle ! Tu perds ton temps.

- Hadès : Ce combat ne concerne que mon frère et moi ? Et si...

Adelar change de ton, plus agressif.

- Adelar : Et sinon quoi ? Tu penses m'effrayer avec tes jouets ! Où parce que tu es le seigneur des enfers que tout le monde devrait avoir peur de toi ? Détrompe-toi, je n'abandonnerai jamais un allié ?

Le visage d'Hadès devient rouge et agressif.

- Hadès  : Alors tu ne me laisses pas le choix !

Hadès se jette sur Adelar avec une rage folle d'en finir, Adelar esquive de justesse l'attaque d'Hadès. Grâce à son bouclier, Adelar neutralise les sentinelles d'ombre que projette sur lui Hadès. Le combat devient rude et titanesque. Hadès esquive les attaques d'Adelar et glisse. Adelar profite de ce moment pour le foudroyer. Mais dans la foulée et par maladresse, les larmes empoisonnées d'Hadès blessent Adelar et le retiennent paralyser. Adelar ne peut plus bouger, il ne sent plus les membres de son corps. Il vient d'être complètement paralysé malgré sa détermination de se relever. Hadès ramasse ses larmes à terre et s'apprête à donner le coup de grâce lorsque le temps s'est momentanément arrêté. La déesse Hestia apparaît dans la foulée, elle récupère le corps d'Adelar pendant ce temps Hadès s'efforce de finir son geste, mais il n'y arrive pas.

- Hestia : Viens-on y va...

La déesse Hestia et Adelar disparaissent, aussitôt le temps reprend son coup, Hadès achève son geste dans le vide.

- Hadès : Je te hais à jamais Hestia ! Croire-moi, je ne m'arrêterai pas là...

Hestia et Adelar réapparaissent dans le jardin Mont D'olivier près du cours d'eau. Elle cueille une feuille de l'arbre de la vie et la brûle enfin qu'Adelar s'inspire de l'odeur. Adelar retrouve l'usage de son corps puis un sommeil profond le prend.