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01





ANNABELLA HERRERA avait refusé dés son enfance de terminer comme sa mère. En effet, même si en apparence, la vie de Louisa Herrera était ce que la plus part des gens rêvé, c'était pourtant la plus grande hantise d'Annabella.

Une maison en banlieue américaine, un chien, un beau jardin et un second mari aimant : écœurant au possible. Pourtant les voisins adulés cette vie, sans savoir que depuis les quatre ans de sa fille unique, Louisa Herrera était tout le temps sous anti-dépresseur pour supporter cette routine.

Par curiosité, la brune avait un jour volait un cachet, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus effet et qu'elle ne soit obligé de passer à quelque chose de plus puissant. Sa mère n'avait jamais su, non elle était beaucoup trop occupée pour ça.

Après la mort de son père, un riche avocat, des dizaines d'hommes avait passé le porche de leur riche maison. Certains étaient plutôt cool, d'autres complètement tarés —elle avait un jour, même trouvé un, les mains dans son placard à sous vêtements. Et c'était sans comptait les dizaines de regards aguicheurs qu'elle avait dû éviter. Enfin —de toute façon les hommes n'avaient jamais vraiment comptait pour elle.

Le journalisme, la psychologie et l'héroïne, c'était tout.

Sa passion pour la psychologie avait commençait tôt, lorsque sa mère pleurer dans le salon après s'être faite arnaquer. Puis elle avait rapidement dressé le profil psychologique de tout les hommes passant le pas de sa porte.

Et elle avait rapidement commencé à écrire pour parler de la société, à quel point les femmes, les personnes de couleurs et les homosexuels étaient oubliés, maltraités.

Alors la veille de son départ, elle avait claqué la porte sous les cris de sa mère et de Garry, son beau-père depuis quatre ans déjà.

C'était il y a déjà quatre ans. Elle avait rapidement monté les échelons, devenant en à peine quelques mois, l'une des journalistes les plus sollicités de son agence.

Enfin ça c'était juste avant l'article qui avait fait polémique. Elle avait plusieurs fois demandé à le poster, il avait toujours refusé. Mais après qu'un énième afro-américain ai été tuer par la police, elle n'avait pas pu s'en empêcher.

Alors elle avait publié —sans le consentement de son patron bien évidemment— un article parlant de la discrimination que subissait les noirs au État Unis. Et ça n'avait définitivement pas plu.

Mais en soit Annabella ne regrettait pas, si elle avait pu faire lire ces témoignages à une personne, de plus elle était heureuse.

Et maintenant en plus d'être heureuse, elle était à la rue. Il ne lui restait seulement vingt dollars.

Elle avait fouillé dans toute ses poches à la recherche de quelques misérables dollars, mais elle n'en avait sorti seulement un mouchoir usagé et un petit papier jauni.


«    14   Steinway Street
New YorkPs : la porte
en bas après   un long
couloir » y   était inscrit


Le vent souffla, faisant virevolter ses cheveux brun. Le temps à Chicago était frais. Le froid lui manger le visage.

Avec un peu de chance celui de New York serait un peu plus clément, comme celui chez qui elle allait.





ALORS QU'ELLE avait tapé plusieurs fois à la porte, personne ne lui avait répondu. Elle s'était intérieurement tapée la tête contre le mur. Anna' n'avait pas vraiment réfléchi au fait qu'il puisse avoir déménagé —ou même qu'il lui avait transmis une fausse adresse, c'était totalement le genre de cette diva.

Elle s'était assise sur la petite marche dans ce long couloir de béton, sa maigre valise juste à côté. Le bâtiment était au bord de l'éboulement, elle s'était attendu à quelques choses d'un peu plus luxueux.

Elle souffle avant de se ronger les ongles. Puis prise d'une pulsion, elle shoota dans la pot de fleur, juste à côté du tapis.

La brune avait fait plusieurs kilomètres, en dépensant ses derniers dollars. Il était hors de question qu'elle retourne chez sa mère, elle allait sûrement lui faire une leçon de moral en répétant qu'elle lui avait dit.

Elle retourna s'assoir après sa petite crise terminer, mais elle constata que son bagage avait disparu. Et en tournant que elle même elle tomba sur un blond tenant sa valise du bout des doigts.

Benny Watts dans toute sa splendeur.


«   T'es   qui ?   »
demanda le blond,
son couteau en main

« Pour   commencer,   je
ne vous ai pas permis
de me tutoyer. » rétorqua
la brune

« À partir du moment au
vous avez cassé mon pot
de plante, je pensais que
nous avions dépassé cette
fatalité, Madame. Enfin
qui êtes-vous ? » dit-il en s'approchant

« Une vieille amie
qui à besoin de
votre    aide.     »


Il fronça les sourcils, confus.


« C'est  vrai, dernière
fois que   nous nous
étions croisés, j'étais
blonde.    Annabella.
Annabella Herrera.»

« Ah... tatouage dragon ? »


Il faisait référence au tatouage sur le haut du ventre de la brune.


« Attends c'est vraiment
la seule chose dont tu te
rappelles. »    fit-elle     en
levant les    yeux     au   ciel

« Non. Evidemment
que   non,   Bella'. »

« Mon     surnom    c'est
Anna'. Et c'est réservé
pour    les    personnes
dont je suis proche. »
grogna     la     journaliste

« À parce qu'on
était pas intime. »
ricane le blond en
passant    sa    main
dans ses   cheveux

« Assez pour que
tu m'héberges ? »


Il lui jeta sa valise au visage avant de rentrer chez lui, laissant Anna' sur le porche. Il passa sa tête dans l'embouchure de la porte.


« Bien évidemment
que non. » fit-il avant
de   claquer la   porte









premier chapitre publié !

dites-moi ce que
vous en avez pensez !!

merci d'avoir lu

avec mes salutations les plus distinguées
Al-

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