[34] genre... pas qu'un peu son petit ami?
He'd trade his gun for love
Il échangerait son fusil contre l'amour
But he's caught in the crossfire
Mais il est pris dans les tirs croisés
And he keeps wakin' up
Et il continu de se réveiller
But it's not to the sound of birds
Mais ce n'est pas au son des oiseaux
- Stephen crossfire
🎶🎶
Je crois qu'il a compris, vu son expression qui se décompose. Je dois le prendre comment? Je me doutais bien que ça ne l'enchanterait pas plus que ça mais ça devrait au moins le flatter? Eh bien on dirait que non.
- Je, hésite-t-il. Je crois que j'ai mal interprété tes paroles.
- Pas du tout, tu as tout compris.
- Ah oui?
- Tu as besoin que je sois plus explicite ?
Il me toise pour tenter de déchiffrer mes pensées. Il doit chercher une once d'humour, mais ne la trouve pas. Parce que je ne blague pas.
- Attends tu viendrais pas de me traiter de voleur de coeurs là ? Ça se voit tellement que je pourrais pratiquer ce genre de trafic d'organes?
Il rigole de sa propre blague tandis que moi je fronce les sourcils. Il essaye clairement de se dérober avec de l'humour.
- Je suis sérieuse Lane.
Ce dernier arque un sourcil puis baisse le regard, fixant un point invisible quelconque tant que ses yeux n'aient pas à se poser sur moi. Il tape du pied et sa posture me laisse croire qu'il pourrait être en pleine méditation. Il fini enfin par m'adresser son regard.
- On peut changer de sujet?
- Non.
- C'était pas une question.
- Tu te moques de mes sentiments? Il ne méritent pas une petite discussion c'est ça ?
Mes yeux se mouillent et la colère s'empare de moi. Je me sens si trahie et sans valeur.
- Tu ne peux pas comprendre...
- Si j'ai bien compris! Ils ne méritent pas ton temps c'est ça ?
- JE ne mérite pas ton temps!
Il frappe son torse de son poing pour accentuer le "je" prononcé avec autant de forces. Je secoue pourtant la tête, ce n'est pas vrai du tout. Il ne réalise pas qu'il est spécial à mes yeux.
- Je ne te mérite pas.
- C'est faux!
- Je ne mérite pas ton coeur.
- Mais c'est trop tard! Tu me l'as déjà dérobé !
- Alors je te le rend! Reprends-le, je ne saurais pas quoi en faire!
- C'est trop tard Lane. Mon coeur ne peux plus m'être rendu, il s'est offert à toi.
- Pourquoi ?
- Parce que je t'aime.
Un silence de plomb durant lequel Lane fronce les sourcils s'installe un moment entre nous.
- Alors arrêtes de m'aimer.
- Impossible.
- Bon sang Gaby!
- Tu as le droit de ne pas accepter les sentiments que j'éprouve pour toi, mais je t'interdis de me demander de les refouler.
- C'est pour ton bien!
Pour mon bien? Non, c'est par égoïsme qu'il dit ça. Je veux juste l'aimer en paix, et il refuse de m'en laisser le droit. Je ne demande pourtant rien en échange. Alors pourquoi s'acharne-t-il ainsi? Quelque chose le tracasse clairement et ce ne sont pas mes sentiments, ce sont les siens.
- Tu m'embrasses, tu m'appelles Petit Coeur, et après tu espères que je ne tombe pas amoureuse? C'est complètement contradictoire! Alors pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu me surnomme Petit Coeur?
Il fait trois pas en arrière en passant nerveusement sa main dans ses cheveux avant de me lancer un dernier bref regard et de récupèrer son T-shirt, son gilet et de faire demi-tour.
- Lane!
- Ne me suis pas!
- Attends!
Il ouvre la porte et s'apprête à sortir quand je lui lance:
- Ton pantalon! Tu comptes sortir en caleçon ?
Il s'arrête, regarde ses jambes dénudées et sans croiser mon regard, récupère son short et fait demi-tour.
- Tu vas revenir hein?
Il se stop à nouveau sauf que cette fois il se permet de me lancer un coup d'œil. Un long regard inquisiteur. Puis il se retourne sans réponse.
Une goûte de peur vient de s'écraser dans un vase d'appréhension.
Pourtant...
Il claque la porte derrière lui.
Me laissant parce qu'il me fuit.
Délaissée, je cherche un appui.
Mes émotions jaillissant d'un puit.
Et mes larmes coulant à flots depuis.
Il vient de me laisser en plan.
Est-ce-que je viens juste de me prendre un râteau? Mon coeur se serre à cette idée. Je me suis en quelques sortes faite rejetée. Lane est si complexe et dure à déchiffrer. Quand j'ai l'impression de le comprendre enfin, il arrive subitement à me retourner la tête.
Mais j'ai confiance en lui. Suffisamment pour poiroter dans l'espoir de le voir revenir. Il va revenir n'est-ce-pas ? Dites-moi qu'il m'affrontera plutôt que de m'abandonner derrière telle une conquête sans importance.
Je regarde à travers la fenêtre dans l'espoir de le voir, mais même son ombre refuse de se montrer.
Mon regard se pose alors sur un nid d'oiseaux, ce sont des pigeons. Des bébés pigeons qui risquent de s'écraser au sol tels des crêpes à cause d'un nid mal fixé. Les sons qu'ils émettent me prouvent qu'ils réalisent le danger. J'inspire un bon coup et ouvre la fenêtre en passant mon bras à travers. Malheureusement mes doigts ne touchent même pas le nid. Alors je décide de me pencher un peu plus, me mettant sur la pointe des pieds. Je tire de toutes mes forces sur mes bras pour tenter de secourir les oisillons, me penchant toujours plus. Je repousse mes limites, je peux le faire. Il me suffit de bien m'accrocher à la fenêtre. J'y suis presque, allez!
- Putain de bordel de Gaby de merde!
Sa voix rauque me fait sursauter. Surprise, j'ai failli lâcher prise et passer à travers la fenêtre mais Lane m'agrippe de justesse et me pose à terre. Il me fait pivoter pour que je lui fasse face.
- Qu'est-ce-que tu fous putain ?!
- Je-...
- Bordel tu ne peux pas faire ça! Grogne-t-il. Tu penses à Abby? Tu ne peux pas te jeter d'une fenêtre et l'abandonner !
- Euh...
- Et moi? Tu penses à moi? Qu'est-ce-que je ferai sans toi? Avec ta mort sur la conscience? J'ai déjà vécu ça une fois, ne me fais pas revivre cette horreur, pas celle d'un suicide dont je suis la cause.
Son visage est tout crispé, il est mort de trouille. Il est notable d'ajouter que ses doigts s'enfoncent dans mes épaules. Il soupire un bon coup et me fixe dans le blanc des yeux.
- Je prend mes couilles à deux mains et je reviens pour découvrir quoi ?
- Je ne voulais pas me suicider gros bêta, je voulais secourir des oisillons... Ah le nid!
Je me précipite pour remarquer que le nid ne tient plus qu'à un fil. Lane passe derrière moi et comprend la situation. Il m'écarte et attrape le nid. Il n'a eu besoin que de se mettre sur la pointe des pieds, ses bras sont déjà assez longs. Pratique!
Il me tend le nid et je caresse la tête des bébés. Quel soulagement.
- Il faut que tu replaces le nid dehors, insiste Lane. De manière à ce que les parents retrouvent le nid. Les oisillons ne pourront pas survivre sans leur mère.
Je ne veux pas replacer le nid sur la fenêtre et risquer un nouvel incident. Lane, comprenant ma détresse, me tend alors sa main. Je lui confie le nid dans lequel il dépose des petits cailloux en vu de l'allourdir, l'empêchant ainsi de se faire emporter par le vent. Il pose le nid dans une zone sécurisée de la fenêtre et le tour est joué.
- Merci, lui adressais-je.
Je sers les mains nerveusement. Qu'est-ce-que je pourrais lui dire maintenant?
Lane se contente de se poser sur le lit, en tâtant la place à sa droite pour me faire comprendre que je suis supposée y poser mon popotin.
Je m'exécute donc et remarque que ni ses cheveux ni ses vêtements ne sont mouillés, ce qui signifie que la pluie a cessé de tomber. Il commence:
- Je ne suis pas parti pour me paumer dans un quartier que je ne connais pas.
J'acquisce et il poursuit:
- Ni pour te laisser en bonne compagnie du vent que tu venais de te prendre, sourit-il d'un air taquin. Même si ça aurait été drôle à voir. Mais je ne suis pas lâche. J'avais juste besoin... d'air.
J'arque un sourcil.
- Ce que je veux dire c'est que j'avais besoin que le vent froit me donne une claque, que la pluie me tourmente. J'avais besoin de solitude. Pour me remémorer certaines choses et m'en interdire d'autres.
Il pivote pour me faire complètement face et lâche comme si de rien n'était :
- L'amour est l'agonie de la vie.
- Ah bah d'accord. Et tu le penses?
Il me toise un moment puis hausse les épaules.
- Mon père me l'a un jour dit, comme ça sans contexte, et depuis il n'a plus arrêté. Parce qu'il pensait que j'étais assez grand pour comprendre. Quelques temps après que je lui ai avoué que ses idéologies ne me plaisaient pas, mon chien est mort.
Je le fixe, m'apprêtant à m'exprimer sur son paternel.
- Je peux encore entendre cette voix familière affirmer :"c'est lui papa, c'est lui qui a fait ça à Nesquick!" en me montrant du doigt. C'était mon frère, ce putain de cafteur de merde. Il a ruiné ma vie. Tous les regards s'étaient alors posés sur moi. Mes malheurs ont commencé à ce moment précis.
- Qu'est-ce-qu'il s'est passé ?
- Mon amour envers mon clebard l'avait fait agoniser. Je l'avais tué de mes propres mains. Et mon père a ainsi su me convaincre qu'il disait vrai. Parce que j'étais un putain de gosse ignorant. Mais surtout un gamin qui avait besoin de repères, et il était le seul à prendre la peine de m'en proposer. Puis mes parents ont décidé de ne plus vivre ensemble, ils ne s'entendaient plus mais ils n'étaient pas prêts au divorce. Alors mon père a enfin eu l'occasion de me prendre sous sa garde, parce qu'il disait que J'étais comme lui. Et que ma mère ne voulait pas élever un fou comme lui. Et puisque mon frère était normal, maman l'a gardé avec elle. Elle m'a abandonné aux mains d'un fou, et n'a protégé que l'autre fils. Mon père me voulait et elle m'a offert à lui, pour rester en paix. Il m'a enseigné son Art, et moi je l'ai cru. Encore et encore.
- Parce que tu lui faisais confiance ?
Il lache un faible gloussement.
- J'ai toujours pensé que ce que mon père me disait été la stricte vérité. Mais j'ai vite fini par réaliser qu'il était un menteur. Il ment pour assouvir ses désirs. Il ment pour se faire innocent. Il ment pour persuader. Il ment pour que je reste à ses côtés. Et quand j'ai quitté ses côtés, quand maman est venue me sauver, quand elle a commencé à vouloir de moi à cause de la mort de l'autre cafteur seulement parce qu'elle n'avait plus de fils à ses côtés. Alors là... il a arrêté de mentir. Tu sais ce qu'il m'a dit?
- Qu'est-ce-qu'il a dit?
- Il m'a dit "je t'aime fiston", alors que l'amour n'est qu'une exécrable faiblesse à ses yeux. Mais... je ne l'ai pas cru. Parce que son Art était déjà imprégnée dans mon esprit. Parce qu'il m'a toujours fait croire que l'amour était une faiblesse, et que lui était fort. Mais il disait la vérité, et les menteurs ne sont pas crus lorsqu'ils disent la vérité.
- C'est à cause de lui que tu as si peur d'aimer?
- Ouais... je me suis toujours interdis d'aimer pour correspondre à son idéal, pour lui faire plaisir. Pour... qu'il ne me fasse pas de mal.
- Parce qu'il en était capable?
Il ricane mal à l'aise.
- Il était prêt à tout pour faire de moi son digne héritier. Mais si je n'étais pas à la hauteur, si je le décevais, il préférait ne pas avoir d'hériter du tout. Il se serait débarrassé de moi sans sourciller.
- Mais... Comment il pourrait faire ça s'il t'aime ?
- Il aime le fou que je suis... Si cette folie ne lui convient plus, alors je ne lui convient plus.
- Et tu n'arrives toujours pas à te détacher de ses idéaux?
- Ouais, j'ai réalisé que j'étais encore enfermé dans cette cage qu'avait crée mon père. Je continuais à suivre son vouloir sans le savoir.
- Comme de ne pas te laisser aimer...
Il me toise.
- Non, je pense que... je... (il passe sa main sur sa nuque) je n'ai pas réussi à respecter cette règle. Je crois que j'aime déjà. Mais j'ai plutôt essayé de le dissimuler en compressant mes sentiments comme pour essorer un tissu rempli d'eau amère, et ça c'est ce que mon père aurait voulu.
Il me sourit en passant une main douce sur mes cheveux.
- Mais on dirait que ce n'est pas ce que tu veux toi.
- Et toi Lane qu'est-ce-que tu veux?
- Toi.
J'écarquille des yeux, des yeux qui veulent se mouiller. Et sa main qui caresse ma joue n'arrange rien. Je vais pleurer. Mon coeur manque un battement, mon poul s'accélère. Je ne peux plus les contenir, mes larmes s'échappent d'elles-mêmes. Alors Lane pose son pouce sur ces dernières et les essuie.
Sentant mon coeur battre fort fort dans ma poitrine, je lui révèle pour la deuxième fois:
- Je t'aime.
- Moi aussi.
J'ouvre grand les yeux. Qu'est-ce-qu'il vient de dire ? Oh non je vais presque m'évanouir de bonheur.
- Moi aussi je m'aime, ajoute-t-il.
J'ouvre grande la bouche, complètement ahurie. J'ai failli faire une crise cardiaque de bonheur, maintenant c'en est plutôt une de désabusement. Il sourit malicieusement un long moment en étirant mes joues et en se moquant de l'allure qu'a maintenant mon visage.
- Tu es d'une laideur divine, me dit-il.
- Et chtoi d'une beauché merchique, tentais-je malgré l'air sifflant dans mes joues qui déforme mes mots.
- Tu vas me laisser t'aimer malgré notre Art?
- Et si tu commençais par m'expliquer ce que c'est?
Il me renverse brusquement sur le lit et alors que je pensais qu'il avait l'intention de m'embrasser quelle est ma surprise lorsque ses mains s'emparent de ma gorge. Cette impression de déjà vu me ronge sans plus attendre. Qu'est-ce-qu'il se passe encore?
- C'est ça notre Art, fait-il sèchement pour mettre les choses au clair.
Il libère ma gorge, continuant à me surplomber.
C'est ça leur Art? Étrangler des gens? Leur faire du mal? Tuer? Je m'y attendais, mais je suis quand même surprise. Bien-sûr que leur Art ne consiste pas à vendre des pancakes au voisinage.
Lane me demande assurément :
- Tu es prête à l'être ?
- Être quoi?
- L'une de mes victimes.
Je le dévisage. Non, il ne me fera pas de mal. Il ne laissera pas son Art le diriger, je veux le croire. Il explique:
- Je te l'ai dit, je ne suis pas un bisounours. Qu'est-ce que je pourrais t'apporter à part des flics à mes trousses et le danger que je suis? Tu es prête à prendre ce risque?
- Je ne serais pas ta victime.
- Gaby...
- Tu ne me feras aucun mal, parce que tu ne m'en as pas fait jusqu'à maintenant. Je te connais suffisamment pour le savoir.
- J'ai essayé de t'étrangler à notre rencontre !
- C'est parce que tu ne me connaissais pas encore! Et aussi parce que j'avais dépassé les limites en t'appellant Adam. Il faut te pousser à bout pour que tu attaques. Mais au final tu ne blesseras pas quelqu'un que tu aimes.
- Comment tu peux en être aussi sûre?
- Parce que tu as sauvé des êtres aussi insignifiants que des oisillons d'une mort certaine.
Lane se laisse glisser sur ma droite et s'allonge à mes côtés en entourant ma taille. Je pivote pour lui faire face et pose ma main sur sa joue. Il porte sa main sur la mienne et ferme les yeux n'empêchant pas un sourire de se dessiner sur ses lèvres hésitantes.
- Si jamais je deviens incontrôlable je veux que tu t'éloignes de moi, le plus loin possible. C'est pour ton bien.
- Pourquoi tu perdrais le contrôle ?
- Parce que je suis une putain de bombe à retardement qui n'attend qu'à être activée. Si j'explose, tu ne seras pas assez loin pour éviter les débris.
- Je t'empêcherais d'exploser.
- Non Gaby, une bombe est créé pour être activée et faire des dégâts, quoi qu'il arrive.
Je le toise d'un air sceptique. Je sais que c'est son paternel qui a créé cette bombe, il l'a mise au point dans le but de détruire. D'après ce que m'a rapporté Lane son père est un être particulièrement reprochable. Adam quant à lui a une grande estime envers lui bien qu'il ne le connaisse pas. Adam ne sait rien au final, du moins pas autant que Lane. Et c'est parce qu'il n'est autre que l'alter.
- Gaby?
- Oui?
- N'essayes pas de me désamorcer.
Je rigole, j'allais justement répliquer avec une réponse pareil. Zut alors.
Il enfuie ma tête dans son cou en posant son menton sur mon front. Je passe mes bras autour de lui pour les faire se rejoindre sur son dos. Nos jambes s'entrecroisent. Et nous finissons la nuit collés ainsi, dans les bras l'un de l'autre. Puis sa voix s'éleve dans ce silence réconfortant:
- Je suis surtout revenu pour continuer ces choses chaudes qu'on faisait avant que tu ne gâches tout.
- Petit coquin.
- Mais j'ai gagné plus que ça au final.
- Et qu'est-ce que c'est?
- Peut-être le début d'un Happy Ending qui pointe le bout de son nez. Un Happy Ending à tes côtés.
Je le sers fort contre moi tellement le bonheur m'imprégne. Je lui répète à nouveau les trois mots magiques.
- Je t'aime.
- Moi aussi.
Quelques secondes plus tard, il termine.
- Moi aussi je t'aime.
○○○
Coucou
Putain j'ai enfin fini ce putain de chapitre qui m'a donné du fil à retordre 😣 jl'ai corrigé 10000 fois! Jsuis full là 😭 c fou cmt certains chapitres sont dures à écrire et ne ns conviennent jms, certains auteurs d'entre vous me diront qu'ils passent par la eux-aussi pas vrai? Hn? Rassurez-moi!
Enfin bref, j'espère que ce chapitre en vallait la peine et qu'il vs a plu. Et que son contenu n'etait pas relou (J'ai l'impression c pas encore trop ca mdr jsuis pas bien)
Allez j'arrête de deprimer et redeviens la pt folle qu'est airuoh!! WOUHOUUUH ALORS VOS AVIS??
la réaction de lane? Son retour?
Et tt le reste? Blablabla?
Bon on avance bcp ds l'enquête alors je vous laisse les éléments clés ci-dessous pour vous mettre ds la voie:
• Adam est l'alter.
• il s'est éveillé à l'age de 9ans pourtant il est convaincu d'etre l'original.
• lane le deteste. Adam commence a haïr lane lorsqu'il decouvre qu'il a tué les parents.
• lane est pas si mechant et fou. Au contraire c un gamin. Adam lui n'etait pas si innocent. Il a menti a propos de Sucre.
• Adam est pas tres sains d'esprit. Il tue des pt bêtes. Il s'est rappellé une scene d'enfance durant laquelle il faisait qque chose ds son jardin qui lui donnait du plaisir. Et la bam un pt gamin se ramene et lui demande ce qu'il fabrique. Ils se connaissent ils vivent ensemble. Qui est ce pt gamin? Que foutait adam? CE chapitre contient les 2 réponses.
• lane avait un frere qui avait cafté au padre qu'il avait tué le clebard. Le padre veut lane. Lane et pas le frère Pq?
• Le père n'est pas nn plus sain d'esprit.
• la mort du frère fait que la madre n'assume plus de vivre seule. Sans compagnie. Sans fils. Ms il lui reste un fils: lane. Elle le reprend au père.
• les parents vivaient chacun ds sa propre baraque avec 1 gosse chacun. Puis la mere porte plainte pour violence conjugual. Le pere est envoyé en taule. ils divorsent. Le pere obtient une liberation conditionnelle durant laquelle adam le rencontre pour la 1er fois.
• la mere le chasse. Il jure de récupérer son fils, de récupérer levi.
• le pere dit qu'adam est mort, et que levi va finir pareil si elle continu a l'appeller adam.
• la mere appelle son fils adam lane alors que son vrai nom c levi.
• le père a un art qui consiste a être un bon meurtrier. Pour ca il faut abandonner ses sentiments et etre indifférent. DONC IL VEUT CLAIREMENT ÉLEVER UN PUTAIN DE FUTUR ASSASSIN!
• la mère rejette le côté fou de lane que porte son pere aussi. Elle veut plus avoir affaire a ces monstres. Le cafteur n'ont est pas un, alors elle l'eloigne du père.
• lane parle d'un suicide. Qui s'est donné la mort?
Dsl les elements ne sont pas vraiment foutus ds l'ordre le plus evident et j'ai surement oublié des truc ms voila quoi. J'espère vs avoir aidé et pas embrouillés plus que ca mdrr 😊
Racontez moi vos theories en pv si vs voulez 😉
Aussi le truc que personne n'a remarqué c les 3 pt boules en fin de chapitre.
○○○ qd on a apparition de lane
●●● qd on a adam.
○=bien=yang= original.
●=mal=yin=alter.
Ms c pas tt. Je lache ce pt tableau comme ca et je vous laisse baigner ds le desespoir mdrrrr (pardon) dsl jl'ai trouvé qu'en anglais ms si ca vs interesse ya des tas de videos yt sur le sujet.
Et retenez: on nait psychopathe, on devient sociopathe.
Bref, voila un condensé de tt les indices. Mtn chauffez vos cerveaux et je vous attend en pv mes pt lamas 😉
Si vs aimez mon histoire n'oubliez pas de voter, partager et me suivre pour etre informé.
Voili voilou a une prochaine fois mes bb
💕 Kissou kissou 💕
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