[33] Un gars qui sacrifierait son Happy Ending pour un Happy Meal.
- T'as fini?
Lane me scrute de son regard pervers qu'il veut faussement innocent, me faisant de ce fait soupirer bruyamment. Je tire mon essuie vers le bas pour couvrir le maximum de peau.
- Mes fringues?
- Quelles fringues? Je t'ai bien dit que j'avais la flemme.
- Lane!
Il ricane avant de me balancer mes vêtements.
- Sale petite sainte nitouche, se plaint-il.
Mes habits sont bien séchés, je n'arrive pas à croire qu'il n'a pas fini par les cramer.
- C'est quand tu veux tu sais.
Je le fixe, comprenant que trop bien à quoi il fait allusion. Et franchement je fais de mon mieux pour lui résister.
Mais têtu comme il est, il s'approche de moi en levant son T-shirt pour ne me laisser qu'un petit aperçu de ses abdos. Je sers des dents en marchant en arrière et sans m'y attendre je rencontre le lit et m'y laisse tomber. Voyant le sourire qui se dessine sur ses lèvres, je me relève aussitôt pour filer dans la salle de bain. Mais Lane m'attrape sans aucun mal et m'attire contre lui. Mon dos contre son torse, je sens une bouffée de chaleur m'envahir et je ne parviens plus à lui résister. Je laisse sa main glisser sur ma cuisse. Je le laisse embrasser mon cou. Je le laisserai peut-être même tirer sur l'essuie pour me mettre à nu. Ses baisers sont de plus en plus vifs, je sens mon cou brûler. Je ferme les yeux lorsque sa main monte plus haut sur ma cuisse et balance la tête en arrière en serrant les lèvres.
Merde, ça part en couilles.
- Si tu savais tout ce que j'ai envie de te faire Petit Coeur.
Je prend mon courage à deux mains et lui assigne un coup de coude, il me relâche aussitôt.
- Putain Gaby on était bien!
Je suis rouge pivoine, de la tête aux pieds. Et ça il semble l'avoir remarqué. Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres.
- Tu n'en as pas l'habitude, qu'on te touche comme ça ?
Je cache mon visage dans mes mains et lui balance des jurons qui l'amusent. J'ai beau essayer, je n'arrive pas à l'empêcher de dégager mes mains pour libérer mon visage rouge tomate.
- T'es choupi tu sais, qu'on tu rougis comme ça.
Là c'est mon genou qui vient rencontrer ses bijoux de famille. Et je profite de ses tiraillements pour m'enferme à nouveau dans la salle de bain m'habiller pour de bon. Je sors en prenant un air défensif qui n'amuse pas Lane. Il lève les mains en l'air, essayant de me faire croire qu'il ne compte rien faire. Par la suite il propose de sécher mes cheveux pour moi. Je ne refuse pas son aide et me place au pied du lit, mais c'est là qu'il demande quelque chose en échange. Je n'ai même pas besoin de lui demander pour avoir ma petite idée.
- Finalement je me débrouillerai très bien par moi-même.
- Ce que tu peux être persistante.
- C'est toi qui force!
Il secoue la tête et fait tout de même mes cheveux. Il lui faut beaucoup de temps pour comprendre comment gérer mes cheveux rebelles mais une fois qu'il arrive à les dompter, ses plaintes se font un peu moins présentes.
- Les cheveux longs c'est tellement pas pratique.
- Ne me les brûle pas s'il te plait, j'y tiens.
- N'y tiens pas trop alors.
Il s'attarde à sa tâche, pas le plus soigneusement je l'avoue. Mais j'arrive tout de même à me détendre lorsque ses doigts glissent sur ma longue chevelure blonde. Cependant, il est si maladroit que la chaleur n'atteint non plus des cheveux mais mon épaule.
- Mon épaule! (je sursaute en couvrant mon épaule de ma main pour la rafraîchir) À ce train là mon corps va finir tout carbonisé !
- T'en fais pas, j'en veux encore.
Je toussote sans le faire exprès face à ses disquettes et arrache le sèche cheveux des mains maladroites du brun et lui fait la gueule. Je fini l'opération par moi-même, on ne peut définitivement pas confier de tâches à Lane. Il lève les yeux au ciel et me traite d'insolente avant de grimper sur le lit et de fixer ma tignasse qui est presque entièrement sèche.
- Mais c'est joli, s'emmerveille-t-il. Les cheveux long.
- C'est bien pour ça qu'on se donne tant de mal.
Je fini avec la dernière mèche humide lorsque Lane m'interpelle. Je me tourne alors pour le découvrir sous la pause d'Apollon, c'est-à-dire allongé de tout son long sur le matelas, une main sur sa joue pour maintenir son visage tandis que l'autre est posée sur sa taille. Il hausse sans cesse les sourcils en me faisant les yeux doux avant de lancer un clin d'œil dont j'aurais presque entendu le cliquetis aigue qui va avec.
- Tu me rejoins? Me fait-il charmeur.
Je pouffe de rire sous ses yeux qui se décomposent. Il est tellement ridicule que ça en devient mignon. Il lève les yeux au ciel et reprend une position un peu moins embarrassante en se montrant grincheux.
- Tu te moques de moi? Suppose-t-il très bien.
- Tout à fait, fis-je naturellement.
- Tu sais que je peux passer de chaton à tigre sans aucun mal?
- Vraiment?
- Tu veux voir ça ?
- Hmm, dans les deux cas c'est poilu. J'aime pas les poilus.
- Et les chatouilles, tu aimes ça ? Demande-t-il d'un sourire sadique.
Il se redresse et s'approche comme s'il s'était métamorphosé en un fauve des plus dangereux tandis que je me recule prudemment en écarquillant des yeux.
- Non... pas ça Lane j'ai horreur des chatouilles. Je... les supporte mal.
- Tu es chatouilleuse ?
- Oui, juste un peu... enfin... Restes où tu es! Naaan!
Il m'attrape aussi rapidement qu'un lion saute sur sa proie et je me débat en vain. Je tombe sur le lit en perdant l'équilibre et il en profite pour me ruer de chatouilles. Je gesticule dans tous les sens en riant comme une vache et en me débattant comme une brebis égarée pendant que lui répète les mots "guilli guilli" en essayant de ne pas éclater de rire.
Je réuni toute les forces qu'il me reste vers mes bras pour renverser Lane et le surplomber, prenant ainsi le contrôle. Il ne s'y attendait sûrement pas. Lane écarquille des yeux, ne me pensant pas capable de le plaquer contre un lit.
Pourtant nous nous perdons dans le regard de l'autre, et je me surprend à dévorer des yeux qui me dévorent. Les doigts tout chauds de Lane glissent sur mon visage pour placer une mèche rebelle derrière mon oreille.
- Tu vas m'embrasser ou c'est encore à moi de prendre les devants? Demande-t-il d'une voix déterminée.
J'ouvre grand les yeux pendant que mes joues s'empourprent. Je veux l'embrasser.
- Qu'est-ce-qu'il arrivera si je t'embrasse ?
- Hum, réfléchit-il faussement. On fera crac crac après ?
Je soupire.
- C'est tout ce que tu veux?
- Qu'est-ce que je pourrais désirer d'autres?
- Je sais pas moi entrer dans une relation sérieuse, tracer un avenir brillant, fonder une famille heureuse. T'épanouir quoi. Tu ne veux rien de ça ?
- Tu les veux toi?
- C'est mon plus grand souhait tu sais, avoir un Happy Ending.
- Et moi, tu me vois avoir un Happy Ending?
- Pourquoi pas?
- Les méchants finissent toujours par perdre et mourir. Le Bad Ending nous ai destiné avant même que notre histoire ne commence.
- Tout ça c'est dans les Disney...
- Non Gaby, c'est la réalité des choses. Il faut que le vilain meurt pour que le héros gagne vraiment.
- Et tu te considères comme un méchant ?
- Oui. Je suis l'anti-héros de ma propre histoire.
- Qui a dit ça ?
Lane me dévisage, puis toune le visage pour éviter mon regard. Il murmure:
- Ils le disent tous. Avant même de me connaître ils me considèrent comme un monstre, un tueur.
- Pas moi.
Il me donne à nouveau toute son attention, arquant un sourcil interrogateur.
- Et je suis quoi pour toi alors?
- Un gars qui sacrifierait son Happy Ending pour un Happy Meal.
Il laisse un sourire amusé se dessiner sur ses lèvres par la réalité de mes propos.
- Il te suffit d'arrêter de te voir à travers les autres.
- C'est vrai, l'Enfer c'est les autres après tout. Mais comment je pourrais éviter leur jugement s'ils sont un miroir qui me revoit sans cesse ma propre image?
- Mais cette image, tu es sûr qu'il s'agit bien de toi?
- Que ce que tu veux dire?
- L'image qu'ils te renvoient est peut-être erronée.
- Je sais ce que je suis Gaby.
- Tu es sûr que tu ne te confonds pas avec Adam?
Il marque une pose. Et moi qui pensais que je pourrais le convaincre, c'est raté. Il semble crispé.
- Tu es en train de me dire que c'est l'image d'Adam que je perçois à travers eux?
- Peut-être.
- Adam est l'illusion d'un prince. Tu l'as sûrement compris, il n'est pas plus pure que moi. Mais moi je ne suis pas une illusion. Je suis réel. Et je suis une charogne.
- Je préfère la charogne au prince chimérique, lui au moins se montre sous sa vraie forme.
Les yeux de mon interlocuteur s'ouvrent grand, une pépite de lumière naissante les fait étinceller tout comme la lune donne vie au ciel obscur de la nuit. Mais soudain cette pépite se laisse absorbée par la noirceur des pensées de Lane. Son visage se crispe et il en mord sa lèvre, comme dans un espèce de retour à la réalité.
- Tu me préfères à lui?
J'en mord à mon tour ma lèvre. Honnêtement, j'en apprend toujours plus sur ces deux-là. Et je sens que je n'en sais toujours pas assez. Mais je les apprécie tous les deux. Le gentil et le méchant. La chimère et la charogne. L'alter et l'original. Je les aime tous les deux. Et pourtant je sais qu'au fond de moi règnent des sentiments de nature différentes envers ces deux-là. J'apprécie l'un comme on espère la présence de quelqu'un d'attentionné dans notre vie. Et je chéris l'autre comme mon coeur m'en donne le besoin vital.
Aimer est un terme qui englobe un vaste panel. Aimer ce n'est pas juste aimer. Aimer c'est Aimer. Aimer c'est englober ce vaste panel. Et j'englobe ce panel en ce qui concerne Lane. Pas en ce qui concerne Adam, parce que mon coeur manque à l'appelle.
- Tu n'as jamais aimé ?
Je pose la question à Lane en réalisant mes propres sentiments. Et il me fixe encore et encore, sans rien dire. Il se laisse juste dévorer par la question en me contemplant. Il s'apprêtait à dire mot mais se retient, serrant ses lèvres l'une contre l'autre. Puis il m'avoue.
- J'ai peur d'aimer.
- Pourquoi?
Il ravale sa salive et continu:
- Un psychopathe qui aime? Un fugitif meurtrier qui tombe amoureux? Tu penses que ma vie est toute rose toute jolie? Je ne suis pas un bisounours Gaby, si je l'aime elle en souffrira.
- Mais est-ce que tu veux l'aimer?
- Je ne peux pas.
- Ce n'est pas ma question.
Je le fixe intensément. Il a l'air tellement mal, tellement rongé, tellement hésitant. Perdu entre deux choix, deux portes, deux voies. Comme s'il était face à un dilemme.
- Je peux? Me demande-t-il comme demandant une permission.
Je ne sais pas exactement de quoi il parle, ce dont il me demande la permission mais j'acquiesce. Et je me retrouve enveloppée par ses bras qui baissent ma nuque pour lui permettre de s'attaquer à mes lèvres. Sa bouche est chaude, ses gestes tendres et moi je fond. Finalement, il détache ses lèvres des miennes bien trop tôt. Mais au lieu de m'embrasser à nouveau il m'attaque avec sa fameuse horde de chatouilles infernale. Je hurle et me dégage de lui le plus tôt possible.
Je suis déçue, j'en voulais plus. Cependant il ne s'arrête pas là et me pourchasse pour son simple plaisir.
- Viens là, pourquoi tu t'enfouies?
- Arrêtes! C'est pas du tout drôle !
- Pourtant tu rigolais comme une true.
- Comment tu peux passer d'un baiser à des chatouilles aussi rapidement?
- Tu veux un autre baiser?
- Oh bon sang, tais-toi!
Je me recule tandis que lui s'approche. Il ne me lâche pas d'une semelle. Bientôt je n'aurais plus d'échappatoire et je serai à sa merci. On a l'air de deux chats qui s'apprêtent à se sauter dessus, sauf que dans notre cas un seul des fauves sautera, mettant le second dans la mouise.
Il ne reste plus qu'un mur derrière moi et un Lane en face qui s'approche lentement. Je tente de me faufiller par la gauche, mais il est déjà trop tard. Il m'a attrapée, plaquée au mur et englouti ma bouche dans la sienne, tout cela en une fraction de seconde.
L'intensité de ses gestes est telle que j'en perd tous mes moyens. Je me laisse enveloppée par cette chaleur ardente qui se crée petit à petit au creux de mon ventre. Elle atteint mes joues lorsque Lane emprisonne ces dernières dans les paumes de ses mains. J'enroule mes bras autour de sa nuque et tel des aimants, nos corps se trouvent d'eux-mêmes. Je me sens comme propulsée dans un monde nouveau, un monde de la douceur sucrée d'un barbe à papa.
Je caresse ses cheveux, passe ma main sur son dos tandis que lui tâte ma peau dans une telle affinité. Cette vivacité dans ses gestes me permet de me relâcher, mes muscles sont de moins en moins crispés.
Lane pose son front sur le mien pour récupérer son souffle. Ce souffle chaud qui tape sur ma peau ne me permet plus de penser convenablement. Nos yeux sont comme engloutis dans le gouffre que crée le regard de l'autre. Il se retient à peine, je le vois à sa manière de se mordre les lèvres. Mais moi je ne suis pas mieux. Il m'enflamme encore plus qu'un feu ardent. Moi qui étais si peu assurée concernant mes sentiments, je crois qu'ils s'affirment d'eux-mêmes.
Lane passe sa langue sur ses lèvres, puis dans la symphonie des battements de mon coeur je crois entendre un "à quand que tu prends des initiatives?" prononcé au creux de mon oreille. Alors je me met sur la pointe des pieds pour déposer un petit baiser sur ses lèvres ardentes. Mais il ne s'en contente pas. Oh non, il arque les sourcils en me sortant un "tu plaisantes ?" désabusé. Alors pour rattraper ma maladresse, il s'empare farouchement de ma bouche en me plaquant encore plus au mur, emprisonnant mes bras au dessus de ma tête.
Ces gestes sont si fous, et il me rendent étrangement folle. Folle de lui, encore plus. Ceux-ci sont des baisers ardents et doux à la fois. Son toucher est tellement tendre que je m'y laisserai fondre et pourtant si électrique. Et son regard, ce regard azur à la fois farouche et sincère me donne l'impression de pâtir de la chaleur d'un désert.
Lane en mord mon oreille, son souffle chaud pénétre cette dernière créant en moi une euphorie palpable. Il libère mes bras pour envahir cette fois ma taille et ne s'y attarde que pour me soulever. Je place mes jambes autour de lui pendant qu'il s'avance en direction du lit. Mes lèvres ne quittent plus les siennes et mes mains ne peuvent se retenir de caresser sa mâchoire.
C'est lorsque nous arrivons aux pieds du lit qu'il me jette sur les draps. Décidant qu'il fait bien trop chaud dans cette pièce, il ne se retient pas de retirer son T-shirt et de le balancer par terre pour seulement ensuite me rejoindre.
Le toucher n'est plus comme avant, c'est les courbes de sa peau fraîchement douchée que mes doigts suivent. Lane me saute à la bouche et mes jambes viennent entourer sa taille d'elles-mêmes.
Il quitte au fur et à mesure mes lèvres pour poser ses baisers sur mon cou, il s'y attarde un moment et laisse des suçons sur ma clavicule. Ses dents croquent l'os pour y laisser un nombre de marques rougeâtres que je ne compte plus.
Il descend plus bas, défait les boutons de ma chemise, et n'attend pas bien longtemps, pour embrasser ma poitrine. Il ouvre ma chemise pour poser ses grandes mains sur ma peau. Son toucher qui caresse mon ventre m'électrifie. Il m'embrasse, encore et encore. Je soupire de plaisir, encore et encore.
Enfin Lane se détache de moi. Lorsque j'ouvre mes yeux alors clos, je le découvre à enlever sa ceinture. L'angoisse monte en moi. Le désir de m'abandonner à lui s'intensifie. Ma respiration est saccadée. Lane lance son pantalon et me regarde un instant, s'assurant de mon état, avant de glisser ses mains sur mon ventre et d'arriver sur ma braguette qu'il ouvre. Je le laisse enlever mon jeans pendant que je porte mes bras sur mon visage pour dissimuler ma gêne. Mon jeans rejoint le sien au sol.
Lane carresse mes jambes, il tâte mes cuisses. Pose ses pattes sur mon fessier. Tire sur ma culotte.
Merde! ça va littéralement partir en couilles.
- Attends!
Il ouvre grand les yeux. On aurait presque dit que je venais de lui foutre une gifle cinglante.
- Tu ne veux pas?
Bien-sûr que je veux le faire avec lui mais pas dans ces circonstances. Pas avant qu'il ne sache à quel point je suis tombée pour lui. Je tiens à lui exprimer mes sentiments avant de tenter quoi que ce soit. Je ne sais pas comment il réagira, mais je me lance:
- Je... je voulais te dire que... qu'il y a quelqu'un que j'aime.
Son expression se défigure sous mes yeux. Oh non, il a mal compris!
- Non, je voulais dire que-...
- C'est Adam c'est ça? Me coupe-t-il sèchement.
Son regard s'empli d'encre de Chine. Lane fronce les sourcils, d'un air colérique et jaloux.
- Putain! Grogne-t-il.
Il me repousse pour se dégager et balance tout ce qui était posé sur la table de nuit. La lampe glisse jusqu'à toucher mon orteil. Je n'y prête pas attention, toutes mes pensées sont dirigées vers Lane. Je me suis mal exprimée.
Il me foudroie du regard, un regard qui me gèle le sang.
- Putain Gaby! De tous les mecs il a fallu que ce soit lui?
- Non...
- Si!
- Non tu te méprend! Bon sang Lane tu ne m'as même pas laissé parler!
Il récupère son calme et ouvre grand les oreilles.
- Je t'écoute.
- Je n'aime pas Adam, pas de cette manière. Je... celui que j'aime... a volé mon coeur.
Il lève les yeux au ciel. Naturellement, il doit penser que je vais commencer à parler nian nian. Mais je n'en ai pas l'intention. Je déglutis et continu alors, rendant les choses plus clairs :
- Et des voleurs? Je n'en connais qu'un seul.
○○○
Hi!
Hihihihihi
Hihihihihihihi
Alors ce chapitre à votre goût ou pas? 😋
Mdrr j'ai jamais écrit un chapitre de ce genre et là jme sens un chwiya moins innocente 😂
Bon j'ai pas été plus loin, excusez-moi chaque chose en son temps (vrai raison: j'étais pas prête 😭 et je le serais jms)
Alors des idées pour la suite? La réaction de Lane suite à la déclaration de Gaby?
Tu es plus Happy ending ou happy meal (dans le sens bouffe hn jpense on a (presque?) tous passé l'âge) ? 😂
Et cette histoire? Quelle genre de fin pensez vous est la plus probable? Quelle genre de fin préfériez-vs avoir?
Allez, je vous dis prenez soin de vous et je vs souhaite tous un merveilleux happy end mes petits psychopathes.
Kissou kissou 💕
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