Chapitre 1: Sin.
Ses mains s'attardèrent sur le bord cristallin du verre de vin. C'était son préféré: Pinot Noir. Le liquide cramoisie se confondait facilement à son sang fraîchement répandu alors que la musique résonnait fortement à l'interrieur du club. Un sourire sournois, aussi silencieux qu'imperceptible se forma sur ses lèvres rosées. Son entière attitude, à partir de son droit et large pull qui tombaient parfaitement sur ses larges épaules à la façon dont ses sourcils étaient soigneusement dessiné sur ses yeux émeraudes, ne démontrait rien des cartes entre ses mains. Il abordait un masque neutre, ne laissant paraitre aucune émotion aux hommes autours de lui vêtus de costumes hautes coutures et qui essayaient de garder des expressions corrects alors qu'ils regardaient nerveusement la table, tentant désespéramment de trouver un moyen pour ne pas perdre l'argent qu'ils avaient si follement parié. Le seul signe d'émotion était le petit sourire, qui était peint si faiblement sur ses traits forts, si discret qu'aucun des autres hommes ne pouvaient le remarquer avec leurs regards anxieux.
Les longs doigts de Styles enveloppés autours du verre de vin glacé emportaient la boisson croustillante à ses lèvres. Il regarda les visages autours de lui. Ils étaient familiers, comme il avait demandé à Crook leurs prénoms et se rappela le moment où ils avaient décidé de jouer au poker avec un homme qu'aucun être intelligent ne pourrait défier. L'homme à sa gauche était reconnu sous le nom de James Keller. Avec ses cheveux bruns fixés vers l'arrière, et la matière bon marché de sa veste bleu nuit, il pouvait dire que Keller était assis avec des hommes qui ne correspondaient pas à sa ligue. A cette connaissance, le petit sourire menaçait de grandir et de révéler son secret. Mais grâce à une nouvelle gorgée de Pinot Noir la menace fut effacer.
Son regard se posa sur le dealer devant lui. Crook. Le prénom était ironiquement bien adapté. Avec ses traits durs, sa forte mâchoire et la lueur sourde dans ses yeux chromatiques, personne n'aurait soupçonné les mouvements exacts que faisait sa main sous la table. Quand le regard de Keller fut sur les cartes dans sa main, probablement désespéré pour qu'ils se transforme en maison pleine, et que l'autre joueur avait son regard momentanément autre part que sur les deux hommes qu'ils étaient supposés regarder. Crook laissa son œil tomber en un clin d'œil. C'était aussi simple et calme. De façon à ce que si quelqu'un l'avait vu, il aurait peut-être supposé qu'il n'avait aucune signification. Mais il n'y en avait une. Ce clin d'œil a été remarquer par un homme, l'homme assis devant lui exactement. Styles l'avait vu tellement de fois avant, assistant toujours à ses inexplicable victoire. Les événements qui suivirent le discret clin d'œil donné par son partenaire de crime, se rapprochèrent de Styles posant ses cartes à plat sur la table de jeu verte. De belles cartes en mains qui paraissaient beaucoup trop chanceuse pour un homme comme Mr. Styles. Les hommes autours de lui écarquillèrent leurs yeux, la colère prenant place dans leurs veines alimenté de défaite.
Tout avait été si bien mit en place, jusqu'au point de la perfection. Leur simple acte de péché avait été allégé et raffiné au long des années, de sorte que maintenant même les joueurs les plus qualifiés ne pouvaient pas y trouver une faille. Pour eux, cela semblait simple de croire qu'Harry Styles était un homme béni, avec son éternel chance qui variait entre le poker et les femmes. Mais ce qui semblait encore plus incroyablement chanceux n'était actuellement pas chanceux du tout. C'était totalement et complètement de la triche.
Tout c'était bien passé. Les cartes étaient montrées. Les poings étaient serrés. L'argent était gagné, ou plutôt volé. C'était une succession d'événements qui était familiers pour Styles au point de pratiquement l'ennuyer. Il sentit ses épaules, qui était beaucoup trop relevé, retombées. Il fit courir une de ses mains dans ses cheveux et saisit son verre de vin une nouvelle fois. La boisson riche et velouté exotique ses papilles gustatives, et pour un moment il oublia qu'il venait juste de gagner des milliers de livres. Sa transe fut brisé quand la voix d'un ivrogne éclata parmi les hommes à coté de lui. Les yeux émeraudes de Styles regardèrent Keller, qui avait le visage rouge de colère et d'intoxication.
"-Tu es un tricheur, Styles!" Grogna Keller. Les autres joueurs, qui étaient tout en autant désespéré par leurs pertes, regardaient en silence. Ce qu'ils pensaient être mieux que de parler de cette suspecte victoire. James Keller, toutefois, n'était pas aussi instruit dans la matière.
"-Il n'y aucun moyen!" Continua Keller, secouant sa tête incrédule. Il devint silencieux durant un petit moment comme s'il avait une discussion avec lui même. Surement entrain de repenser aux événements précédents essayant de trouver n'importe qu'elle signe d'injustice dans le jeu de Styles. Mais il n'y en avais aucune. Pourtant il devait y en avoir une, il n'y avait aucune preuve fourni par les précédents tours pour donner raison à cette victoire improbable.
Styles roula des yeux. Il avait déjà eu affaire à des gens comme Keller. Ils voudraient l'accuser de tricher, pointant leurs épais doigts en sa direction comme s'il allait s'effondrer devant leurs accusations. Bien que, Harry Styles ne s'effondre jamais. Il avait assez mentis durant ses 25 années d'existence pour que la ligne entre ce qui était vrai et ce qui était faux disparaisse. Il n'y avait rien de grave à mentir, juste gagner.
Keller regardait avec crainte tandis que Styles se levait de son siège. Ses épaules étaient, encore une fois, relevé. Sa poitrine se soulevait alors qu'il marchait avec toute la puissance et la richesse qui allait avec son nom. Les pas qu'il faisait étaient longs mais lents, émettant une arrogance qui valait du respect. Une bosse se forma dans la gorge de Keller, et même dans son état d'intoxication, bourré due au vin et la colère, il pouvait sentir le regret s'installer, espérant désespéramment qu'il aille garder le silence comme les autres.
Styles s'arrêta dans sa démarche, sa majestueuse carrure s'imposant devant Keller. L'air autours d'eux devint soudainement étouffant, et la musique bruyante muette. Le seul son que Keller pouvait entendre, ou plutôt le seul son que Styles lui permettait d'entendre, était la respiration contrôlée et profonde venant de l'homme devant lui.
"-Oh, mais il y a un moyen." Styles parla lentement. C'était la seule fois où Keller l'avait entendu parler, il avait été silencieux durant toute la partie plaçant ses cartes soigneusement et en pariant son argent juste en le poussant sur la table, aucun mot sortant d'entre ses lèvres pincées. Sa voix, comme prévu, était grave et rauque, comme s'il s'agissait d'un lion plutôt qu'un homme.
Le sourire, que Styles avait été prudent de ne pas montrer avant, trouva son chemin devant Keller. Il aimait la façon dont il tremblait devant lui, comme si sa tête était à quelques centimètres de la lame du bourreau près pour l'exécution. Styles absorbait la peur comme s'il avait des propriétés curatives. Et, d'une certaine façon, c'était le cas. L'ennuie et la sensation de vide qu'il ressentait plus tôt, et qui était un sentiment qu'il ressentait énormément ces jours ci, commençait à disparaître due à son ego croissant, La peur de Keller l'alimentant comme s'il avait été affamée.
Keller sursauta instinctivement lorsque l'homme devant lui leva sa main vers le haut. Styles sourit devant cette réaction, mais continua son mouvement. Sa main atteint le verre de vin qui était posé sur le bois poli de la table. Keller fronça les sourcils de confusion, se demandant pourquoi est ce que cette homme avait pris sa boisson plutôt que de lui balancer son poing à son visage.
"-Qu'est ce que c'est?" Demanda Styles, portant le verre à ses lèvres. Il renifla, ses sens se remplirent de la douceur du vin blanc. Il ne buvait que rarement du vin blanc, préférant la richesse du rouge.
"-C'est- Euh- un Muscat." Bégaya Keller, il avala la gorge sèche regardant Styles prendre une petite gorgé de sa boisson. Il n'était pas sûre de savoir à qu'elle réaction il devait s'attendre, mais il savait que l'expression neutre et inébranlable de Styles n'était pas un bon signe. C'était l'incertitude que l'on ressentait avec Harry Styles qui faisait en sorte que les gens aillent peur de lui. Vous ne pouvez jamais savoir si il est sur le point de sourire ou de sortir ses canines, chacune d'entre elles intimidaient les gens plus que l'autre.
"-Muscat." Styles répéta, léchant le gout sur ses lèvres. C'était beaucoup trop amer à son gout. Ses yeux émeraudes brillaient de méchanceté alors qu'il renversait doucement le verre de vin. Le vin glissait à un rythme lentement ralentissant, un peu comme la manière dont Styles marchait. Les lèvres de Keller se séparèrent alors qu'il regardait avec horreur le vin se déversait sur ses chaussures en cuir noir dans un silencieux splash.
Une fois que le verre se soit vider sur les fines chaussures qui ornaient les pieds de Keller, Styles le jeta sur le sol, le verre éclata sous leurs corps en de minuscules bouts. Le mal qui brillait dans ses yeux verts était maintenant remplacer par de la colère sans restriction. Ses lèvres s'ouvrirent de sorte à ce que ses dents se détachent, exactement comme ferait un lion.
"-Dégage de mon putain de club." Styles grogna à travers sa mâchoire serré. Le ton de sa voix sonnait comme une promesse ou une menace. Keller n'était pas intéressé de savoir de quel promesse s'agissait-il, alors il pris la fuite, son corps se perdant dans la masse de gens entrain de danser.
Styles sentit une main se posée sur son épaule, ses muscles se détendirent sous la tension. Il se retourna pour voir le visage familier de son partenaire, et, aussi rapidement qu'il s'était montré, la bête en lui fut perdu, remplaçant par les souvenirs de ses dernière collectes.
"-Trois milles, Styles." Sourit Crook. C'était toujours une étrange vue lorsqu'il souriait, il se contracté avec ses yeux durs et sa solide mâchoire. Crook avait toujours l'air d'être vide d'émotion, presque pas humain du tout, mais le large sourire qui avait trouvé son chemin dans ses traits dures suggérait que peut-être il y devait avoir un plaisir actuel sous l'épaisse carapace de cette homme. Ce qui est assez drôle est que ce sourire n'apparaissait que quand il était question d'argent gagné.
Styles répondu: "-On est deux chanceux bâtards, ou pas?" Crook laissa un grave gloussement s'échapper avant de se diriger vers le bar. Après une aussi longue partie, un verre de scotch était élémentaire, sans glaçon.
La paire de yeux émeraudes, qui il y a une minute à peine avait été rempli d'une forte rage, erraient maintenant dans le vaste club. Ça lui appartenait, tout ça, et dans son esprit, de même que les personnes qui l'habitaient. N'importe quel doux corps, à partir de ceux habillés dans des robes serrées jusqu'aux imbéciles à qui il venait juste de voler l'argent, ils étaient sous son contrôle.
Tout d'un coup, il sentit son familier sens de chasse et de drague près à passer à l'action, ses yeux cherchant son nouveau jeu de "chance". Il se retourna vers la direction des femmes vêtues d'expansive robe en soie, leurs corps étaient collés entre elles alors qu'elles tentaient de danser et de boire leurs boisson en même temps. Aucunes d'entres elles n'avait l'air de mériter son intérêt.Il n'était pas difficile dans ses choix, parceque s'il ne prenait que les filles qui avaient tout ce qu'il voulait, il serait encore puceau à l'heure qui est. Mais il avait tout de même une certaine retenue, chercher uniquement celle qui semblait assez bonne pour l'utiliser une nuit, celle qui ne reviendrait pas.
Mais ce que Mr. Styles ne savait pas, était qu'il était lui même observé. Une paire de yeux noir était déjà fixé sur lui, collé à ses traits inexpressifs durant toute la partie de poker, et même maintenant alors qu'il sirotait tranquillement sa dernière gorgé de vin. Alors qu'il cherchait sa proie, quelqu'un l'avait déjà choisi comme étant la sienne.
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