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Prologue (1) : Diving into the Abyss

Prologue : Diving into the Abyss

START

Je ne peux pas dire que j'aime les soirées d'intégration. Loin de là, même.

Pourtant, je m'y rends bien volontiers, à ces évènements du démon. Parce que qui dit soirées d'intégration dit intégration, même dans une école aussi fantaisiste et libertaire que Hope's Peak, et lors de ma première soirée du genre, j'ai même réussi à me faire deux amies, des Ultimes aussi ! Saki et Hina en auraient bien ri, de ma répulsion, vu que notre première soirée d'intégration a scellé notre amitié. Mais ces soirées, je les préfère calmes, sages et surtout sans alcool, drogues ou garçons vous serrant de près !

Alors qu'est-ce qu'il s'est passé pour que le jour de ma rentrée en deuxième année de lycée dans le prestigieux établissement, je tombe évanouie au premier verre de coca que je m'étais permis d'ingurgiter ? Quelqu'un a sûrement mis quelque chose à l'intérieur... Ce n'est pas possible autrement, j'ai tellement fait attention à ne prendre que du soft ! Mais qui a bien pu faire ça ? L'un des hommes dont j'ai vu le regard lubrique, peut-être ? Enfin, maintenant que j'y pense, je devrais peut-être bien écarter l'hypothèse du viol. C'est vrai quoi, je ne sens aucune douleur dans mes parties génitales et en plus de ça, j'ai bien mes vêtements de la veille... rien d'alarmant en somme. Enfin. Lorsque que je rentrerai au cabinet, je vérifierai.

Le cabinet...

Je bondis sur mes pieds, paniquée. Bon sang c'est vrai, le cabinet ! J'ai la malchance d'être de garde pile aujourd'hui, il faut absolument que je rejoigne l'hôpital avant de recevoir des appels furieux de mes supérieurs ! Je suis déjà suffisamment une anomalie dans l'administration sans en rajouter par un manque de zèle ! Je dois me dépêcher de partir de ce... Souterrain ?

Je hausse les sourcils. Oui, c'est bien un souterrain, aspect sombre et murs de pierre, tout ce qu'on aime voir au réveil. Comment est-ce que je suis arrivée dans ce souterrain ? Je ne me souviens de rien... Et c'est drôlement bien aménagé, pour une cave de psychopathe. Des murs en pierre rappelant une grotte côtoient des canapés fleuris et des tables chargées de magazines de toutes sortes, et des posters fleurissent sur la roche sombre. On aurait dit une salle d'attente lugubre. Le genre qui ne rassurerait pas la moindre de mes patientes. Et comme je ne sens pas le moindre courant d'air, je ne peux qu'en déduire que les lieux sont fermés... et bien fermés. Quelle joie.

Je me redresse, et un grognement m'échappe en sentant toute la douleur transpercer mon crâne. Si je me sors de là, Hope's Peak va m'entendre ! Eux qui se vantent d'offrir un environnement sécuritaire pour tous les Ultimes, voilà de quoi leur faire un procès pour publicité mensongère... Surtout qu'à côté de ça, ça m'empêche de faire mon travail correctement. Et je suis presque sûre que ce n'était pas mon école que mon hôpital accusera en cas de problème... Bien au contraire !

Une porte dans un coin de la « grotte » attira mon attention. Une sortie potentielle, sans doute... En tout cas, la seule que je peux voir. Je hausse les épaules, et me dirige vers l'issue sans me préoccuper du reste de la salle. De toute façon, je doute y trouver quelque chose d'utile.

La porte est une simple porte de bois. Elle détone au milieu de toute cette pierre, mais cet environnement est déjà bien assez décalé pour que je ne me fasse vraiment la remarque. Par contre, ce que je vois bien inscrit sur la porte, ce sont ces mots à l'encre noire :

« Reina Satou, Ultime Gynécologue. Entrée dans le Donjon. »

De plus en plus bizarre, décidément. Mon nom, mon Ultime, et une phrase qui me rappelle étrangement les parties de DnD que j'ai pu faire avec ma famille avant de passer mes examens de docteur en médecine. De plus en plus étrange, comme environnement... Une image se présente à ma mémoire, empreinte de terreur et de sang, mais je la refoule bien vite dans mon cerveau. Je m'en préoccuperai plus tard. Pour le moment, je dois plutôt me consacrer à me tirer de là.

Alors que je chemine dans le couloir sur lequel s'est ouverte la porte, une pensée s'impose dans ma tête : Pourquoi je n'ai toujours pas été appelée ? D'habitude, ma cadre supérieure prend le moindre prétexte pour me hurler dessus, et là, c'est clairement un prétexte justifié... Absence en pleine garde, injoignable depuis une soirée, et en plus cela commence à durer. Sans compter que mes gardes sont toujours, étrangement, les plus dures, et qu'il n'est pas rare que je reçoive trois patients dès le début de ma prise en charge. Enfin, ce n'est pas tellement le moment de récriminer contre mon administration coincée, même à l'égard d'une Ultime ; il faut que je résolve cette énigme d'abord.

L'idée me vient de tapoter mes poches ; ce qui me donne une solution très claire au pourquoi du comment. Mon téléphone a disparu, et je n'ai, en plus de ça, ni mon sac ni mes clés de voiture... Ce qui signifie...

Sans doute que mon visage a perdu toute couleur, maintenant. Pas d'outil de communication. Pas d'outil de déplacement. Une pure et simple catastrophe. Et comment est-ce que je vais pouvoir rejoindre mon cabinet sans ma voiture ? Ou même prévenir mes chefs que j'aurais un petit contretemps ? Mes pauvres patients allaient attendre en vain un médecin qui ne pourrait pas venir... Bon sang quelle conne, mais quelle conne !

Perdue en plein milieu de ces tristes constatations, je manque de louper le craquement quelques mètres devant mois. Mais par contre, le terrible cri de douleur à en faire vibrer mes tympans, ça, il n'est pas passé inaperçu du tout.

Mes instincts de médecin plus forts que la peur de croiser une personne malintentionnée, je bondis en direction du cri, me guidant aux quelques jurons que j'entendais encore. Il me fait quelques secondes avant d'arriver devant une porte, de l'ouvrir à la volée... Et de tomber sur une jeune fille à la peau sombre et aux cheveux châtain coupés courts, qui se tient le pied entre deux mains en sautant à cloche pied sur le sol. Elle porte une sorte de kimono noir recouvert d'un sweat-shirt largement ouvert, et à ses pieds, des sandales de judoka ramenant clairement la vulnérabilité de ses organes de soutien à un seuil critique. Un peu plus loin, la cause du cri, un de ces terribles coins de table pointus, orné de quelques gouttes de sang témoignant de sa dangerosité.

Je soupire. La présence de cette fille prouve deux choses : Un, je ne suis pas seule dans cet étrange souterrain aménagé, deux, j'en serais bien étonnée si cette naine en train de se tordre sur le sol est celle qui m'a enlevée.

Une conclusion impeccable pour quelques hypothèses. Je hausse les épaules, laissant ce constat de côté pour me pencher sur la nouvelle victime des redoutables coins de table.

« —Est-ce que tout va bien ? »

La fille cesse aussitôt de sauter, pour se tourner vers moi et me laisser remarquer le cache-œil sur son orbite gauche. Et évidemment, un large sourire se dessine sur ses lèvres à peine me vit-elle penchée au-dessus d'elle, constatant sa déroute face au terrible mobilier. J'avoue que c'est rare, ce genre de première impression...

« —Beaaaucoup mieux maintenant que tu es là, ma puce ! Quel plaisir de tomber sur un aussi joli faciès en plein milieu de ce souterrain chelou ! »

Je me sens aussitôt rougir. On a pas idée de sortir de premières paroles aussi dégoulinantes de sucre... Et puis bon sang, nous sommes deux filles ! Je ne peux pas me laisser draguer aussi ouvertement par quelqu'un de mon genre ou de mon sexe, la dernière fois a trop mal fini... Paniquée, je me recule, les bras serrés sur ma poitrine, sans oser répondre à ma culottée interlocutrice. Qui a sans doute constaté mon malaise, vu qu'elle fait la moue.

« —Ah, oups, je pensais pas que t'allais réagir comme ça... Désolée ma puce. D'habitude ça déride les gens... Enfin c'est pas grave. Moi c'est Michi, Michi Sasaki, Ultime Judoka pour te servir ! »

Et elle fait un joli sourire en prenant la pose de la victoire malgré son orteil en sang... J'envie énormément son attitude sûre d'elle. Et même si elle se révèle plutôt dragueuse à l'égard des dames, une alliée ne me serait pas de trop dans cette situation inconnue... D'ailleurs, si c'est le cas, il vaudrait mieux que je me présente aussi.

« —Reina Satou, Ultime Gynécologue. Dis-moi, tu sais où on est ?

—Ah alors c'est toi la fameuse héritière Satou ? Wow, je tombe sur du gratin, à peine arrivée dans ce souterrain ! Pour te répondre, nan, je sais pas, mais ça ne me déplairait pas de rester toute seule avec toi tu vois ? »

Et elle recommence ! Elle a même le culot de cligner de l'œil en disant ça ! Pauvre fille, si elle se doute de ce à quoi elle s'expose en draguant des personnes de son sexe... j'aimerais bien lui dire d'arrêter mais je ne sais pas comment faire sans devenir impolie. Et puis difficile de dire à quelqu'un d'arrêter de le draguer alors que mon visage ressemble à une tomate !

Elle aurait aussi pu éviter de citer ma famille... Cette histoire « d'héritière Satou » est nulle et non avenue depuis que je suis devenue gynécologue. Mes parents ont même mis en route un deuxième enfant pour lui apprendre le métier, c'est dire... Enfin, au moins, j'étais libre de passer mon diplôme et de travailler dans le métier que je voulais, tout le monde ne peut pas en dire autant.

En tout cas, j'ai deux indices. Cette fille est aussi d'Hope's Peak, vu qu'elle porte actuellement un Ultime, et nous sommes aussi perdues l'une que l'autre. Et s'il y a deux Ultimes ici, il y en a peut-être d'autres ? Oh, bon sang, j'espère que Saki et Hina vont bien... Je dois en avoir le cœur net.

« —Bon, alors, mademoiselle Sasaki...

—Oh tu peux m'appeler Michi ! Sinon on va vite se perdre dans les « mademoiselle ». Et puis j'aime pas qu'on m'appelle mademoiselle, je suis pas une fille à marier ! Enfin bref tu veux quoi ?

—D'accord... Michi. Il faudrait peut-être qu'on cherche d'autres gens ? Je doute qu'on soit les seules dans cet endroit sinistre... »

La Judoka eut un large sourire, de nouveau, avant de me montrer une porte dans un coin de sa propre salle.

« —Je crois que la sortie est par là, un truc qui s'en rapproche en tout cas ! J'ai entendu des voix donc il faudrait peut-être aller voir ? Je passe devant, ma puce, ne t'en fais pas ! »

Ma... Puce ?

Cette fille veut ma mort, ma parole... Aussi littéralement que métaphoriquement. Mais pour le moment, aussi directe soit-elle, elle est ma seule alliée dans cet endroit sinistre... Traduction, je n'ai pas d'autre choix que de la suivre, en attendant de tomber sur une personne qui envahira moins mon espace vital... Et avec un peu de chance, c'en sera une qui ne me fera pas rougir à chaque regard, innocent ou pas.

La porte mène visiblement à un autre couloir. Je ne peux donc que suivre ma toute nouvelle compagne, qui semble prendre sa position de seule personne capable de se défendre très à cœur vu les poses qu'elle enchaîne dans l'étroitesse créée par les deux murs. J'ose à peine parler, de mon côté ; elle entretient de toute façon très bien la conversation toute seule et je n'ai pas envie de répondre à la grande majorité de ses questions. Surtout quand elles portent sur l'empire financier et judiciaire de mes parents.

Je me contente de répondre à demi-mot, priant pour vite m'éloigner de cet endroit, de cette indiscrète, de tout. Je veux retrouver mon cabinet et mes patientes... j'avais trois échographies à faire aujourd'hui en plus, je ne pourrai jamais voir les premières images de leurs adorables bébés dans cette situation ! La pire situation possible dans mon métier... Enfin, en exceptant les risques de grossesse qui se réalisent, bien entendu.

Michi s'arrête devant une porte, sans doute un nouvel endroit à franchir avant de sortir, avant de se tourner vers moi.

« —Au fait, je t'ai pas demandé comment tu t'es retrouvée ici ? »

Je hausse les épaules.

« —On m'a droguée lors de la soirée d'intégration de Hope's Peak, je m'en rappelle très bien... »

Sans doute surprise par ma réponse, elle a une moue songeuse, et sa main se relâche sur la poignée de la porte.

« —Ah ouais carrément... Je croyais avoir trop bu moi, mais visiblement mes vertiges n'étaient pas anodins... Mais pourquoi capturer au moins deux lycéennes et les foutre dans des situations comme ça ? Y'a forcément un truc... »

De nouveau, cet écho ancien qui arrive à ma mémoire... Mais je n'ai pas plus que ça envie d'y penser. Pas maintenant, alors que la priorité est de sortir. Je prends mon menton entre mes mains, réfléchissant, avant de finalement soupirer :

« —J'espère que ce n'est pas ce que je pense, mais dans tous les cas on ferait mieux de se dépêcher de sortir. Tu ouvres cette porte s'il te plaît ? »

Elle hoche la tête avec énergie, et s'exécute sans perdre de temps, ouvrant ladite porte sur... Une nouvelle pièce. Mais cette fois, dedans, il n'y a pas une, mais deux personnes, et je crois que... Oui, elles se tiennent la main !

Je sens aussitôt mon visage s'embraser. Qu'est-ce que j'ai surpris ? Est-ce que ces deux personnes (visiblement un homme et une femme) sont ensembles ou bien est-ce juste une forme d'amitié très fusionnelle ? Est-ce qu'ils sont au courant de notre présence ou bien... S'en préoccupent-ils seulement ? ... Bon sang, je suis gynécologue, je ne devrais pas rougir devant une manifestation aussi anodine d'affection alors que je vois des vagins tous les jours ! Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez moi !

Michi ne met pas longtemps à remarquer mon malaise. En tout cas ce serait compliqué, vu que je m'accroche à elle comme une bernique à son rocher depuis que j'ai le... couple... en visuel ! Bref, à peine ai-je refermé mes doigts sur le pan de sa veste qu'elle sourit, un sourire amical, dénué de toute moquerie, et tousse violemment en direction des deux nouveaux... Pas venus, non. Peut-on vraiment dire venus alors que c'est nous, les intruses dans cette pièce ? En tout cas, à peine la Judoka s'est-elle exprimée que les deux amoureux se lâchent pour se tourner vers nous.

Je la remercie du regard et elle hoche la tête avec un air de connivence. Finalement, elle n'est pas si brute de décoffrage que ça, cette fille... Et les autres, visiblement, ne s'attendaient pas à nous voir vu que je constate sur les joues du garçon la même délicate couleur rouge que celle qui doit orner les miennes. D'ailleurs, il est très beau, ce garçon, avec ses longs cheveux bleu ciel et son regard d'ange... Mais enfin, à quoi je pense, moi ? Incorrigible, Reina, trouver les gens beaux dans un endroit pareil !

La fille, elle, semble plus calme, vu qu'elle nous regarde avec quelque chose qui doit s'apparenter à de la curiosité. Je ne sais pas trop comment interpréter ça... Elle a l'air d'avoir un caractère très tranquille au premier abord, c'est rassurant. Enfin bon, je ne vais pas avoir le temps de la détailler, vu que c'est elle qui ouvre la conversation, remettant en place une de ses mèches violettes derrière son oreille.

« —Bonjour. Vous êtes aussi ici sans savoir le pourquoi du comment ?

—Et pas qu'un peu, grogne Michi. Je me suis évanouie à la soirée d'intégration de Hope's Peak, et me voilà dans cette caverne couloir bizzaroïde. D'ailleurs, j'me présente, Michi Sasaki, Ultime Judoka, et l'adorable personne derrière moi c'est Reina Satou, l'Ultime Gynéco ! Vous êtes des Ultimes aussi ? »

Pas encore les surnoms, pitié, j'hésite déjà entre la frapper ou me consumer sur place. Par chance, les deux autres ne relèvent pas, et la fille va même jusqu'à s'incliner devant nous.

« —Enchantée. Je suis Haruko Kita, l'Ultime Journaliste. Ma spécialité étant les missions de terrain.

—Sora Yamasaki, sourit l'homme, qui parle d'ailleurs pour la première fois. Ecrivain Fantasy Ultime. Nous sommes donc bien tous des Ultimes dans cette pièce. »

Quatre Ultimes dans le même couloir aménagé... C'est trop pour que ce soit inintentionnel. Cette simple idée me terrifie, mais mon bon sens me dit qu'ils ont peut-être simplement réuni les meilleurs cerveaux du Japon pour demander une rançon... Ca ne m'étonnerait pas. Surtout que maintenant qu'il me dit son nom, je m'aperçois que je connais Sora Yamasaki. Il écrit sous le pseudonyme de Sorasaki, mais ce n'est pas difficile de retrouver son vrai nom... Il a plus de dix séries à son actif, de plusieurs tomes de six cents pages avec ça ! Je suis surprise qu'il n'ait que le titre d'Ecrivain Fantasy, d'ailleurs... Il est suffisamment doué pour avoir le titre d'écrivain tout court.

Je hausse un sourcil.

« —Et... Vous ne savez pas plus que moi où on est ?

—Non, me répond Haruko, toujours avec cet air tranquille. Comme Michi, et toi aussi j'imagine, nous avons été drogués à la soirée d'intégration de Hope's Peak, et je suis sûre de ça car je ne bois jamais d'alcool. Moi, je me suis réveillée seule dans cette pièce, et Sora a remonté ce couloir pour me trouver. »

Ledit Sora a un petit sourire alors qu'elle montre la porte dont elle dit qu'il vient. Visiblement, il se retient très fort de prendre la main. Et moi, je peux déduire de cette information quelque chose d'important : Cela fait quatre pièces construites sur le modèle pièce-couloir-pièce. Et dans chaque pièce, on trouve un Ultime. Et donc, au bout du couloir, il y aura la sortie... Avec vraisemblablement un groupe complet d'Ultimes. Plus j'y pense, et plus je me dis que ça ressemble beaucoup à des étapes dans un jeu vidéo, avec la constitution d'équipe...

Sauf que nous sommes de vraies personnes, et que le jeu pourrait bien prendre une tournure macabre.

_____________

Petit aparté : Oui, contrairement à tous les autres fanfictionnistes de Danganronpa que je lis, je n'ai pas mis les sprites des persos, désolée. Raisons ? Une flemme complète et totale de dessiner ! Oui, ça m'arrive. x)

Mais pas de panique, pour les gens paumés ! En attendant que lesdits sprites arrivent, vous aurez au moins les picrews que j'ai fait d'eux dans la partie "présentation de personnages", pour vous faire une idée approximative de leurs tronches.

Sur ce bonne lecture, et courage, ce prologue promet d'être long XDDDD

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