Évasion
Cela fait maintenant 2 mois que je suis enfermer au Mémorial Hôpital de Paris, j'ai été transféré dans un des plus sécurisé de France, et parfois je me demande si au lieu de clamé la vérité je ne devrais pas dire ce qu'il veulent entendre ! Que c'est moi qui les ai tuées de sang froid ? La prison doit être bien plus douce que cette cellule blanche et glaciale. Je sais désormais ce que c'est de côtoyer de réelle personne atteinte mentalement ! Et c'est très difficile ! Et je ne parle pas des cachets qu'ils me force à prendre tout les jours, je ne suis plus maître de mon esprits. Je divague parfois, j'ai des visions parfois aussi !
J'y réfléchis depuis plusieurs jours déjà, j'ai pris le temps d'écrire sur des feuilles de papiers tout ce que j'ai réellement vécu cette journée, sans oublier aucun détails ! Rétablir cette foutu vérité avant de partir ! Je le dis et je le confesse, ce soir je sortirais de cet établissement, mort oui mais j'en sortirais.
Deux mois que j'ai été jugé coupable, deux mois que je n'ai reçu aucune lettre, aucun mot, aucune visite de personne. Même ma propre mère m'a tourné le dos, la dernière fois que je l'ai vu c'est quand le juge a prononcer ma peine.
Je suis seul, les résidents m'évite. Le personnel ne juge et me parle iniquement quand ils sont obligé ! Je suis un pariât. Seul et je refuse de subir ça encore longtemps. Donc ce soir après avoir manger je déposerais ma lettre au pied de mon lit et je me donnerais la mort par pendaison.
Sauf que, ce à quoi je ne m'attendais pas c'est que ma mort allais être légèrement repoussé à plus tard.
J'étais dans le salon commun en train de livre un livre calmement, quand une infirmière viens me chercher.
- Mr Parker ? Vous avez de la visite .
- C'est impossible je n'attends personne...
- Et bien il faut croire que vos frères, pensent que vous en valais encore la peine...
- Pardon ? Mes quoi ?
- Vos frères sont venu pour vous rendre visite, en revanche ils sont 6 et en vu du règlement de cet établissement, ils ne pourront venir que deux par deux vous parler. Pour mesure de sécurité.
Je ne répondis même pas, je ne comprenais pas qui pouvais venir me voir je n'ai pas de frères, encore moins 6. Nous nous dirigeons vers une grande salle blanche ou une grande table et des chaises blanche trôner au milieu de la pièce, sur les chaises, deux hommes. Que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam.
Je resta donc sur mes gardes et leurs souris.
L'un d'eux me regarda intensément et me dis tout bas :
- Bonjour Ben, on as mis pas mal de temps à te localiser, les médicaments que tu prends chaque jours masque de plus en plus fort son aura. Donc te trouver à mis un peu plus de temps que prévu mais fort heureusement pour nous, ces médicaments le rendent docile.
- De quoi vous me parler ? Vous êtes fou ?
- Ce soir nous te feront évadé de ta chambre, ne tente rien de stupide ! Tu viendra avec nous, ce soir c'est le croisant de lune. Et nous avons tout réuni pour y parvenir.
Il me fallut quelques secondes pour comprendre ce qui allais m'arriver.
- Vous êtes les chasseurs, et vous venez pour lui..
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