Chapitre 9 : Hannibal Lecter crève de jalousie.
Chapitre 9 *___* ( déjà :3 <3 )
BANGTAN MARIE JOSEPH !
Le nouveau teaser....
MON DIEU *^*
Je ne sais pas comment nous allons survivre à tout ça T___T mais FIGHTING <3
Pour l'amour de nos oppas, nous y arriverons *___*
Pour l'instant, heureusement que nous avons Radio psychopathe pour nous soutenir dans cette épreuve fort troublante !
Non sérieux j'ai trop hâte *^*
2682 mots pour ce chapitre :D
Il est aussi exactement 1h 59 du matin :D Nice :D :D :D :D :D xD
Je vous aime <3
Bonne lecture :3
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''Bah Oui ! Comment est-ce que tu crois que j'ai fait pour garder mon job, hein ? Bien sûr que je l'ai sucé, ce connard de patron ! En plus, il en avait une petite !
Merde... Bordel. Pourquoi est-ce que ce putain de clignotant « On Air » ne clignote que 15 secondes après le début du live, HEIN ?''
Ses lèvres effleurèrent les miennes et une explosion de sensations aussi étranges que saisissantes retentit dans le berceau de ma libido tremblotante de désir.
''Bref... Bonsoir mes très chers auditeurs que j'aime tant ! ''
Mais il ne m'embrassa pas.
La frustration était telle que j'espérais secrètement avec l'innocente fougue d'une soubrette païenne, qu'il allait enfin se décider à plaquer sa bouche contre la mienne.
''J'ai probablement 15 mins avant que mon connard de Patron ne traverse tout l'immeuble dans la charmante intention de venir refaire la peinture du studio en rouge sang à coups de couteaux de cuisine puisque je le sais très friand de l'art culinaire...''
« Je... Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, parvins-je à bafouiller en me faisant violence afin de ne pas me laisser happer par la profondeur de ses yeux."
Il sourit.
Je le sus à la délicieuse petite pression que je sentis croître tout le long de ma joue au fur et à mesure que je détournais ma tête de son regard inquisiteur.
'' D'ailleurs, j'en profite pour très fièrement vous parler de la nouvelle recrue de 10h 05 juste après la chronique de Nam Joon avec son émission : '' Master Chef Psychopathe'' ! »
Il me saisit soudain par la taille avant de me balancer sur l'une de ses épaules pour me jeter sans ménagement sur le lit. Celui-ci grinça indiscrètement sous mon poids. Nous gémîmes en chœur lorsque vint s'ajouter à sa charge un vicieux Taehyung qui s'installa sur moi dans une position qui n'aurait certainement pas été de rigueur dans toute société de bonne convenance.
'' Et je vous conseillerai de ne surtout pas rater son épisode d'aujourd'hui à savoir : Comment préparer un somptueux dîner de famille avec les restes du gigot de bébé du midi ?''
Je tentai de me relever mais ses mains immobilisèrent mes bras de par et d'autre de mon corps alors que son bassin, intimement collé au mien, m'incitait à l'immobilité totale.
'' Il est jeune, souriant et très amoureux des enfants surtout après leur avoir arraché la langue histoire qu'ils n'aillent pas tout raconter de ce qu'il leur a fait subir comme torture psychique et physique à un âge où il ne savent ni écrire et visiblement....Hihihi... plus parler.''
« Ne fais pas ton timide, Eun Jae. Ce n'est pas à moi que tu vas cacher ta vraie nature... »
Merde... Il m'avait percée à jou...
Attendez une seconde.
J'avais bien entendu ? Ce n'était pas simplement la quelconque œuvre d'une désillusion personnelle ?
« Ton » timide ?
C'était bien ce qu'il avait dit, non ?
« On sait tous que tu es androgyne, Eun Jae, fit-il en partant d'un rire tonitruant qui était censé vouloir dire : '' on ne l'a fait pas à moi !''. » (Face Palm. )
Je clignai des yeux, incrédule, avant de tenter d'émettre un petit gloussement, que je voulais, embarrassé.
Luttant entre l'irrépressible envie de pousser un soupir de soulagement et celle d'éclater de rire face à l'absurdité de la situation, je me forçai à lui jeter un regard résigné.
« Oh, m'exclamai-je avec un air faussement affligé en parvenant même à moyenner un brillant larmoiement des yeux. Vous vous en êtes rendu compte... »
Je marquai mes propos d'un petit sanglot étouffé en reniflant tristement à la manière d'une tragédie grecque croisé à du vaudeville populaire.
Bien que son regard semblât reluire d'une sagacité de renard, il crut au burlesque cocasse de mon ingénieux jeu d'acteur.
En remuant mes jambes pour protester silencieusement de l'écrasement cruel qu'opérait son corps sur le mien, nos entre-jambes se frottèrent douloureusement.
Ceci eu le don de lui faire lâcher un petit grognement.
Quant à moi, je pouvais bien m'avouer qu'ici-bas, les contrées refoulées de ma cavité vaginale ( pardon) furent loin d'être épargnés des vagues destructrices du désir.
Je sentais le tsunami arriver, espérant fortement que le barrage que je m'étais intérieurement construit avant que ma raison ne décide de prendre ses clics et ses clacs et de foutre le camp d'ici non pas sans avoir d'abord craché au visage de ma honteuse innocence.
« Oh... Tu es fortement... Imposant, Eun Jae, fit-il en remarquant la bosse qui gonflait glorieusement au niveau de mon entre-jambe. »
Bon, d'accord.
J'avais peut-être fixé un peu trop de tissu à cet endroit-là ce matin avant de me rendre à l'entraînement dans le but d'improviser, avec l'ingéniosité d'un petit pois, une excroissance de fortune.
« Je n'ai jamais assumé mon côté... Masculin, fis-je en pleurant de plus bel, retenant sous cape un fou rire qui m'aurait directement fait interner dans un asile psychiatrique si je m'étais risquée à l'émettre en public. »
Ahlala... Qu'est-ce qu'il ne fallait pas faire...
...Pour le bien de la mission.
Et qu'est-ce qu'il était con, ce Taehyung aussi...
Sans crier gare, il posa ses mains sur ma poitrine.
Il fronça des sourcils.
« Et un torse assez développé... »
Le moment de la mini-crise cardiaque déjoué, je reconfirmai ce que je m'étais intérieurement dit quelques instants plus tôt :
Taehyung était sacrément con.
'' Ah... Sûrement avec l'entrainement et tout ça, fis-je en essayant de revêtir un air sérieux.''
/ ! / Danger / ! /
Malgré l'implacable bande qui confinait mes seins, je pouvais sentir mes tétons douloureusement réagir à son contact, tentant avec la capricieuse résolution d'une nonne en pleine révolution libertine, de religieusement poindre vers les cieux. (XD )
De ce fait, je tentai de me dégager de lui d'un petit coup de bassin et parvins à le faire en gigotant comme une limace excitée.
Mais il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans l'histoire...
« Euh.. Et pourquoi vouliez-vous que je me...euh... déshabille ? »
Pendant ce qui s'apparentait à une fraction de seconde seulement, aussi fugacement qu'une goutte de pluie, une lueur salace traversa ses yeux.
« Je voulais seulement..., fit-il en se rapprochant de moi avec un air troublant : t'aider à soigner tes hématomes voyons ! J'ai vu que Jimin n'y était pas allé de main morte avec toi cet après-midi... »
Je soupirai.
Il leva un sourcil amusé.
Serait-ce seulement ma paranoïa maladive qui refaisait surface ou Taehyung avait-il réellement l'intention de me faire autre chose que de '' soigner mes hématomes'' comme il semblait le clamer ?
Dans tous les cas, aussi alarmé qu'était mon sixième sens, le fait que Taehyung, un potentiel violeur en série, me laissât partir presque toute entière, ayant malheureusement perdu mon innocence en cours de route, après que j'eus bredouillé en baissant la tête avec une petite voix d'adolescente qui aurait été surpris devant l'un de ces très instructifs films classé série X : '' Ne vous inquiétez pas pour moi, je vais bien, merci. Je dois...euh... partir...euh...voir Mr Kim pour un...Truc très important... »
« Ah bon ? S'était-il contenté de dire en me fixant d'un regard perspicace. Important ?
Il sourit, ouvrit la porte avant de la refermer ensuite brusquement sous mon nez en ajoutant un :
« N'oublie pas de venir me voir, s'il te fait des misères... »
Il plaça sur mon épaule une main dont la chaleur irradia dans tout mon être :
« Ma porte restera toujours ouverte pour toi. »
Et alors que je quittais sa chambre, ses lèvres s'étirèrent lascivement alors qu'il ajoutait avec un petit clin d'œil ravageur :
« Et pas que ma porte, Eun Jae. »
Merde.
L'intérieur de mon être était aussi calme que le Mérapi d'Indonésie et ses légendaires 49 éruptions explosives de ses cinq derniers siècles qui à présent ne se concentraient qu'en quelques minutes seulement à l'intérieur des voies tourmentées de mon intimité désabusée.
Et c'était loin d'être terminé, pressentant que les Dieux de la Luxure s'étaient sans doute liés, comme à leur accoutumée, contre moi dans le but de me faire, du haut de leur olympe de dépravés, vivre les orgasmes visuels les plus terrassant de l'histoire.
Jimin.
Jungkook.
Des Adams aux yeux bridés.
Sous la douche.
Mais au lieu de se laver comme deux êtres humains civilisés nullement portés par l' instinct animal qui poussait même le plus chaste des hommes à vouloir violemment forniquer comme un lapin en chaleur, les voilà qui me refaisaient une scène tout droit tiré d'un bon film, je dois l'avouer, classé interdit au moins de...allez on va dire... 66 ans ?
Je refermai à la hâte la porte de la salle de bain en essayant de calmer les ardeurs impétueuses de mon cœur en ébullition.
Bon.
Je n'allais quand même pas me laisser faire comme ça, bordel.
J'ouvris de nouveau la porte.
Kookie était à genoux et je pouvais voir sous l'eau qui se versait majestueusement sur sa peau satinée des muscles de spartiate saillir dans une indicible splendeur divine.
Jimin, quant à lui, me tournait le dos, pourtant je pouvais apercevoir le front de son visage et ses cheveux qui flottaient à l'arrière de son crâne alors que sa tête était gracieusement renversée vers l'arrière. Debout devant son amant, les doigts entremêlés dans la chevelure sombre de ce dernier, une expression de béatitude se dessinait sur la rudesse habituelle de ses traits de Serial Killer.
Kookie s'appliquait à sa besogne, engloutissant de façon fort impressionnante une bonne partie de la verge monumentale de Jimin dans des va et viens tantôt lents et tantôt rapides qui arrachèrent à ce derniers des râles gutturaux.
Lorsque mon colocataire alias l'éternel dominant, qu'il soit armé d'un bâton au sens propre ou au sens figuré comme j'avais par expérience ou par observation pu le constater durant ces derniers jours, mordit sa lèvre inférieur, je me déclarai à ce moment là prête à creuser six pied sous terre pour m'y réfugier comme une petite fille effarouchée face à la violence du monde.
Je refermai la porte en me laissant glisser contre elle.
Soudain, je compris.
J'étais sûrement en train de rêver dans les bras de Morphée sous sédatif quelque part dans un hôpital psychiatrique sans doute après avoir violé un bon nombre de jeunes hommes en détresse vu la façon dont l'innocente prêtresse et nymphomane refoulée qui habitait en moi se manifestait dernièrement.
Ou peut-être même que, dans une autre version tirée de mon inconscient débauché, j'avais été kidnappée par des extra-terrestres suceurs de bites façon E.T mais revisité par un détraqué au sens de l'humour très bibliquement douteux et qu'on s'adonnait à présent sur moi à des expériences plus sadiques les unes que les autres dans le but de tester la tolérance hormonale d'un sujet humain féminin.
Mon dieu !
Marionnette de ces créatures démoniaques, J'étais sans doute les prémices d'un plan diabolique encore plus fantasque que celui-ci !
Attention ! Les extra-terrestres ne sont pas qu'un mythe !
Et ils viennent pour envahir notre monde !
(Pardon xD)
Alors que mon esprit divaguait dans des scénarios post-apocalyptiques plus farfelus les uns que les autres, je remarquai une chose qui eut le mérite de me détourner de mes fabulations Spielberguiennes.
A moins d'un mètre au dessus de mon lit, serpentait un très large conduit d'aération.
Une petite lampe, quelque peu défectueuse à la manière dont il me fallut intérieurement la secouer pour qu'elle se décide enfin à arrêter de clignoter avec hésitation, s'alluma dans ma tête.
Non pas sans avoir failli glisser deux ou trois fois sur les marches, j'escaladai avec la souplesse d'un énorme éléphant l'échelle qui menait à mon lit pour me positionner juste au dessous de l'objet de ce nouvel élan d'espoir.
J'allais tourner le dos à ma raison qui, avachie sur un large fauteuil en cuir, fumait un bon gros joint en déclarant d'une voix profonde tel l'archétype du littéraire dépravé : « Diantre, Eun Jae ! Votre bêtise ne cessera de m'étonner. Le rat ne se rend compte de son sort que lorsque sa queue est cou... »
« Ferme-la, lui lançai-je en la bâillonnant sans vergogne à l'aide d'un tissu imprégné de formol. Voilà...C'est bien. Maintenant, dors. »
Armée d'un petit couteau suisse que je m'étais décidée de garder sur moi depuis que j'avais découvert qu'on m'avait mis dans le terrain de jeux des psychopathes les plus déments du monde, je m'attaquai, en position accroupie, aux visses de la trappe du canal.
Par la chaste innocence de la pute personnelle de Belzebuth !
Si seulement les gémissements de Jungkook n'avaient pas été aussi déstabilisants, bordel de merde...
Ce gosse aurait pu sérieusement faire carrière à l'opéra ou en temps qu'idole de Kpop (hihihi) tant ses cordes vocales étaient imposantes.
Tentant de ne pas trop imaginer en grandeur nature leurs ébats sexuels, je m'acharnai à la tâche pensant que c'était certainement mon seul ticket de sortie vers la liberté, loin de cette prison de fous furieux, loin de ces psychopathes qui ne pensaient qu'à se battre ou à baiser.
Reine de l'adaptation, je coïncidai les geignements jouissifs de Kookie à mon rythme de dévissage et me félicitai lorsque la trappe s'ouvrit enfin.
Passant une tête à l'intérieur du conduit d'aération, j'y risquai un coup d'œil prudent.
Rien à signaler.
Pas même un zombie pour venir faire honneur à ma paranoïa.
J'aurais presque pu en être déçue.
M'y hissant sans trop de difficultés, je me retrouvai devant deux passages en acier dont les sinuosités ne me disaient rien de bon.
Bénie par la révélation du siècle, je décidai, par un fatal coup de poker, d'aller là où l'air frais semblait venir chatouiller ma peau nue.
Progressant à quatre pattes et ce à pas de chat, je fus presque désappointée de ne pas rencontrer au passage des lasers mortels pour me transformer en viande hachée, comme dans les films d'action que j'avais l'habitude de regarder en somnolent devant ma télévision d'occasion entre deux jobs à temps partiels.
Cela faisait quelques jours seulement mais j'avais déjà l'impression d'être à des années lumières de Cette Eun Jae aux cheveux longs et dont la seule préoccupation était de survivre à la journée en pensant soucieusement au lendemain.
Bon, j'avoue que les choses n'avaient pas réellement trop changé pour ce dernier petit point mais à l'époque je ne risquais certainement pas d'être menacée à chaque fois que l'occasion se présentait d'une balle entre mes deux yeux.
J'arrivai enfin à une autre trappe et aperçus à travers ses petites ouvertures striées...Un ciel !
Oh... Alors c'était à ça que le ciel ressemblait !
Bon, j'arrête mon cinéma.
Quelques jours et non quelques mois.
Grosse différence.
A la manière d'un ''prison Break'' parodié à la Eun Jae studio compagny, je parvins à ouvrir la trappe qui allait me permettre de m'extirper de ce putain de conduit d'aération.
En posant un pied sur le sol pour sortir dehors en contemplant avec une appréciation nouvelle l'obscurité fantasmagorique du ciel nocturne parsemée ça et là de petites étoiles récalcitrantes et la végétation forestière qui s'étendait devant moi, je remarquai enfin les contours réticents d'une ombre qui se profilait à quelques mètres de là.
Et ce n'était pas la mienne.
Je tournai lentement la tête vers NamJoon.
Il me souriait.
Un très beau rictus à la Joker.
Hannibal Lecter en crevait sûrement de jalousie, à se retourner dans sa tombe comme un petit adolescent pré pubère blessé dans son petit égo de psychopathe en herbe.
Il écrasa sa cigarette contre le mur avant de caresser du bout des doigts son semi-automatique en le pointant respectueusement vers moi :
« Alors, Eun Jae... Une petite ballade nocturne ? »
'' J'exige un tonnerre d'applaudissement pour ce tueur en série tout fraichement diplômé de la Bangtan Academy et ce en section pédophilie et viol BDSM et avec... Wawouu... Les félicitations du Jury en plus ! Je nomme le seul et l'unique :
Jungkook ! ''
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Fin du chapitre 9.
J'ai ri comme une folle en écrivant ce chapitre xD
J'espère que vous continuez à apprécier *^*
Le savoir me pousse grave à écrire de longs chapitres et tout :D
Ne vous inquiétez pas, les lemons arrivent, l'action arrive ( toujours xD ), et vous savez quoi ? xD m'en fou elle va finir avec tout le groupe xD BANZAI XD
Hum.
Voilivoilou.
BIENTÔT LE WEEK-END <3 ( et le comebaaaaaack des BTS )
Prenez soin de vous *^*
Je vous aime <3
FIGHTING
Éternellement vôtre,
Votre dévergondée de Hajar <3
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