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Chapitre 21 : Jusqu'à ce que l'amour nous sépare...

Chapitre 21 *^* ( 3400 mots *^* On va s'amuser xD ! )

SUGA MARIE JOSEPH !

Vous avez vu le dernier tweet de Yoongi T___T ? J'ai pleuré les amis... Soutenons-le tous ensemble <3 Il est vraiment sincère dans ce qu'il fait.. C'est beau <3

Sinon, vous allez bien ?

FIGHTING POUR VOTRE LUNDI !

Et merci à tous ceux qui me lisent et qui me souhaitent bonne merde pour mes examens, je vous avoue que là je suis en mode boss hardcore j'ai juste pris une petite pause pour écrire le chapitre et déstresser un peu par la même occasion <3 ( d'ailleurs je cours répondre à tous vos commentaires, les adooore xD surtout quand il y a des interactions xD vous êtes les meilleurs xD )

Ca me fait un bien fou d'écrire, et ça me fait encore plus de bien quand je vois que vous appréciez me lire *^* Je vous aime <3

Bonne lecture :3 ( C'est sûr qu'après la fin du chapitre précédent xD vous avez envie de connaitre la suite :3 )

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" Vous en avez marre de perdre votre victime dans la forêt à chaque fois que celle-ci se décide à courir dedans comme une folle pour vous échapper ? "

Par la Sainte barbe de Saint-Lilith ! (Lilith est une femme, donc... Pardon XD)

Depuis quand est-ce qu'il était là, lui ?

Me prenant pour une tortue des mers, je fis violence à mon cou en le dévissant sans vergogne vers le côté pour tenter de baliser le terrain.

Yugyeom faisait le mort sur le sol.

" Elle s'est réfugiée dans un manoir, un hôpital psychiatrique abandonné, un cimetière mais vous ne vous voulez pas passer des heures à essayer de la chercher vu que votre tronçonneuse est bien trop lourde à porter et que vous commencez à devenir un peu vieux pour ce genre de prouesses ? "

«Bordel, Jimin ! M'exclamai-je. Ne Me dis quand même pas que tu l'as tué...

-    J'aurais bien aimé.»

Il m'avait avouée ça avec une voix rauque et un regard iridescent, de la même chaleur que celle de sa main qui tenait encore douloureusement  l'élastique en dentelles de mon sous-vêtement.

" Jimin... Peux-tu me... lâcher ?

-    Non.

-    Non ?

-    Tu as tout compris, Eun Jae. »

L'un de ses doigts qui s'étaient aventuré un peu plus profondément entre mes fesses se posa sur la base de mon intimité juste au dessus de là où mon plaisir menaçait le plus d'éclater.

Merde.

Je gémis contre la table de massage. Massage ? C'était bien loin de n'être qu'un simple massage...

« Je n'aime pas du tout quand on se joue de moi, Eun Jae. »

Il ponctua sa phrase par une petite pression qui finit d'avoir raison de mes dernières résistances.

« Vois-tu, poursuivit-il en empoignant fermement mes cheveux. Tu mouilles tellement qu'il est très difficile pour moi de te voir comme un mec à présent... »

Bordel de merde.

Une autre Eun Jae aurait trouvé ces propos fort déplacés mais celle qui geignait à présent en se mordant la lèvre inférieure contre ce brancard, en sa bonne qualité de tablophile, n'était aucunement la petite fille qui quelques jours auparavant passait ses journées à courir d'un job à mi-temps à l'autre en pouvant encore se dire saine d'esprit.

«   Connard, chuchotai-je entre deux spasmes de plaisir alors que j'avais il y a depuis longtemps abandonné toute idée de rébellion sous sa poigne de fer.

-    Le meilleur d'entre eux, fit-il en insérant un doigt en moi à travers ma culote. »

Vous avais-je déjà dit que la vie était une pute ?

A ce moment précis, alors que jaillissaient d'entre les contrées abyssales de mon intimité tremblotante les affres puissantes d'un plaisir inavoué, nous entendîmes des bruits de pas se diriger vers la chambre. Et tout se passa très vite.

Jimin avait sûrement eu le temps de réfléchir à ses actes depuis  l'épisode de la bibliothèque où il m'avait vulgairement abandonnée à mon sort vu que cette fois-ci, il se décida à réagir différemment.

Il me prit par la nuque pour m'obliger à lui faire face.

«  Jusqu'à ce que l'amour nous sépare, susurra-t-il contre ma bouche en posant son front sur le mien. »

Euh... D'accord. J'aurais bien voulu prendre le temps de lui demander ce que diable il avait bien pu  vouloir dire par là, mais disons, que les choses ne m'en laissèrent pas vraiment le temps.

Il s'assit au bord de la fenêtre, se retourna vers moi et me fit un clin d'œil avant de disparaitre dans la nuit tel un Zorro coréen avec pour épée autre chose qu'une vraie épée... ( :3 )

D'accord.

En gros, il avait encore une fois filé à la putain d'anglaise.

" N'ayez crainte ! Car NOUS sommes LA réponse à VOS tourments !"

La porte s'ouvrit pour laisser apparaître Jin accompagné de son labrador cravaté en titre j'ai prénommé : Jaebum.

" Venez commander au 666 votre G.P.S ( Global Psychopathe System ) qui vous permettra de localiser où  qu'elle aille, quoi qu'elle fasse n'importe laquelle de votre victime ! Et ce pour la modique somme de 6 vertèbres seulement !''

Des jeux de regards se firent entre Yugyeom qui était encore en train d'amoureusement flirter avec le sol, eux qui fronçaient suspicieusement les sourcils devant la singulière vision que j'offrais et moi qui tentait par tous les moyens, avec la justesse d'une bourrée à l'opium, de faire marcher mon cerveau pour essayer d'élaborer dans ma fabuleuse qualité de Mythomane, une vérité d'ordre fictionnel à lui sortir.

Pénis soit le destin, quoique je continuais à jeter vers lui un regard soupçonneux, qui pour une fois se décidait à me tendre une main bienveillante, je n'eus pas à le faire. 

« Oh nooon... S'exclama Jin en se passant une main dans les cheveux.

-    Oh si ! répondis-je tristement sans réellement savoir de quoi il parlait histoire de garder un semblant de crédibilité tout en me demandant où  est-ce que ce putain de vent du hasard allait bien pouvoir me mener.

-    Ne me dis pas qu'il l'a encore refait...

-    Hélas ! sanglotai-je en repensant à la cinquième saison de Game Of Thrones et à mon défunt hamster Kiki tout en me demandant à quoi il faisait allusion.»

Jin s'adossa contre le mur et darda sur son larbin un regard aussi avenant que la douce morsure d'un Cobra australien.

« Jaebum ?

-    O...Oui, monsieur ?

-    Avant que je ne prenne la décision de lui trancher la gorge avec l'un des os de ta colonne vertébrale, débarrasse-moi de lui. »

Charmant. Tout bonnement charmant.

Alors que Jaebum trainait le corps de Yugyeom vers la sortie, non pas sans avoir d'abord fait cogner au passage sa tête à un meuble ou deux, Jin se précipita vers moi, le visage en émoi.

«  Ma douce chérie... Tu vas bien ?

-    Euh.. Oui... Je n'aurais jamais cru pouvoir y survivre, improvisai-je avec l'impression de me tenir sur une scène de théâtre devant un public averti aux tendances légèrement sadiques.  »

Il soupira en me prenant dans ses bras et je m'y plongeai histoire de... garder ma couverture, bien entendu.

«  Tu pardonneras Yugyeom... Il vient de sortir de prison. Je croyais pourtant qu'il s'était remis de sa fièvre du viol... »

Yugyeom le masseur-Nymphomane-violeur en série au visage séraphique ?

Oh... Rien que ça ?

«  665  viols en série... Tu imagines...

- Tu aurais donc été la 666ème sur sa liste, fit Tae alias le revenant de service d'un ton façon érudit de la baise satanique. »

La 666ème sur sa liste...

Cela voulait-il donc dire que, aussi gothique que celui puisse paraître, j'étais une sorte d'élue des Enfers qui aurait dans une vie antérieure été l'une des 666 innocentes putes du Harem de Lucifer dans l'un de ses fabuleux palais à l'orée du Styx, là où voguaient éternellement les âmes en quête de rédemption, et que le dénommé Yugyeom n'aurait donc été que pour ce putain des  prince des enfers, éternel amoureux de la beauté du mal, rien de plus qu'un hôte en vue de me faire sien ?

Encore une fois...

Damné soit le vicieux détenteur de cette putain de banane. (Notez que je ne précise pas laquelle :3 )

Après avoir été sûre que j'étais bonne pour l'asile, je me préparai en vue du diner dans l'énorme garde-tombe de la chambre en mettant la somptueuse robe moulante noire dos nue de surcroit que Jin avait spécialement sélectionnée à mon intention et me contemplai  à nouveau dans le miroir :

« Eun Jae, fit Tae en pressentant qu'il allait dire une connerie. Si jamais un jour toute cette histoire de Bangtan Commando ne marche plus, ça te dit de commencer en Thaïlande  avec moi un réseau de prostitution avec toi comme attraction principale ? »

-    Tae...

-    Crois-moi... Tu aurais du succès.

-    Ca t'arrive d'arrêter de faire le con ? Nous sommes en mission je te rappelle...

-    Tu viens de me tuer, là. »

Je souris, malgré moi, lorsque j'entendis Jimin éclater de rire à l'autre bout du fil.

«  Jungkook ? Fis-je en me rappelant que cela faisait quand même un bon bout de temps qu'on n'avait pas eu vent de sa présence.

-    Ah bordel, j'ai oublié de vous dire, fit notre chef de mission.

-    Qu'est-ce qui se passe ? Demanda Jimin d'une voix où  pointait un ton légèrement inquiet.

-    Il s'est... comment dire... un peu fait capturé tout à l'heure.

-    Bordel de merde, fis-je en chœur avec Jimin avant que ce dernier ne poursuive sèchement : Et tu nous le dis que maintenant ?

-    Et bien... jusqu'à il y a quelques minutes ça allait encore, je pouvais encore l'entendre parler. Mais depuis, plus rien. Donc soit il est...

-    Inconscient, rétorqua Jimin sombrement.

-    Soit il est mort, déclarai-je sinistrement. »

Quelques instants plus tard, avec en tête la motivation de sauver mon Kookie d'amour du joug d'un groupe de psychopathes qui en plus d'être des tueurs en série, étaient probablement tous des violeurs en herbe, je me rendis au bras de Jin pour le diner.

Ah Baaah... Je faisais comme je pouvais hein...

Pour le bien de la mission.

En attendant qu'on finisse de préparer la table à notre honneur, Jin m'incita à profiter de la fraicheur de la nuit en prenant l'air dans le balcon de la salle à manger.

Je le suivis dans son sillage alors qu'il ouvrait la porte-fenêtre avant de me prendre par la main.

La bise du vent vint délicieusement caresser la peau nue de mon cou, tout comme celle de Jin qui, elle, se posa voluptueusement sur ma tempe tandis qu'il m'entourait de ses bras forts alors que je prenais appui sur le bord en pierre du balcon de style anglais.

Devant nous, galopaient les collines sombrement verdoyantes d'un paysage semblé être majestueusement peint par un virtuose de la création.

«  Tu es si belle, susurra Jin dans des mots qui vinrent musicalement se perdre dans le doux ronronnement de la nuit. »

Touchée par tant de tendresse, je me tournai vers lui dans le but de le gratifier de mon plus beau sourire alors que plaquée contre la rambarde, ses bras m'entouraient de par et d'autre de mon corps.

Mes lèvres se figèrent  alors que m'apparaissait derrière le maître de maison, à travers la porte vitrée un Park JImin en mode Ninja-Gladiateur en plein combat impitoyable contre les hommes de mains de Jin. 

Ce dernier remarqua mon froncement de sourcils et voulut se retourner  à son tour pour découvrir la raison de ma surprise au moment où mon connard d'acolyte de mission balançait un garde sur la table pour lui assener un coup fatal sur le cou du profil de sa main façon Bruce Lee,  mais je ne lui en laissai pas l'occasion.

Je me jetai dans ses bras en l'enlaçant amoureusement avec la grâce d'un bébé ourson.

«  Vous êtes tellement bon avec moi ! M'exclamai-je en feignant une voix attristée. »

Jimin qui, allongé sur le sol étouffant le dernier de ses assaillants en enroulant la gorge de ce dernier de ses jambes, remarqua mon petit jeu et leva un pouce approbateur vers moi alors que je lui ordonnai d'un petit hochement de tête accompagné d'une grimace de se grouiller de finir sa petite affaire.

«  Ca c'est du bon travail d'équipe, mes enfants ! s'exlama Taehyung avec enthousiasme.

-    Ta gueule, dis-je sous le coup du stress.

-    Pardon ? s'insurgea Jin.

-    Je le disais à moi-même... Je ne veux pas vous ennuyer avec mes soucis...

-    Ah bah bravo.

-    Dites-moi tout, fit Jin d'une voix réconfortante.

-    Il doit être sacrément con, ce garçon. 

Jin me tapotait gentiment le dos et que je lui racontais, en priant pour qu'un jour je puisse trouver ce qui se rapprochait le plus à la rédemption malgré toutes les conneries que j'étais en train de déblatérer, la fois où mon illusoire mère nord-coréenne m'avait offerte un nounours qui m'avait été affreusement confisquée par la Gestapo du nord car j'avais osé jouer avec pendant l'une des prières collectives que tout bon citoyen se devait d'accomplir chaque matin devant la statut de l'ancien président connard de feu Kim Jung-Il.

Cela provoqua une nouvelle fontaine de larmes de la part de Kim SeokJin qui s'accrocha à moi en inondant mon épaule au passage, mais cela eut néanmoins le mérite de donner à Jimin le temps d'assommer un dernier garde d'un coup de botte à la tête avant de trainer chacun d'eux hors du salon pour éviter qu'on les remarque.

Il revint quelques instants plus tard alors qu'il finissait de mettre sur sa tête un chapeau de chef cuisinier.

«  Je suis curieux de savoir ce qu'il est arrivé au cuisinier quand même ? Demande Tae alors que je pressentais derrière ses propos un petit sourire carnassier.

-    Dans la chambre froide, entendis-je Jimin rétorquer alors qu'il finissait d'ajuster son tablier au moment où SeokJin me proposait finalement de revenir à la salle à manger remarquant que je commençais à devenir quelque peu frileuse.

-    Fier de toi, mon grand. »

Nous apprîmes par la suite que ce même chef cuisinier, ayant passé le reste de la nuit dans le froid glacial de la chambre froide n'y survécut pas.

Pour le bien de la mission.

Jin ne remarqua pas même pas l'absence de ses sbires et s'attabla devant le repas après m'avoir aimablement tirée la chaise.

Il allait me manquer lui.

«  Poulet  farci au foie gras et truffe noire, déclara solennellement le sexy cuisinier Jimin alias le psychopathe-agent-secret qui s'amusait à faire perdre à mon vagin le nord tout en faisait découvrir le plat qu'il avait posé sur la table. »

Jin se saisit de ses couverts et goûta le plat avec attention avant de pousser un petit cri d'excitation digne d'une jeune catin d'Italie pendant sa première fessée érotique, chose qui me fit violemment douter de sa virilité.

Je regardais d'un œil attentionné le corps farci de ce petit poulet qui avait sûrement lui aussi une famille de jeunes petits bébés poussins dans un coin de la campagne en train de mourir de faim...

Moi aussi je mourrais de faim, à vrai dire.

A nous deux, petit poulet farci au foie gras et truffe noire !

Vous avais-je dit que la vie était une pute ?

J'aperçus au dernier moment alors que je m'apprêtais à engloutir la première bouchée Jimin faire non de la tête.

Je compris alors qu'il fallait que je pose très discrètement ma fourchette et mon couteau et que je feigne un mal de tête afin de me donner contenance.

« Ma douce, s'inquiéta Jin entre deux morceaux de volaille, Allez-vous... »

Ses propos furent brusquement interrompus tandis que sa tête atterrissait, inconsciente,  entre les petites jambettes honteusement écartées de cette petite poulette de province.

En plein dans le mile. ( Bah Jin n'était pas gynécologue pour rien, hein xD #MonPatronEstUnConnard)

«  Dis-moi... Il n'est quand même pas mort ? demandai-je quelque peu soucieuse de ce Jin que j'avais réellement commencé à apprécier.

-    Somnifère, répondit laconiquement Jimin en se débarassant de son accoutrement de cuisiner avant de me lorgner d'un regard laconique en ajoutant : Pas mal.

-    Oh... Merci.

-    La robe. Pas toi, Eun Jae.

-    Connard.

-    Allons-y, se contenta-t-il de rétorquer avec un petit sourire. »

J'eus mal au cœur lorsqu'il me fallut déchirer le bas de ma robe histoire d'être plus libre de mes mouvements. Je surpris les yeux de Jimin sur mes jambes juste avant qu'il ne les détourne rapidement en faisant mine de contempler l'indicible beauté du mur.

«  J'ai tout vu, fit Tae avec un petit rire démoniaque.

-    Tu l'as dit, murmurai-je à mon tour avec un petit sourire. »

Jimin nous ignora royalement et entreprit d'ouvrir la marche en pénétrant à l'intérieur de la serre, là où étaient éventuellement emprisonnés Kookie et le mystérieux Hoseok.

A l'intérieur, nous progressâmes dans un silence de mort entre les plantes fantasmagoriques vers une porte grinçante.

Elle laissait apparaître des escaliers aussi sombres que le regard ténébreux que Jimin me lança en déclarant avec un brun d'humour moqueur :

«  Les femmes d'abord...

-    Mais quel gentleman. »

Ne voulant pas montrer que j'avais légèrement peur du noir, je pris ce qui me restait encore de courage à deux mains et le devançai en m'engouffrant dans cette obscurité diffuse.

A ce moment-là, faisant affreusement déchirer le silence ambiant, Taehyung poussa un cri strident à faire grogner les morts dans leur tombe.

Sous le coup de la surprise, je trébuchai et je profitai de cette fraction de seconde où   j'étais encore dans l'air pour faire mes prières et invoquer les cieux pour espérer au moins ne pas finir après la mort entre les mains d'un croquemort un peu Nécrophile sur les bords désireux de soulager ses pulsions pathologiques (ça dépend des points de vue hein... :3) avec moi.

Dans le cas où la Bangtan Commando n'aurait pas décidé de faire disparaître mon corps, bien entendu...

Je sentis le bras de Jimin me tirer vers lui alors que son corps amortissait ma chute.

Nous finîmes l'un sur l'autre, moi en position dominante ( :3 ), sur les marches et je sentis avec curiosité que le frottement de ma hanche sur son entre-jambe suscitait de la part de mon connard de partenaire de mission une excitation assez particulière d'ordre protubérante là où je devinais, dressé tel la tour de Pise, un instrument de plaisir charnel digne des sept merveilles du monde. 

Je chassai d'un coup de poing mental les idées quelque peu déplacés en vue de la situation dans laquelle nous étions qui me harcelaient l'esprit avant de tenter de me redresser mais il se saisit de mon poignet pour me forcer  à rester immobile.

Il se rapprocha alors de moi et chuchota à mon encontre alors que ses lèvres n'étaient plus qu'à quelques putains de centimètres de moi :

«  Sale petite maladroite... »

Je me sentis rougir alors que Taehyung se confondait en excuses :

«  Désolé, j'avais vu un cafard. Je ne vais pas pouvoir dormir ce soir maintenant. Si je ne  le retrouve pas avant, je fous le feu au QG, je m'en fou ! »

Je repris ma respiration et nous reprîmes notre descente vers les enfers.

Nous traversâmes quelques dédales de couloir où  nous eûmes comme  fond sonore Taehyung geindre  à propos du fait qu'il avait horreur des insectes alors qu'il balançait à chaque fois qu'il apercevait l'ombre du cafard de tout à l'heure des articles confondus du genre : babouches, couteaux, sex-toys camouflés en mines et autres...

A ce rythme-là, je me demandais dans le cas où nous allions survivre à la mission, si nous retrouverions à notre retour Une Bangtan Commando  presque intact ou si Taehyung ne l'aurait pas détruite avant.

Pour une affaire de cafard.

Nous arrivâmes finalement à une porte que Jimin défonça d'un puissant coup de pied bien avisé.

La vision qui nous attendit à l'intérieur de la pièce me glaça le sang.

Jungkook et un autre jeune homme étaient attachés torse nu à des chaises et leur peaux étaient maculées de tâches de sang qui ne devaient sûrement pas appartenir au voisin d'à côté.

Jimin se précipita vers eux et tomba à genoux devant l'autre homme qui releva faiblement la tête.

Un ange.

Ce mec était un ange.

Un ange certes fort amoché.

Mais un ange, tout de même.

Il écarquilla les yeux lorsqu'il aperçut l'agent Park Jimin à ses pieds et sourit faiblement avant de chuchoter un :

«  Mon amour... »

Jimin prit son visage entre ses mains, posa tendrement ses lèvres sur les siennes alors que je pouvais, à mon grand étonnement, apercevoir une larme perler sur sa joue :

«  Hoseok... Je suis désolé de ne pas être venu plus tôt. »

Je sentis à ce moment-là un bras entourer violemment ma gorge :

«  Tu m'as trahi, susurra Jin contre ma joue. Je déteste les menteurs. »

« Ah j'ai oublié de vous dire que le somnifère ne durait qu'une heure tout au plus, fit Taehyung en revenant de sa fructueuse chasse au cafard. Oh...Mais je vois que vous vous en êtes rendus compte tous seuls comme des grands ! »

Bordel de merde, Tae...

Jimin tourna un regard alarmé vers moi.

Mon cher Jimin, Jusqu'à ce que l'amour nous sépare, dis-tu ?

A mon avis, la mort le fera bien avant que l'amour ne se décide à s'y mettre...

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Fin du chapitre 21 *^*

Jihope Marie JOSEPH !!!!

Mon dieu, je me suis tapée des barres avec ce chapitre *^*

Alors ?

Vous aimez *^* ?

J'essaierai malgré mes examens d'écrire la suite le plus tôt possible..

BORDEL DE BANANE DE MERDE ! COMME JE SUIS ACCRO A VOUS *^*

Prenez-soin de vous <3 !

FIGHTING POUR DEMAIN !

Je vous aiiiiiimeeeuh <3

Éternellement vôtre,

Hajar votre nonne des dimanches ;) <3

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