Chapitre 17 ( 3000 mots )

J'ai tellement honte de ne pas avoir pu publier la suite plus tôt mais maintenant que j'ai écrit ce chapitre, je me sens vraiment bien :D

Merci de toujours être là pour moi. Merci pour tous vos messages, tous vos commentaires ( j'irais d'ailleurs de ce pas répondre à chacun d'entre eux avec beaucoup d'amour et d'excitation <3) et de votre soutien. Je vous aime énormément <3 ! Vraiment.

Je ne vais jamais arrêter cette fic, quitte à écrire des abysses des enfers <3

Jimin MARIE JOSEPH ! Que je vous aime ! ( je me répète encore et toujours oui <3 )

J'ai commencé mon rantbook d'ailleurs que j'ai très innocemment bâti : ''Rantbook d'une Nonne à mi-temps. '' Si vous aimez l'humour noir ( si vous êtes arrivé jusqu'à ce chapitre, c'est que c'est le cas xD ) et que vous tolérez toute sorte de blagues et que vous voulez apprendre à me connaitre ( j'attends les questions pour la FAQ HEIN XD) Jetez-y un coup d'oeil <3 On se marre bien ^^ et j'aimerais bien rire avec vous tous <3 Encore plus que maintenant !

Sur ce, je sais qu' Eun Jae vous manque probablement beaucoup donc je vous laisse lire la suite xD

Petit résumé ?

Eun Jae, des psychopathes sexy à se damner, une nouvelle mission en vue ;)

Voilà xD

Bonne lecture <3

P.s : Vous avez vu Ikon *^* ? Ça gère ;)

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« Le p'tit hoseok, là ? Beaucoup de potentiel, ce gars. Un pur sang arabe. Bon, j'avoue, il mord beaucoup. Ça fait quelque peu saigner à force mais on s'y habitue au bout d'un moment ! Je t'avoue, néanmoins, que j'ai quelque peu du mal à m'asseoir normalement mainte...Et merde... Impossible d'avoir une vie privée dans cette radio de merde ! »

Je me rendis soudain compte de quelque chose de particulièrement important dans ma nouvelle vie d'agent secrète à mi-temps mais légèrement nymphomane et tablophile à plein-temps.

« Bonjour mes chers Psychopathes préférés que j'aime tant. Aujourd'hui, au programme Jungkook s'est cette fois-ci mis au jardinage et va vous présenter après le génocide hebdomadaire de 10h et les « innocentes tribulations d'un psychopathe de Séoul » de Nam Joon les mille et une manières de jardiner votre voisin afin de colorer de rouge votre pelouse et impressionner le quartier ! D'ailleurs nous vous proposons en vente sur notre site ''LesInnocents.Com'' des bras et des jambes de qualité à planter pour donner un effet plus joyeux et festif à votre maisonnée ! Rien de plus chaleureux ! »

Depuis que j'avais rejoint la Bangtan Commando, le très respectueux asile pour psychopathes désireux de sauver le monde, je m'étais à maintes reprises surprise à entretenir avec le mur une relation passionnellement percutante.

Violemment plaquée ou projetée contre lui, que ce soit par devant ou par derrière, Lui et moi c'était du grand amour.

Donc après les tables, j'étais ravie de confirmer un autre trait de mon caractère sexuellement fantasque : la polygamie.

Sauf qu'à défaut de pouvoir l'être avec de véritables personnes telles que Mr Park Jimin qui s'amusait très cruellement à me faire chauffer l'intimité comme si je m'étais baignée dans le styx lui-même et qui était par ailleurs également celui qui m'avait très religieusement initiée à l'art de la polygamie en m'introduisant comme le voulaient les bonnes convenances au mur et à la table, me voilà bien contente de le faire avec des objets inanimés.

«  Félicitons aussi, notre Jimin, qui a su à travers sa précieuse qualité de suceur à mi-temps, il faut dire qu'il a eu un très bon maître, s'offrir une place de chroniqueur dans la boite ! Ne t'inquiète pas, mon chéri. Nous égorgerons une vierge, pour l'occasion, ce soir et ouvrirons un O positif pour la peine :D ! Préparez-vous pour ses 3 minutes papillon ce midi où il vous montrera en effet comment clouter des papillons sur le mur de la chambre de votre enfant de 6 mois histoire d'être sûr et certain qu'il fera un bon psychopathe à l'avenir... Pénis soit l'éducation ! »

En parlant d'objets inanimés, quel était donc ce curieux article à forme très douteuse et que j'examinais avec la curiosité d'une jeune nonne à l'esprit honteusement déviant en raison, bien sûr, d'une vie d'innocence et d'interdit ?

Arès avoir empêché Mr Park de gracieusement exploser la tête de Mr Wang et ce avec l'aide de cinq hommes qui risquèrent patriotiquement leur vie afin de le retenir et d'une injection contenant je ne sais quelle drogue pour quelque peu le calmer, nous voilà maintenant dans la réserves d'armes de la Bangtan Commando nous préparant à la manière 007 à nous rendre en mission.

Quelques couloirs sous-terrains plus tard et complications dues à l'état groggy de Jimin qui déblatérait silencieusement des menaces de mort à l'égard de Taehyung, celui-ci arriva enfin à une porte où il tapa sur un cadrant électronique un code avant de passer deux ou trois reconnaissances faciales/ rétiniennes.

Un jour, lorsque je penserais moi-même, entre deux honorables bordels à services d'ordre naturel, à ouvrir une agence de tueurs en série du même type que la Bangtan, je ne manquerais pas d'oublier, tant qu'on y était, d'intégrer en guise de système de sécurité hors pair, une reconnaissance des parties génitales.( XDD)

Nous ne sommes jamais trop prudents.

Ou cons.

Nous pénétrâmes dans la caverne d'Ali Baba-psychopathe avec l'avidité béate de ce jeune gynécologue ( JIN XD) de 66 ans qui avait devant lui pour la première fois depuis longtemps les jambes écartées d'une jeune fille dont la fraicheur faisait  le quart de son âge. (Pardon.)

Des murs joliment décorés de pistolets à poings, mitrailleuses, petites bombes semblables aux boules du sapin de Noel ( Oui, bien entendu, je vous parle de celui de Noel et seulement de lui. Hihihi ) et glaives de toutes sortes nous accueillirent et Jungkook commença à courir dans la pièce comme un enfant excitée devant un marchand de glace.

'' Tu ne touches à rien sinon je te bute.''

Ce très charmant petit conseil de la part de Taehyung alors que ce dernier, tenant à la main une fabuleuse Ak-47, lui jetait un regard « Mais vas-y, je t'en prie. Tente-moi. », finit de refroidir l'ardeur de Kookie.

Jimin, quant à lui, se contentait de broyer du noir dans un petit coin de la pièce en draguant avec un innocent regard de fou à lier des explosifs.

Trop mignon.

Dites-moi encore pourquoi est-ce que je m'étais, il ya quelques jours plus tôt, risquée à vouloir prendre un job à temps partiel pour ensuite tomber sur une peau de banane et finir par être inculpée de coup d'état, étant injustement classée comme partisane du «  Gloire à Kim Jong-un ! » et autres conneries du genre ?

Ah oui, cette putain de banane.

Maudit soit celui qui ce jour-là s'était décidé à manger une banane et à en laisser la peau sur le lieu du crime.

Une fois que je le verrais, je lui ferais découvrir à quel point j'aime les bananes.

A la Hard Way.

C'est là où j'aperçus comme je l'avais un peu plus tôt précisé le curieux objet en question.

Honteusement posé sur une table à la vue de tous, il me faisait de l'œil et je ne pouvais m'empêcher d'aller faire sa connaissance. De plus, il fallait sérieusement que je commence à me faire à toute cette histoire de Bangtan Commando et à apprendre à être plus à l'aise avec les armes.

Sauf que...

Je n'étais pas si  bête que cela, voyons. Je savais ce que c'était.

« Et ça ? Demandai-je légèrement hilare. Tu ne vas pas me dire que c'est une mine camouflée en Sex-Toy ?

-    Exactement, répondit Taehyung d'un air plus que sérieux.

-    Oh... Et pourquoi est-elle trempée ?

-    Pour faire plus vrai.

-    Oh...

-    Je te conseillerai néanmoins de te laver les mains, au cas où. La Bangtan Commando, ça peut être un métier très...solitaire.  Faut quand même qu'on se soulage un peu, nous aussi. »

Et merde.

Je  la reposai à sa place respective en essayant, quelque peu effarouchée, de deviner le type de mission qu'exigeait ce genre de.... D'armes et surpris le regard voilé de Jimin sur moi.

Il plongea ses iris en moi et je sentis déferler de ses yeux dans mon âme un torrent de sensations contradictoires, me faisant  ainsi voguer dans des eaux troubles de désir incertain.

Je soutins la force de cet échange, sans réellement en comprendre les raisons, pendant de longues secondes et aucun de nous deux ne daigna rompre la magie du moment jusqu'à ce que Taehyung, pénis/maudit soit-il, ne se décide à le faire en prenant la parole.

«  De toute manière, déclara notre chef de mission en prenant appui sur une table en acier avant de nous considérer d'un air grave. Votre mission n'exigera nullement le port d'armes. »

Un «  merde » de Jimin retentit sèchement  avec la force d'un lasso qu'on claquait sensuellement dans l'air  tandis  que Jungkook faisait une moue de déception.

«  Bon, fit Tae en soupirant, je sais que vous êtes très friands des joujous à longue tige mais ce n'est pas tous les jours Noel, d'accord ? Vous allez secrètement infiltrer un domaine en temps que majordomes et investiguer sur le chaebol de cette famille. Nous le soupçonnons être à la tête d'un groupe de dangereux criminels et votre mission est de, par tous les moyens possibles, découvrir la vérité. »

Je butai sur plusieurs choses telles que «  Joujoux à longues tiges », «  dangereux criminels » en disant  à moi-même qu'entendre cela de la part d'un agent de la Bangtan Commando c'était comme si Satan lui-même affirmait être la bonté incarnée, ou encore «  par tous les moyens possibles » en me demandant avec appréhension jusqu'où  nous allions devoir aller pour...Le bien la mission.

Comprenez-moi...Tout cela était nouveau pour moi. Très nouveau.

«  Nous sommes aussi, poursuivit-il en considérant Jimin avec un intérêt particulier. Presque sûrs qu'ils détiennent sur place l'un de nos agents. »

Je sentis mon acolyte se crisper à cette information.

«  Oui, Jimin.  L'agent Jung est là-bas. »

Champagne, les amis !

J'allais enfin pouvoir le buter.

Enfin...

S'il était encore en vie.

Quelques heures plus tard, avec l'allure de jeunes hommes prêts à servir de soubrettes pour un potentiel psychopathe-chef de gang fort probablement amateur de soirées sanglantes, nous marchâmes jusqu'à l'entrée du domaine.

Un  domaine ?

Le terme était, à des siècles-lumières, dans la mesure de rendre justice à l'habitat du mystérieux chaebol que nous nous devions de démasquer.

Même l'empereur SunJong aurait, du haut de son tombeau, pu jalouser les hectars de maisonnée que nous pouvions apercevoir par delà les grilles. Du haut de celles-ci, nous surplombaient d'effroyables gargouilles en pierre polies qui dardaient vers nous un regard inquisiteur semblant être sorti tout droit des sept seaux des enfers.

Cerbère  en aurait probablement eu la queue ramollie.

Les gardiens flanqués de part et d'autre de l'entrée nous examinèrent un moment, vérifièrent nos faux papiers d'identité et l'un deux actionna l'ouverture des portes.

J'eus la sensation de pénétrer dans l'antre du démon.

Jungkook, Jimin et moi marchâmes une longue allée bordées d'impressionnants arbres centenaires dont les bras tentaculaires s'entrelaçaient entre elles dans une orgie rutilante de feuillage éclatant sublimés par les lueurs cramoisies d'un soleil crépusculaire.

«  Faites attention à ce que vous faites et dites, vous êtes sûrement observés, nous souffla Taehyung dans nos têtes alors  que nous progressions vers la maison. »

Par la sainte tige de Saint-Casanova ! ( Je m'enjaille.)

L'édifice qui se dressait devant nous avec la fierté d'un Titan architecturale ressemblait  beaucoup plus à un château qu'autre chose.

En longeant une fontaine décorée de statues grecques de femmes nues et enfants angéliques avec tout le délire des ailes et de l'auréole, j'eus tout le temps d'admirer la chaine de pavillons qui s'étalaient tout au long du domaine. 

«  Les gars, souffla Jungkook avec un ton affligé. Rappelez-moi encore pourquoi est-ce qu'on ne se contenterait pas d'être chef de gang  en ouvrant des bordels à Itaewon au lieu de nous tuer à vouloir sauver le monde ?

-    Parce que la banane, avais-je voulu répondre avant de murmurer d'un air philosophe : Parce que la vie est une pute, Kookie. »

Jimin acquiesça discrètement tandis que Taehyung nous intimait très respectueusement l'ordre de nous la fermer à moins que nous voulions finir comme plat de résistance aux labradors noirs qui étaient tenues en laisse par certains des gardes qui faisaient leur ronde dans la propriété en nous lorgnant suspicieusement comme si sur nos fronts étaient inscrits en feutre fluorescent « La B.C est dans la place, mes cocos ! »

Nous retrouvâmes à l'entrée du pavillon principal, une douzaine d'autres garçons hagards dont la première journée de boulot commençait sans doute aussi le lendemain et fûmes ensuite très vite conduits au pavillon des domestiques.

Jungkook, Jimin, un autre garçon et moi avions une chambre pour quatre. Le nouveau venu ne daigna même pas se présenter et se contenta de choisir un lit pour s'y coucher.

« Faites attention, nous prévint Tae. J'admets qu'il a un très beau popotin. Oui, Eun Jae, je peux voir à travers tes yeux, tu as oublié ? Mais c'est sûrement un piège. Quelqu'un pour surveiller tous vos faits et gestes. Vous êtes certes des domestiques qui paraissent plus ou moins inoffensifs mais, croyez-moi. Ce sont des malins qui savent prendre des précautions quand il le faut. »

Bordel de merde, j'avais presque oublié que Taehyung avait également accès à notre vision.

Cela me rappela, une fois aux toilettes, d'éviter de regarder là où  je devinais que Taehyung allait finir par se douter que je n'étais pas un homme et croyez-moi... Pisser avec les yeux fermés, c'est très.... Troublant.

En revenant dans la chambre, Jungkook et Jimin dormaient à poings fermés entassés l'un sur l'autre.

Quoi .. ? Je m'attendais au moins à une petite sauterie de leur part pour bercer mon sommeil d'innocentes scènes à bien entendu partager avec des enfants de 6 ans dans le but éducatif de parfaire leur éducation, mais rien. Ils s'étaient simplement endormis.

« Bordel..., entendis-je Taehyung s'exclamer lorsque je posai mes yeux sur les snacks qui étaient éparpillés sur le lit et que mes connards d'acolytes avaient visiblement dévorés sans vergogne et, je le réalisai soudain tristement avec la déception de celle qui découvrait que son petit-ami était sexuellement parlant l'exception de tout ce qu'on dit à propos des Black et de leur céleste objet de procréation, sans même m'avoir attendue. Ils sont cons ou cons ?! Putain, même après toutes ses années à la Bangtan Commando, ils ont toujours pas compris que si je vous donnais ce genre de biscuits pour aller en mission. Ce n'est justement pas pour faire la maman poule mais parce que ce sont de puissants sédatifs à faire assommer un éléphant ! Le but ce n'est pas de les manger mais de les faire manger à quelqu'un histoire qu'il aille dans les vapes, Bordel de merde, quoi ! Je sais que la nourriture à la cafet' n'est pas très top mais ce n'est pas comme si nous étions en Somalie, Putain ! »

Je faillis éclater de rire.

Une envie qui finit très vite par périr dans les limbes de la fameuse thèse de « La vie est une pute. »

« Bon, nous n'avons pas le choix. Eun Jae, mon grand, faudra que tu y ailles seul. »

Je voulus protester mais son ton mi-menaçant mi-paternel me rappela ce que la Bangtan Commando me réservait si jamais je me risquai à désobéir à l'un des ordres de mes supérieurs.

«  Fais chier, sifflai-je en ouvrant la fenêtre après avoir constaté que passer par la porte principale du pavillon ne serait pas d'actualité puisqu'elle était vaillamment gardée par un Pitbull en costume cravate. »

Avec la grâce d'un Koala shootée au crack, à l'extasie et à l'absinthe et à toute autre conneries du genre que  vous autoriseriez à vos jeunes adolescents de 16 ans à moins que vous ne vouliez, honte à vous si c'est le cas, qu'ils réussissent dans leur vie , je m'agrippai à l'arbre le plus proche et descendis tout le long de son tronc avec trois ou quatre égratignures qui, après tout l'entrainement que j'avais enduré avec Mr Park, me firent l'effet d'une caresse.

En échappant à la vue d'un des gardiens, je me réfugiai avec réticence dans un buisson, probablement celui qui allait pousser la table avec laquelle j'étais censée me marier plus tard à me tromper ( Voit chapitre précédent. ), en bénissant mon bon sens qui m'avait incitée à mettre ce soir-là du noir, s'accordant ainsi à l'obscurité de la nuit.

C'était, bien entendu, ce moment-là que Taehyung choisit pour me faire sa déclaration.

«  Tu sais, Eun Jae... Je n'ai jamais eu de petit frère. »

Oui, d'accord, mais ce n'était vraiment pas le moment, Tae..

«  Et quand je t'ai vu pour la première fois dans la chambre de NamJoon, ça m'a fait quelque chose... »

-    Tae..., chuchotai-je.

«  Appelle-moi Hyung, voyons. Oui, c'est sûr. Je ne te cache pas que j'ai envie de te mettre dans mon lit. Faut que tu arrêtes de te faire désirer comme ça, vraiment... »

-    Tae..., insistai-je en le coupant.

« Bordel, EUN JAE ! S'emporta-t-il dans ma tête alors que cette dernière menaçait d'exploser. Qui y'a-t-il ? Oh ..  Merde. Désolé, je regardais pas l'écran, trop occupé à jouer avec ... euh... tu sais....Le joujou camouflé de tout à l'heure. Je me sens seul ce soir et je me sens ému, c'est pour ça. Mais je comprends ton empressement... »

-    Oui, soupirai-je en levant les yeux au ciel avant de les reposer sur les deux hommes qui trainaient à travers l'aller gravillonné  un troisième inconscient par les bras alors qu'un quatrième ouvrait la marche. Je crois que dans ce cas-là, je devrais plutôt les suivre, non ?

-    J'ai toujours su que t'avais du potentiel, Eun Jae. »

Je soupirai, respirai un bon coup et sortis de ma cachette après avoir été sûre et certaine qu'ils n'allaient pas m'apercevoir.

Je les suivis jusqu'à une sorte de serre, hésitai d'abord à en pénétrer le seuil mais finis par m'y aventurer après avoir risqué une tête à l'intérieur avec la sensation que j'étais en train de la passer à travers le trou d'une guillotine.

Bien que j'avais le pressentiment que j'allais finir par gracieusement mourir dans d'atroces souffrances si jamais on me surprenait ici, je ne pus m'empêcher de contempler la magnificence des plantes qui poussaient dans ce petit paradis perdu.

Une odeur aphrodisiaque planait dans l'air, grisant les sens de toute personne qui se serait  plu à se blottir dans la sérénité de ces lieux.

Personne. Personne n'était là.

Avais-je rêvé l'entrée des hommes dans la serre ? Ou y avait-t-il une sorte d'entrée adjacente à la masure que je n'avais pas eu la lucidité d'apercevoir ?

«  Que faites-vous, ici ? »

Je fus tellement surprise qu'en me retournant vers le détenteur de cette voix vibrante, je trébuchai.

Je sentis son bras glisser fermement autour de ma taille, m'empêchant ainsi de gracieusement heurter mon crâne contre le sol.

Ses yeux d'adonis plongèrent dans les miens alors qu'il me considérait avec un calme déroutant.

Vous voyez l'affiche du film Casablanca ?

C'était à peu près la même chose. Sauf que l'héroïne, elle, n'avait sûrement pas été dans une aussi grosse merde que la mienne.

« Bordel de merde, fit justement Tae. »

Non, Tae.

Bordel de banane de merde.

«  Euh..., bafouillai-je en faisant ma conne jusqu'au bout. Q...Qui êtes vous ? »

« Ta fin, commenta Tae comme s'il était en train de regarder un film d'horreur avec des potes et qu'il était arrivé au moment où la blonde à gros seins allait se faire couper la tête par une tronçonneuse. »

Merci, Taehyung. Très encourageant.

«  Je suis Kim Seokjin. »

Alias le Chaebol-mafiosi-psychopathe qui allait faire ma fête.

J'étais dans un beau caca.

Très très beau oui.

Dans tous les sens du terme.

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Fin du chapitre 17.

BAM ! JIN MARIE JOSEPH !

JIN IS IN DA HOUUUSE BITCHES <3 !!!

Aloooors ?

ça vous plait toujours autant *^* ?

SVP DITES OUI XD !

Sinon, j'espère que vous anticipez la suite <3 <3 <3

Sur ce, je vais aller répondre à tous vos commentaires *^* ça m'avait tellement manquée <3

Je vous AIME <3 !

Sempiternellement vôtre,

Hajar votre dévergondée préférée qui ne vous quittera jamais <3