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Chapitre 27

HARPS

Allongé sur un transat en plastique à l'ombre d'un cerisier, je matais la mioche se faire dorer au soleil comme une sardine sur la grille d'un barbecue. Avec un air heureux et détendue, elle souriait bêtement. J'étais certain que dans son esprit torturé, elle préparait la prochaine magouille pour me pourrir l'existence.

Son corps gracieux de princesse était recouvert d'un maillot orangé une pièce mais diablement échancré. Elle était la personnification de la beauté. Sa peau légèrement hâlée, ses formes fines et harmonieuses... une tentation pour le mâle que j'étais.

Elle tendit son bras avec grâce et attrapa son verre posé sur un plateau auprès du transat. Elle porta lentement la paille à sa bouche et sirota son jus de fruits. Mon regard se figea sur ses lèvres et des images salaces affluèrent dans mon cerveau. Je pensais à toutes ces choses interdites que cette bouche pourrait faire avec ma queue.

Je me frottai le visage. Je devenais complètement taré, un vrai psychopathe qui n'aurait pas forniqué depuis des mois. Elle me rendait dingue et ce désir ne cessait de croître et d'enfler mon entre-jambe tel une montgolfière.

Jex m'avait fait la morale. Une heure de remontrances, une heure sur la confiance entre potes, une heure de rappel de la sacro-sainte règle sur l'interdiction de baiser avec un membre de la famille d'un frère. Une vraie règle de merde... Conclusion : ne pas toucher à sa petite sorcière, ni saliver, ni goûter du bout des lèvres. J'en connaissais un dans mon pantalon qui n'était pas de cet avis et qui montrait des signes d'impatience. Je n'avais plus le choix. Je devais trouver un cul pour décharger ma semence ou ma queue finirait par éclater.

Je n'étais pas un obsédé de la baise, mais j'étais sexuellement très actif. Les soirées, je les composai souvent à trois, rarement en tête à tête. Je n'avais rien à offrir à une femme, exception une bonne partie de jambes en l'air, et sans me vanter, j'étais un expert. Nul besoin d'un boulet à mes pieds pour être heureux. Juste mes potes, ma bécane et un plan- cul.

J'attrapai mon portable dans la poche et je cherchai le numéro de la belle rousse au corps siliconé. Cette nana s'était tout refaite : nez, bouche, seins, fesses. Mais elle suçait comme une déesse. Avec ce désir à assouvir, mon choix se portait sur la solution la plus rapide et efficace.

La poupée en plastique décrocha à la première sonnerie. Merde, s'était-elle fait greffer un téléphone ?

- Bonjour, trésor.

Trésor ? Je soufflai d'exaspération. Je n'étais le trésor de personne et encore moins de cette nana qui se faisait sauter par la moitié de la ville. Même notre shérif, marié et père de famille honorable, se l'était envoyée en l'air dans son bureau. Et d'après les rumeurs qui traînaient au Angel Bar, le révérend Gouillemol l'aurait confessée entre deux léchouilles et trois coups de reins dans l'isoloir. Toute cette hypocrisie était des plus risibles. L'un me rappelait sans cesse la loi et l'autre le châtiment divin, pendant qu'ils baladaient leur queue en dehors des chemins battus. On pouvait me reprocher des tas de choses mais j'étais en adéquation avec mes principes. Pas de régulière, aucune promesse éternelle. Juste ma liberté.

- Dispo pour ce soir ? demandai-je sans fioriture.

- Pour toi, toujours mon cœur.

Je détestais ces surnoms ridicules. Cherchait-elle à me faire des gosses ? Il fallait recadrer la demoiselle.

- Amène ton joli petit cul à vingt-deux heures. N'oublie pas tes objets magiques.

Avant qu'elle ne réponde, je raccrochai. Le romantisme, très peu pour moi. Et les nanas que je mettais dans mon pieu ne connaissait que le goût de ma queue. Elles savaient comment je fonctionnais. Même si certaines avaient caressé l'espoir fou de devenir ma régulière, elles étaient vite redescendues de leur nuage. Je n'étais pas un homme à marier, juste un putain de connard incapable de m'attacher. Nul besoin d'être accompagné dans ma vie. Mon père aurait dû aussi le comprendre avant de faire de ma mère sa reine...

Je reportai mon regard sur miss écrevisse. Elle avait un peu réduit son maillot au niveau de ses fesses pour éviter les marques. Pourquoi ne le retirerait-elle pas ? Personne ne se risquerait à l'effleurer de toute façon.

Tiens, voilà le cinglé de frère qui débarquait de sa démarche de félin. Il la rejoignit et il se pencha à son oreille pendant qu'il posait une serviette sur son derrière. Il lui chuchota quelques mots que je n'entendis pas mais elle sembla perdre ses belles couleurs. Je ricanai, étant certain qu'elle s'était faite recadrée. Je dus manquer de discrétion car le dérangé me lança un regard de tueur que j'eus toutes les peines à soutenir. Finalement, il se redressa et repartit vers la maison.

Ce mec foutait les jetons. Il transpirait la dangerosité. Pour côtoyer le milieu des affaires illégales depuis mon enfance, je connaissais ce genre de gars. Il ne baignait certainement pas dans l'innocence. Sa vie était auréolée de mystères et je comptais bien élucider toute cette noirceur qu'il prenait soin de planquer devant ces airs de monsieur parfait.  

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