Dear N, mon loup à moi.

Ton allure, transformant en pas de velours,
Approchant, avec toi cette année j'ai tenu,
Histoire délirantes, folles, oui, toujours.
Un moment d'apaisement pour mes eaux en cru.

Pattes sur la glace, sans valser à ton tour,
Saisissant, doigts frigorifiés, suspendus,
Pour les réchauffer, la vivacité au bourg,
À la quête du mystérieux détenu.

Retrouver enfin sourire dissimulé,
Sous ce masque empoisonné, mon accoutumé,
Encore un peu, je demande de profiter,
De toi, comme avant, pourtant je suis entourée.

•••

Assise ou alors debout
Ce que je veux c'est toi, vous,
Orbites équarquillés.
Vous admirer majesté.

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Moi être bouhouhou nostalgique !