chapitre 3
Mon père ouvrit le carton et dedans je voyais un papier replié en deux. Mon père se précipitait pour ouvrir le papier, nos regards étaient posés sur le papier et sur celui-ci était écrit:
Chers parents je sais que je vous aie fait mal en partant de la maison, mais c’est aujourd’hui que Je décide de vous envoyer ce papier et le cadeau qu’il y a dans le carton. Comme vous le savez ça fait trois ans que J’ai quitté la maison, mais je veux que vous sachiez une chose : je ne vous aie pas oublié. Ce pour cette raison je veux que vous veniez nous voir, ma femme, notre enfant et moi.
Votre fils Steve.
Belgique
« Michael, c’est notre fils il veut nous voir !» S’exclama ma mère.
« Non ! Personne n’ira nulle part » s’écria mon père.
Ma mère se mit à pleurer. Elle voulait vraiment voir Steve. Après tout il était son fils, le seul et l’unique fils qu’elle avait je ne pouvais pas lui en vouloir, elle avait le cœur brisé.
Mon père envoyait valser le carton au coin du mur, il se levait de sa chaise et montait directement les escaliers en direction de sa chambre. Ma mère fit de même avant de ravaler ses larmes, tandis que moi, je ramassais le carton au coin du mur et je montais les escaliers avec le carton dans mes mains pour aller dans ma chambre.
Une fois le carton déposé sur mon lit, je me mis à l’ouvrir tout doucement, dans dedans, je voyais trois billets d’avion et une photo, je pris la photo, je la fixais très sérieusement et en particulier la femme qui se trouvait à la droite de mon frère, elle devait être sa femme, elle avait un teint bronzé, des cheveux bruns et des yeux marron elle était magnifique dans sa robe bleue ciel.
Je remettais la photo dans le carton, avant d’entendre des pas s’approcher de ma chambre je cachais aussitôt la boite sous mon lit. Je voulais monter dans mon lit, mais je fus interrompue par la porte qui s’ouvrit doucement et me laissa voir une femme d’un mètre soixante, en robe de nuit, cheveux châtains clair relevés en un chignon, des yeux verts et un sourire éclatent.
« Tu ne dors pas ? » me demanda-t-elle.
« Oui maman…je... je… si… enfin… j’allais le faire » balbutiai-je.
« D’accord n’oublies pas d’éteindre l’interrupteur avant » dit-elle avant de s’en allé.
Après avoir terminé tous ce que j’avais à faire, je m’étalais sur mon lit et fermais doucement mes paupières.
...
J'ouvre doucement mes paupières quand je vois ma mère se tenir devant moi, elle était en tenue de femme d'affaire avec un sac et une valise à la main. Mais à quoi pouvait servir toutes ces choses ? C'est la question que je me posais.
Je me relevais pour m’asseoir sur mon lit et elle fit de même, je fronçais un sourcil sans comprendre ce qu’il se passait mais rien ne me venais en tête. Allait-t-elle partir ? Voulait-t-elle me donné sa valise et son sac ? Voulait-elle les jetés ? Non ça j’en doute. Ma mère était attachante, elle ne voulait pas se séparer de ses affaires même si elle ne les portait plus, elle voulait tout garder pour moi ou pour ces petits-enfants.
« Steph chérie, ton père et moi, voyageons aujourd’hui pour l’Espagne » m’informa-t-elle avant de lâcher un soupire.
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