- Maman, Papa est rentré !

J'entendis Ahia crier de l'intérieur de la maison.

Elle me vue par la bae vitrée

Nous entrames dans dans le salon.

- Papa ! et mon chocolat ? Me demanda-t-elle.
- Oui mon ange il est dans la voiture comme promis !

Ahia vu que je n'étais pas seul, elle afficha un regard interrogatif.

- Salut ! Fit ma mère.
- Papa ! C'est qui ? Questionna Ahia.
- C'est mamie !
- Mamie ?
- oui ! C'est Mamie.
- Et l'autre monsieur tout grognon qui c'est ?

Elle pointa du doigt mon père.

- Ahia, ne pointe pas du doigt les âgées, grondai-je.

Il n'eut encore rien dit jusqu'à maintenant. Il croisa ses bras et contempla ma maison, pour ensuite poser ses yeux sur le jardin joliment décorer par ma tendre épouse. Ça avait l'air de lui plaire.

- Lui, c'est papi. Repondis ma mère

Elle afficha une mine joyeuse face à Ahia.

Mais j'avais peur qu'elle rencontre Alheria...

- Steve, m'appella Alheria. Tu es enfin là !

Elle sorti de la chambre joyeuse mais son visage se deforma lorsque qu'elle posa ses yeux sur mes parents.

- Bonjour belle-maman, elle croisa le regard de ma mère qui afficha une mine sévère.
- Beau...

Elle n'eut le temps de continuer sa phrase qu'elle fit interrompue par papa.

Je craignait le pire.

- Appelle-moi Michael.
- Ahia, va jouer dehors, dis-je.

Elle obéit sans problème.

- Mais asseyez-vous !, continua Alheria.
- Ecoute, dit ma mère. C'est pas la peine de faire ton hypocrite avec nous,  tu sais à quel point nous te detestons et je sais que c'est réciproque, alors s'il te plaît ne fait pas la gentille devant moi ça va me rendre folle.
- Maman ! M'exclamai-je

Je fus choquer par les paroles de ma mère, sa voix était douce mais tellement elle contenait tellement de haine.

Alheria, quant à elle ne dit rien et prit place sur le canapé au même moment que mes parents.

**

- chérie le dîner est servi, m'annonca Alheria. S'il te plaît je ne veux pas de tes parents à table.
- Écoute, ils sont ici pour essayer de faire la paix avec toi ! M'eclamai-je. Excuse moi si les paroles de ma mère t'ont vexée.
- Pourquoi elle me déteste tant ! Dit-elle avant de faire couler une larme de ses yeux que j'essuyai avec mon pouce.

Je m'approchai d'elle et la tirai par la hanche.

- Tout ira très bien, la rassurai-je d'une voix calme.

Elle essuya ses larme et me regarda dans les yeux.

Elle se souleva par la pointe de se pieds avant de poser ses lèvres sur les miennes.

- Je t'aime.
- Moi aussi.
- Ah Non, pas encore !

Nous fûmes interrompu par Ahia, mais à ses côtés elle n'était pas seul. Maman aussi était là.

Je me retournai et fis face à ma mère qui avait l'air décontenancé.

Alheria fut géné et se mit aussitôt à dresser la table la tête baissée.

La fin est proche, n'oubliez pas ! 

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À la prochaine