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Chapitre 24 : Rose


Coucou ! Comme chaque dimanche, je vous cueille au réveil pour vous proposer mon petit chapitre hebdomadaire. Celui là à chaque lecture je modifie un truc mais là c'est définitif, je le poste ainsi sur Wattpad. Il aura bien le temps d'être amélioré ultérieurement...

Bonne lecture et bon dimanche ! 



Soirée d'Halloween.

Contre toute attente, Jack a accepté de venir. Nous avons rejoint le Scar en marchant et ça aussi, c'est une première. Sa rééducation porte vraiment ses fruits, car son pied gauche ne bute quasiment plus dans le sol. Le léger décalage dans ses mouvements devient à peine perceptible. Bientôt, j'imagine que son pas nonchalant redeviendra tel que je l'ai toujours connu. Il s'en sort bien, physiquement en tout cas.

Parce que psychologiquement, ça ne va pas bien du tout. Je n'ose imaginer ce qu'il en serait s'il n'y avait pas Camilia. C'est la seule raison qui l'oblige à faire quelques efforts. Il se refuse à sombrer comme a pu le faire sa mère ou sa sœur. Il se battra pour Camilia et c'est ma seule carte à jouer.

Il s'évertue à être imbuvable, mais je le connais mieux que lui-même, je sais que sous cette façade aigre et piquante, se cache un cœur écorché et une âme blessée. J'ai déjà donné.

C'était il y a si longtemps, mais je retrouve certaines sensations, le contexte est juste différent parce que nous avons un passif.

Dans ce lieu chargé de souvenirs, entourée de toutes ces personnes qui en font l'histoire singulière, je ne peux m'empêcher de sourire. Je suis fatiguée, physiquement, nerveusement, mais je suis heureuse. J'en culpabiliserais presque si je ne m'évertuais pas à positiver chaque moment de la journée. Les personnes qui m'entourent en ont besoin. Si Jack n'est absolument pas réceptif, Camilia me le rend au centuple. Ça me fait un peu peur parce que qu'est-ce qui va se passer après ? Je ne pourrais pas m'éloigner d'elle...

Je maudis ces moments où je bénis les crises d'angoisses de Jack. J'ai honte, mais durant le temps qu'elles durent, il redevient vulnérable et ses barrières sautent.

— Tu es bien songeuse...

Siri. Je me tourne vers elle et lui rends son sourire. Elle s'approche et me donne un petit coup d'épaule, taquine.

— Je profite du spectacle.

— Je comprends, t'as raison, il a toujours eu un cul à tomber par terre ! Et pourtant je suis lesbienne, mais j'avoue que si je devais manger de ce pain-là, j'aurais du mal à oublier un tel morceau...

J'explose de rire.

— Tu es complètement folle !

Elle rit avec moi durant quelques secondes avant de me tendre une bière que je saisis. J'ai besoin de décompresser. Deux ou trois gorgées plus tard, j'apprécie la sensation.

— Comment ça se passe avec lui ? On n'a pas beaucoup le temps de parler ces derniers temps donc je viens aux nouvelles...

Je ne sais pas quoi lui répondre alors je garde le silence plus longtemps que ne le permet la vérité.

— Je vois, il t'a fait du grand connard ?

Je manque de recracher ma gorgée de bière au moment ou Trevor s'empare du micro et tape dessus pour attirer l'attention de l'assemblée.

Siri se penche pour chuchoter à mon oreille :

— Cette conversation n'est pas finie Rose...

Elle se lève, s'approche de la petite scène et je lui emboîte le pas, attentive à notre hôte qui nous invite à nous rapprocher encore. Quand il se sent suffisamment entouré, il prend la parole.

— Salut à tous. Tous qui êtes présents ici, ce soir, dans cet endroit qui était tout ce que je possédais. J'ai mis ma vie dans ce bouge. Je vivais pour le Scar, uniquement pour le Scar. Et puis il y a maintenant de nombreux mois, je suis tombé follement amoureux d'un ange à qui on avait brisé les ailes...

Il tend son bras et incite Lexie à le rejoindre, ce qu'elle fait dans un sourire avant qu'il ne reprenne.

— Je pensais que la vie m'avait suffisamment comblé, que j'avais atteint mon but...

Il baisse la tête, ému avant de regarder à nouveau celle dont il tient la main alors que sa voix se trouble d'émotion.

— Mais je me trompais. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. Par hasard, par erreur, par un concours de circonstance, peu importe. Tu es là et je n'imagine plus ma vie sans toi.

Lexie semble déjà très émue, caressant son ventre proéminent de sa seule main libre. Leur émotion m'étreint. Il y a tant d'amour partagé dans leurs regards. Aurais-je à nouveau la chance de vivre un tel sentiment, une telle sensation grisante d'amour partagé ? Aurais-je un jour le visage serein de sentir une vie s'épanouir en moi ?

— On m'a souvent demandé ces vingt dernières années pourquoi je n'avais pas une jolie demoiselle à mon bras parmi toutes celles qui passaient la porte de mon établissement... et bien maintenant je le sais, je peux leur répondre...tu n'étais pas prête mon amour. Aujourd'hui tu es là et je ne te laisserai pas partir...épouse-moi Lexie !

Elle libère sa main de son emprise et la porte à sa bouche, complètement interloquée par cette demande à laquelle évidemment elle ne s'attendait pas.

— Trevor ! Oui !!!! Oh oui oui oui !

Ses paroles n'attendent pas les gestes et ils se serrent dans les bras, autant que possible vu le gros ventre de Lexie qui pleure de bonheur. Autour de moi, tout le monde applaudit. Je suis tellement heureuse pour eux deux...

La puissance de leurs sentiments me serre le cœur. Ma mâchoire s'est crispée pour m'éviter d'éponger toutes les émotions présentes. Je me sens vide, seule et terriblement vulnérable. Ces forces mystérieuses que j'entretenais pour affronter le présent se sont fait la malle. Moi aussi je voudrais me sentir importante pour quelqu'un...

sans que je comprenne ni comment ni pourquoi, mes oreilles bourdonnent un peu, mes muscles habituellement si crispés semblent devenir complètement mous et les bruits qui m'entourent sont comme nimbés dans du coton. J'ai du mal à orienter mes pensées sur une seule chose et je cherche une échappatoire à ce malaise qui m'envahit. Que m'arrive-t-il bordel ?

Mon visage semble brûlant et je cherche devant moi une chose à laquelle me raccrocher, une chose pour fixer mon attention et laisser passer le vertige.

Un regard acier capte le mien tandis que je tends mon bras fébrile vers le mur près duquel je me suis rapprochée. Je n'ai même pas la force de poursuivre cet échange visuel que la tête me tourne de plus en plus.

Tout le monde est à la joie de cet instant et je m'éclipse discrètement pour ne pas gâcher ce moment de fête. Nous en avons eu si peu ces derniers temps...

— Rose !

Ce timbre de voix que je reconnais fat pulser mon cœur avec énergie, mais les bourdonnements persistent tandis que son odeur boisée me chatouille les narines. Je voudrais me perdre dans mes souvenirs, je voudrais remonter le temps, à ces moments où nous étions réunis, où nous avions l'éternité et l'insouciance de notre amour...peut-être même que je chéris encore plus ces moments où nous étions les seuls dans la confidence de notre relation. Ce secret bien au chaud dans mon cœur, je ne vivais qu'avec la peur de la réaction de mon frère, aujourd'hui je vis avec tous mes remords...

— Rose, est-ce que tout va bien ? Tu es si pâle...

Jack m'a obligée à m'appuyer contre le mur du couloir menant à la réserve et je sens sa main fraîche sur ma joue brûlante.

— Allons prendre l'air, on étouffe ici.

Je le laisse me conduire, le regard dans le vague. À l'extérieur, le vent frais m'enveloppe et me ramène à la vie ou peut-être est-ce la main de celui qui me soutient. Nous traversons les rues noyées de monstres plus ou moins terrifiants. Des danseurs de rue, des groupes d'amis qui effraient les passants pendant que d'autres distribuent des bonbons.

Un moment plus tard, le bruit caractéristique d'une porte métallique parvient à mes oreilles, j'ouvre les yeux, au sens littéral du terme et tout devient clair devant le rideau de mes cils et je continue de me laisser porter exactement à l'endroit où il souhaite m'emmener. L'intérieur a beau être sombre au cœur de la nuit d'octobre, je remarque tout de suite à quel point l'endroit a changé. L'atelier savamment négligé et empli de sciure de bois a laissé place à un espace dégagé, épuré, ouvert sur l'océan qui gronde au-dehors. Le mur côté rue est recouvert d'un immense panneau destiné à afficher les plans de construction des bateaux près duquel siège toujours la table à dessin originelle. Au centre, près de la porte s'ouvrant sur l'escalier, un petit salon cosy donne envie de se prélasser.

Juste derrière moi, Jack se rappelle à ma présence et après m'avoir laissé scruter mon environnement, il reprend ma main et m'invite à le suivre en direction de...la porte de l'escalier. Il attrape une clé au sommet d'une bibliothèque et ouvre la porte, moi toujours à sa suite. Me tenant par la main, il gravit les marches jusqu'au sommet alors que le silence s'étire entre nous. Jack ne se retourne pas, abandonnant ma main une fois arrivé sur le toit. À cet instant précis, je remarque que notre promontoire n'est plus tout à fait le même, presque la moitié de la terrasse a été recouverte d'une magnifique verrière moderne. Elle protège le vieux sofa rénové des assauts de la météo sans jamais en dénaturer son aspect originel. C'est magnifique, presque comme avant.

Alors que je m'extasie sur ce qu'est devenu l'endroit, Jack est déjà sur la partie à l'air libre, les mains appuyées sur la rambarde bordée de plantes. Face à l'océan, le visage relevé, il semble en pleine concentration.

Je m'approche doucement de lui, sans vraiment oser le déranger. L'imitant, je me place à ses côtés et me délecte du paysage et de l'odeur si caractéristique des embruns. Même autour, le quartier a changé. Ce qui n'était qu'une zone délaissée et industrielle se transforme peu à peu en un endroit branché et prisé d'une jeunesse bohème à la recherche d'un endroit à rénover. C'est la première fois que je viens à cette période de l'année. Ici, je me sens bien et pourtant, j'ai tant de souvenirs mitigés.

Au bout de quelques minutes, Jack se tourne vers moi et j'en fais de même, incertaine. Si physiquement je me sens mieux et que le malaise est passé, je ne sais pas comment me comporter.

— Ça va mieux ?

Je remue lentement la tête, incapable de parler.

— Me dis pas que t'as perdu ta langue ?

Je lâche un soupir, je sens arriver une conversation gênante. Je n'ai pas envie de me sentir vulnérable. Pourtant, depuis une bonne demi-heure, je ne mène plus la danse et ma carapace s'est fait la malle. Jack cherche à lire dans mon regard tout ce que ma bouche ne veut lui avouer, mais mes yeux fuient son inspection.

— Rose, qu'est-ce qui se passe ? J'aimerais comprendre...y'a un souci ?

— J'ai juste eu un petit malaise, je ne sais pas, je me suis sentie étourdie, fatiguée, j'étouffais, mais ça va mieux, c'est déjà passé...

Il me fixe sceptique. Je le sens, je le sais, je ne vais pas m'en tirer si facilement...

— Tu es épuisée, tu en fais trop...moi, Camilia, tu devrais lâcher du lest...

Il y a peut-être un peu de ça oui, mais le fond du problème est ailleurs. Je n'ai pas su gérer les émotions que je rejette depuis des semaines...mais ça, je ne vais pas le lui avouer.

— Ce n'est pas méchant, quelques nuits complètes et je me sentirais mieux...

— Rose...

—...

Moi qui pensais que nous en avions fini.

— La semaine à venir, je vais me débrouiller pour les allers-retours au centre de rééducation.

— Hors de question ! Je suis tout à fait capable de...

— Stop ! Ça rime à quoi tout ça Rose ? Tu as certainement des tas de choses à faire ! Un bouquin à écrire, tes projets professionnels ? C'est quand la dernière fois que tu as pris du temps pour toi ?

Du temps. Je n'ai plus que ça. Un livre, je peux l'écrire ici ou ailleurs, peu importe, et c'est ici que j'ai envie d'être. Mes projets en dehors de l'écriture ? Darell s'en occupe très bien tout seul et depuis l'accident, j'avoue que je m'en fiche un peu. Ça encore, il n'a pas besoin de le savoir...

— Je peux écrire ici...

— Et quand as-tu pris du temps pour le faire ces derniers temps ? Tu t'occupes de tout au loft, de mes rendez-vous, de Camilia, tu aides Meghan avec Livio...ne mets pas ta relation avec Darell en péril pour une culpabilité mal placée !

Il m'agace. S'il est loin de la vérité, il n'a finalement pas tout à fait tort. Ambivalent, non ? Et pourtant, être là pour lui, pour Camilia, c'est ma façon de réécrire au présent ce dont je me suis privé dans le passé. Je ne me sens pas redevable, j'ai juste besoin d'être là. Je suis partie sans me retourner il y a 5 ans et je ne veux plus revivre ce sentiment d'impuissance. Le naufrage de Jack, ma rencontre avec Camilia, ce lien fort que nous avons tissé, la mort de Sam, tout cela m'a ouvert les yeux sur ce que j'imaginais être ma vie...je ne leurrais sur ma relation avec Darell.

— Il n'y a plus rien à mettre en péril...

Autant que les choses soient claires, il finira bien par le savoir.

Nos regards s'accrochent et je vois bien qu'il n'a pas prêché le faux pour savoir le vrai, il est réellement sonné par le sens de mon aveu. Sa tempe montre des signes d'une mâchoire crispée tandis que ses yeux n'ont pas cessé de sonder les miens. Je vois bien que des questions lui brûlent les lèvres.

— Ça y est ? Lui aussi tu l'abandonnes ?! Sa date de péremption est passée ?

Je me détourne un instant et tente de calmer la fureur qui remplace le malaise. De quel droit ose-t-il ?

— Tu ne sais rien de notre histoire !

— Pourtant, il semblerait que ton histoire à toi se répète, dès que çà devient sérieux tu prends tes jambes à ton cou...c'est très courageux...

Son air supérieur m'agace. Je ne peux m'empêcher de foncer vers lui, menaçante.

— Je ne te permets pas ! Tu ne sais rien ! Tu ne sais rien ! Rien !

— Alors, raconte-moi ! Dis-moi comment un homme qui était sur le point de te demander en mariage se retrouve sur la touche ?

— De quoi tu parles ? Il n'a jamais été question de mariage...

— Pourtant, la dernière fois que nous avons parlé lui et moi, il avait plus l'attitude d'un homme qui cherchait une approbation pour t'épouser qu'un homme à l'aube d'une rupture...j'en déduis donc que c'est toi qui as rompu...

— Je ne vois pas en quoi ça te regarde ! Mêle-toi de tes affaires !

— J'ai touché un point sensible on dirait !

Je bous, je sens mon cœur battre la chamade et l'énervement prendre définitivement l'ascendant sur mes émotions. Je n'arrive plus à me calmer. Il sait toujours aussi bien me provoquer. Je préfère garder le silence alors qu'en rajouter lui brûle les lèvres.

— Dire que j'ai si souvent rêvé d'une telle fin entre vous...mais aujourd'hui j'ai de la peine pour lui.

— Je sais que tu me détestes pour ce que j'ai fait, que tu m'en voudras toujours, que tu ne me pardonneras jamais, mais je n'ai jamais voulu te faire de mal !!! J'ai fait des erreurs, je les ai payées !

— Il était prêt à tout pour toi...

— Justement...

Je n'ai pas eu la force de le dire autrement que dans un murmure...

Parce que je sais ce que j'ai été capable d'éprouver, ce qui m'a poussé à prendre la plus mauvaise décision de ma vie. Avec Darell, je sais au contraire que j'ai pris la bonne décision. Il y a forcément, quelque part, celle qui saura prendre soin de son cœur.

Et ce n'est pas moi.

Je sens les orbes incandescents de Jack me fixer. Nous en sommes là. Après des semaines à espérer qu'il vive, qu'il me revienne, à prier pour qu'il accepte mon aide, qu'il me fasse une petite place dans son nouveau monde...j'ai supporté ses piques, endossé le costume de la bonne humeur, fait comme si tout me passait au-dessus de la tête, mais à cet instant précis, l'humidité qui menace de recouvrir mes joues est la preuve irréfutable que les murailles, aussi hautes soient-elles, ne résistent pas à l'ouragan provoqué par la déclaration de Trevor. J'ai besoin que ce poids quitte mes épaules...

— Je pensais qu'avec le temps j'arriverais à l'aimer comme il le mérite...mais ça n'est jamais arrivé, je...

— Tais-toi Rose, tais-toi !

Se redressant, tirant ses cheveux en arrière, Jack finit par s'éloigner pour s'appuyer à la rambarde face à l'océan. Il fuit mon regard. Je frotte mes yeux et renifle bruyamment, incapable de tarir les larmes qui se déversent lentement mais sûrement sur mes joues déjà imbibées d'eau salée.

Quand il me fait à nouveau face, s'approche doucement, je remarque ses yeux redevenus noirs. Dans la pénombre, ils m'emprisonnent de questions.

— Je...je crois qu'il est préférable que je rentre...

Il reste là, immobile, à me fixer. Je crois que je préférais quand on se bagarrait. C'était plus direct, frontal et moins...gênant.

Je fais quelques pas en direction des escaliers quand l'une de ses mains s'enroule autour de mon poignet, m'empêchant de poursuivre.

— Reste.

Je me tourne et nos regards s'affrontent à nouveau sans que je puisse comprendre ce qui se trame sous son ciel gris.

— Ce n'est pas une bonne idée...

En un seul pas, il se retrouve face à moi vulnérable.

— S'il te plaît Rose, reste, j'ai juste besoin de me sentir vivant, d'oublier toute cette merde qui nous entoure, juste toi et moi...

En desserrant sa main de mon poignet, il me laisse le libre arbitre. Celui de partir pour appliquer mes dernières paroles, rentrer, me reposer et reprendre à zéro dès demain matin...ou choisir volontairement de rester et de me confronter à ce qu'il souhaite. Je ne comprends pas vraiment ce qu'il attend de moi, là, tout de suite. Lui qui se cache derrière des couches d'agressivité depuis des semaines a finalement besoin de moi ?

Sa main remonte lentement de la paume de ma main vers l'intérieur de mon poignet qu'il caresse. Je baisse les yeux pour scruter son geste avant que la puissance de son regard ne me happe au moment où je relève les yeux.

Mon cœur bat dans mes tempes, à vrai dire il bat dans chaque parcelle de mon être. J'ai l'impression que chaque cellule de mon corps revient à la vie.

Celle que j'ai lâchement abandonnée il y a un peu plus de 5 ans...



***


Bonne semaine ! 

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