C'est un creu de terre
Ou pleure une riviere
Accroché brillament
A la montagne fière
Les animaux cours follement
Sous le soleil d'argent.

Deux femmes, jeunes, cheveux long, brun, et leurs pales poitrines baignant dans les glaieuls, dorment. Leurs miroirs sont fades comme leur ames en peine.
Mais un sourire s'etend sur leur visages, elles se tiennent la main, elles rêvent d'amour, d'enfants et de tranquillité.
Elles se reposent en attendant la liberté, Au mère nature toi qui fait souffler le vent et briller le soleil, toi qui sonne du glas les morts et celèbre la saison des amours protège les dans cet infini repos.

Blanches, froide, leur essence s'écoule petit a petit au rythme des secondes, recouvrant le sol. Les rayons du soleil s'ammenuisent, la terre humide et noir se refroidit, et ces anges déchuts, un creux en leurs coeurs,tiennent en leurs mains une arme.
Il n'y a qu'un pas de la vie à la mort, et à quoi cela sert de vivre quand on ne peut aimer librement.