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Chapitre 7 - Removal

/!\ Je vous préviens que certaines scènes peuvent heurter la sensibilité de certaines personnes. Il y aura plusieurs comme ça. Je vous préviendrais à chaque fois.

Sans spoiler, j'essaierais de ne pas aller trop loin dans l'idée que j'avais d'origine.

Pourtant ça fera parti de l'histoire, alors je ferai de mon mieux pour être brève.

Vous serez prévenus. /!\

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Sinon bonne lecture ¡ ^^

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Brooklyn Technical New York

Lee-June's point of view

Je rejoignis mon amie Amber dans la cours pour la pause de l'après-midi. Je me sentais tellement mieux depuis que j'avais commencé mes cours pour contrôler mes pouvoirs. N'étant plus assaillie à longueur de journée par ces voix engendrant des catastrophes, je pouvais enfin profiter du calme environnant et étudier sereinement.

Pourtant, mon esprit restait focalisé sur ces soudaines sensations d'être suivie. Depuis ce soir-là, j'angoissai à chaque fin de journée, devant rejoindre la voiture de Happy. Puis au parc, cela avait été de trop.

Cependant, je m'étais mise en tête qu'il s'agissait du surmenage, je devais en faire trop. J'estimais dorénavant que je ralentirai sur les révisions, les devoirs et passerai plus temps avec mes parents, à lire, à dessiner et à sortir avec Amber.

Même si mon père me sur-protégeait, il n'en restait pas moins mon père et qui plus est Iron Man, voulant dire une inquiétude triplée, comme il le disait si bien. Et, portant le nom de mon père, j'étais en danger constamment.

C'est pour cela que je faisais en sorte de le rassurer, lui indiquant mes déplacements, les personnes que je côtoyaient et ainsi de suite. Je l'aimais tellement mon papa que pour rien au monde je l'échangerai, tout comme ma mère.

~ ~ ~

Deux heures plus tard, il était temps de rentrer à la maison. Adressant un dernier signe de la main à ma meilleure amie qui prit le bus, je m'avancai vers la rue qui me permettrait de rejoindre à quelques centaines de mètres, une nouvelle fois Happy dans sa voiture noire.

Alors que je marchai à allure normale, je sentis à nouveau cette sensation de déjà vu. Me retournant, je parcourai des yeux toute la rue, ne voyant rien. Cela commençait à peser sur ma conscience et mon inquiétude montait en flèche.

J'accelerai le pas en me retournant toutes les deux secondes. À l'instant où mon corps percuta une surface dure et froide, j'étais de profil, ayant regardé une énième fois derrière moi.

Portant ma main à mon crâne douloureux, mes yeux se posèrent sur des chaussures Nike blanche délabrées. Aussitôt, comme si mon cœur avait compris avant mon cerveau, il se mit à marteler énergiquement ma poitrine. Levant les yeux petit à petit, je n'eus pas le temps de comprendre quoi que ce soit, qu'un violent coup m'envoya à genoux.

Sonnée, la vue légèrement floue, je sentis des objets froids et raides se fixer autour de mes poignets et des bras brutaux me soulever. Prise d'un soudain vertige, je fixai ceux qui me faisaient mal, dans un état second. C'était comme si j'avais ingurgité une quantité astronomique d'alcool ou de drogue : j'avais une soudaine envie de vomir et tout autour de moi tournait à une vitesse vertigineuse.

Mes agresseurs avaient entre les mains un tissu déposé sur mon visage, je présumai être la source de mon malaise soudain.

Un énième coup à la tête acheva de m'évanouir, sentant à peine mon corps heurter le sol dur.

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Une vive douleur envahit mon corps au moment où je repris mes esprits. Mes poignets et chevilles étaient écrasées par du métal froid, le cou entouré et retenu d'un collier relié à la surface sur laquelle j'étais allongée.

Ne pouvant bouger, je parcourai avec des yeux exorbités, me faisant souffrir le martyre rien qu'en bougeant la tête d'un millimètre, la pièce qui m'entourait. Je ne distinguai que le plafond gris tacheté de poings noirs et des poutres blanches en béton. Un garage abandonné ? Une usine désaffectée ? Je ne savais aucunement où je me trouvai.

Je me demandai seulement pourquoi j'étais là, allongée comme un rat de laboratoire, qui allait subir une expérience. D'ailleurs, en y pensant, ce n'était pas pour rien s'ils me faisaient ça.

En parlant de mes agresseurs : un homme a la carure imposante et aux muscles saillants ne cessait de me toiser, en faisant des allers retours comme un lion en cage. Un autre plus petit et plus maigre, assit sur une chaise en piteux état, me fixait, du moins je présumai, ne pouvant voir grand chose.

Ils étaient en tout cinq. À première vue, ils avaient l'air seulement d'une petite bande de bras cassés, de petits branleurs des rues, qui fouillaient les poubelles. Mais en voyant ma position, cela devait bien être autre chose.

Je cherchai à me creuser les méninges mais cette saloperie qu'ils m'avaient fait respiré avant que je me sois évanouie, embrumait mon esprit. Je ne distinguai plus vraiment la réalité de ce qui ne l'était pas, comme si mon cerveau me jouait des tours.

Ma tranquillité fut de courte durée, un des hommes s'approcha et se pencha au-dessus de moi. Sa tête a l'envers affichait un sourire machiavélique, engendrant une accélération de mon rythme cardiaque.

- La petite princesse est réveillée ! Fit-il d'une voix faussement angélique. Qu'est ce que je fais là ? Qui sont-ils ? Pourquoi m'ont-ils enlevés ? Lacha-t-il avec une voix aiguë. Ben je te répondrai pas sale gamine !

Mes lèvres s'etrouvrirent tandis que je voulais parler mais une main atterrit brusquement sur ma bouche, un tissu sur celle-ci et le nez. Aussitôt, quelque chose se diffusa dans mon système respiratoire, ainsi que tout le reste de mon corps jusqu'à atteindre mon cerveau.

Mes yeux papillonèrent rapidement alors que mon corps auparavant tendu, retomba mollement contre cette surface dure et froide.

- D'où on t'as autorisé à parler ? Gronda l'homme qui s'était adressé à moi.

Aucun membre de mon corps ne bougea, ni mes cordes vocales n'emirent de son. J'étais comme paralysée, non, j'étais plutôt comme un légume.

- Je préfère ça ! Reprit-il en demandant à sa brute de retirer sa main.

L'odeur de transpiration et de pourriture quitta enfin mon visage, l'envie de vomir partant aussi vite qu'elle était apparue.

- Avant de t'expliquer pourquoi tu es la, nous allons nous amuser un peu, et après nous prendrons toutes les précautions requises. S'expliqua-t-il en approchant son visage du mien.

Je mourrai d'envie de lui cracher toute ma haine au visage mais mon état m'en empêchait.

- Où est ton téléphone ? Me demanda-t-il en posant une main de chaque côté de ma tête.

Je papillonai une nouvelle fois des yeux, étant toujours autant dans les vapes.

- Suis-je bête, tu es incapable de parler ! Soupira-t-il en s'éloignant. Qu'allons-nous faire de toi, si tu ne peux pas parler ? Se demanda-t-il en me tournant autour.

- On pourrait profiter un peu d'elle, si tu vois ce que je veux dire ?! Proposa un autre avec un sourire malsain sur le visage.

- Pas tout de suite Alfred ! Puis c'est moi le premier qui en profitera.

- Mais patron, vous aviez promis ! Grogna un petit homme.

- La ferme ! C'est qui le chef ici ? C'est moi alors faites ce que je vous dis !

Ils se turent avant que leur chef reprenne la parole.

- Alors voyons voir dans ton petit sac d'école... Dit-il pour lui même.

Un instant plus tard, mon téléphone en main, il me le tendit et me demanda de l'ouvrir. Une fois de plus, il ricana face à mon désarroi car je ne pouvais et ne pourrai jamais bouger. Alors il s'assit sur sa chaise en tentant de craquer le code de Stark Industries, pendant que mes geôliers me transportaient un peu plus loin.

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J'ouvris les yeux après m'être assoupie un instant. Une nouvelle douleur me traversait me penchant en avant. Je n'étais plus allongée sur cette table froide mais sur un lit d'hôpital. Attachée fermement par les poignets et les chevilles je me débattai sans relâche.

Encore une fois la drogue me fut administrée pour me calmer. À nouveau dans le vague, je vis à peine le chef s'approcher, téléphone en main et attendre patiemment.

Autour de moi, se trouvaient de nombreuses machines dont une qui brillait plus que les autres. Aussitôt, un bruit de mécanisme arriva à mes oreilles, tandis que quelque chose se passait en moi. Ce fut comme si on m'arrachait un à un une partie de moi. Les yeux révulsés tout comme corps qui étaient secoués de tremblements incontrôlables, une lumière bleutée se dégageait de mon être pour partir vers ce boîtier.

Cherchaient-ils quelque chose ? J'avais mal de l'intérieur, comme si on m'arrachait la vie.

- Souris tu es filmée ! Lanca soudain l'homme, téléphone brandit au-dessus de moi.

Je hurlai tellement fort, que les murs tremblaient tout comme le sol, parsemés de morceaux de verres.

- Nous y voilà ! Nous avons votre fille ! Si vous voulez la revoir, vous devez nous donner tout ce que vous possédez ! Tout ! Vous êtes Milliardaire, ça devrait pas vous toucher plus que ça ! Pouffa-t-il. Attention, si vous tentez quoi que ce soit pour la libérer, je la tuerai avant que vous ayez eu le temps de lui dire au revoir !

A qui pouvait-il s'adresser ? La douleur s'intensifia et se diffusa dans mon cerveau jusqu'à atteindre mes cellules. Hystérique, je criai comme une folle en cherchant à défaire mes liens pour porter mes mains à ma tête. Je m'agitai comme un singe qu'on chercherait à torturer.

Puis tout s'arrêta, mon corps tombant violemment m'arrachant un cri et prise d'une soudaine remontée, je me penchai sur le côté pour vomir. Un des hommes me frappa car je lui avais vomis dessus.

La joue à vif, je baissai les yeux et me fis toute petite, ayant peur d'être à nouveau frappée ou torturée.

Ce fut sur cette dernière pensée, que des bras puissants et brutaux m'empoignèrent pour m'amener dans une pièce sombre et humide. Au loin, j'entendis un bruit d'objet métallique se briser en mille morceaux.

Je me recroquevillai dans un coin, poussant vivement la main qui caressait mon bras et descendait jusqu'à mes cuisses. L'homme me colla une droite sur le crâne, ce dernier tapant fortement le mur. Je m'allongeai vivement sur la couchette à terre et attendit avant de m'endormir douloureusement.

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Avengers Facility New York

Tony's point of view

- Putain Happy ! Vous l'avez pas vu ? Putain une gamine de treize ans ! Mais vous servez à quoi ? Je vous faisais confiance, je vous ai confié ma fille ! Hurlai-je.

Ce dernier baissa la tête, sans omettre de commentaire. Je fus stoppé par une main chaude sur mon épaule. Je tournai le visage pour tomber sur celui de ma femme. Aussitôt la colère s'évanouit pour laisser place à l'inquiétude, l'angoisse et la tristesse.

- Chéri, calme toi, ça serre à rien de s'énerver ! Appele son amie, Amber je crois ! Suggéra Erin.

- Tu crois que j'ai son numéro ? Grommelai-je en m'affalant brutalement sur un fauteuil de l'immense salon.

- Je te crois pas ! Tu vas quand même pas me dire que t'as pas obtenu un numéro ?! Toi qui es son père, qui t'inquiète de tout pour elle et d'elle, c'est obligé que t'ai fouille dans son portable. Je suis même sûre que tu as mis une puce dans son téléphone.

Au début de sa tirade, je me sentais afficher une tête vexée et incrédule puis à la fin de sa phrase, mon visage s'illumina.

- Mais c'est ça la solution ! M'exclamai-je en me relevant.

- Pourquoi ne pas y avoir penser plus tôt ? S'enquit Bruce.

- Je l'ai appelé et elle n'a pas répondu. Me defendis-je avant d'aller vers les ordinateurs.

Je pianotai pendant de longues secondes sur le clavier avant qu'une carte virtuelle en trois dimensions s'affichent sous nos yeux. Un point bleu virevoltait fixement sur la carte.

- Elle est la ! Il faut aller la chercher tout de suite ! M'ecriai-je.

- Tony ! J'ai reçu quelque chose ! Annonça Bruce. Un message du portable de Lee-June, adressé à toi ! Reprit-il.

- Ouvre le, qu'est ce que tu attends ?! Lachai-je brusquement en appuyant vivement sur le bouton lecture.

Aussitot des images apparurent devant nous sur un grand écran. Un homme tenait entre ses mains le portable de ma fille et filmait... C'était qui lui ? Pourquoi tenait-il le téléphone de ma fille ? Et comment avait-il pu ouvert le code ? Mais je ne pus reflechir plus.

Je portai une main à ma bouche, horrifié par ce que je vis. Ma fille, allongée, attachée comme une bête, se tordait de douleurs, lâchant des cris presque inhumains. Des machines autour d'elle bipaient et une lumière bleue émanait de son corps jusqu'à un boîtier de la même couleur.

Que cherchaient-ils a faire ? Puis une voix masculine retentit, profanant une annonce, la demande d'une rançon, tout ce que j'avais contre ma fille. Abasourdi, je ne savais pas quoi faire. La seule chose que je voulais était d'extirper ma fille des mains de ces brutes.

- Quel enfoiré de fils de... Criai-je en coupant la vidéo.

Envahi pour une soudaine rage, je donnai un violent coup de pied dans le premier truc venu. Je massai douloureusement ma chère en grognant contre mon manque de tactique. Puis soufflant un coup, je me mis à taper frénétiquement pour trouver sa localisation et décida d'aller la sauver même si je devais y aller seul.

- Que vas-tu faire ? Tu crois vraiment qu'il nous rendra notre fille si tu lui donnes ce qu'il veut ? S'inquiéta Erin en appelant le mécanisme de son armure à elle.

- Je vais sauver ma fille, seul ou en équipe, qu'importe je vais sauver ma fille. Et non, c'est du bluff ! Ça arrive tout le temps, ils ne tiennent jamais parole ! Le seul moyen est de se battre ! Terminai-je en tapotant sur mon reacteur ARK.

- Tony, tu devrais pas y aller seul ! Rétorqua une voix familière derrière lui.

Je me tournai et fis face à Steve.

- Laisse nous t'accompagner, on est tes amis et coéquipiers. Tu nous a tous sauvés, à nous de te rendre la pareil !

Je finis par capituler, plus on serait nombreux, plus vite elle serait sauvée.

- Je viens avec vous ! Assura Erin en armure.

- Toi tu restes ici ! Repliquai-je sévèrement. Et tu ne discutes pas ! Continuai-je alors qu'elle voulut s'y opposer. J'ai déjà été assez bête pour que ma fille se soit fait prendre, alors je ne laisserai pas l'autre femme de ma vie disparaître.

- Femme de ta vie ? Dit-elle en froncant les sourcils.

- Erin, c'est pas le moment de se disputer ! Et oui, vous êtes les deux femmes de ma vie, Leel et toi ! Alors s'il te plaît, reste ici, en sécurité !

Elle soupira et finit par accepter. Après s'être serrés dans les bras, je la laissai avec Wanda et partis, suivi de Captain et des autres vers le signal de ma fille.

~ ~ ~

Arrivé sur les lieux, nous nous mimes à découvert pour observer alentour. Une usine désaffectée. Pas très astucieux ces bonhommes !

Après avoir eu confirmation de Captain qu'aucun mouvement ni bruit viendrait entravé notre mission, nous nous avançames hâtivement vers une ouverture.

Repulseurs prêts à être utilisés, sentant mes collègues à mes côtés, j'avançai lentement. Nous passames par plusieurs portes avant d'arriver à une immense pièce, pareille à un souterrain.

Je lachai la pression, baissant les paumes : il n'y avait plus personne, c'était le calme plat. Puis, Steve arriva vers moi, un objet sombre entre les mains. Il me tendit la main, des morceaux de métal dans sa paume : le portable de ma fille.

Envahi par l'angoisse, je me triturai les méninges avant de me rappeler qu'elle portait constamment son cadeau d'anniversaire : le bracelet que je lui avais offert.

Aussitot, je demandai à Friday de la localiser à travers mon casque. Contre toute attente, elle m'annonca que cela lui était impossible. Cela voulait dire qu'ils avaient détruit tout moyen de la retrouver.

Mon espoir partit en poussière et je tombai à genoux. Les larmes commencèrent à dévaler mon visage alors que des mains se posèrent sur mes épaules.


- On la retrouvera ! Je te le promets ! On sera là pour t'aider ! Annonça Clint, lâchant la prise de son arc.

Je me relevai, non sans continuer à pleurer rageusement. Pourquoi ma fille ? Treize ans ! Elle n'avait que treize ans. Hanté par les images de la vidéo, une force familière me submergea et mon poing partit tout seul, dans une poutre où le sol s'ebranla.

Je la retrouverai, quoi qu'il m'en coûte. Je la ramènerai à sa mère.

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Bonsoir, bonjour.

Alors qu'en avez vous pensé ? Riche en émotions et en action ! Et très long aussi ^^

Moi même j'ai aimé l'écrire, ça fait sadique en voyant le contenu mais bon 😖

Lee-June ? Son enlèvement ? À votre avis que font ces brutes à la fille de Tony ? Et bien sur ses parents ? Sa réaction ?

La suite est en cours.

Merci de me suivre et lire cette histoire. J'y suis accro 😂😅😁

Bref, bonne soirée, journée...
Dreamlifeix.

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