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Chapitre 14: La Cinglé.

Chapitre 14 :

Le sifflement du vent dans les arbres, faisait penser à des hurlements sinistre digne de film d'horreur. Lugubre et strident, il ajoutait à l'ambiance actuel un côté encore plus inquiétant et sombre. La nuit n'était pas encore prête à se terminer, et tout le long Sanji resta assis dans le fauteuil de sa chambre d'hôtel. L'œil fixé sur les flammes de la cheminé, enchainant cigarette sur cigarette, il s'était imaginer quelques fois quel aurait été la réaction de Zoro si il le voyait ainsi !

Sans doute dirait-il un truc genre.

" T'es stupide où quoi ? Fait moi confiance, je m'en sortirai, je suis pas une mauviette ! "

Où peut-être..

" Éteint tas clope de merde sa pu, crétin de Cook !! "

Un vague sourire naquis sur ses lèvres, mais très vite il disparu aussi rapidement que cette joie fugace. Sanji le savait il ne devait pas se laisser aller à des idées sombres, et il se devait de croire en Zoro. D'un geste machinal , il regarda sa montre gousset.

- 4 heures..

Quelqu'un frappa à la porte, qui ça pouvait-être ? D'un geste las et même sans se presser, le cuisinier se dirigea en direction de l'entrée de la chambre, là, il vit Luffy selon toute vraisemblance, il n'avait pas trouvé le sommeil lui non plus. Mais Sanji le savait bien, les raisons de cette insomnie chez son capitaine, était dû à l'attend ...Il détestait ça !

- Ussop arrête pas de paniquer même dans son sommeil, il me gonfle, je peux entrer ?

- Ouais... fit vaguement le blond, un peu surprit que Luffy pour une fois dans sa vie demande à entrer quelque part, et surtout attende une réponses avant de le faire.

D'un pas trainant le cuistot retourna sur son fauteuil, à nouveau il regardait les flammes danser, l'une de ses mains se posa sur les sabres qui étaient appuyé contre l'accoudoir de son sièges. Luffy resta silencieux et s'installa sur l'autre fauteuil de libre, et à son tour il se mit à fixer l'âtre de la cheminer. Il n'avait pas besoin de parler, ni de poser de questions pour sentir la peine et l'inquiétude se répandre dans le coeur de son cuisinier. Mais le petit brun ne sentait pas la nécessité de dire quoi que ce soit car Luffy le savait , ça ne servirait à rien. Seul sa présence lui démontrant un totale soutient pourrait peut-être faire du bien à Sanji.

Intérieurement l'homme élastique fulminait, quelqu'un avait osé s'en prendre à un de ses compagnons, choses qu'il ne supportait pas. Ses poings se serraient sur ses genoux ! Jamais ils ne leurs pardonnerait , qu'importe qui ils étaient et le nombre qu'ils seraient, il allait tous les punir de leurs audace. Si seulement cette maudite tempête de neige pouvait bien se calmer, histoire de passer rapidement à l'action.

- On va les éclater....dit-il après un long silence.

- Et pas qu'un peu !! Ajouta Sanji, avant de reprendre... Merci d'être là, Luffy.

- De rien, sourit le capitaine.

Un court silence ce fit, durant lequel le jeune homme observa avec une légère mine intrigué son compagnon au cheveux doré.

- Sanji ?

- Hum ...Quoi ? répondit le blond, sans détacher son regard de l'âtre.

- Pourquoi, t'es amoureux de Zoro ? Tu dragues toujours plein de fille, et finalement t'es amoureux de Zoro , pourquoi ?

La question avait été posé, en tout simplicité et avec cet air plutôt innocent que pouvait à l'occasion avoir Luffy. De ses grands yeux noir, il fixait le cuisinier qui se demandait peut-être comment il allait répondre à sa question.

-..qu...Hein ?...bafouilla soudainement le blondinet pris au dépourvu. Tu as de ces questions toi alors. Pourquoi ? ..et bien ...et bien ... Sanji semblait réfléchir en levant les yeux vers le ciel et en fixant le plafond, comme si la réponses y était inscrite.

- Tu ne sais pas ? S'étonna le Capitaine. C'est difficile de répondre ? Ajouta t-il, ignorant dans sa naïveté naturel que l'amour ne s'explique pas toujours et que parfois il vous frappe sans vous demander votre avis.

- ...Non, je ne sais pas vraiment, et puis s'est difficile de l'expliquer à une petite tête vide comme toi  ! Provoqua un peu le cuistot.

- Traite moi d'idiot, tant que tu y es !

Le cuisinier s'abstient de l'insulte mais reprit.

- Je peux pas t'expliquer.. tu sais...c'est comme ça...c'est tout, avoua t-il en passant une main dans ses cheveux, qu'il ébouriffa un peu, ses joues étaient légèrement rouge. Tu sais, je n'aurai jamais cru dire ça un jour ! Mais la vie et une grande farceuse si tu veux mon avis. Mais c'est comme ça.....je l'aime c'est tout...J'ai mis du temps à le comprendre et à l'accepter.

- Pourquoi t'as eu du mal à l'accepter ? Questionna l'homme élastique, tel un enfant ne pouvant s'empêcher de dire " pourquoi , pourquoi, pourquoi,"

- Tu me demandes pourquoi ? Répéta Sanji d'un air un peu surprit, reportant ainsi son regard sur son capitaine..Mais...Enfin, c'est un homme ! Et moi aussi....c'est...particulier, reconnait le, tout le monde n'accepte pas  !

- Ah bon ? Fit Luffy en pleine réflexion la tête penché sur le côté. Moi, tu sais tant que vous restez mes amis et dans mon équipages, peut importe le reste.

- Rien ne te dérange toi hein ? C'est bien ! Sourit un peu le cuistot. Mais tu sais,...tous ça m'énerve....j'ai juste eu le temps de lui dire que...et...*pouf*...il a disparu....C'est comme se courir après sans se rattraper. Et c'est énervant au bout d'un moment, je veux juste..sa voix devint plus faible....qu'il soit là, souffla t-il en fixant une fois de plus les flammes de la cheminer.

- Je vois, sourit doucement Luffy, en prenant son chapeau de paille qu'il posa sur la tête de Sanji. Si tu veux être en forme pour quand on va récupérer Zoro, repose toi ! Car on va la retrouver j'en suis certain ! Et on leurs mettra une bonne raclé !

- Toi et ton optimisme sans faille, je te jure ! Ria un peu Sanji en cachant son regard triste derrière le chapeau de paille sur sa tête.

****

C'était un lieu humide et froid, avec pour seul et unique source de lumière une vulgaire lampe à pétrole. L'odeur qui se dégageait de cet endroit sentait le moisie et l'humidité? Pendant combien de temps avait-il été inconscient ? Ce fût la première question que se posa Zoro lorsqu'il émergea non sans quelques difficulté de ce sommeil qui lui avait été imposé. Ses yeux le brûlaient un peu, et ses mains où plutôt ses poignets qui avait été enchainés dans le dos de la chaise sur lequel il était assis, était douloureux. C'est à peine si il arrivait à sentir l'extrémité de ses doigts engourdit par le froid. Pourtant il les bougea malgré le calvaire que c'était, car il fallait absolument préserver la circulation sanguine. Ses chevilles étaient enchainé au pied de la chaise en fer qui était selon toute vraisemblance elle même fixé au sols par de grosses vis en fer. Il ne pouvait même pas s'en sortir en cassant son siège. Il baissa le nez et constata qu'on lui avait retiré son manteau...il avait juste un T-shirt, un pantalon...et pas de chaussure.

- Je suis gelé....murmura t-il alors qu'une brume blanche s'échappait de sa bouche...

Décidant de garder son calme à tous prix, Zoro ne se laissa pas envahir par la panique malgré la situation précaire dans lequel il se trouvait. Il lança un regard circulaire au alentour et malgré la pénombre il arriva à reconnaitre les parois rocheuses d'une caverne où d'une grotte. Visiblement il devait être dans le flan de la montagne de l'ile sur lequel ils avait accosté. Après ce constat Zoro essaya de se rappeler, de ce qu'il s'était passé.

- J'étais...assis avec le Cook..sur le banc...marmonna t-il encore un peu vaseux...et..

Ah oui, c'est vrai ! Il lui avait dis " je t'aime". Ses mots qu'il aurait jamais cru entendre de la par du blondinet avait fini par lui être offert avec un prime un magnifique sourire en cadeau. Mais alors pourquoi était-il là ? Il devrait être avec lui !! A nouveau Zoro fouilla dans son esprit embrumé...

- Il est parti chercher..du vin chaud...

"on dirait un vieux alcoolo quand tu dis ça "

-...je suis pas un alcoolique...murmura t-il, comme si Sanji venait à peine de lui faire cette remarque. Mais très vite il se reprit...ensuite....j'ai entendu un bruit dans les buissons...et puis un boule s'est écrasé sur ma tête... je croyais que s'était une boule de neige... une blague de Ussop où de Luffy...mais...ensuite ...ensuite....A nouveau Zoro fouilla sa mémoire pendant un certain temps.....ensuite il y a une fumé verte, et j'ai très vite eu envi de dormir.....et après.....

La réflexion du sabreur s'arrêta là, à quelques mètre de lui le jeune homme entendit une lourde porte en fer s'ouvrir puis se refermer. Cela voulait dire que ceux qui l'avait emmené dans ce lieux étaient plusieurs et peut-être même assez bien organisé. Des pas vinrent dans sa direction, c'était des claquements caractéristique de chaussure à haut talon, sans doute une femme.

- Roronoa Zoro, comme on se retrouve, dit une petite voix aiguë.

Contrairement à ce qu'il aurai pu croire, le ton de sa ravisseuse était plutôt cordial voir même étrangement aimable. Derrière elle, il entendait des murmures, sans doute des hommes de main, où des larbins. La jeune femme décida de rester juste à la limite du cercle lumineux créer par la lampe à pétrole. D'où il était, le sabreur pouvait voir une paire de bottine noir avec quelques boucles doré, surmonté de deux longues jambes serré dans un pantalon en cuire noir lui aussi. Avec un peu plus de difficulté il distingua une taille sans doute fine, mais caché par un épais manteau de fourrure blanc.

- Tu dois te poser plein de question ? N'est-ce pas ?

-...

- N'est-ce pas ? Insista t-elle avec un peu plus d'autorité.

- Je n'ai pas l'habitude de discuter avec des gens , don je ne vois pas le visage, grogna Zoro.

- Hum...bon si tu veux, je vais me montrer, mais ne soit pas étonné si tu tombes sous le charme de ma beauté, alors.

- Y a peu de chance que ça arrive ! Cassa t-il immédiatement. Encore une prétentieuse...marmonna le bretteur à lui même.

La jeune femme se mit à rire, voyant l'affront comme une petite boutade sans importance, et entra dans le cercle lumineux. Son visage avait une belle forme ovale, ses lèvres fine, et ses yeux ainsi que ses cheveux étaient d'un rouge flamboyant. Elle était jolie serte et sans doute à une époque pas si lointaine pensa le vert, Sanji aurait bavé comme un malade dessus. Mais Zoro se ficha éperdument du physique de cette femme, il avait juste envi de savoir les raisons de son enlèvement. Remarquant l'impassibilité de son " invité " , la jeune femme afficha une moue vexé, un peu comme un gros bébé qui n'aurait pas eu de cookies.

- Alors c'est tout ? S'exclama t-elle ? Je suis là, devant toi et magnifique jusqu'au bout des ongle, elle agita ses doigts en montrant un verni noir, .. et ..c'est tout ?

- Tu t'attendais à quoi ? Que je me lèves pour te saluer ! Ironisa t-il en agitant les chaines qui l'attachaient.

- Ce que tu peux être drôle, ria t-elle. Exactement comme je l'imaginais.

A nouveau Zoro garda le silence, peut-être était-ce à cause de cette drogue qui l'avait endormir et qui embrumait encore un peu son esprit, mais ce fût à ce moment là seulement qu'il remarqua l'absence de ses sabres.

- Ou son mes sabres ! Demanda t-il le regard sévère.

- Et bien...commença la rouge... euh oui tiens, très bonne questions ! Ou sont ses sabres ?

- On l'ai à jeté Patronne, expliqua une voix roque d'un homme, on allait pas prendre le risque de les garder.

- C'est très bien ça ! S'exclama la femme visiblement très heureuse de l'initiative.

- QUOI ! hurla le vert... vous avez osé ! Gigotant sur sa chaise, Zoro donnait l'impression de vouloir casser ses chaines à l'aide ses muscles. Vous allez voir !!

Toujours pas impressionné la jeune femme, s'approcha et commença à tourner autour de lui, elle donnait l'impression d'être intrigué par la façon d'agir du bretteur. Son regard semblait curieux mais parfois il prenait un aspect étrange comme si une légère folie n'était pas loin de s'emparer d'elle.

- Allons, allons, calme toi ! Ordonna t-elle, en s'installant sur les genoux du vert.

Avec élégance elle croisa les jambes , puis passa ses bras autour du cou du captif. La fourrure de son manteau sembla réchauffer un peu le corps frigorifié de Zoro.

- Je vais tous t'expliquer , mais par contre tu dois rester un gentil garçons d'accord ? Sinon tu seras punis ok ? Et qui dit punissions dit, pas de nourriture, rien à boire, bref que des choses désagréable ? Tu as envi que je sois désagréable ? Non hein ?

Elle lui parlait comme à un débile qui ne comprenait rien à rien. Serrant les dents, Zoro détourna la tête et porta son regard sur les parois rocheuse de sa " cellule " offrant ainsi comme seul réponses, un franc méprit. Une gifle s'abattit presque immédiatement sur sa joues, surprenant plus que faisant mal au sabreur.

- Dégage de mes genoux sorcière ! Exigea t-il le regard mauvais.

- Ne me traite pas de sorcière, j'ai tous les droits sur toi, tu es à moi maintenant ! Hurla t-elle folle de rage, avant de reprendre soudainement son calme. Mon dieu c'est quoi cette mâchoire....du béton ou quoi ? J'ai mal aux doigts, j'ai l'impression d'avoir frappé dans un mur.

- Comment ça je t'appartient ? Dégage de là ! Je ne suis pas tas choses espèce de taré !

A nouveau une gifle s'abattit sur sa joues.

- Oh mais c'est pas vrai, s'exclama une nouvelle fois la jeune femme en sautillant de douleur toute en secouant la main. T'es fait comment toi ?chouina t-elle.

La jeune femme ne semblait que peu enclin à répondre aux questions du sabreur et resta assise sur ses genoux, l'air perdu dans ses pensées. De ses long doigts fin elle s'amusait à dessiner à travers le t-shirt la longue cicatrice sûr le torse.

- Je m'appelles Thalia, et il y a un ans de cela environs tu m'as rendu un fière service, tu sais Zoro.

- Arrête de me toucher !

- Tu te rappel peut-être ! Roberto le sans coeur...Commença t-elle à expliquer avant d'afficher une moue dégouté....quel Prénom débile.

- Non, je connais pas ce mec... à présent détache moi et casse toi de mes genoux.

Une troisième gifles fut la réponses à ce que Thalia considérait comme une honteuse rébellion. Elle reprit la parole comme si il n'y avait eu aucune interruption.

- Pour mon plus grand déplaisir s'était mon père, un très mauvais père qui me considéré comme un paillasson, il me frappait quand il avait trop bu ! En un mot un salopard.

- Je te jure que si tu me gifles encore une fois....menaça Zoro, montrant une indifférence flagrante à ce qui lui était raconté.

-....c'était un vrai abruti en plus, un minable bandit sans charisme ....mais un abruti avec une prime sur la tête. Et c'est toi qui t'es occupé de le chasser, ça te revient ? Tu n'avais pas encore rejoint cette horrible équipage, tu étais un redoutable chasseur de pirate à l'époque.

- Je ne garde jamais en mémoire les visages des minables avec lequel je me suis battu ! Casse toi de là maintenant !

Cette fois-ci ce fut l'affront de trop, la jeune femme l'attrapa à la gorge enfonçant ses ongles dans la chaire du cou. Ses yeux étaient totalement fou ses pupilles dilaté rendait son regard noir telle une possédé, alors qu'un sourire malsain étirait son visage le rendant hideux.

- NE ME DONNE PAS D'ORDRE ! je te l'ai dis tu es à moi Roronoa Zoro, ....elle renfila son cou longuement après l'avoir relâché puis reprit. ...Il doit être entrain de croupir en prison..peut-être même qu'il est mort... mais, bon ça je m'en fou ! C'est grâce à toi si j'ai été libéré de lui ! Je t'ai vu, le battre comme si il n'avait été qu'un simple petit fétu de paille face à toi. J'ai tout vu ! C'était si grandiose. Je suis aussitôt tombé folle amoureuse de toi !

" Folle c'est le mot. " Pensa Zoro.

Elle se leva un instant joignit les mains comme une prière et se mit à faire de grand mouvement dans une danse un peu étrange.

- Quand je l'ai vu s'écraser au sol comme un insecte, j'ai senti mon coeur faire des bons de joies dans ma poitrine. J'allais pouvoir lui prendre tout l'argent qu'il cachait, j'allais être riche. Tu étais si beau dans ce crépuscule, si fort et si détaché de tout..Ah ah ah ha tu l'as méprisé jusqu'au bout ce con !! Ah ah ah c'était magnifique, magnifique... Mais tu vois reprit-elle en retournant s'assoir sur les genoux de Zoro. C'est là, à cet instant précis que j'ai tous compris....C'était comme une révélation.

- Compris quoi ? J'ai juste battu un type parce que je n'avais plus d'argent pour me nourrir où pour réparer mes sabres.....c'est tous, j'ai rien fait pour t'aider, je me fiche de toi, je te connais pas, et tu n'as aucun intérêt pour moi ! Alors fous moi la paix !

- Tu sais que depuis ce jours...continua Thalia comme si elle n'avait pas entendu ce que venait de lui dire Zoro.

- Oh ? Tu m'as entendu, s'écria le bretteur en se dandinant sur sa chaise dans l'espoir de faire tomber, cette femme un peu trop collante.

-....je t'ai chercher partout, je suis allé là où votre équipage avait été repéré , mais j'avais toujours un train de retard. Tu essayais de me fuir, petit coquins, mais tu comprends que c'était pas normal, pour moi ! Pourquoi tu étais avec eux...tu devais avec moi ! Tu m'as sauvé de mon père, c'est que tu devais être avec moi !!! Mais heureusement, le destins était de mon côté..tu es venu sûr cette ile.....

- Mais t'es complètement cinglé toi !!!

- JE NE SUIS PAS CINGLE, Hurla brutalement la jeune femme en se relevant des genoux, du bretteur. Ne me traite plus jamais de cinglé !

- Cinglé !

Un silence abattis durant lequel le bretteur eu le temps d'entendre les hommes de main de la jeune femme, craindre pour ce qui allait se passer. Selon toutes probabilité  "cinglé " était un mots à éviter chez elle. Thalia resta debout immobile, les yeux écarquillé en fixant Zoro pendant de longues minutes sans même ciller une seule fois, tous bas il l'entendait répété..." cinglé "...un sourire malsain se dessina sur les lèvres de la jeune femme, qui pencha très légèrement la tête sur le coté....Sa stabilité mental semblait franchir peu à peu à chaque fois qu'elle répétait se mots.

- Génial, j'ai affaire à une folle furieuse....marmonna Zoro, toujours pas impressionné.

- Je t'ai dis de ne pas me dire ce mot !! Je ne suis pas folle, ni cinglé ....Tu es à moi , c'est quand même pas dur à comprendre ! Et quoi que tu dises c'est comme ça.....son sourire malsain était de plus en plus étrange et aurait mi n'importe qui mal à l'aise.

Elle s'avança et se pencha pour mettre son nez dans le cou de Zoro qui eu un véritable dégout pour elle. A nouveau elle le renifla longtemps comme si elle voulait s'imprégnait de son odeur. Quand elle eu fini, elle poussa un soupir de satisfaction un peu obscène, et murmura à l'oreille du bretteur.

- Je ne suis pas patiente, alors tu as intérêt à vite m'aimer, afin que ton petit séjours parmi nous, ne devienne pas de plus en plus difficile.

- T'aimer ? S'étonna dans un rire méprisant Zoro, qui pourtant avait un frisson de répulsion à chaque fois qu'il l'entendait renifler sa peau.....Ça va être très difficile...

- Mais tu n'as pas le choix ! C'est moi que tu dois aimer,....

- Ce n'est pas toi que j'aime !

- TU M'AIMERAS ! Tu m'as sauvée, parce que tu dois être à moi et à personne d'autre !!!

- Je ne t'aimes pas, TOI !!!! J'aime pas les femmes !!!

Un silence se fit, durant lequel des murmures se firent parmi les sous-fifres ! Thalia semblait sous les choques mais très vite, elle se reprit et passa de la folie simple à la follie furieuse. Elle le gifla , encore et encore, visiblement elle ne se plaignait plus d'avoir mal aux mains à chaque fois qu'elle frappait la mâchoire solide de Zoro. Elle était hors d'elle, le traitant de traitre, et le maudissant, parfois et voir même souvent elle disait des choses incohérente, et sans logique.....

- Je sais, s'écria t-elle brusquement alors qu'elle le malmenait avec une matraque qu'elle avait prise à un de ses subordonnés... Je sais.....elle se retourna faisant voler en tous sens sa longue chevelure écarlate... C'est ce blond là ! Hein ? Ils m'ont dit...expliqua t-elle en pointant du doigts un coin sombre de la cellule, ils m'ont dit que tu discutais avec un blond...c'est ce type dans ton équipage avec une mèche sur l'œil ...c'est de sa faute c'est ça ?...C'est ça ? C'est lui qui t'as détourné de moi, de l'ordre naturel des choses !!

- Ce n'est pas de sa faute....murmura Zoro malgré la douleur, il cracha du sang au sol car il s'était mordu la lèvre en recevant un coup. J'étais comme ça avant de tomber amoureux de lui....

- MENTEUR !! Hurla T-elle ! MENTEUR ! Son souffle était saccadé, et son visage toujours aussi flippant. Mais qu'il essaye de t'arracher à moi je saurais m'occuper de son cas.

- Bon courage alors, arriva à rire Zoro alors que son esprit semblait s'embrumer un peu.....c'est une vrai petite teigne...

- On verra bien !

Et puis sans rien ajouter de plus la jeune femme au cheveux flamboyant sortie de la cellule en claquant la porte de fer derrière elle. Quelques courte minutes après ça un homme, à la mine mauvaise, borgne et l'air parfaitement stupide malgré sa carrure de gorille s'empara de la seul source de lumière qu'avait Zoro et s'en alla avec la lampe.

-Hey, Roronoa ! Tu vas crever ici si tu persiste à lutter contre elle, et elle tuera aussi ton petit copain ,expliqua t-il dans un petit rire stupide.

- Dit pas de connerie mon gars, j'ai un rêve à réaliser, et je me fou des désires de cette taré !

- Elle crèvera ton copain !

- Ça m'étonnerais.....c'est pas un faiblard...

- Peut-être, mais nous savons qu'il ne frappe jamais les femmes ! Et oui, on s'est renseigné sûr tout les membres de ton équipages. Elle n'aura aucun mal à l'approcher et à le tuer !

-.......

- Dans tous les cas ça vas être marrant à voir ! On s'occupera aussi de Nico Robin, et de Luffy au chapeau paille.. on se faire du blé.

- Luffy va foutre une raclé.

- Il va nous rendre riche oui !!

- Pourquoi vous obéissez à cette folle  comme des petits toutous bien dressé ? Vous avez pas les couilles de désobéir à une femme ? C'est ça ?...hum...je vais t'appeler Sans couille numéro 0, toi ! Provoqua le vert.

- Connard !!! Hurla l'homme. Elle nous paye bien, et pour nous c'est tous ce qui compte. On s'en fou qu'elle soit folle ! Grogna le gorille, avant de revenir avec une petite seringue entre les mains... a présent, Tu vas faire un gros dodo p'tite fiotte, et bien fermer tas gueule, et peut-être que quand tu te réveilleras tu verra la tête de ton petit copain ...mais sans son corps ... précisa la brute dans un rire gras.

- ENFOIRÉ....je te ferais payé tous ça !!! Et si elle le touche .. je te promet que......

Mais le gorille n'eut pas le temps de savoir ce que Zoro lui promettait comme souffrance car, à nouveau il s'évanouit, dans le froid de cette grotte, dans le noir, sans eau, sans nourriture, sans rien pour se réchauffer.

********************

Ce chapitre n'a pas été simple à écrire, alors j'espère que vous l'apprécierez quand même (malgré ce qui s'y passe)

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