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*20 - Larmes du passé*

Hors du temps

Lucas se réveilla ce matin-là avec une gueule de bois. Il avait un mal de crâne si intense qu'il se demandait si sa tête n'allait pas exploser. Il était juste fatigué de la veillé de la veille qu'il avait faite avec Joŭs dans sa chambre.

Il se leva de son lit et se prépara comme chaque matin. Aujourd'hui, la dernière étape de son apprentissage à l'académie allait commencer. On lui avait dit de faire ses affaires et de les laisser ensuite dans l'entrée. Il n'avait pas compris pouquoi mais l'avait fait la veille. Il faudrait peut-être qu'il quitte l'académie juste après ça. Il n'en savait absolument rien. Il avait à la fois hâte et était également perturbé de devoir quitter ses amis pour partir accomplir la mission que lui confira le Consultant.

Assis face à son assiette, Lucas regardait avec dégoût le repas qu'il avait pris ce matin-là. Joŭs lui faisait face et il abordait la même face vide d'émotion.

- Je ne sais même pas pourquoi j'ai sensation que je détestes tout, dit Lucas à son ami.

- Je suis dans le même cas. Je penses qu'on a juste le spleen de devoir quitter l'académie dans moins de trois semaines.

- J'ai l'impression d'y avoir vécu toute ma vie ici. Je penses que si je devais refaire l'expérience je n'hésiterai pas.

- Pour ma part, je me peine à imaginer à retrouver ma famille. Toi qui a suivit seulement 1 an du complexe ce n'est rien mais pour nous, qui avons passé plus de 5 ans, on se rend vite compte que la vie est courte.

- Je comprend...

- Salut les gars ! s'exclama Ąmbŕè en claquant son plateau sur la table.

- Doucement, tu sais très bien que je ne suis pas très matinale ! lui répondit Lucas.

- Oh ça va, ce n'est pas comme si on allait endurer durant ces trois semaines ! s'exclama à son tour Jůnia qui venait de débarquer à la table. Elle claqua à son tour son plateau pour enquiquiner Lucas.

- Non Jůnia ce n'est pas ça. On n'a juste le spleen de devoir bientôt partir, répondit Joŭs.

- Le spleen, le spleen. Laisse moi rire Joŭs, tu n'as juste pas envie de retrouver papa et maman. Mais moi, je suis navré mais je n'attends ce moment depuis 5 ans. J'ai hâte de reprendre mon rôle de fille du roi de la capitale de Puisnoula.

- T'es vraiment arrogante et individualiste. Tu ne penses qu'à ta poire. Je ne pensais pas que l'académie t'aurai autant changer. Et puis, je paris que tu n'as pas envie de retrouver Jopƴra. Il avait beau avoir cinq ans quand nous sommes partis. Il doit avoir beaucoup changé depuis notre absence.

- Oh, la la, t'as vraiment cru que j'en avais quelques choses à faire de la larve !

- Euh...désolé de vous déranger mais vous parlez de qui la ? demanda Ąmbŕè.

- De notre petit frère ! répondirent Joŭs et Jůnia en même temps.

Ils laissèrent même pas un temps de silence qu'ils reprirent leur dispute.

Lucas souffla un grand coup et se leva. Il dit :

- J'y vais, j'ai besoin de prendre l'air !

Joŭs essaya de le retenir mais le garçon avait déjà pris son plateau.

- Et Joŭs évite d'essayer de me rejoindre. Je souhaite rester seul pour une fois.

Et Lucas sortit de la salle.

Il erra quelques minutes dans les couloirs avant de trouver et de juger que le croisement dans lequelle il était serait parfait pour réfléchir.

Il s'assit contre le mur. Ramena ses jambes vers lui, rentra sa tête entre et se mit à pleurer. Il lâchait ses larmes car il était triste de devoir quitter l'académie prochainement.

Il dut rester là plusieurs heures, il avait du également s'assoupir car quand il reouvrit les yeux il se rendit compte que la luminosité du couloir avait changé.

Il essaya de se lever mais il était à bout de force. Il ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Il essaya de se défaire, de se débattre.

- Ça ne sert à rien de t'échapper tant que tu n'auras pas compris à quoi sert ta magie. Tu pourrais rester ici dès jours, des mois voir des années si tu ne trouves pas ta force interieur ! s'exclama un inconnu.

Son cœur fit un bon de terreur dans sa poitrine.

- Je...je ne comprends pas..., murmura Lucas qui arrivait, à son plus grand soulagement, à parler.

- C'est normale de ne pas comprendre ce qui est entrain de t'arriver mais tu dois te libérer pour être...libre.

- Je ne sais même pas qui vous êtes.

L'homme prit quelques minutes avant de dire.

- Je vais te donner quelques informations mais quand tu te liberas, je te donnerai les suivantes. Ça te va ?

- Je veux juste retourner voir mes amis.

- Tu ne dois pas encore comprendre la situation correctement mais enfin bref, je suis un contrôleur. J'étais avant un élève à l'académie. J'ai validé toute mes années et j'ai pu grâce à cela devenir prof errant.

Lucas ne comprenait vraiment rien à ce qu'o se passait. Il ne voulait qu'une chose se libérer de la et de retrouver ses amis. Il ne voulait pas rater son cours avec ĶĄĻŲÇĘ.

- Depuis combien de temps je suis là ?

- Je m'attendais à ce que tu poses cette question. Je vais donc t'y répondre sans tarder. Tu dois être inactif depuis plus de trois semaines. Sache que ce soir se déroule la cérémonie de clôture de l'académie.

- Mais je dois retrouver mes amis. Ils s'inquiètent dans doute pour moi à l'heure qu'l est.

- Ne t'inquiète pas. Tout est déjà inscrit dans le règlement, Løpą est au courant de ta situation. Je te conseille donc de te libérer si tu ne veux pas rater la dernière soirée avec tes amis.

Lucas devait écouter l'homme à contre cœur. Il se concentra et rechercha au fond de lui la magie qu'il avait ressenti la dernière fois. Il devait sentir la même rage que quand il s'était retrouvé face au soldat.

Il devait vaincre se peur, il devait vaincre ses traumatismes. Il devait se libérer. Il fallait qu'il retrouve ses amis. Il ne voulait pas les abandonner. Il souhaitait les revoir une dernière fois avant de quitter l'académie.

Il vouait également assisté à la cérémonie de clôture. Il voulait retrouver le Consultant à temps, finir la mission qu'on lui avait confié.

Il revoyait tous les moments qu'il avait vécu durant son année, les différents visages qu'il avait rencontré. Il ressentait encore les sensations de son premier baiser de Joŭs et de l'enlacement d'Ąmbŕè.

Il essaya en vain de trouver l'énergie en lui mais n'y trouva rien.

Elle devait bien couler dans ces veines, non ?

L'homme s'avança vers lui et dit :

- Ne recherche pas des moments, ni des sensations mais des traumatismes. Ne cherche pas des moments heureux, trouve des instants douloureux. Pour libérer ta magie, tu dois rechercher encore plus. Libères-toi de ce lourd fardeau que tu portes sur tes épaules Lucas.

Lucas essaya de se remémorer ses traumatismes, ses pires peurs ; ses harceleurs mais en vain il n'arriva pas à la réveiller. Il ne savait plus comment si prendre.

L'homme reprit la parole et dit :

- Cherche encore, plus profond.

- C'est ce que je fais putain ! s'exclama Lucas avec rage.

- Très bien, je veux que cette rage explose. Qu'elle soit expulsé de ton corps et qu'elle ravage tout !

Lucas essaya de la canaliser encore et encore mais rien n'y faisait.

Il fallait qu'il repense à quelque chose d'encore plus douloureux. Il chercha dans sa mémoire dans ses souvenirs mais il avait beau chercher, chercher et encore chercher... Il ne trouvait rien !

- Tu as peux être besoin d'une piste. Repense à ta pire journée. Celle où tu as perdu ton père. Une journée comme les autres après tout.

A l'évocation de son père, le cœur de Lucas se renversa de tristesse dans sa pointrine. Évoquer son père lui faisait terriblement mal.

Il revoyait encore le sourire qu'il lui tendait chaque jour. Il se souvenait encore de la joie qu'il dégageait en sa présence.

Tout ce qui lui était arrivé au collège était de cette faute. Il sentait une haine de rage monter et grandir en lui.

Il se souvenait bien de ce fameux jour oui, il ressentait encore la tristesse de la nouvelle qui lui avait était annoncé. Il revoyait très bien le souvenir.

*

C'était un beau mercredi de juillet, les arbres était chargé de fruit, l'air dégageait un parfum de multitudes d'arômes exotique, le soleil frappait le sol. Lucas était assis sur un banc dans le petit jardin publique de sa ville. Derrière lui, séparé par une route, il y avait un petit marchand de glace.

A ses côtés, il y avait son père qui humait l'air à plein poumon et sa mère qui lisait un livre. Lucas, quand à lui, était tranquillement entrain de regarder attentivement un papillon qui foltigeait tranquillement de fleur en fleur.

Soudain son père, qui avait sans doute une petite fin, s'exclama :

- Qui veut une glace ?

Peut être que ce jour-là, Lucas aurait dû refuser mais il se revoyait très bien répondre.

- Moi, je veux une glace à la fraise !

Sa mère avait posé son livre et l'avait corrigé :

- Il ne manque pas un petit quelque chose ?

- S'il te plaît mon petit papa chérie !

Son père s'était levé et avait embrassé sa mère, en lui demandant :

- Tu veux quel goût ?

- A l'orange, s'il te plaît.

Il l'avait embrassé une nouvelle fois sa mère, puis avait déposé un faible bisou sur la joue du petit garçon avant de commencer à traverser la rue.

Lucas se revoyait très clairement se retourner sur son banc et suivre son père des yeux. Il n'aurait pas du.

Son père était entrain de traverser la rue quand soudain, sortit de nulle part, une voiture rouge le percuta et le fit violemment percuté le sol.

Lucas revoyait les gerbes de sang, le corps de son père voltigeait dans les airs. Les cris de sa mère qui essayait de lui cachait les yeux mais en pleine panique n'y arrivait pas.

*

C'est en revoyant ce souvenir que Lucas sentit une énorme culpabilité, toujours présente, revenir sur ses épaules. Il n'aurait pas du accepter cette glace ce jour-là.

C'est cette rage qui attisa sa haine. C'est cette haine qui alimenta sa magie.

Il sentit une forte puissance traversait ses veines et se libérer à travers tout son corps.

La magie s'expulsa de son corps. Même si elle était moins forte que lors de son évaluation, elle lui permetta de se libérer.

- Bravo ! Toutes mes félicitations.

Lucas, dont la rage coulait encore dans tous son corps, s'exclama :

- Maintenant vous allez me dire qui êtes-vous ?

- Ah, ah, ah ! Je vois que tu ne me laisses pas le choix que de te répondre !

Lucas força un sourire, qui était provocateur.

- Je suis ĶĄĻŲÇĘ !

Lucas écarquilla les yeux.

- Comment ça ?

- Le cours auquel vous deviez assister, n'aurait été régit par un des étudiants des cinquième années pour me laisser le loisir de chercher des élèves au faible mental et qui avait une magie débordante.

- Que voulez-vous dire par la ?

- Lucas, tu es sans doute, l'élève qui a le plus de magie refermait en toi !

- Mais ce n'est pas possible. Je suis un humain.

ĶĄĻŲÇĘ éclata de rire avant de dire :

- Je suis également un humain comme tous les personnes présentent à Hongrinois. Nous sommes juste les humains qui avons était gracié et privilégié par les dieux.

- Donc si je comprends bien vous êtes entrain de me dire que n'importe quel humain aurait de la magie qui coule dans ses veines.

- Non seulement ceux qui sont destiné à marquer un jour la chronologie des dieux.

Lucas n'arrivait pas à assimiler ce que ĶĄĻŲÇĘ lui racontait.

- Ce n'est pas grave si tu ne comprends pas. Bon allez, rends-toi à la soirée avant qu'il ne soit trop tard.

- Dans cette tenue ?

- Ben tu portes l'uniforme donc oui !

Et un nuage de magie éclata dans le couloir. Quand la fumée se dissipa, il ne restait aucune trace de ĶĄĻŲÇĘ. Lucas leva les épaules au ciel et se rendit en direction du hall de l'académie où se déroulait la cérémonie.

Sans doute, ses amis lui poseraient un tas de questions mais Lucas avait juste envie d'accomplir sa mission et exploiter entièrement le pouvoir de sa magie.

En se rendant, à cette cérémonie, il se demandait quel rôle, il jourait dans l'histoire des dieux.

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Coucou mes très chers lecteurs, comment allez-vous ?

Je sais, je sais. Je n'écris plus trop ces derniers temps. Je pense que je vais devoir effectuer une nouvelle pause pour pouvoir effectuer quelques modification ainsi que réorienter mes idées correctement.

J'écrirais le dernier chapitre de l'académie la semaine prochain.

Je vous tiendrai plus au courant de cette pause la semaine prochaine.

Enfin bref, ce chapitre avait normalement un autre objectif à la base. Il servait juste aux élèves de recentrer leurs esprits mais il s'est transformé comme cela et c'est comme ça que je me suis rendu compte que je commençais à partir dans des partis hasardeuses.

Voilà, je crois que je vous ai tout dit. A la semaine prochaine donc !

Henri Larbes

P.S. : Si ce chapitre vous a plus, vous pouvez le faire savoir en likant l'épisode, en vous abonnonnant, en commentant ou même en partageant l'histoire.

N.B. : Si une question tourne encore et encore dans votre tête depuis le début du mois, n'hésitez pas à m'écrire un message par commentaire ou message privé sur Wattpad ou Instagram, henri_larbes.

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