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*1 - Une journée de merde* ✅️

(⚠️: certains scènes risques de choquer la sensibilité, âme sensible s'abstenir...)

- 80 heures

- Lucas reveilles toi ! hurla sa mère.

Le jeune homme se leva en sursaut. Il avait loupé son réveillé. Il était plutôt petit pour son âge, il avait les cheveux bruns et les yeux bleus.

Lucas était quelqu'un de très intelligent mais il n'aimait pas le montrer donc tous le monde le prenaient pour un imbécile.

Une fois qu'il eut mis son pull vert et ses baskets blanches, il descendis les escaliers.

- Ah enfin, je commençais à m'inquiéter de ne pas te voir ! lui dit sa mère.

- Je me suis réendormie, je suis désolé !

- Fait plus attention la prochaine fois s'il te plaît, je sais que c'est compliqué en ce moment mais fait un effort s'il te plaît.

- Je sais mais...

- Pas de mais, aller ! Prend donc une tartine.

Et le jeune homme s'assit à table. Son estomac lui disait qu'il avait terriblement faim.

- Merci maman !

- Tu sais c'est normale après la mort de ton père, il y a trois ans, je te vois perdu.

- Je ne suis pas perdu, de toute façon, je n'ai pas envie d'en parler !

Il se leva et prit son sac.

- Bonne journée et à ce soir ! lui cria sa mère.

- Ouais c'est ça, à plus !

Il claqua la porte et sortit dans la rue.

Une fois sortit à l'extérieur, il posa son casque sur ses oreilles et démarra la musique. Dès les premières notes de la musique, il relâcha la pression qu'il venait d'accumuler.

Il pensait à l'horrible journée qu'il allait passer. Il n'avait jamais envie de partir à l'école, surtout quand toutes sa classe était contre lui. Le week-end c'était bien passé, il avait même réussi à oublier tout ça.

Arrivé devant le collège, il prit une grande inspiration. Il espérait qu'ils ne soient pas encore là.

Il était prêt à être maltraité, même si cela n'était pas drôle, ni amusant. Il se laissait faire et ne disait rien. Il avait perdu le goût à la vie depuis longtemps.

Il soupira une dernière fois et passa le portail.

Et merde, ils étaient là, se dit-il.

- Et regarde qui voilà ! lança un des quatre qui étaient regroupé devant la grille.

- Mais c'est Lucas, le couillon du collège ! continua un autre.

- Il aime peut-être mes poings où il veut que je lui fasse un nouveau coloriage sur le corps.

- Mais quelle exellent idée, tu auras de magnifique taches, n'est-ce pas Lucas ! J'espère que tu as passé un mauvais week-end avec ta connasse de mère.

- Tu savais qu'elle se rendait chez mon père tous les...

- Arrêtez ! hurla-t-il.

Il ravala vite sa langue mais il était déjà trop tard car les quatre collégiens se levèrent et se mirent à le frapper.

Une enseignante passa à côté et dit :

- Que faites-vous les garçons ?

- On joue madame ! Hein Lucas ?

Il lui chuchota à l'oreille :

- T'as intérêt à répondre si tu veux pas savoir quelle goût à mon pied entre tes deux jambes.

- Je m'amuse tellement bien madame, il n'y a pas de soucis, dit-il en forçant son sourire et son rire.

- Ah, si ce ne sont que des gamineries alors faites mais...non laissé tomber, après tous les jeunes peuvent bien s'amuser de temps en temps. Juste ne faite pas trop de bruit si vous ne voulez pas que les autres adultes se posent ses questions sur votre amitié.

Elle continua sa route sans se questionner d'avantage sur le sort qui était réservé à Lucas.

- Bon, je trouve que notre petit Lucas n'a pas répondu assez vite.

- Mais tu as raison, qu'es ce qui lui est arrivé. Quand on parle de sa maman chérie, il réagit à une vitesse hallucinante, et là rien !

- On le punit comment ?

- Je pense que continuer à le frapper sera une très bonne option.

- Très bonne idée mais je pense qu'il faut le faire dans un autre endroit plus tranquille pour éviter que d'autres personnes viennent nous interrompre.

Et les quatre adolescents empoignèrent Lucas et le transportèrent dans une cour interdite des élèves.

*

Lucas fut balancé contre le mur. Il ressentit ses organes absorbé le choc ainsi que le goût du sang qui remontait dans sa bouche.

Le plus grand, des quatre garçons, le releva et le plaqua contre le mur. Lucas sentit sa langue claquait dans sa bouche.

Un des autres jeunes hommes s'avança vers lui, un sourire aux lèvres.

– Tu fais moins le malin maintenant. Il est peut être tant de te punir pour ce que tu as fait.

– Je pense qu'il faudrait lui faire bouffer un truc dégeu, proposa un.

– Des insectes ! renchérit un autre.

– Très bonne idée, répondit le jeune homme au sourire étrange.

Les deux garçons, sans doute sous les ordres du gars au sourire, partirent en quête d'insectes. Ils en trouvèrent quelques un dont une araignée et une mante religieuse. Heureusement, pour Lucas, ils avaient trop la frousse pour récupérer celle-ci en vie. Ils sélectionnèrent donc celle qui était déjà morte.

– Regarde mec ce qu'on a trouvé !

– Pff, vous avez mis trop de temps, répondit le gars qui souriait.

Il prit l'araignée dans sa main.

Ce n'était pas une ridicule bête. Elle avait de longue et fine pattes. Elle possédait un petit corps. L'envie qui s'en dégageait d'elle était quelques choses de ragoûtant.

– Bouf ça ! Espèce de connard !

Et le gars au sourire lui força à avaler l'insecte.

Lucas faillit recracher la bête. Mais sous le regard de tous ces adolescents, il préfèra l'avaler tout rond.

Ils lui firent ensuite avaler la mante religieuse qui avait un goût horrible. Notamment car elle était resté plusieurs jours à pourrir dans la cour.

Une fois que les deux insectes, sélectionnés par les adolescents, futrent mangés, ils commencèrent à cracher sur Lucas.

Bien vite, le son de la sonnerie se fit ressentir dans la cour. Lucas sentit qu'il était enfin libre. Mais son enthousiasme fut de courte durée car le gars au sourire demandé aux deux adolescents de partir. Il ne garda que le plus fort.

Il s'approchait plus dangereusement de Lucas. Il le regarda puis il éclata d'un rire cruel.

– Maintenant que les autres sont partis, je vais de faire goûter à la vrai horreur. Je vais t'humilier comme tu ne l'as jamais vécu auparavant. Tu auras tellement honte que n'oseras plus mettre un pied ici. Peut être même que tu décideras de mourir et dieu merci je ne serai pas obligé de le faire pour toi.

A ces paroles, Lucas sentit son cœur se retourner dans sa pointrine. Il n'en croyait pas les mots du garçon. Il pensait qu'il avait atteint le summum de ses douleurs mais apparemment ce n'était pas le cas.

Le jeune homme ouvrit un lâche sourire dévoilant ces dents. Il approcha sa main du visage de Lucas. Et commença à caresser sa joue et à effleurer sa bouche.

Lucas ne comprenait pas trop.

Puis, le jeune homme demanda à celui qui était resté à aggriper fermement le jeune homme.

Lucas sentit les deux mains de l'adolescent lui serrer les bras. Il ne pouvait plus bouger. Il était livrer corps et âme à eux.

Le jeune homme continua sa course sur le corps de Lucas. Une fois qu'il eut fini de toucher son visage, il descendit sur son torse et son ventre. Il déchira le tee-shirt de Lucas pour ainsi en admirer sa peau nu.

Il descendit encore plus bas. Toujours plus bas. Lucas sentit la main du jeune homme s'aventurer trop loin. Il tenta de lutter mais il était trop fermement tenu.

Le jeune homme continua de sourire quand il baissa le pantalon de Lucas puis qu'il retira son caleçon.

Ensuite, il posa sa main sur sa partie intime et la serra de toutes ses forces. Lucas sentit qu'elle allait exploser. Il hurla.

L'adolescent éclata dans un nouveau rire puis relâcha sa proie. Il prit ensuite son téléphone et prit une photo du corps de Lucas. Il hurla :

– Tu regretteras d'être née ! Tu verras enfin ton corps publiés sur les réseaux. Et tu n'aurais même plus envie de vivre quand tous le monde se moquera du petit penis que tu as !

Il lâcha ensuite son téléphone. Et il donna un coup de poing dans la tête de Lucas.

Il sentit sa tête vibrer. Un bruit assourdissant envahit sa tête. Le garçon relacha sa proie et Lucas tomba par terre, nu.

Les deux garçons lui crachèrent dessus. Ils partirent et le laissèrent ainsi. Lucas se retrouva seul, detruit, humilié et les fesses à l'air.

Il pleura pour la première fois depuis la mort de son père. Toute sa vie avait basculé ce jour-là. Il se retrouvait désormais seul et sans amis. Il mourrait ainsi et plus jamais il n'aura l'espoir de s'en faire plus tard.

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Bonjour à tous,

J'espère que vous avez apprécié ce premier chapitre un peu délicat.

J'avoue certain passage était un peu délicat mais enfin bref, j'espère que cela ne vous a pas trop perturbé.

Si telle est le cas alors vous pouvez continuer, ceux à qui ça à gêner, vous pouvez vous arrêtez de lire car cette histoire n'est pas faite pour vous.

Concernant les scènes de harcèlement, j'avais d'autre idée en tête mais je me suis dit non, c'était peut être trop violent. Et oui, j'aurais pu faire bien pire.

Bon allez, il faut que je vous laisse. Je dois écrire la suite au plus vite et promis je publie l'héritage.

Henri Larbes

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