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Jour 4

Cela faisait plusieurs heures que je me tournais et me retournais dans mon lit. Je n'en pouvais plus que cette fillette hante mon esprit. Cela n'était pas normal. Je n'étais pas normal.


J'avais cette boule, ce poids dans mon estomac depuis qu'elle était partie. J'étais loin de m'attacher à elle et elle ne me manquait pas du tout, bien au contraire. Je restais éveillé car j'allais la revoir dans cinq heures. Je me sentais tellement ridicule d'avoir marché dans sa combine. Oui, elle avait beau l'air innocent, c'était une vraie petite garce. J'avais réfléchi toute la nuit à son geste.


Qui refuse de l'argent ?Une personne qui a une idée derrière la tête. En plus, elle avait nié cette éventualité. J'en étais venus à l'idée qu'elle essayait de m'amadouer pour que je la paye plus. Ridicule, non ? Mais c'était la seule conclusion plausible, et elle était encore saugrenue.


Roh, qu'est-ce que je n'aimais pas sa gentillesse !



Atalaïan était vraiment la plus insupportable des créatures de la gent féminine que j'ai connu.


Je me retournais pour la énième fois et regardai mon radio-réveil. Trois heures quarante sept. Je soufflais, tant j'en avais marre de ne plus dormir. J'enlevais toutes les couvertures qui recouvraient mon corps et je m'extirpai de mon lit. Je passai une main sur mon visage et je me dirigeai vers la salle de bain.


Après une longue douche chaude et un petit plaisir solitaire, je m'habillai décontracté. Un jogging et un tee-shirt large. Rien de vraiment sexy. De toute façon, elle s'en fiche. Elle aime les filles.


Je descendis à la cuisine me servir un café et je restai, ainsi, à divaguer.


***


Ding, dong.


Je sortis de ma torpeur et observai l'horloge murale. En avance. Agaçante, cette gamine.


-C'est ouvert -hurlais-je-


J'entendis des pas puis la porte claquer et elle entra dans mon champ visuel. Encore plus fraiche qu'hier... et encore plus belle.


-Bonjour -dit-elle enjouée en passant sa main dans ses cheveux-


Je lui fis un signe de tête et montai dans la chambre d'Amixiia. Ma vangeance allez commencer...


Ma petite fille était enroulée dans les couvertures de son lit comme pour se protéger de quelque chose... Peut-être d'un monstre sous son lit. Je ne pus m'empêcher de glousser tant cette éventualité était ridicule. Elle était trop grande pour encore croire à ça.


-Coucou ma puce -soufflais-je doucement à son oreille-

-Papa?


Elle me regarda éberluée comme si c'était la première ... ah si,c'était la première fois que je l'appelais ainsi.


Je n'étais pas très ... Comment pourrait-on dire ? ... Affectueux ? Jen e jouais pas réellement mon rôle de père. Je n'avais pas voulu le devenir par ailleurs.


-Tu veux faire plaisir à papa ?


Elle hocha furieusement la tête et je souris de toutes mes dents.


-Tu vas aller dans la cuisine, ouvrir le frigo et renverser la grosse bouteille verte sur le carrelage. Tu pourrais faire ça pour moi ?


Elle me regarda longuement avant de sortir de sa chambre en courant.


Bonne petite.


Je la suivis de près, voulant voir ma merveilleuse fille à l'oeuvre.


Un peu mal à l'aise, elle regarda de tous les côtés avant d'ouvrir la porte du frigidaire et de faire ce que je lui avais demandé.


Je pouffais en voyant le soda s'étaler sur le sol et sur mon tapis à frange. Atalaïan arriva, les cheveux attachés et regarda Amixiia avec sévérité.


-Tu montes dans ta chambre, et tout de suite -dit-elle durement-.


La petite baissa la tête et se cassa. Elle en avait vu d'autres, ce n'était pas grave. Elle passa à côté de moi mais je ne lui adressai pas un regard.


La babysitter souleva le tapis et l'emmena à la buanderie -surement pour le laver. Voulant en rajouter une couche, je marchai en chaussettes sur le sol sali.

-Merde ! Mais c'est quoi ça ? -dis-je faussement énervé-


La petite blonde arriva en courant, les joues rouges.

-Elle,... a... heu..


J'arquais un sourcil impatient de sa réponse.

-Je-elle se racla la gorge-, la bouteille m'a glissé des mains. Je suis désolée.


Menteuse !


Mon moi interne sautillait partout. Cette fille qui semblait si douce et si honnête avait un sacré défaut.


Ce fut avec le plus grand plaisir que j'ôtais mes chaussettes imbibées et que je les déposais dans la main d'une Atalaïan stupéfaite.


Note à moi-même: faire du sport la prochaine fois. Au moins,elles sentiront la transpiration.


Et voilà que je me retrouvais sur le canapé à regarder la télévision,attendant de la voir laver mon carrelage. Elle arriva deux heures après, les manches relevées, le front en sueur, un seau, un balai et une serpillère à la main. Cela me faisait énormément plaisir.


Elle commença à astiquer avec force.


Je la regardais faire, elle était à genoux ... je mordis ma lèvre inférieure à cette pensée peu catholique. Elle tourna la tête dans ma direction et me demanda de m'approcher. Je me levai à contre-cœur mais elle ne bougea pas d'un pouce puis se passa ses mains le long de son corps avant d'ouvrir sauvagement sa chemise et de me baisser le pantalon à mes chevilles.


Mais c'était qu'elle était impatiente, la petite dévergondée.


Face à mon érection, elle glissa sa petite main sous l'élastique de mon caleçon. Je fermai les yeux profitant des caresses que me procurait sa main douce et chaude.


Elle poussa un soupir. Mais rien d'aguicheur, bien au contraire un soupir de lassitude ...


Quoi?! Elle avait un problème avec la longueur ?


Quand elle poussa un nouveau soupir, j'ouvris les yeux. Pour ma plus grande stupéfaction, je me retrouvais allongé sur le sofa. Les mains croisées derrière la tête, j'avais les yeux rivés sur le film qui se terminait. Alors qu'Atalaïan observait le sol, satisfaite.


Mais dieu! Que m'arrivait-il ? Pourquoi je faisais ses putains de rêves ?


Je n'aimais pas du tout l'emprise qu'avait ce machin à seins et à vagin sur mon esprit.


Il fallait que je lui montre qui menait qui par le bout du nez.J'arrivai derrière elle et la poussai. Elle trébucha et donna un coup de pied dans le seau plein d'eau sale. L'eau se renversa et j'attrapai le coude de la babysitter avant qu'elle ne se fracasse le crâne. J'étais méchant mais je n'étais pas un monstre.


-Vous pourriez faire attention. Ma salle à manger est inondée.-grondais-je-


Je ramassai la serpillère et lui donnai un torchon pour qu'elle nettoie tout à la main. Elle me regarda perplexe avant de comprendre qu'elle devait nettoyer le sol avec un ridicule petit morceau de tissu.


-Vous n'êtes pas sérieux.


Je rétrécis mon regard et elle déglutit. Elle attrapa mon chiffon et se mit à quatre pattes. Cela avait quelque chose de jouissif.



Après plusieurs heures de travail, je vins la voir. Exténué, les fesses sur les talons, elle essorait son lige dans le seau. Mais ce n'est pas ce qui capta mon regard. Quelque chose de bordeaux dépassait de son pantalon et je ne pus m'empêcher de regarder cette dentelle.


Portait-elle des boxers ? Des culottes ? Des strings ?


Elle capta mon regard et plaça sa main sur l'objet de ma contemplation et elle rougit comme cela n'était pas permis. Elle se releva en vitesse et remonta son pantalon puis baissa son tee-shirt.


Pas gêné le moins du monde, je la regardais un petit sourire en coin.


Elle prit le seau et s'enfuit pour le vider. Elle revint la tête baissée les joues encore empourprées.


Que c'était mignon...Euh enfantin, puéril, gamin..


Elle passa devant moi mais je l'arrêtai.


-Que faites-vous ?


Elle hésita à se retourner mais le fit.

-Je vais faire mon travail, c'est-à-dire m'occuper de votre adorablepetit ange. -ses yeux pétillaient de mille éclats-

-Et le repassage ne va pas se faire tout seul.


Je lui montrai trois corbeilles de linge. Elle parut surprise... J'étais allé débarrasser tous nos placards et avais froissé tous les vêtements que j'avais pu ce matin.


Et c'est ainsi que je la vis galérer à sortir la planche à repasser et à repasser pendant cinq heures. Elle prit une pause d'une heure pour nous faire à manger mais je lui interdis de manger.


Quoi? Je lui donnais de l'argent, je n'allais pas la nourrir en plus.


Je devais avouer que j'avais savouré cette journée à la regarder galérer et ce n'était pas encore fini.


-Monsieur,j'ai fini. Je vous apporte les corbeilles dans votre chambre.

-Très bien.


Elle prit un panier rempli à ras-bord qui semblait lourd.


-Attendez, je vais vous aider. Ça vous évitera des allers-retours inutiles.


Elle me sourit franchement. Je pris une corbeille dans mes mains et la posai sur celle qu'Atalaïan tenait. Je crus qu'elle allait s'effondrer sous le poids.


-Je ne peux pas. C'est trop lourd -me supplia-t-elle-


Je secouai la tête.


-Il faut savoir optimiser son temps, mademoiselle.


Elle se dépêcha de monter dans une démarche chaloupée, essayant d'apercevoir où elle mettait les pieds.


Elle redescendu avec rapidité, les yeux bouffis et rouges. J'y étais allé fort ?


-Ça va ? -demandais-je doucement-


Elle hocha la tête, essuya une larme au passage et partit en essayant de me cacher son visage.


Elle essayait de m'amadouer. Ce n'était pas si lourd que ça du linge.Les Africaines rapportaient bien des seaux d'eau sur leur tête et dans leurs bras.


Atalaïan n'avait pas à se plaindre. C'était surement une gosse de riches quine bougeait pas le moindre orteil ...


-Delacore!! -hurlais-je-


Elle arriva vers moi en courant.


-Vous pouvez y aller, c'est l'heure.


-Très bien, je vais dire au revoir à Amixiia.

-Non -dis-je catégorique- vous avez fini.

-Mais-

-Il n'y a pas de « mais ».


Elle se détourna de moi et partit sans un mot de plus, bien qu'elle devait me traiter de tous les noms dans sa charmante petite tête...



Ce soir-là, je ne pus pas m'endormir... Amixiia ne fit que pleurer et j'avais beau lui demander de la fermer, elle sanglotait de plus belle.


Dans quoi je m'étais embarqué avec elle ?


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Désolé  pour  le  temps  que j'ai  mis  à  écrire  ...



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