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Chapitre 17 ✔︎

   C'était la veille de la présentation du ballet. On n'avait pas cours de la journée. Non, aujourd'hui on devait travailler les chorégraphies, les ultimes répétitions allaient avoir lieu aujourd'hui !

Tous les danseurs avaient leurs costumes. Tout était prêt. J'avais attendu ce moment tellement longtemps... Le moment de pouvoir danser sur la scène de Garnier pour l'ultime répétition, la générale ! Ma joie était au maximum et ma motivation aussi ! C'était une véritable fierté de pouvoir réaliser mon rêve.

La danse était ma passion, ma vocation. Et aujourd'hui, en tant que jeune fille d'à peine 16 ans, j'allais réaliser mon rêve en dansant dans l'opéra le plus prestigieux du monde.

   Mais, d'un coup, la lumière diffusée par les projecteurs devint véritablement aveuglante.

   Je ne vis plus rien...

   Lorsque je compris que c'était la lumière de ma chambre qui s'était allumée, je poussai un soupir de soulagement. Déjà, je n'étais pas folle.

Je me levai, faisant mon lit au passage.

Je me plaçai devant mon miroir et m'observai. Vous pouvez trouver ça narcissique, mais... Personnellement, ça me permettait de me juger moi-même et de trouver comment corriger d'éventuels défauts...

Je fus interrompue :

– Dis, tu viens ? m'appela Lilas de la cuisine. Les pancakes vont refroidir !

–   Oui, j'arrive. Je m'habille et je sors !

–   D'accord ! fit-elle. Mais ne traîne pas sinon je viens te chercher et tu auras du sirop d'érable dans les cheveux !

–   Toi et ton sirop d'érable, une véritable histoire d'amour ! Malcom devrait être jaloux !

–   Je t'entends ! râla Lilas.

   Je ris. J'ouvris ma penderie et choisis un bel ensemble de vêtements pastel.

   Oui, aujourd'hui j'avais envie de mettre un peu de couleur pastel.

Je fus heureuse d'apprendre que, Lilas avait préparé des pancakes. J'adorais ça !

Peut-être qu'avec une petite salade de fruits frais ça serait parfait ? Tiens, j'allais cuisiner ça !

~•~

Lilas était de dos à moi lorsque j'entrai dans la cuisine. Je souris et demandai :

– Je peux cuisiner quelque chose ?

– Bien sûr. Fais ce que tu veux !

– Cool, merci ! dis-je en ouvrant un placard.

Je pris un saladier, une planche à découper, un couteau et des fruits (framboises, myrtilles, fraises et un peu de mangue).

–   Tu me passeras un peu de ta salade de fruit pour que je goûte ?

–   Bien sûr !

   Je coupais tranquillement mes fruits et les mis dans le petit saladier que j'avais pris.

   Je m'assis ensuite avec Lilas et lui servis un bol de ma salade de fruit.

   Elle prit une bouchée et sourit. Je pense qu'elle trouvait ça bon ?

–   C'est trop bon.

–   Merci !

–   Tu en referas demain ?

–   Peut-être ! Tu as quoi comme matières aujourd'hui ?

–   Je commence avec une heure de français ensuite j'ai de l'anglais. Et après j'ai photographie.

–   Et bah... Personnellement, je commence avec français. Ensuite j'ai histoire.

–   Tu sais que notre école va venir photographier la tienne lors d'un spectacle ?

– Le ballet de Noël ?

–   Oui. L'école de photographie et l'opéra de Paris ont passé un accord comme quoi, toutes les deux nous reverrons souvent pendant les jours qui suivent !

–   Tu ne pouvais pas m'annoncer meilleure nouvelle !

–   Tu ne pourras bientôt plus me supporter ! me dit ma cousine en riant.

–   N'oublie pas que je ne ferai aucun effort pour t'aider pour tes prises... Tu devras t'adapter !

–   Est-ce une menace ?

   Je fis mine de réfléchir.

–   Peut-être bien ?

–   Mmmh... J'y crois pas trop !

– Je dois partir à Garnier !

– Sauvée par le gong... Promis, tu t'en tireras pas comme ça !

– Tu ressembles vraiment à Alma ! Elle m'a sortit quasiment la même phrase y a un p'tit bout de temps !

– Qui est Alma ?

– Une danseuse Québécoise adorable.

– Je ne suis pas Québécoise désolée !

– La nationalité ne fait pas les origines et la génétique... Je suis persuadée que tu es le clone de personnalité d'Alma.

– Tu me déprimes.

– C'est ma spécialité ! Bon je suis vraiment en retard bisous ! À ce soir !

– Ce soir Malcom vient dîner. Il est très sympa et a hâte de faire ta connaissance !

– Oh... Très bien !

Je sortis rapidement de chez moi.

Enfonçant mes écouteurs comme tous les matins, je me mis sur le chemin de Garnier.

   Sans savoir pourquoi, je fus prise d'une folle envie de jouer dans la neige alors que juste une simple fine couche recouvrait le sol...

   C'est alors que, lorsque pour je ne sais quelle raison, j'enlevai mes écouteurs et me penchai vers le sol pour former comme une boule de neige.

Et là, quand un gros choc froid me frappa de plein fouet dans le dos, je serrai les dents. Qui avait osé m'envoyer une boule de neige ?

Je me levai et me tournai.

Florian.

Oui, c'était bel et bien Florian qui se tenait devant moi, un sourire taquin sur le visage tandis qu'une envie de meurtre se peignait doucement sur le mien.

Alors, n'écoutant que mon instinct de brute puérile, je lui envoyai en retour la boule de neige que j'avais essayé de confectionner, avant de me recevoir la sienne.  

Je souris en observant qu'il l'avait prise en pleine figure. Oui oui, j'étais sadique et je le vivais bien. Il avait de la neige prise dans sa barbe et dans ses sourcils, c'était très drôle. Je pris rapidement une photo, et lorsqu'il s'en rendit compte une course-poursuite s'improvisa dans la rue, mêlant les menaces d'un Florian trempé et mort de rire ainsi que les rires d'une Élise qui allait mourir très prochainement.

   Bon après avoir remonté l'avenue Auber entière, je craquais et m'arrêtais un instant.

–   Je me rends pas ! Je prends juste une pause ! m'exclamais-je.

–   Promis, ça ne sera qu'une boule de neige si tu déclares forfait. Sinon, à tes risques et périls.

–   Je t'ai déjà dit que j'aimais le risque ? dis-je en me remettant à courir.

–   Ma vengeance sera terrible tu peux en être certaine !

Je repris ma course poursuite et Florian râla :

– Je te jure que si je t'attrape, je te balance dans la neige !

– Je me laisserai pas faire !

–   C'est ça c'est ça.

   Et c'est essoufflée, complètement en sueur dès le matin que j'arrivais devant Garnier. On peut dire que c'était assez inhabituel.

   Florian arriva une dizaine de secondes après moi, et, sans trop savoir pourquoi ni comment, alors qu'il allait m'envoyer une boule de neige, je me baissais pour l'esquiver et celle-ci atterrit en plein milieu du visage d'Erica, qui arrivait elle aussi à Garnier.

   J'avais envie d'exploser de rire tellement que la situation était comique.

   Erica avait les cheveux, les cils, les sourcils et tout simplement le buste, immaculés de flocons blancs ! Son maquillage commençait à couler en même temps que la neige fondait sur son visage.

   Son mascara dégoulina sur ses joues.

   Son gloss se détériora.

   Son visage devint rouge de colère.

   Et moi, je souris. Psychopathe moi ? Jamais.

Elle releva la tête et cria :

– T'aurais pu faire gaffe je croyais qu'on était de vrais amis tous les deux, Florian ! T'es vraiment nul de m'avoir balancé cette saloperie sur mon visage ! J'ai mis plus de vingt minutes pour me faire mon magnifique maquillage !

Je n'avais qu'une conclusion : Erica pétait plus haut que son cul.

   Elle rentra dans le palais, furieuse. Peut-être que là, fallait vraiment pas la contrarier.

   Je rigolai comme une folle et Florian, béat, dit :

–   Je pensais pas qu'elle réagirait comme ça !

–   C'était tellement drôle en plus ! Tu recommenceras souvent hein ?

–   Je vais essayer ! On va en cours ?

–   Ce serait bien ! Allez hop on y go !

~•~

On entra et la classe s'installa dans la salle de français.

La professeure arriva fit l'appel.

On poursuivit dans la séquence des révisions de tous les usages des temps. On devait terminer aujourd'hui.

Chose qu'on fit avec brio ! Cette séquence fut bouclée et la classe, motivée, passa un bon moment en cours de français !

~•~

   Après le cours de français, on enchaina avec un cours d'histoire-géographie. Les révisions sur les Philosophes des Lumières étaient terminées. Aujourd'hui on allait revoir la Révolution.

La Révolution Française, quel spectacle gore... Des meurtres, des assassinats, des complots, des duels, des combats, des morts, des guillotines, les valeurs de la République... Tous ces mots valorisaient cet important évènement !   

~•~

   La pause de 10 heures sonna. Je sortis de la salle à la hâte.

    Alma me sourit et me dit :

–   Ce serait cool qu'on fasse une sortie tous ensembles à l'occasion, non ?

–   Oui, franchement ce serait trop bien ! approuva Alice. Mais, le problème c'est qu'on a aucun jour de libre dans la semaine.

–   Je crois que, le 24 décembre on bénéficiera de notre journée puisque le 25 on présente notre chorégraphie. Je suis un peu nerveuse d'ailleurs ! ajouta Virginia.

–   Il faudra se renseigner mais je pense aussi que le 24 on est libres et on a notre journée ! appuya Steph.

–   Il faudra demander à Madame Dutant lorsqu'on ira en cours, c'est à dire très bientôt !

–   J'ai vraiment hâte de connaître la réponse ! On n'est jamais vraiment sortis tous ensembles et c'est dommage je trouve !

–   Oui, c'est vrai... On pourrait aller où ? demandai-je.

–   C'est vrai que notre Auvergnate d'amour ne connaît pas la ville des lumières et de l'amour ! Faut absolument te faire découvrir cette ville merveilleuse ! s'exclama Gilles.

–   Alors là, Gilles a raison ! appuya Steph en riant. Notre Auvergnate d'amour est totalement étrangère au climat parisien et à cette ville.

–   Alors, il faut impérativement te faire monter en haut de la Tour Eiffel. Le Trocadero tant qu'on y est ça peut être vraiment sympa. proposa Charles.

–   Le Trocadero, c'est une merveille ! Faut aussi te faire visiter les beaux quartiers, les magasins, faut te faire passer au Louvre, ainsi qu'à l'Arc de Triomphe ! compléta Florian. Il y a aussi les Invalides ! Et, même si elle a brûlé, on peut passer près de Notre Dame.

–   J'ai vraiment hâte de découvrir Paris. Je suis certaine que cette belle cathédrale sera bientôt en bon état !

–   Oui, sinon que deviendrait Paris ? Mince l'heure tourne, on doit aller en salle de danse !

   Après un rapide passage dans les vestiaires d'à peine 5 minutes, je sortis et me mis dans la salle.

   Madame Dutant arriva et nous salua :

– Je suis très contente de vous revoir ! Bien, placez-vous nous allons commencer les échauffements. Piano ! 5, 6, 7 et !

   J'avais remarqué que les cours de danse étaient vraiment fluides et agréables. Madame Dutant dégageait un savoir-faire et une envie de faire progresser ses élèves qui m'impressionnait. Cette femme était vraiment taillée pour ce métier. Elle était très pédagogue !

   Au beau milieu d'un échauffement, je la sentis s'approcher et corriger mon mouvement avec le sourire :

–   Pensez bien à bien tenir vos bras ! C'est primordial pour une danseuse de Garnier !

–   Merci ! soufflais-je discrètement.

–   Mais de rien. répondit-elle en s'éloignant.

   Cette femme était vraiment incroyable.

~•~

   Avant de quitter la salle car le cours était terminé, Madame Dutant nous ordonna d'attendre un peu car elle détenait une information importante.

–   Bon. Alors, comme vous le savez, votre ballet sera présenté le 25 décembre à l'opéra Garnier. La billetterie est déjà complète pour ceux qui comptaient encore acheter des places.

   Mon coeur se serra... Moi qui comptais acheter des places à mes parents, c'était raté ! Ils n'allaient donc pas pouvoir venir me voir danser... Cette simple phrase fit voler en éclats mon coeur...

   Madame Dutant reprit :

–   Et, je vous annonce que vous bénéficierez tous de la journée du 24 décembre ! Faites ce que vous voulez du moment que vous êtes en formes pour danser Casse-Noisette !

   Je souris à mes amis. Cette sortie s'annonçait grandiose !

–   Je ne vous retiens pas plus longtemps. ajouta Madame Dutant. Bonne journée à demain, chers danseurs !

   On quitta la salle, un sourire affiché sur la tête.

   On allait visiter Paris le 24 décembre. C'était juste grandiose. Une journée avec mes amis, que demander de plus ?

   Je ne sais pas vous, mais cette idée m'enchantait !

~•~


Après la pause déjeuner, j'enchaînais avec un cours d'espagnol ! Rien que cette perspective, ça me mettait de bonne humeur !

Je partis donc en direction de la salle d'espagnol, et, toute souriante se tenait Madame Ferrer devant l'entrée.

Elle portait un jean bleu classique et un pull noir. Elle avait attaché ses cheveux en chignon haut.

Elle nous fit signe d'entrer, et comme à chaque début de cours, elle nous dit :

– ¡Hola, buenas tardes!

Après avoir dit cette formule de politesse, je me rendis à ma place, aux côtés de Virginia. Je sortis mes affaires et attendis avant de m'assoir.

– Podéis sentaros en silencio.
(-Vous pouvez vous asseoir en silence.)

On s'assit et la professeure nous dévisagea un instant. Elle nous présenta rapidement le programme du cours et elle nous présenta rapidement une légende mexicaine.

Une histoire assez glauque, j'ai envie de dire !

Elle sortit ensuite une feuille qui récapitulait l'histoire avec des détails.

– ¿Quién quierre distribuir? ¿Virginia? ¡Vale!
(- Qui veut distribuer ? Virginia ? Ok !).

~•~

Après le cours d'espagnol suivit le cours de français. Comme on avait terminé les révisions sur les usages des temps, la professeure de français nous proposa de faire une étude de texte.

Les études de texte, pour moi ce n'était ni pénible ni réjouissant. Cela dépendait de l'oeuvre choisie. En l'occurrence, celle choisit ici ne me plaisait pas. La professeure avait choisi une étude de texte sur le chapitre 3 du roman « Voyage au Centre de la Terre » de Jules Vernes.

Et... Je n'aimais pas, mais alors pas du tout, ce roman.

~•~

Après que le cours de français et celui d'anglais se soient terminés, je rentrai chez moi.

J'avais presque oublié que Malcom serait présent ce soir. Remarque, il faut bien faire connaissance à un moment ou à un autre !

Et puis... Pour que Lilas l'aime c'est qu'il devait être vraiment bien !

Je rentrai donc chez moi, avec sur le chemin du retour, l'horrible impression d'être suivie.

Même lorsque je me retournai, rien d'étrange ne me sautait au visage, tout semblait normal.

   Alors, toujours douteuse, je me remis en route rentrer chez moi, rue des Pépinières.

~•~

   Alors que je montais dans l'escalier, je reçus un SMS que je m'empressai de lire :

« Coucou Élise ! Ça va ? Bon, oui, j'aurais pu te le demander en face, mais... Comme j'ai pas trouvé vraiment le temps aujourd'hui, je te le demande maintenant ! Tu voudrais venir avec moi après le cours d'espagnol sortir en ville ? Ça pourrait être bien ? Tiens-moi au courant, à demain, Florian ! ».

   Je souris et me demandais intérieurement s'il aimait le fait de me proposer tout le temps de sortir dehors alors que j'avais décliné plus de fois que j'avais déjà accepté ! Je lui répondis donc que je serai ravie de me promener demain après-midi dans Paris.

 

~•~

   Je rentrais chez moi et posais mes affaires, comme tous les soirs. Je pris de quoi manger dans la cuisine et je m'installais sur ma chaise de bureau, en compagnie de mes cahiers.

~•~

Après avoir bossé un peu, j'entendis le rire de Lilas se diffuser dans l'appartement ! Pas de doute, elle était rentrée avec certainement Malcom, sinon pourquoi aurait-elle ri ?

Bon très bien, je concède que dans toute la famille on est un peu frappés avec des noeuds dans le cerveau parfois, mais bon... Se tordre de rire seule, je l'avais jamais vue/entendue le faire !

Je sortis de ma chambre, toute souriante. Toujours partir d'un principe positif : si quelqu'un sortait avec ma cousine, il devait être très sociable, vraiment gentil avec elle et très responsable. Ma cousine avait beau être un peu fofolle, elle était toujours (ou presque) responsable.

Comme prévu, il y avait bien Lilas accompagnée par un gars plutôt mignon. Il était blond avec des yeux bleus, une barbe naissante et un sourire charmeur.

Elle avait bien trouvé son Roméo, elle perd pas le nord la cousine !

Je souris :

– Alors voilà celui qui séquestrait ma cousine certains soirs chez lui ! Enchantée, moi c'est Élise !

– Oui, c'est bien moi qui séquestrais Lilas avec moi ! Ravi de te connaître, Malcom !

On se fit la bise.

– Mettez-vous à l'aise. dit Lilas. Je vais chercher de quoi grignoter !

– D'accord ! dis-je.

Je découvris que Malcom était un gars vraiment bien, sympa avec de l'humour, de la responsabilité et surtout, il l'aimait. Et ça, c'était le plus important.

On passa une excellente soirée tous ensembles.

~•~

Après avoir terminé mes devoirs, pris une douche et révisé mes chorégraphies, je m'endormis, épuisée mais heureuse.

Demain serait meilleur, j'en étais certaine.



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   Hey !

  Comment ça va aujourd'hui ?

  C'était le chapitre 17, n'hésitez pas à commenter, me donner vos avis, vos théories pour la suite du déroulement de l'histoire et tout ça !

~ Malcom ?

~ Bataille de boule de neige ?

~ Rendez-vous demain avec Florian ?

~ Plus de places pour les parents d'Élise au spectacle ? Je suis archi triste pour elle !

~ Bilan de la journée d'Élise ? Qu'en avez-vous pensé ?

~ Conseils ? Avis ? Hypothèses pour la suite ?

   Musique en média : Soulman de Ben l'Oncle Soul.

   Sur ces mots, je vous dis à demain pour la suite des aventures d'Élise à Garnier !

   Bisous ❤️.

   LaChouetteÉcrivaine❤️.

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