Une goutte.
Deux goutte.
Trois goutte.

Puis le déluge.
Une pluie battante s'abat sur moi.
Je cours me réfugier sous un bout de toit qui dépasse d'une maison.
Devant moi, s'étend à perte de vu des arbres immense pour ma petite taille.
La pluie danse avec le feuillages des grands arbres, je me laisse glissée sur le  long du mur pour retomber sur mes pauvres fesses... Mes chaussures cassées me rappelle que je dois à tous prie aller m'en acheter des nouvelle, je les regarde avec un sourire triste.

Elles ont fait leurs temps, ces belle chaussures... Pensai-je.

Je ne suis que vêtu d'un simple pull bordeau avec une veste verte foncée, un pantalon noir.
J'étais en tailleur parterre, attendant que la pluie cesse.

La pluie ne cesse toujours pas au bout de quinze minutes d'attente...

Je décide de me lever et de partir, même si je serai mouiller en rentrant.

Mais je m'en fiche.

Je longe la maison, arrivée à la fin, je fis un bref regards de droite à gauche et parts en courant vers un hangar.

Je saute dans une flaque, mes chaussures et le commencement de mon pantalon sont recouvert de boue...

Arrivée dans le hangars sûrement abandonner, je m'arrête et appelle ma sœur.

Mais le portable ne passe pas.

- Brodel! Me dis-je à moi même.

Je le range et pénétre dans le vieux hangars délabré.

Une odeur d'œuf en décomposition me traverse les narines, des toiles d'araignées ornent le hangars mais mon attention se dirige plutôt sur une vielle mallette.

J'essaye de l'ouvrir mais en vain quand mon pouce fut coupé par la serrure.

Je pousse un petit cris de douleur.

Je recule et trébuche en arrière mais avant que je ne tombe, mes mains glissèrent sur la mallette, pour me retenir, qui s'ouvrir instantanément.

C'est là que je compris, pour ouvrir cette mallette, il faut du sang!

Je me relève en quatrième vitesse et regards se que contient cette mallette de malheur.

Elle contient six cristaux de couleurs différentes, rouge, noir, bleu, vert, violet, blanc avec un vieux livre.

Mes mains passent sur la vieux livre et le pris dans les mains pour lire les premières pages...

"Quand le vent se lève, elle est là mais tu ne peux la voir. Six cristaux seront cachée, tu devras les retrouver.

Si tu ne les retrouve pas, alors elle te dévorera."

Ce livre et cette mallette sont sûrement une vielle blague pour faire peur aux petits enfants, pourtant cette serrure qui s'ouvre avec du sang me laisse perplexe.

Ce n'est rien qu'une blague de mauvais, n'est-ce pas? Essai-je de me convaincre moi-même.

Je rangea le livre dans la mallette et la ferma, voulant partir le plus vite possible de cette endroit étrange.

Arrivée chez moi, j'ouvre la porte à la hâte et monte dans ma chambre, je ferme la porte à double tour et saute sous ma couette.

Je regarde la fenêtre et m'endormis.

Une odeur salivante me fit émerger de mon sommeil, je soulève ma couette à la va-vite et parts en bas.

Tous le monde était déjà à table.

-Nous ferais-tu le plaisir de venir à table, Anna? Demanda ma mère mécontente que je ne sois pas venue plus tôt.

Je m'installe à côté de ma sœur, Zoé.

Après le dîné, j'embrasse mes parents et monte dans ma chambre, je tombe mollement sur mon lit, je retourne plusieurs fois sous ma couette et regarde la fenêtre.

Juste avant que je m'endorme, j'aperçu le vent se levé.

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Hello,how are you?

Voilà le début de ma deuxième histoire, j'espère que se petit prologue vous as plus!
Sinon, mule prochain chapitre sera dimanche!