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[chapitre 9] Psychiatrie [partie 2]

Je me réveille sur une table d'opération, attachée fermement aux poignets et aux cuisses.
J'essaye de me délivrer en bougeant mais rien à faire, je suis attachée à cette fichue table!
Mais j'essaye comme même de tirer sur mes liens.
Je sens que les liens qui me tiennent les cuisses ne vont bientôt plus tenir.

Mais j'entends des pas, j'arrête tous mouvements.
La porte s'ouvre et laisse entrer une silhouette féminine.
Devant moi se tient la... charmante infirmière, elle place une petite scies ronde dans la table.

-Je vais d'abord trancher tes jambes après tes bras et ensuite ta tête! Juste pour t'entendre crier d'agonie! Dit-elle en m'étant en route la scie.

Elle dirige sa scie ver ma jambe.

Ni une, ni deux, je me décroche les liens qui sont sur mes cuisses et mis mes deux pieds sur sa nuque et avec toute la force qui me reste, je lui enfonce sa sale face dans la scie.

Un crie d'horreur s'échappe de la bouche de l'infirmière avant que sa tête soit broyée, du sang noir vient s'écraser sur mes joues, son visage se fend en deux et son corps inerte bascule en arrière.

Je tire tellement fort sur mes poignets que les liens qui me retenaient se déchirèrent.

Mes poignet saignent, je partage la pièce en titubant.

Je n'ai plus de force, je tombe d'épuisement devant la grande vitre, je n'ai même pas regarder se qu'il y a dedans.

Je me redressa contre celle-ci quand soudain les néons de la pièce vitrée commencèrent à clignoter.

Puis d'un coup, plus rien.

J'entends une sorte de respiration, juste derrière moi... Comme si quelqu'un respire sur la fenêtre.

Je me retourne lentement, découvrant un enfant avec des écailles et des yeux de serpent.
Je parts tout de suite vers le mur d'en face, la chose tape la vitre tout tant me regardant.

Elle pousse un long hurlement, semblable à celui d'un cochon qui agonie.

Je me rend compte, en la regardant qu'elle n'avait qu'une seule patte à la l'avant.

Et cette main était celle que je pourchassait avant.

La chose recule puis court vers la fenêtre, elle la brise, j'eu juste le temps de me déplacer pour éviter les morceaux de verres.

Elle me saute dessus, essayant de me mordre, je l'esquive un temps mais elle réussis à me mordre à l'épaule.

Elle ressaye mais je pris juste attend un débris de verre et lui transperce le crâne.

Elle tombe lourdement sur moi, je la pousse et commence à pleurer.

Je n'en peux plus.

Puis toujours en pleurent, je découpe la main de la fille et sortis le cristal.

La porte qui était "condamné" s'ouvrit, je prends le cristal, essuie mes larmes et parts dans le prochain enfer.

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