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Chapitre 38


-Leia-


Fin mai 2023


Dans le miroir de la petite salle de bain de l'appartement que je partageais avec Ken, je fixais mon reflet. Dans l'évier se trouvait un monticule de cheveux bruns, bleus délavés, et vert bizarre. J'avais refait mon carré. Ce n'était pas très bien égalisé, mais je n'en avais rien à foutre. J'avais ce besoin irrépressible de changer. Le moment était venu. Le produit chimique posant sur le rebord du meuble m'asphyxiait. Néanmoins, je savais que j'étais obligée de repasser par la décoloration. Alors, muni de mes gants, mon pinceau et mon bol, je commençais à appliquer la mixture sur mes racines. À l'aide de pinces, je fis le tour de mon crâne, avant de m'attaquer aux longueurs. Peu à peu, le brun disparu, remplacé par un roux, puis un jaune poussin, pour finir sur un joli blond platine. Je rinçais les nuances toxiques sur mon cuir chevelu, lavant correctement le tout. Puis j'attendis que mes cheveux sèchent. Dans le placard du haut se trouvait ma nouvelle teinture, une jolie teinte lavande-pastel adorable. Aujourd'hui, je me métamorphosais pour devenir quelqu'un d'autre. Dans cette salle de bain exiguë, que j'allais bientôt quitter, devant ce miroir, pour reprendre les paroles de l'homme que j'ai aimé : j'ai pris le temps d'assassiner l'adolescence et de mes cendres viendra sûrement la renaissance.

Ces deux dernières années m'ont énormément appris sur ma propre personne. Je sais enfin qui je suis et ce que je ne veux plus être. J'abandonne les artifices, les faux-semblants. J'ai grandi. Je ne fuis plus autant qu'avant, je ne pleure plus autant qu'avant, je suis devenue plus forte.

Alors quand j'avais reçu la lettre de Tarik dans notre boite aux lettres communes à Ken et moi, j'avais su. C'était le moment de prendre ma vie en main. Le moment de devenir qui j'ai toujours voulu être. Car comme dirait V des BTS dans Jump : Peu importe si on essaie de m'arrêter, je continuerai mon chemin. On ne vit qu'une fois. S'il ne me restait qu'un jour à vivre, je n'aurais aucun regret.

Alors à la réception de cette enveloppe je l'avais lue d'une traite, puis je m'étais précipitée à La Boutique de Coiffeur la plus proche et m'étais empressé d'acheter tout le nécessaire pour changer d'apparence. Je voulais être en adéquation avec la nouvelle Leia Paoli.

Les mots de Tarik résonneront pour toujours en moi.





Leia.

Car je ne peux plus t'appeler Bella. J'pense que tu le comprends. J'ai pris conscience que mon présent n'était pas le reflet de mon passé. Que tu n'étais pas comme ma mère ou toutes ces femmes qui m'ont trahi. J'ai aussi compris que mon comportement actuel ne se justifiait pas de mon passé, qu'il fallait que j'avance au-delà. Je ne devais plus revivre en souvenirs cette ancienne vie, ressasser tout ça ne m'apporterait rien. Mon passé n'étant pas mon présent.

J'ai admis que j'étais passé à côté de ma vie. Que j'étais passé à côté de nous, que je recréais ce schéma de trahison à croire que les anciens cycles allaient se réaliser.

Je voulais te remercier, car après toi, après cette rupture, je me suis remis en question, j'ai réfléchi, et j'ai changé. J'ai tout fait pour devenir un nouvel homme, un homme bon. Je me suis rapproché d'Allah. Et j'ai tout fait pour m'accepter, être quelqu'un de mieux dans ma peau. Et tout ça c'est grâce à toi.

Aujourd'hui j'peux dire que je suis heureux. Alors merci.

Tarik





Néanmoins, pour être en totale adéquation avec la nouvelle moi, j'ai dû partager cette nouvelle avec Ken


Flashback


Ken reposait la lettre de Tarik que j'avais lu quelques minutes avant lui.


«  - Pourquoi ne l'as-tu pas lu avant que je sois rentrée ? Tu savais pourtant que c'était lui. Demandais-je intriguée et anxieuse.

Peu importe tout ce  qu'on s'était dit, promis avec Ken, je le connaissais bien aujourd'hui. Même s'il faisait genre que la situation lui convenait, et qu'il vivait bien tous ces chamboulements, je savais pertinemment que c'était en partie faux. Car oui, c'est notre décision, la mienne, Ken s'y tiendra. Mais ce n'est pas pour autant qu'il le vit bien, au contraire... Je m'inquiétais pour sa santé mentale. Déjà que c'est bizarre de voir la moitié de l'appartement ranger dans des cartons. Mon côté de notre bureau est vide de posters, de photos, de phrases qui avaient raisonné en moi. Sur le plateau, il ne restait que ma tablette graphique, mon pc fixe et portable, ainsi que mon carnet actuel. C'était la même chose pour la salle de bain, notre chambre, le salon. Tout le reste de ma vie était déjà placé dans des boites. C'était vraiment étrange...

-        Car ça ne me regarde pas. Ça ne regarde que vous. Je ne l'ai lu que parce que tu l'as demandé. M'expliqua-t-il calmement.

C'est dans ces moments-là que je me rendais vraiment compte de notre évolution à tous les deux. Avec Riley Ken aurait pété un câble. Mais là, il prenait du recul, même si la situation le faisait horriblement souffrir.

Je me sentais toujours extrêmement coupable de lui faire vivre cela...

-        Tu en penses quoi ? Me questionna-t-il.

-        Je ne sais pas comment le prendre... Il me dit qu'il va mieux, qu'il est passé à autre chose. Mais en même temps, j'ai l'impression qu'il m'aime toujours. Est-ce que je me fais des films ?

-        Et toi tu l'aimes encore ?

-        Je crois que je l'aime... Avouais-je.

-        Va le retrouver.

-        Mais, et toi ? On avait dit qu'on passerait ces derniers jours ensemble...

-        Moi ? Je m'en remettrais. En plus, on a déjà passé de sublimes vacances en Grèce, chez moi. Tu m'as offert le meilleur des deux mondes Leia. Vas-y, va le retrouver !

-        Mais ? Protestais-je.

-        T'inquiète Princesse. Dit-il en me caressant la tête. Je sais que tu m'as aimé et que tu m'aimes. Je savais dans quoi je m'embarquais. Comme tu savais la place que Riley  a toujours dans mon cœur. On a tous les deux avancé sans oublier. Je t'ai vu passé par toutes les étapes du deuil. Et tu es vraiment passé à autre chose. Malgré ton amour si sincère et doux pour moi, tes sentiments pour lui ne s'effaceront jamais. Tu sais bien comme moi que c'est lui, et que ça a toujours été lui.

-        Comment tu fais pour si bien me comprendre ? Parfois j'ai vraiment cru que tu étais mon âme sœur. Dis-je en sanglotant.

-        Mais tu l'es. C'est juste qu'on n'était pas fait pour s'aimer dans cette vie. Du moins, pas de cette manière. On s'est consolé tous les deux, on s'est aidé à se relever, et aujourd'hui si on est vivant c'est grâce à nous. Tu seras toujours ma princesse Leia.

-        Je t'aime Ken.

-        Moi aussi, je t'aime Leia. Mais pas comme on le devrait. Pas comme lui. Va le retrouver. Tu le sais au fond de toi, tu l'as toujours su.

-        Merci pour tout Ken. Merci pour ces trois années à tes côtés. »


Je partis comme une furie à la boutique la plus proche pour entamer ma transformation, avant de le retrouver. Je ne voulais pas lui montrer l'ancienne moi, la Leia du passé, celle qui aurait détalé comme un lapin. Je ne fuyais pas. Non, en fait, je faisais face à mon destin. J'allais au-delà de choses. Je le provoquais. Je courrais en direction de mon futur. Celui que j'avais choisi.


Fin du Flashback


Dans le wagon du RER D, mes écouteurs dans mes oreilles, je fixais un point invisible. J'étais perdue dans mes pensées, entourée comme toujours de mots. Je portais un bob noir, un pantalon de la même couleur classe, ainsi qu'un t-shirt blanc où était brodée une lionne. Mon sac contre ma poitrine, je me laissais porter par les dernières musiques des QLF. Une notification me sortit de mes pensées. C'était Elizabeth et Maddox qui me confirmait qu'il serait bien présent demain lors de mon déménagement. Larry et David devaient déjà venir, ainsi que Tonia, Sabri, Moha, Nabil, Fram et Ken. Clément serait bien venu, mais il n'allait pas monter sur Paris en pleine semaine. Il avait son alternance même le samedi. Et le dimanche aurait été trop compliqué pour tout le monde. Clément s'était alors excusé et m'avait dit qu'il essaierait de monter au plus vite pour me rendre visite et fêter la crémaillère. Il emmènera son copain Liam. J'avais hâte de rencontrer l'homme qui faisait sourire mon meilleur ami.

Alors que les stations défilaient, la pression montait. Je n'étais pas aussi sereine que quand j'étais partie de l'appartement une heure plus tôt. Dans l'onglet caméra de mon téléphone, je vérifiais si mon apparence était correcte. J'avais beaucoup changé en trois années. Alors, oui, Tarik et moi, nous étions vu brièvement, mais dans des conditions particulières. Aujourd'hui, il allait découvrir la nouvelle moi : Leia Paoli 2.0. Je replaçais l'une de mes mèches lavande derrière mon oreille. Mon maquillage n'avait pas coulé. J'avais pris l'habitude d'appliquer des fards bio, colorés, violet, rose, ou bronze qui mettait en valeurs la teinte de mes pupilles. Le marron et le vert ressortaient vraiment. J'étais heureuse, puisque depuis toute petite c'est la partie de mon corps que je préfère. Mes taches de rousseur étaient bien apparentes. Mon acné lui avait quasiment disparu, laissant quelques cicatrices cartographiant encore plus mon visage. Cela me fit pouffer. Quelques passagers me regardèrent. Mais j'étais euphorique. Je fonçais vers mon destin !

Même si mon cœur tambourinait dans ma poitrine, mes mains moites, ou ma lèvre abimée, j'étais heureuse. Anxieuse, mais exaltée. Bientôt je franchirais la porte du bâtiment des deux frères. Tarik ne s'était toujours pas décidé à vendre son appartement. Nabil lui avait insufflé une excuse pour qu'il se rende là-bas. J'avais envie de lui déclarer mon ressentit là où tout avait commencé, et non pas à Paname dans son pied-à-terre luxueux.

Arrivant dans la cité, les gens me dévisagèrent dus à ma couleur de cheveux. J'arborais ma nouvelle crinière avec fierté. Même si je sentais les regards couler sur ma silhouette, je me sentais bien. J'allais au-delà de ma propre destinée. Pas à pas je m'enfonçais dans mon Ancien Monde, là où autrefois j'étais chez moi. J'entendais les murmures bien sûr, mais aussi les cris des enfants jouant, les rires des ados sortis des cours, les mamas en pleines conversations, les babas à scruter la cité d'un œil protecteur.

Sans l'ombre d'une hésitation, je me dirigeais vers l'immeuble de Tarik, mi lionu. Je souris à cette pensée, une larme coula sur ma joue. Je ne pus m'en empêcher. Car m'autorisé à le surnommer à nouveau de cette façon m'émouvait au plus haut point. Arrivé devant l'entrée du bâtiment, je tapais le code ayant rendu le badge vert à Tarik lors de notre rupture. L'ascenseur comme à son habitude était en panne. Le dealer du bat sur sa chaise me détailla.


« - T'étais pas la go d'AD ?

-        Si c'était moi.

-        Oh, OK. Propre. T'es revenue alors ?

-        Peut-être bien. » Dis-je en souriant et lui adressant un clin d'œil.


Il sourit à son tour, puis disparut de mon champ de vision m'étant engagée dans la cage d'escalier.


Allez, plus que quatorze étages. C'est quoi au fond ?


À l'ammoniaque dans mes écouteurs, car c'était devenu ma chanson. C'était aussi celle d'Anna. J'espérais que je pourrais toujours être la Shanti de Mowgli. La main contre ma poitrine, mon cœur continuait de battre comme s'il allait briser ma cage thoracique. Je ne fus essoufflée qu'au sixième étage. J'avais ralenti le sport pour de multiples raisons, mais j'avais réussi à garder la forme. Aujourd'hui, du haut de mes vingt-quatre ans, je m'acceptais, même si je n'étais pas comme les canons de beauté. Car j'avais compris que ce n'était pas ça d'être une femme, être belle, être heureuse. Cela vient du cœur. Maintenant, je suis mes envies, ce qui me fait plaisir. Je m'habille, car je me sens à l'aise dans mes vêtements, car j'aime ce qu'ils dégagent ou représentent, car ils me rendent radieuse. Les habits n'ont pas de genre. La femme que je suis s'exprime par mes convictions et opinions. J'avais tellement changé depuis notre rupture. Même si j'avais développé une meilleure confiance en moi et une armure antiballe, j'avais un peu d'appréhension par rapport au fait de toujours plaire à l'ainé des Andrieu. Il admet qu'il est passé à côté de nous, à côté de moi. En cet instant, en montant les marches du bat de Tarik, je lui offre une seconde chance. J'espère qu'il la saisira.

               Je ferais tout pour vivre une relation saine avec Ademo le rappeur, Tarik l'homme, de son vrai nom français : François Andrieu. Il n'y avait plus de dualité. L'amour, c'est s'éprendre d'u être humain entier, de ses failles, ses défauts, ses cicatrices, ses forces, son caractère, son âme. Bien évidemment, je sais pertinemment qu'il y aura des jours où je voudrais envoyer foutre tout cela. Mais l'amour c'est aussi se donner l'énergie de se battre pour l'autre, et pas contre. C'est l'écouter même quand on aurait envie d'être le plus loin, c'est le consoler même quand on est soit même à terre. C'est communiquer ses  doutes, ses angoisses, ses hontes, puisque la personne que nous aimons ne devrait pas nous juger. L'amour c'est ne pas s'oublier, s'aimer avant tout. Nous sommes deux entités à part entière, décidant de parcourir plus ou moins longtemps le chemin de la vie ensemble.

               Tarik, lui aussi, avait dû beaucoup changer. Rien que physiquement il s'était métamorphosé. Mais pour cela j'avais l'optimisme et la certitude que je l'aimerais, même s'il n'est plus l'homme que j'ai connu. Je veux me jeter dans le vide, m'écraser avec lui, même si cela fera mal. Je sais que si on s'offre à nouveau notre confiance, le respect, l'amour et la bienveillance.

               Je voulais tous les concéder à nouveau à cet homme.

               J'étais prête. Mais l'était-il ?

               Peu importe. J'étais bientôt devant sa porte.

               Je ne reculerais pas.

               Je me lance dans ma nouvelle vie avec le sourire.

               Ça y est.

               J'étais enfin devant sa porte.

               Celle qui ressemblait à toutes  les autres, pourtant qui représentait tout autre chose.

               Celle semblable à la porte contre laquelle Nabil s'était acharné par le passé.

               Je pris une longue inspiration avant de toquer contre le médium. La porte s'ouvrit après quelques minutes. Je découvris un Tarik transpirant, une clef à molette à la main. Ses cheveux longs frisés coulaient jusqu'à ses épaules. Il portait un débardeur blanc et un jogging noir, ainsi qu'une belle paire de dunk. Il me regarda interloqué.


« - Salut ?

-        Hey...

               Face à ce lion, roi des Tarterêts, je perdais toujours mes moyens, redevant une petite adolescente devant son premier amour.

-        Qu'est-ce que tu fais là ?

-        Je peux entrer ? S'il te plait ?

-        Oui, mais je suis en pleins travaux. Nabil m'a appelé en urgence à cause d'un dégât des eaux. Mais j'y connais R en plomberie.

               Je rigolais face à son désarroi.

-        Te moque pas ! J'aurais dû appeler un plombier. Je ne sais même pas pourquoi je suis venu... Soupira-t-il.

               Il me fit rentrer.

-        Attends... Mais comment tu sais que je serais là ?

-        Nabil.

               Pas besoin de mentir, je voulais de nouvelles bases droites avec lui.

-        L'enfoiré.

               Je tapais son épaule inexistante de mécontentement avec ma force de bébé.

-        Eh ! N'insulte pas ton frère !

-        Wow. J'ai senti un courant d'air. Je savais pas que j'avais ouvert les fenêtres. Se moqua-t-il.

               Je fis une moue.

-        Bon, dis-moi plutôt pourquoi es-tu venu ?

               Je baissais le regard. C'était le moment, j'étais paralysée. Il fallait que je bouge mes lèvres, que je lui explique.


               Allez Leia ! Tu y es presque !


-        Tarik, il faut que je te parle de quelque chose d'important.

-        Je t'écoute.

-        J'ai reçu ta lettre. Je tiens déjà à te dire que tu n'as pas à me remercier. Je suis heureuse d'avoir pu t'aider. Je sais parfaitement que notre relation n'a pas marché et les  raisons. Tu n'es pas le seul responsable. Aujourd'hui avec du recul, je sais ce qui aurait pu nous sauver et ce qui nous manquait. Depuis le concert à Bercy, je n'aurais pas de repasser en boucle ces mots dans ma tête. Tes mots, ceux-là en particulier, ils ont raisonné en moi. J'ai tout fait pour t'oublier, passer à autre chose. Et j'ai réussi, j'ai réappris à aimer. J'ai trouvé Ken, et j'ai ressenti ces émotions pour lui. Mais voilà, aujourd'hui, je me rends compte que ce n'est pas de lui dont je suis amoureuse. Je l'ai compris un peu avant  le mariage, mais cette soirée n'a fait que confirmer mes sentiments.

Je repris ma respiration étant totalement essoufflée par mon monologue.

-        Tout cela pour te dire que je suis amoureuse de toi, Tarik François Andrieu. Je veux qu'on se donne une nouvelle chance. Je sais qu'avec la maturité, le recul, l'expérience qu'on a acquise on pourrait vraiment la vivre notre histoire. Et  on ne passerait pas à côté l'un de l'autre. Alors, Tarik, voudrais-tu me faire l'honneur de te lancer dans cette aventure avec moi, une deuxième fois, pour le meilleur ?

Il ne répondit pas, cela me stressa. Je tripotais mes pointes anxieuses. Quelle allait être sa réponse ?

-        Enfin, si tu le veux... Et si tu ressens la même chose que moi... »








               Finalement, peu importe sa réponse, je savais que ce n'était que le début de nouvelles aventures avec ou sans lui, puisque ce serait pour le meilleur.





Bonsoir tout le monde ! 🥰

C'est le dernier chapitre !!! 🤯

Qu'avez-vous pensez de cette fin ? (J'avoue, j'appréhende de fou) 😰

La transformation de Leia ? ✨💜

Ken ? 🌸🔥

Son retour au Tareterêts ?

Tarik ? 🦁❤️

Leia ? ♎️

Vous pensez que Tarik a répondu quoi ? 🤔🤫🫣🤭🥴

Merci pour votre soutien sur cette histoire, et merci d'avoir lu jusqu'ici 🙏🏼🥹🦋

On se retrouve dans quelques semaines sur ma fanfiction Salang ! 🫰🏻💜

Et dans quelques mois pour le tome 3 ! 🌷

Sur ce prenez soin de vous et des autres 🤍

Bisous 😘

Saphira 💙

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