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Excusez-moi moi du retard de ce chapitre, j'avais un repas de famille hier, et je me suis écroulée à cause de la fatigue accumulée du à mon travail hier 🤣😅

Je vous souhaite une bonne lecture ❤️

Chapitre 17


-Leia-


juillet 2023


« - Tu vois ces jours où t'es une grosse larve ? Me demanda Ken.

-       Oui, je vois que trop parfaitement.

-       Ben, avant je culpabilisais de ouf. Je me disais toujours que j'aurais pu gratter des textes, cherches des mélodies, ou même m'occuper du label.

-       Et quand est-ce que tu t'es dit l'inverse ? Lui demandais-je.

-       À nos vacances en Grèce, c'est à ce moment-là que j'ai vraiment compris la différence entre se reposer et profiter, et glander et procrastiner.

Son regard s'était éclairé. Ken se redressa et me fixa intensément avant de dire :

-       C'est à tes côtés que j'ai compris ce que ressourcer voulait-dire. C'est avec toi que j'ai enfin pu souffler et vivre ma vie pleinement.

-       Oh, Ken. Dis-je ne sachant pas quoi répondre.

-       J'ai honte d'avoir connu celle qui t'précède. Car elle ne t'arrive même pas à la cheville. Certes, avec Riley, c'est la première fois où je suis vraiment tombé amoureux, mais ce qu'on vit en ce moment, c'est plus fort, plus passionné. J'ai l'impression de vraiment te comprendre, que tu me comprends, comme si nous nous connaissions avant, dans une autre vie.

Je pris le temps de réfléchir quelques secondes. Cela était dur à digérer. J'aimais Ken très fort et j'avais envie de vivre cette histoire à fond. Pour moi aussi, j'avais l'impression que nous étions connectés, que nous nous comprenions vraiment. Mais de là à dire qu'il a honte d'avoir connu Riley. Il a pété un câble ? Pour moi, je n'ai pas l'impression d'en être rendu là, si ?

-       Ken, sache que cela me touche que tu penses ça. Mais ne renies pas Riley, je sais qu'elle a énormément compté pour toi, c'était ton premier amour. Et de là à dire que tu as honte, je ne suis pas si exceptionnelle que ça, au contraire.

-       Oui, mais on se ressemble Leia, on se comprend.

-       Certes.

Pourquoi devais-je tout contrôler, on avait dit qu'on tentait, non ? Même si cela ne marche pas, Ken et moi, on va essayer. Je vais tout faire pour vivre, ne plus rien regretter. De toute façon, je n'ai plus rien à perdre.

-       Jusqu'à ce que l'amour nous sépare ? Dis-je encore angoissée.

-       Jusqu'à ce que l'amour nous sépare. Affirma-t-il.

Ken me prit dans ses bras, me berçant contre lui. Puis il chuchota dans le creux de mon oreille.

-       Je sais que c'est dur, mais arrête de te tracasser. Cela va bien se passer, on tente, on avait dit.  "Les hommes pleurent en cachette, et ça, je n'peux l'en cacher. L'amour, c'est la guerre, c'est pour ça qu'j'ai peur d'mengager." Je veux tenter avec toi. J'ai plus peur d'aller trop vite Leia. On a qu'une vie. Même si au final ça ne marche pas. L'important, c'est le chemin qu'on parcourra ensemble, non ?

-       Si, tu as raison. Grazie Kaji. Je t'aime.

-       Moi aussi Hoshi. »


juillet 2021


Nous remontions la rue principale de Paléokipos, le village de Ken. Celui qui l'avait vu grandir lors des vacances scolaires auprès de ses grands-parents. Les fermiers ou vendeurs ambulants passaient avec leurs ânes le dos bien chargé. Ken grinça des dents, ça lui rappelait le business qui se faisait sur les ânes pour les touristes à Santorin. Tout ce gagne-pain finissait par être de maltraitance animale. Et s'il y avait bien une chose qui répugnait Ken, c'était cela. Pour lui, chaque vie est importante. Je déposais ma main sur son bras en soutien. Il tourna la tête vers moi, il esquissa quand même un sourire, comme pour me remercier malgré les émotions négatives qui l'envahissaient.

Nous avancions tranquillement, profitant de cette fin d'après-midi. La chaleur commençait à baisser. Le temps était agréable. Dans quelques heures, nous devrions seulement mettre un petit gilet pour se réchauffer. Là, je rêvais d'une douche fraîche pour enlever ma transpiration. Je me sentais poisseuse. Pourtant, cette gêne n'enlevait rien à ce moment si enivrant. Je sentis la main de Ken attraper la mienne, entremêlant nos doigts. Nous serions bientôt chez la grand-mère de Ken, Déméter. Elle portait le nom de la déesse de l'agriculture, des moissons. C'était la Mère de la Terre, une des grandes figures importantes de la mythologie grecque.  Cette femme m'impressionnait. Elle était si forte, intelligente et ouverte d'esprit. Ken s'inquiétait pour elle. Déméter commençait à perdre un peu la tête. Ce voyage, ici, à Mytilini était aussi un prétexte pour la voir. Il voulait repousser le plus longtemps le jour où il devra l'enfermer dans une maison de retraite, car c'est comme cela que Kaji voyait la chose.

Ce soir, Ken avait prévu que l'on aille dans le bar du coin, le « Hermes » Cafe. C'était le fameux pub que l'on voyait dans le film Les étoiles vagabondes. Apparemment, il y aurait un petit concert de rébétiko par les habitués.3 Rien de trop prétentieux, au contraire, je ne savais pas si on pouvait appeler cela un concert. Puisqu'au final, c'était juste un moment de musique partagé dans la convivialité, sans scène, sans lumière non plus, ni de grosses enceintes. Cela m'allait bien, j'adorais l'authenticité. Je fuyais au possible les hôtels à plusieurs étoiles, les activités touristiques toute faîtes. J'appréciais beaucoup plus aller à la rencontre des habitants, apprendre de nouvelles coutumes, goûter des plats typiques. J'avais toujours fait cela dans tous mes voyages, bien que j'ai pas eu beaucoup d'occasion dans ma vie avec ma famille de classe moyenne. Mais ce peu de voyage était d'autant plus précieux et extraordinaire, dû à leur rareté. Je ne remercierais jamais assez mes parents pour cela.

Arrivant toute en haut de plusieurs rues, j'avais besoin de reprendre mon souffle. Il y avait une terrasse, sorte de mini parc, si on pouvait appeler cela comme ça. Sur celle-ci, se trouvait une cabine téléphonique côté route, et sur le plateau au bord de la falaise, il y avait de jolies jardinières, ainsi que des bancs.


Mes sauveurs !


On s'installa mi focu et moi sur l'un deux, reprenant notre souffle. Nous essayons de nous remettre en forme, lui et moi, ayant arrêté le sport ces derniers mois. Comme Ken l'avait dit dans un de ces sons, quand il déprime, il prend beaucoup de poids. C'était pareil pour moi, surtout quand j'étais stressée. C'était encore l'un de nos nombreux points communs. Je l'avais remarqué dès le début de notre relation, cela s'était confirmé au fil des mois, lors de mes squats dans son appart pendant les confinements, ou alors lors de notre mise en couple. Ken et moi étions très semblables sur de nombreux points. Ce qui était génial, mais en même temps, parfois, on faisait une overdose de nous. Mais généralement, c'était le paradis. J'avais trouvé en cet homme un meilleur ami, un confident, un frère, un amant, un petit-copain. Ken était devenu très important pour moi. Le fait qu'il m'emmène dans le pays de ses origines, qu'il me fasse visiter sa ville presque natale, qu'il me montre là où il avait vécu étant petit, ainsi que sa grand-mère, toutes ces choses étaient de grandes et de belles preuves d'amour. Je savourais chacun de ces instants. Je savais que le COVID avait tout ralenti, mais qu'un jour Ken finirait par repartir, qu'il finirait par de nouveau voyager énormément. Au final, cela fera pareil que Tarik, comme un cycle. Mais je savais au fond de moi que non. Non, ce ne sera pas pareil, puisque Ken n'est pas Tarik. Et ce qui avait surtout pêché dans notre relation à mi lionu et moi, était le manque de communication, le rejet, le renfermement sur soi-même, la non-confiance. Pourtant, nous avions construit un climat sain. Mais apparemment ça n'avait pas suffi.

Je secouais ma tête. Je devais penser à autre chose, me reconcentrer sur le principal : Ken. Je me levais du banc le tirant par la main. Il rouspéta.


« - Leiaaaa. Râla-t-il.

-       Oui, c'est moi. Dis-je reprenant ses propres taquineries.

-       T'es nouille. Dit en rigolant.

-       C'est toi ma nouille. Lui dis-je. Allez, viens danser. »


C'est comme cela que Nek et moi, nous nous mîmes à danser, le bruit du vent, des oiseaux marins et du peu de passants, nous berçant, comme seule musique. Je valsais, droite, gauche, un pas après l'autre. Ken avait déposé une de ses mains dans le creux de mes reins. Je trouvais cela si sexy. Je me rapprochais de lui, pour danser un slow. Mes bras autour de ses épaules et de son cou, je plongeais dans son regard noisette. Qu'est-ce que j'aimais les hommes bruns aux yeux de la même nuance. Cela me faisait craquer. Son bouc et sa moustache finissaient de m'achever. Si je n'étais pas déjà sous le charme, son sourire en coin faisait le reste. J'étais faible devant cet homme.

            Avec Ken, j'avais l'impression d'être totalement comprise, soutenue. Bien évidemment, des fois, nous avions des désaccords. Cela faisait de notre relation quelque chose de sain. Au début, certains de ses gars n'étaient pas pour. Cela m'avait fait bizarre, pensant que j'aurais droit à un accueille bien moins froid. Je me serais plus attendu à cela de la part des QLF, étant méfiants. Mais apparemment ça avait été tout le contraire. Une larme roula le long de ma joue. Certains n'avaient pas hésité une seule seconde à me tourner le dos lors de ma rupture avec Tarik.


« - Eh ! Leia, qu'est-ce qui ne va pas ? Me demanda Ken inquiet.

Je ne méritais pas cet homme. Il me montrait une partie intime de lui, et moi je ne faisais que penser à Tarik et aux QLF.

-       Je suis désolée. Dis-je en éclatant en larmes.

-       Oh, Leia... Qu'est-ce qu'il se passe ? Pourquoi tu es désolée ? J'ai fait quelque chose qui n'allait pas ?

-       Au contraire, je ne te mérite pas. Crachais-je presque.

-       Arrête de dire des bêtises.

-       Ce n'est pas des bêtises ! Je ne pense qu'à eux, qu'à lui. Alors que je devrais penser rien qu'à toi.

Il soupira. Je redoublais mes pleurs, m'écroulant au sol. Ken se mit à mon niveau prenant mon visage dans sa main, essuyant mes larmes de l'autre.

-       Leia, c'est normal. Toute cette histoire t'a marqué, blessé. Cela va mieux, la plaie dans ton cœur ne s'est pas infectée, et elle s'est refermée grâce aux points de sutures que tu t'es administré ces derniers mois. Mais si tu tires trop dessus, cela va se rouvrir.

-       Hm... Essayais-je de répondre pris de tressautements et de hoquets.

-       Tu ne dois pas te culpabiliser. Tu n'as rien fait de mal. C'est normal d'y repenser. Me rassura-t-il.

-       Mais j'ai l'impression de te trahir, car tu m'aimes et je pense à lui.

-       Leia, on a dit qu'on tenterait. Je savais dans quoi je m'embarquais à ce moment-là. Une relation comme tu as eu avec Tarik, ça ne s'oublie pas du jour au lendemain. Et tu ne t'en rends peut-être pas compte, mais tu vas mieux, tu n'en parles quasiment plus. Peut-être que tu y penses, mais plus au point que ça te torture. Tu es forte. Tu vas y arriver. L'important pour moi, c'est que tu sois heureuse.

-       Tu vois, c'est ce que je veux dire. Tu es trop bon pour moi.

-       Car tu le mérites Leia. Un jour un de tes amis, Éric t'as dit ces mots : "Le monde te mérite". Il avait raison Leia. Si le monde te mérite, moi aussi. Comme toi, je ne sais pas si tu me mérites, mais tu mérites d'être heureuse. Et pour les autres, je sais que ça fait mal. Mais ils ont fait leur choix en te tournant le dos. Tu ne leur dois rien.

-       Oui, peut-être. Admettais-je.

-       Ce n'est pas peut-être Hoshi. C'est vrai.

Je baissais la tête, honteuse. Il la releva de nouveau.           

-       Leia Paoli, je t'aime. Je t'aime du plus profond de mon cœur, pour qui tu es, dans tes faiblesses comme dans tes forces. Il me regarda intensément. Tu te rappelles ? On a dit "jusqu'à ce que l'amour nous sépare".

-       Oui, je me rappelle Kaji. Je t'aime aussi, très fort. Jusqu'à ce que l'amour nous sépare.

-       Voilà ! Dit-il en se relevant. Je suis fière de toi. Dit-il, cette fois-ci me tendant sa main pour m'aider à me relever.

-       Moi aussi Ken. »


Il m'embrassa tendrement. Puis nous rentrâmes tranquillement à la maisonnette de sa grand-mère.


*


-Ken-


Nous étions bien installés dans la banquette à l'une des tables du bar « Hermes » Cafe. Leia portait une magnifique robe blanche aux allures bohèmes. Elle avait noué ses cheveux bleus ondulés en un chignon. Ils avaient bien repoussés. Elle s'était légèrement maquillée, mettant un fard cuivré faisant ressortir ses yeux marron-vert. Elle avait du mascara, ainsi qu'un rouge à lèvres nude. Sa peau comme à son habitude était vierge de toute matière, on voyait son acné et ses taches de rousseur. Son acné allait mieux, il avait été très virulent quand je l'avais rencontré. Maintenant, que ma petite étoile se détendait enfin, sa peau respirait. J'étais fière de la femme qu'elle était en train de devenir. Certes, Leia était bien plus jeune que moi, mais elle avait déjà cette maturité, cette force.

Je passais un bon moment à parler aux migrants, étrangers, habitants. Tous faisaient tout pour s'en sortir ici, essayant de rester fidèle à leurs valeurs, essayant de rester humain. Car il n'y a que ça de vrai.

C'était ici en Grèce que j'avais trouvée la résilience, que j'avais pu passer ce moment charnière et douloureux. J'en étais ressorti plus grand, devenant un homme, laissant ma partie adolescente se détacher de moi. Pourtant, j'avais fait le choix de garder mon âme d'enfant, n'oubliant jamais d'où je venais.

J'écoutais les artistes qui nous jouaient leur histoire, ces musiciens qui nous donnent une part de leur vérité. « Le rébétiko, c'est la musique des hors-la-loi, des exilés et desvagabonds. Dans les années 20, plus d'un million de Grecs réfugiés d'AsieMineure se sont entassés dans les bas-fonds des grandes villes, où ils ontdéveloppés ce courant musical interdit sous la dictature. Aujourd'hui, lesréfugiés qui arrivent en Grèce viennent d'autres pays, mais le déracinementchanté par le rébétiko reste le même. »

C'est ici, avec ces nomades ayant élu domicile momentanément, ces fugitifs passagers, que je me sentais le mieux. C'est ici, auprès de ma famille, de ma grand-mère, que je suis le moins perdu. C'est ici, sur mes terres, près de ma culture, que je me comprends le mieux. C'est ici, à Mytilini que je grandis toujours le plus.


*


Elle était là.

Leia était là.

Je la regardais avec un sourire aux lèvres. Elle portait une robe bohème beige avec de belles fleurs dessus. Ses cheveux bleus flottaient aux vents. Dans les premiers temps, j'avais été perturbé par son changement radical de couleur, mais maintenant après tous ces mois j'étais plus qu'habitué. Bien, que cela m'avait surpris, j'avais tout de suite aimé. Mon étoile grandissait. La lumière était étincelante, pas plus qu'elle. Leia était belle comme les éclats de soleil dans les Cyclades.

Elle était là. Je l'avais emmené ici, dans mon pays, l'un des endroits qui compte le plus pour moi, dans le village de mon grand-père. Je crois que c'est comme cela qu'Hakim avait compris que Leia était vraiment importante pour moi. Qu'elle n'était pas rien, loin de là. Je la voyais fermer les yeux, appréciai le calme ambiant. Là-haut, au-dessus de Paléokipos, tout semblait dérisoire. Nous n'étions que des hommes, pas des demi-dieux, encore moins des dieux. Pourtant, devant moi trônait une déesse, celle de la justice, de l'amour et de la créativité : Leia.

Nos vélos étaient posés à côté, contre un petit muret de pierre. On était monté avec, même si Leia avait plus poussé son vélo que pédaler dans la montée. Je ne lui reprochais pas. Surtout pas après ce qu'il s'était passé avec Addison en juin. Sa meilleure amie lui a tourné le dos, comme les QLF. Elle encaissait énormément ces derniers mois... Comme quoi, il y a que le temps qui nous dira qui sont nos vrais amis.

Leia s'éloigna du bord, même si elle aimait la vue, le vide ne la rassurait pas. Elle s'approcha de moi pour me prendre dans ses bras.


« - Je t'aime Ken.

-       Moi aussi Leia.

Je l'enserrais dans mes bras. Ses petites mains agrippèrent fortement mon t-shirt. Sous ma casquette, je souriais. Au bout de bout de longues minutes nous nous séparâmes à contrecœur.

-       On redescend ? Lui demandais-je.

-       Aio !4

Nous prîmes nos vélos, et nous descendîmes presque en volant la côte. Tout cela avait des vibes de Kiki la petite sorcière, La colline aux coquelicots ou encore Si tu tends l'oreille.5

-       Ed Sheeran ! Cria-t-elle.

-       Quoi ? Demandais-je dans l'incompréhension.

-       On récite nos classiques ! S'exclama-t-elle.

-       Ed Sheeran aussi alors !

-       Ok. Queen !

Son hurlement résonna dans la vallée.

-       Gainsbourg ! Criais-je.

-       Daniel Balavoine !

-       Bob Marley !

-       Toto !

-       Eminem !

-       Eminem ! Dit-elle en me faisant un clin d'œil.

-       Lunatic !

-       Orelsan !

-       Shurik'n ! Continuais-je.

-       Muse !

-       Kendrick Lamar !

-       Lady Gaga !

-       Les Beatles !

-       Elvis Presley ! S'écria-t-elle presque.

-       MJ !

-       Mikael Jackson of course !6» Confirma-t-elle.


Nous partîmes en fou rire. On continua en se moquant des rappeurs recyclables. Je croisais son regard rieur, elle avait une étincelle dans le regard. J'ai trouvé mon étoile. Et j'espère la suivre plus qu'un instant. On a les mêmes goûts musicaux. On a les mêmes valeurs. On a la même vision de la vie, de l'amour... On est les mêmes.


Le feu et l'étoile.











1 wicca : nouvelle religion païenne basée sur les anciennes croyances celtes, nordiques ou encore gréco-romaine

2 Mabon : la fête de l'équinoxe d'automne

3 rébétiko : forme d'expression musicale et culturelle populaire grecque associée à la chanson et la danse, apparue dans les années 20 après plusieurs vagues migratoires (essentiellement grecque, expulsées d'Asie mineure).

4 aio : « allez ! » en corse

5 vibes : ambiance, atmosphère en anglais

6 of course : bien sûr en anglais





Bonsoir !

J'espère que vous avez passez une bonne semaine

Qu'avez-vous pensez du chapitre ?

La conversation de Ken et Leia sur leur relation ?

L'engagement de Nekfeu ?

Le craquage de Leia, le fait qu'elle ne pense pas mériter Ken ?

Son Kaji qui la console ?

Quand ils récitent leurs classiques en descendant la colline à toute allure avec leurs vélos ?

Ken ?

Leia ?

Vous pensez qu'il va se passer quoi dans les futurs chapitres ?

Je vous souhaite à tous une très belle semaine !

Prenez soin de vous

A vendredi soir pour le prochain chapitre !

Saphira

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